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 Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN)

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MessageSujet: Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN)   Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN) EmptyJeu 1 Mai - 22:51

Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
Austin & Charlotte
Cela fait maintenant quelques jours que Charlotte est de retour à Caerphilly pourtant, tout n’est pas rose comme elle l’aurait souhaité. En revenant, valise à la main sans prévenir qui que ce soit, elle avait tellement de rêve et d’espoir en tête. Elle était enceinte, elle pensait que cela rendrait heureux Austin et qu’ils allaient pouvoir faire la famille qu’ils voulaient. Pourtant, les seules réactions qu’il a eu, c’était des reproches et le fait qu’il lui cachait quelque chose dont il ne voulait pas lui en parler pour le moment. Autant dire qu’elle était attendue à mieux en débarquant dans la vie de son fiancé pour lui dire qu’il allait être père. Charlotte aurait pu repartir à Oxford, allait voir le directeur de l’université pour lui dire qu’elle avait arrêté ses études juste sous un coup de tête sous le stress de sa grossesse et reprendre sa vie la bas mais non. Elle est de retour à Carphilly, c’est sûr et ce même si ce n’est pas dans les circonstances voulu. Austin reste Austin, cela va s’arranger avec le temps avec lui non ? Etant avec lui depuis le lycée, elle refuse de se dire que c’est terminé pour seulement quelques embrouilles alors qu’ils vont être parents. Il leur faut seulement du temps et qu’ils réapprennent à se voir tous les jours puisque durant des années ils ne se voyaient que les week end, les vacances ou alors via skype ou par téléphone. Forcément, ça change. Charlotte ne perd donc pas espoir, en même temps elle ne sait pas ce qu’il lui cache, elle pense que ce n’est pas grave et que donc ça passera vite ça aussi avec le temps. Charlotte est donc partie vivre quelques temps chez sa mère qui ne comprend pas la situation mais elle est contente de la voir. Puisque la grossesse n’est pas beaucoup avancée et qu’elle a encore peur de faire une fausse couche, sa mère ne sait pas le pourquoi de son retour et surtout pourquoi elle a abandonné ses études de médecine à Oxford. Pour être honnête, elle n’a pas posé de question. Les seules questions posées étaient sur Austin et sur le pourquoi elle ne vivait pas avec lui mais elle a réussi à s’en sortir sans répondre.

Aujourd’hui, Charlotte se retrouve seule après que son beau-père et sa mère soient parti au travail. La jeune femme avait comme projet d’aller revoir des amis à elle qu’elle n’a pas vu beaucoup depuis son départ à l’université même si elle a gardé contact avec eux via les réseaux sociaux. Seulement, les quelques personnes qu’elle a contact ne sont pas libres dans l’après-midi, elle verra plutôt en soirée pour pouvoir les voir puisqu’ils travaillent. Il faudrait qu’elle commence à chercher elle aussi mais en ce moment c’est le cadet de ses soucis, c’est bien ça le souci. Une envie de téléphoner à Austin lui traversa l’esprit mais à peine eu-t-elle prit son téléphone dans ses mains, elle changea d’avis. Elle refuse d’être la première à lui téléphoner après ce qu’il s’est passé. La dernière fois qu’ils se sont vus, elle était en pleure dans la salle de bain et lui est parti de l’appartement. C’est à lui de faire le premier pas et non pas à elle de le faire, du moins de son point de vue à elle en tout cas. C’est comme ça qu’elle abandonna l’idée et se mit devant la télévision, vous parez d’un bon après-midi. Ce fut quelques heures plus tard, après avoir pris son déjeuner qu’elle sentit un mal au ventre. Autant dire qu’après ce qu’elle a vécu il y a quelques mois c’est-à-dire sa fausse couche, elle commença sérieusement à flipper. Outre le mal qu’elle avait, c’est la peur de perdre de son enfant qui lui faisait le plus peur. C’est ainsi qu’il ne perdit pas une seconde avant d’appeler un taxi qu’elle ne savait pas loin. Charlotte ne peut pas prendre une voiture et conduire et puis elle ne veut pas prendre le moindre risque. Elle avait peur, bien trop peur et ne voulant inquiéter quiconque, ne sachant s’il y a effectivement des raisons d’avoir peur pour la sécurité de son embryon, elle n’avertit personne de sa destination. Sa mère ne comprendrait rien et Austin lui il aurait peur, enfin surement. Elle ne sait pas, elle ne sait plus. Avant elle aurait pu lire en lui comme dans un livre ouvert, aujourd’hui cela semble tout à fait différent, si bien qu’elle ne sait même pas s’il veut effectivement être père. Comme convenu le taxi ne mit pas longtemps à venir la chercher chez sa mère et à faire le trajet vers l’hôpital.

