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 [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales

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Adam Scott
Adam Scott
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MessageSujet: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 18:50

I thought you didn't want me
Ardor que fue bajando hasta el cinturón Que tú desabrochaste sin ningún pudor Empapaste todas las ventanas de mi desordenada habitación
Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

En toute sincérité, il n’avait pu résister à la douce tentation que représentait le corps de son rival pour son être. En effet, sagement attablé autour de cette table de réunion, il avait été placé à côté de son concurrent de toujours avec qui il entretenait une relation quelque peu étrange. Quand bien même ce dernier ignorait la réelle teneur de leur lien, de ce secret qu’il lui cachait bien soigneusement derrière une identité secrète, il n’en restait pas moins qu’ils étaient amants et que quelque chose était bel et bien en train de naitre entre leurs deux êtres. Un fait qui ne pouvait que grandement l’amusait alors qu’il ne pouvait nullement s’empêcher d’agir comme un profond connard avec lui, cette facette faisant partie intégrale de son être, comme cette vanité qui le caractérisait tant. Sans doute devait-il exaspéré cet homme qui l’attirait grandement alors qu’il était venu glisser ses doigts cupides sur sa cuisse pour la caresser avec ambition. Son regard noir mais néanmoins fébrile n’avait pu le tromper sur l’émoi que provoquait son geste sur sa chair allant même jusqu’à glisser sa main sur son aine au travers du tissu de son ami.

Un fait qui n’avait fait qu’accroitre la noirceur et la fébrilité du regard de cet homme qu’il trouvait particulièrement attrayant alors qu’il n’avait qu’une seule ambition : éveiller ses sens. Il avait envie de lui après tant de mois où il n’avait pu gouter au plaisir de la chair et il comptait bien rendre cette ambition commune, ce qui semblait résolument prendre le chemin. Une action coquine et perverse qu’il avait du interrompre à cause d’une pause cloppe qui les avaient contraint à quitter la salle pour discuter affaires avec les autres fournisseurs. Une coutume en soit à laquelle il se plait toujours obligeamment mais, qui permit à Baltazar de fuir au retour. En effet, il n’avait pu que sourire lorsqu’il avait pénétré dans la pièce en voyant le jeune homme se déplacer de l’autre côté. Un comportement qui ne vint nullement l’étonner alors qu’il lui lançait un sourire résolument moqueur tant cela ne pouvait que confirmer l’idée qu’il avait éveillé son désir d’homme à son égard. Elle avait donc repris place sans commentaire sans pour autant le lâcher de son regard, résolument déterminé à le troubler totalement, lui faire perdre les moyens.

Il n’avait donc pu que sourire d’autant plus au message que ce dernier vint lui avouer tant il prenait conscience qu’il l’intéressait toujours au point de le dévier