Toujours aussi stressée, la jeune femme sortie de son rendez-vous avec le médecin. Après avoir passé quelques analyses et tests, elle devait attendre que son médecin l’appelle en salle d’attente. Mis à part lui dire que ce n’était pas une fausse couche comme lui prédisait sa peur, elle n’en savait pas plus alors autant dire qu’elle a encore peur en attendant. Les secondes paressent des heures, l’attente semble interminable et plus le temps passent sans avoir la moindre nouvelle et plus ça la tue. Présente dans la salle d’attendre, son regard scrute un point imaginaire avant que celui-ci soit attiré vers quelqu’un venait de passer la porte : Austin. Qu’est-ce qu’il fabrique ici ? Mélangé entre l’envie de se faire toute petite et de lui sauter dans les bras en quête de réconfort, elle se contente de lui dire en échangeant son regard, alors qu’il a bien évidement remarqué sa présence. « Austin ? Qu’est-ce que tu fais là ? » Dit-elle totalement choquée de le voir là. Ils ne se sont pas vus depuis leur dispute et ce n’est pas le lieu le plus adéquat pour des retrouvailles. Baissant le regard, n’arrivant pas à le regarder dans les yeux, elle remarque alors sa main entourée d’un bandage. Au moins, il n’est pas là après quelqu’un l’ait appelé pour lui dire de sa présence, de toute façon ça lui paraissait impossible, elle n’a croisé personne encore.

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MessageSujet: Re: Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN)   Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN) EmptyDim 4 Mai - 10:54


Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
   
Chaustin .
   

 
   


   

   La vie  était compliquée !  Du moins la mienne l’était !  J’avais  été lâche avec le retour de Charlie en  ville.  Je ne lui avais  pas conté mon exploit de la tromper avec mon premier amour, pourquoi faire après tout ? J’allais forcément lui dire, mais elle m’avait pris au dépourvu avec cette histoire de grossesse. J’étais heureux qu’elle soit enceinte ! Qu’elle soit rentrée ? J’hésitais un peu plus !  Je l’aimais, personne n’aurait pu perdre sa place, mais elle m’avait blessé, peut-être que c’était ma fierté d’homme qui avait été touché réellement, mais ce que je savais c’était que je n’avais pas aimé être abandonné. J’avais cru que notre vie de couple était fini, je ne me cherchais pas une excuse pour mon dérapage qui était un peu plus qu’un dérapage étant retourné voir la jeune femme plus d’une fois. Il était sûr qu’avec le retour de ma fiancée ? Oui, je ne savais plus si je devais utiliser ce mot pour décrire Charlie ! Après tout, elle s’était cassé, j’avais tapé  dans une fenêtre, enfin sans vraiment savoir pourquoi en fin de compte. Je ne lui avais pas annoncé ma liaison, alors elle était énervée ? Sans doute que lui dire ce que j’avais ressenti quand elle me laissait de côté ne lui avait pas plus ? Je n’avais tellement pas envie de chercher..  Mais je me disais  qu’en final j’avais sans  doute devoir faire attention à sa réaction quand je lui dirais, vu comment elle réagissait pour une vérité sur mes sentiments. Enfin. Ce n’était pas du tout clair dans ma vie !  Je me devais d’avancer ? Mais je ne savais pas exactement où je devais aller.. Loin de celle qui faisait battre mon cœur, mais qui m’avait fait souffrir au point  de me donner envie d’aller voir ailleurs ? Ou à  ses côtés ?  J’allais devoir trouver la réponse,  pour le moment elle était enceinte et j’allais devoir la prendre avec ménagement.  Enfin,  je devais  me préparer pour aller à l’hôpital, ma  main me lançait, j’avais beaucoup de mal à bosser  avec les scientifiques au zoo en ce moment, pourtant, je devais le faire, j’avais besoin de m’occuper l’esprit. Une semaine qu’elle était là  et j’espérais  ne pas la croiser de suite en tout cas, je voulais encore un peu de temps pour penser à toute cette situation incongrus.

J’étais en route pour l’hôpital ! J’étais dans l’impossibilité de conduire avec ma main tellement entaillée  par les morceaux  de vitre que j’avais foutue dedans. J’avais eu un accès de colère, c’était rare chez moi, mais je pouvais me montrer impulsif  de temps à autre.  J’avais eu beaucoup de pression sur les épaules pour le coup et j’avais  simplement décidé de craquer … elle était dans les toilettes, elle n’avait pas assistée à la scène heureusement En réalité, je me demandais encore si elle avait capté que je me mettais blessé. Enfin,  je n’allais pas épiloguer pendant mille ans sur Charlie pour le coup.  Je me laissais  donc  conduire à  l’endroit où je devais aller en urgence, quoi que ma vie n’était pas en danger seulement celle de ma main. Il faut dire que les nerfs avaient été touchés. Oui, c’était pratique d’être primatologue, les mains des  singes étaient comme les notre  et je savais où étaient les nerfs. J’espérais qu’on n’aurait pas à m’opérer pour ça, je n’aimais pas être endormit, dixit l’’homme qui endormait les singes dès qu’(‘il devait les soigner ou les examiner de plus prés.  Une fois devant l’hôpital , je laissai  l’argent au taximan et filait à l’intérieur des urgences, j’allais sans doute me faire engueuler comme du poisson pourri, vu que depuis une semaine j’étais le seul à m’être soigné. Je n’avais pas voulu attendre l’aide de quelqu’un ou demander qu’on m’examine, mais pour le coup j’étais assez embêté de voir que les sensations de ma main étaient moins forte qu’auparavant.  J’avais plutôt intérêt de ne pas répondre en disant que j’étais primatologue … l’une des infirmières me riraient certainement au nez, enfin.  Passons.  J’attendais mon tour, puis  ce dernier arriva, je n’avais plus qu’à attendre le verdict, je regardais autour de moi le temps qu’on m’examine.  Je n’avais  pas trop mal et je commençais à me dire que c’était mauvais signe et en vouant la tête du médecin, j’avais raison de m’en inquiéter. Une bonne heure à  être soigné.  Je regardais  l’homme en blouse blanche.  J’avais  les nerfs endommagés  et ils comptaient attendre deux-trois voir si j’étais  dans le besoin d’être opéré ou bien si les soins  d’ors et déjà prescrit suffiraient.

J’étais à l’hôpital et quand je passais par-là chose qui arrivait souvent. Non pas que j’étais maladroit, non en vérité, nous venions chercher les médicaments  pour les singes qui avaient certains médicament qui était les mêmes que les notre. Quand on dit qu’ils sont nos cousins.  J’aimais bien taquiner Charlie en disant qu’elle ressemblait à Shirley quand elle boudait. Elle n’appréciait jamais, mais au moins elle cessait de bouder en souriant peu de temps après trouvant au final ça marrant. Ces moments avec elle me manquait terriblement et j’avais réellement hâte que ces derniers  reviennent ou alors être fixé sur le sort de ce couple que j’avais fini par juger un peu trop tôt comme mort.  Alors, au final j’avais envie d’aller voir les nouveaux comme à mon habitude.  J’aimais passer des heures devant la maternité à les regarder. «  Je suis venue voir   … euh récupérer les médicaments  pour les singes .. »  Je la regardais finalement commençant à me demander pourquoi elle , elle était là. «  Et toi ? »  

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MessageSujet: Re: Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN)   Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN) EmptyLun 5 Mai - 22:26

Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
Austin & Charlotte
L’attente est interminable. Dans ce genre de situation, attendre des résultats sans savoir exactement ce qu’il va en être, le temps ne va rien arranger. Au contraire, plus vite elle aura les résultats, plus vite elle sera fixée et encore plus vite elle pourra prendre des mesures adéquats si besoin. La dernière fois qu’elle était retrouvée avec un mal tel que lui, seule dans une salle d’attente, elle avait fait une fausse couche. Forcément, ce n’est pas rassurant. Cette fois, contrairement à Oxford où elle était seule, elle aurait pu contacter Austin pour qu’il soit présent mais non. Une nouvelle fois elle ne voulait pas inquiéter quiconque. Peut-être que cette fois, contrairement à il y a quelques mois, ce n’est pas grand-chose. Ce qui est certain, c’est que puisqu’elle a déjà traversé une fausse couche, maintenant qu’elle est enceinte, elle ne va pas prendre le moindre risque. D’ailleurs la blonde risque de s’inquiéter pour un rien et son médecin va finir par en avoir mal de lui. C’est ainsi, il faut rassurer une future maman. Assise donc là, en salle d’attente dans l’étage qui regroupait la maternité et les gynécologues pas loin. En tout cas c’est ici qu’elle attendait et la blonde ne put s’empêcher d’apercevoir les personnes présents, futurs parents ou déjà parents. Dans un sens cela lui faisait mal au cœur car en théorie, elle serait déjà enceinte si la nature l’avait voulu, il y avait aussi une lueur d’espoir pour la simple et bonne raison que bientôt, c’est elle qui tiendra son futur enfant dans ses bras, un sourire béat sur les lèvres. Pourtant, en voyant les femmes accompagnées de leur époux ou simples petits amies, elle eut mal au cœur qui se rajouta à son mal de ventre affreux. Charlotte ne sait pas comment demain sera fait, si Austin sera là en tant que fiancé ou encore en tant que père. Elle n’en sait strictement rien. Et dire qu’il y a quelques jours à peine elle était toute heureuse de lui apprendre pour la future paternité. En parlant de ça ou plutôt de lui, elle le vit et autant dire que vu l’endroit, elle était véritablement étonnée. Ca elle ne s’y attendait pas, pas du tout.

Charlotte ne savait pas exactement quoi faire, lui mentir ou tout simplement lui dire la vérité ? Elle n’était pas certaine qui lui l’ait fait, son bandage attirait trop son regard mais puisqu’il venait souvent là pour récupérer effectivement des médicaments pour les singes c’est fort probable. Quoi que, vu l’endroit, elle avait du mal à le croire. « Récupérer les medocs des singes dans une maternité ? » Bon, elle s’en voulait d’agir de la sorte, il ne lui doit rien, pas d’explication sur sa venue ici ni autre chose. La situation entre ces deux-là est assez compliqué pour ne pas en rajouter en prime. De toute façon qu’il lui dise vrai là ou non, ce n’est pas ça qui va changer quoi que ce soit dans leur couple. C’est bien plus compliqué que ça. « Moi rien, juste des tests de routine. » Pourtant, en prononçant cela, elle fit une grimace sous la douleur. Le médecin lui avait donné des calmants adéquats et pourtant cela ne fait en rien passer la douleur, pire, elle a encore plus mal qu’avant. Ce n’est pas le fait que ça fasse mal et que ce soit désagréable qui la dérange le plus, c’est le ait qu’elle flippe de ne pas savoir ce qu’il se passe en attendant les tests. Est-ce que leur futur bébé va bien ? Est-ce qu’elle est en train de revivre le cauchemar du passé ? En tout cas une chose est sure, Charlotte est loin d’être rassuré. Portant une main à son ventre, avec la seconde main, elle prit un fauteuil et s’aida pour s’asseoir sur celui-ci. Comprenant parfaitement que ce geste n’allait pas rassurer Austin et que forcément il allait vouloir en savoir plus, du moins elle le pense en tout cas. « J’ai consulté un médecin après avoir ressenti quelques maux. Il m’a fait des tests, j’attends les résultats afin de savoir à quoi m’attendre. » Charlotte se préparer à tout entendre et pourtant, elle ne pense pas à être prête. Il ne s’agit pas d’une fausse couche mais peut-être que son futur enfant, leur futur enfant a un problème physique ou autre, peut-être que sa grossesse comporte des risques très importants. Dans tous les cas, Austin a le droit de le savoir. De toute manière, elle n’est pas certaine d’être capable d’attendre le verdict seule. Bien entendu, Charlotte ne va pas le forcer à rester ici à attendre avec elle, surtout que s’il reste tout simplement parce qu’elle le force, l’ambiance va encore plus mal qu’elle ne l’ait déjà. Depuis qu’elle l’avait vu ici-même dans la salle d’attente alors qu’il ne faisait que passer, Charlie n’arrivait pas à poser les yeux sur lui. C’est tellement dur de le voir sans pouvoir le toucher, l’embrasser, plonger sa tête dans son cou et sentir son parfait ou tout simplement en sourire en sa présence. Quelque chose a changé entre eux et pour le moment cela semble difficilement arrangeable et ça la bouffe. Est-ce simplement parce qu’elle l’a en quelque sorte mis de côté pour se consacrer exclusivement à ses études ? Est-ce qu’il va lui en vouloir de ne pas lui avoir téléphoné alors que peut-être les résultats ne sont pas bon ? Encore un millier de questions viennent s’ajouter aux anciennes, questions qu’elle ne peut répondre qu’en sa présence. En tout cas, un léger silence se fit sentir, pourtant, Charlie en a la certitude, cela ne va pas rester ainsi bien longtemps.



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MessageSujet: Re: Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN)   Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN) EmptyVen 23 Mai - 13:54


Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
   
Chaustin .
   

 
   


   

   La vie était compliquée ! Savoir la gérer était digne d’un super-héros à mon humble avis. C’était compliqué tout de même de faire en affrontant toutes les merdes que le destin foutait sur notre chemin. J’en avais subit des choses, mais les pires étaient celle que j’avais dû affronter avec Charlie. La perte de notre enfant avait foutu un sacré bordel dans notre ménage, mais il fallait faire avec pas vrai ? Malheureusement surtout. Enfin, pour le moment, le Charlie et moi n’existait plus , ça me faisait mal, j’avais l’impression que mon cœur était prêt à exploser en mille morceau en ne mettant pourtant pas fin à mes jours. Je sais que sans Charlie, je pourrais vivre .. Mais je ne serais pas le même, je ne serais que l’ombre de moi-même. Je savais aussi qu’elle ne risquait pas de me pardonner ma trahison. Enfin, il allait bien falloir qu’un jour j’accouche sur le fait que j’avais recouché avec Cassie quand je pensais qu’elle avait tiré un trait sur notre couple en s’éloignant de moi. J’étais un petit merdeux pour le coup, m’enfin, je ne pouvais plus rien faire, je n’avais pas de machine à remonter le temps. Alors, il fallait que j’avance, comment faisait les autres mecs avec le cœur brisé ? Quoi j’étais le seul ? Impossible, une autre femme que ma Charlie avait dû faire ça à un autre, mais au final nous allions sans doute être tous deux dans l’impasse cœur brisé, vu que je l’avais trompé. Me faire soigner, c’était pour ça que j’étais ici, ,je n’avais aucune raison de me diriger vers la maternité et pourtant. C’était ce que je faisais depuis que le coup de téléphone de Charlie pour m’annoncer la mort de notre enfant m’avait laissé mal. J’avais besoin de voir ces petits êtres évolués, les infirmières au début me prenaient pour un fou me demandant souvent quel enfant j’étais venu voir. Aucun spécialement. Cela les laissait toujours assez perplexe assez logique en même temps. J’aurais flippé en voyant un homme tel que moi regarder mon enfant, enfin je ne sais pas c’est assez illogique à vrai dire. Je ne supporterais pas qu’un homme reste planté devant les enfants, alors au final j’avais fini par m’expliquer avant d’être prit pour un pervers-pédophile. J’avais conté mon histoire et le pourquoi je venais si souvent ici. J’avais une raison de plus d’être présent , comme aller chercher les médicaments pour les primates, enfin ce n’était pas le même étage, mais tout de même. Enfin ma main toujours aussi amoché, j’avais décidé d’y aller ayant une autre raison que celle déjà donné , je venais car là j’étais blessé alors j’allais profiter pour imaginer mon futur enfant à l’aide de ces nourrissons !

Si j’avais su qu’au lieu de me retrouver face à des bébés mignons, je me retrouverais face à cette poupée triste et sexy, j’aurais fait demi-tour. Mon cœur était un traitre, un lâche, il m’abandonnait encore face à Charlie. Il battait la chamade face à elle, je ne voulais pas la voir, pas maintenant, mais je n’avais pas réellement le choix. Quoi que ! Je pouvais toujours, me bouger et me casser loin de cette femme qui était mienne, que je voulais mienne , mais qui avait tendance à m’échapper avec mes conneries, mon manque de couille pour le coup. Je m’en voulais tellement ! J’avais juste fait n’importe quoi, oui elle n’avait pas été présente, mais j’aurais pu tout lâcher pour elle au lieu d’attendre bien sagement, quoi que je n’aie pas été sage. Une excuse je devais trouver et j’avais fini par la trouver, la preuve, j’avais fini par lui dire que je venais prendre mes médocs pour mes primates, mes meilleurs amis pour le coup. J’avais envie de dire, que mon meilleur pote Clark était présent pour moi ce qui était le cas, mais j’avais caché mon infidélité, pourquoi ? Je ne sais pas, il n’était pas et ne serait sans doute pas du style à me juger, m’enfin. J’écoutais Charlie la regardant dans les yeux alors qu’elle mettait directement les pieds dans les plats pour sa part. Sympathique retrouvaille. Mais elle que faisait-elle ici ? Enfin, je n’allais pas m’égarer , je voulais répondre à sa question la mienne viendra par la suite. « Oui, et alors ? Tu crois que les primates ne sont jamais enceintes ? Crois-moi elles sont même plus chiante que certaines femme. » J’avais baissé le son pour la fin de mon discourt, histoire de ne pas me mettre de femme à dos mise à part Charlie pour le coup. JE fronçais les sourcils à sa réponse doutant parfaitement de ses dires pourquoi, me mentirait-elle ? Je me le demandais. Je n’aimais pas forcément ça, m’enfin. Mais, je finissais par comprendre que j’avais raison de douter au vu de cette grimace que la jeune femme avait laissé paraître quand elle me parlait. Je me posais des questions. Que se passait-il ? Je ne savais pas du tout, mais je voulais en savoir plus j’attendais juste de voir si elle allait mieux. Je la regardais avec un regard rempli de question. J’avais envie d’en savoir plus ce qui finissait par arriver. « Attend ! Tu me dis que tu as eu un problème avec notre enfant ? Et tu te la joue perso ? » Je soufflais, j’étais déçu. Je me retrouvais plongé à nouveau pour le coup dans le mal que j’avais pu subir quand elle vivait sa grossesse loin de moi et qu’elle le perdit . J’étais mal, j’avais envie d’explosé, mais je devais de me retenir. Je pense que pour le coup, elle pouvait lire du dégout dans mes yeux.


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MessageSujet: Re: Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN)   Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN) EmptyLun 9 Juin - 17:19

Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
Austin & Charlotte
S’il y a bien un endroit où elle ne pensait pas tomber sur Austin, c’est bien ici. Depuis qu’elle est arrivée en ville et qu’elle est partie vivre chez sa mère, ils ne se sont pas vus. Pourtant, ils auraient pu le faire sans même le vouloir. Il suffit qu’elle aille chercher du bain à la boulangerie en même temps que lui, qu’ils se baladent au même endroit et au même moment pour qu’ils tombent l’un sur l’autre par hasard. Pourtant, ce fut à l’hôpital, un lieu loin d’être commun. Ce lieu aurait pu les adoucir, le fait de se retrouver à l’étage maternité, pas loin d’autres femmes enceinte et e nouveaux nés auraient pu les apaiser mais au lieu de cela, à peine s’étaient-ils croisés que les choses commençaient, ils se prennent déjà la tête et Austin a déjà commencé à la comparer à des primates, comme quoi elle était plus chiante qu’eux. Si avant ça la faisait rire quand il le faisait, il faut dire que lorsqu’Austin lui a dit vouloir travailler la dedans l’a fait exploser de rire, là elle est loin de rire. « Ah très bien parce que pour une raison que j’ignore encore, t’auras pas à supporter la moindre femme enceinte ! » Et bim une petite pique mais il l’a cherché, il faut bien le reconnaitre. Si seulement ils pouvaient se tenir comme avant, avoir le sourire aux lèvres à l’idée d’être bientôt parents et être en train de stresser à deux en attendant les résultats. Autrefois, c’est comme cela qu’ils se seraient trouvés dans une telle situation. Ils l’ont été tout de même en quelque sorte. Ils ont été heureux de se savoir futurs parents et ils ont connu le plus grand stress de la vie, perdre un enfant et ce, même s’il n’était pas encore né. Pourtant, ces deux moments totalement opposés, ils les ont passés séparément, n’étant même pas dans le même pays. Aujourd’hui, pourtant dans la même ville et ne connaissant pas, il faut l’espérer la seconde situation, ils se retrouvent tels des inconnus, pire, à se lancer des piques à la figure en tentant de blesser l’autre au maximum. Qu’est-ce qui a fait qu’ils sont devenus comme cela ? Est-ce parce qu’elle l’a écarté de sa vie sans même s’en apercevoir ou est-ce parce qu’il lui cache quelque chose qu’il ignore de dévoiler ? Charlotte ne sait pas, elle ne sait plus, elle est tout simplement perdu dans cette situation. C’est sans doute les deux qui les éloignent, les deux reprochent quelque chose à l’autre et au lieu de vouloir arranger tous les deux les choses, ils préfèrent s’enfoncer. La situation lui fait mal même si elle ne l’avouera sans doute pas facilement. Elle préfère faire la femme en colère qui enfonce l’homme qu’elle aime plutôt que de faire comme autrefois et être la jeune fille qui court derrière les hommes qui ne veulent pas d’elle. Si Charlotte est toujours fragile parfois, il n’empêche qu’elle ne soit plus ce genre de fille. Sa relation avec Austin l’a changé, cela la rendait heureusement, maintenant elle ne sait plus si ça l’a détruit. Cette simple pensée en tête, elle voulu la chasser. Peut-être que là elle est malheureuse parce que tout se passe mal mais le fait qu’elle soit enceinte change la donne. Elle ne peut s’enfuir, prendre des mauvaises décisions et cela parce qu’il est le père de l’enfant qu’elle attend, il l’est et le sera toujours, comme il sera sans doute toujours l’homme de sa vie. Alors, même si elle avait tenté de lui mentir, le mal qu’elle reçut au ventre lui rappela la réalité et elle ne put le cacher à Austin bien longtemps. Charlie pouvait lire de la déception dans son regard et même si elle ne voulait pas s’excuser devant lui parce qu’elle ne pense pas lui devoir quoi que ce soit, elle se sentit mal. Elle ne veut pas que les choses se passent comme ça désormais. Elle aurait tellement voulu pouvoir vivre sa vie de femme enceinte comme les autres, en compagnie du père et être heureux en attendant que les mois passent. Au lieu de cela, ils se tiennent éloigner et sont loin du petit couple qu’ils étaient autrefois. « Notre enfant ? Il me semble pas avoir entendu la moindre information montrant que tu voulais faire partie de sa vie » Lors de l’annonce, elle avait la sensation qu’il n’était pas heureux de la nouvelle et ça, elle avait encore mal à cette idée. Elle voulait que son enfant soit aimé et soit voulu, ce n’est pas pour que le père fasse le contraire. Tout de même, elle sait qu’il a mal vécut sa fausse couche et il reste le futur père. « Désolé, je ne voulais pas dire cela ! » Ok elle voulait le blesser, mais elle ne veut pas le faire avec ce genre de mot, ça ne se fait pas, surtout de parler de leur enfant pour cela. « Je ne voulais pas t’inquiéter ok ? Le médecin m’a dit qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter, pourtant je flippe, je flippe totalement à l’idée de revivre comme ses derniers mois. Je ne voulais pas t’infliger ça si effectivement, il n’y a pas lieu de s’inquiéter. » C’est vrai, en ne lui parlant pas de sa venue à l’hôpital ni au téléphone, ni lorsqu’elle l’a croisé ici pour ne pas l’inquiéter pour rien. Une seule personne qui flippe, c’est déjà bien. Elle ne veut pas se prendre la tête avec Austin, surtout pas dans une situation comme celle-ci mais les cartes ne sont pas dans ses mains. Peut-être est-ce qu’il va se faire du souci et attendre avec elle, peut-être qu’il allait exploser déçu de son comportement et l’insulter. Dans tous les cas, elle le prendrait sans dire un mot, il a raison s’il le prend mal même si ça part d’une bonne intention. Toujours assise, elle se tenait le ventre, retenant des grimaces qui pourrait lui faire peur, non pas comme les grimaces que l’on fait aux personnes pour les effrayer mais bien l’une qui montrait qu’elle avait mal et qu’il se passait sans doute quelque chose de grave. Evitant soigneusement son regard, elle sentait bien que sa réaction n’allait pas tarder à tomber et qu’elle allait en prendre pour son grade très certainement.

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Rumour has it
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MessageSujet: Re: Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN)   Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. (CHAUSTIN) EmptySam 14 Juin - 10:56

La poche qui buzz, le bruit de l'alarme pour les messages qui sonne. Une blonde qui ne semble plus savoir où se mettre et un brun qui préfère les primates que les enfants.
 

Charlotte:

      CREDIT > CHAUSSETTE
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Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
   
Chaustin .
   

 
   


   

   La vie était compliquée !  Savoir la gérer était digne d’un super-héros à mon humble avis. C’était compliqué tout de même de faire en  affrontant toutes les merdes que le destin foutait sur notre chemin. J’en avais subit des  choses, mais les pires étaient celle que j’avais dû affronter avec Charlie.  La perte de notre enfant avait foutu un sacré bordel dans notre ménage, mais il fallait faire avec pas vrai ? Malheureusement surtout.  Enfin,  pour le moment, le Charlie et moi n’existait plus , ça me faisait mal, j’avais l’impression que mon cœur était prêt à exploser en mille morceau en ne mettant pourtant pas fin à mes jours. Je sais que sans Charlie, je pourrais vivre .. Mais je ne serais pas le même, je ne serais que l’ombre de moi-même. Je savais aussi  qu’elle ne risquait pas de me pardonner ma trahison. Enfin, il allait bien falloir qu’un jour j’accouche sur le fait que j’avais recouché avec Cassie quand je pensais qu’elle avait tiré un trait sur notre couple en s’éloignant de moi. J’étais un petit merdeux pour le coup, m’enfin, je ne pouvais plus rien faire, je n’avais pas de machine à remonter le temps.   Alors, il fallait que j’avance, comment faisait les autres mecs avec le cœur brisé ? Quoi j’étais le seul ? Impossible, une autre femme que ma Charlie avait dû faire ça à un autre, mais au final nous allions sans doute être tous deux dans l’impasse cœur brisé, vu que je l’avais trompé.  Me faire soigner, c’était pour ça que j’étais ici, ,je n’avais aucune raison de me diriger vers la maternité et pourtant.  C’était ce que je faisais depuis que le coup de téléphone de Charlie pour m’annoncer la mort de notre enfant m’avait laissé mal. J’avais besoin de voir ces petits êtres évolués, les infirmières au début me prenaient pour un fou me demandant souvent quel enfant j’étais venu voir. Aucun spécialement. Cela les laissait toujours assez perplexe assez logique en même temps. J’aurais flippé  en voyant un homme tel que moi regarder mon enfant, enfin je ne sais pas c’est assez illogique à vrai dire.  Je ne supporterais pas qu’un homme reste planté devant les enfants, alors au final j’avais fini par m’expliquer avant d’être prit pour un pervers-pédophile.  J’avais conté mon histoire et le pourquoi je venais si souvent ici.  J’avais une raison de plus d’être présent , comme aller chercher les médicaments pour les primates, enfin ce n’était pas le même étage, mais tout de même. Enfin ma main toujours aussi amoché, j’avais décidé d’y aller ayant une autre raison que celle déjà donné , je venais car là j’étais blessé alors j’allais profiter pour imaginer mon futur enfant à l’aide de ces nourrissons !  

Si j’avais su qu’au lieu de me retrouver face à des bébés mignons, je me retrouverais face à cette poupée triste et sexy, j’aurais fait demi-tour. Mon cœur était un traitre, un lâche, il m’abandonnait encore face à Charlie. Il battait la chamade face à elle,   je ne voulais pas  la voir, pas maintenant, mais je n’avais pas réellement le choix. Quoi que !  Je pouvais toujours, me bouger et me casser loin de cette femme qui était mienne, que je voulais mienne , mais qui avait tendance à m’échapper avec mes conneries, mon manque de couille pour le coup. Je m’en voulais tellement ! J’avais juste fait n’importe quoi, oui elle n’avait pas été présente, mais j’aurais pu tout lâcher pour elle au lieu d’attendre bien sagement, quoi que je n’aie pas été sage. Une excuse  je devais trouver et j’avais fini par la trouver, la preuve, j’avais fini par  lui dire que je venais prendre mes  médocs pour mes primates, mes meilleurs amis pour le coup.  J’avais envie de dire, que mon meilleur pote Clark était présent pour moi ce qui était le cas, mais j’avais caché mon infidélité, pourquoi ? Je ne sais pas, il n’était pas et ne serait sans doute pas du style à me juger, m’enfin. J’écoutais Charlie la regardant dans les yeux alors qu’elle mettait directement les pieds dans les plats pour sa part. Sympathique retrouvaille. Mais elle que faisait-elle ici ? Enfin, je n’allais pas m’égarer , je voulais répondre à sa question la mienne viendra par la suite.  «   Oui,  et alors ? Tu crois que les primates ne sont jamais enceintes ? Crois-moi elles sont même plus chiante que certaines femme. » J’avais  baissé le son pour la fin de mon discourt, histoire de ne pas me mettre de femme à dos mise à part  Charlie pour le coup.  JE fronçais les sourcils à sa réponse doutant parfaitement de ses dires pourquoi, me mentirait-elle ? Je me le demandais. Je n’aimais pas forcément ça, m’enfin.  Mais, je finissais par comprendre que j’avais raison de douter au vu de cette grimace que la jeune femme avait laissé paraître quand elle me parlait. Je me posais des questions. Que se passait-il ? Je ne savais pas du tout, mais je  voulais en savoir plus j’attendais juste de voir si elle allait mieux.  Je la regardais avec un regard rempli de question. J’avais envie d’en savoir plus ce qui finissait par arriver.  «  Attend ! Tu me dis que tu as eu un problème avec notre enfant ? Et tu te la joue perso ? »  Je soufflais, j’étais déçu. Je me retrouvais plongé à nouveau  pour le coup dans le mal que j’avais pu subir quand elle vivait sa grossesse loin de moi et qu’elle le perdit . J’étais mal, j’avais envie d’explosé, mais je devais de me retenir. Je pense  que pour le coup, elle pouvait lire du dégout dans mes yeux.


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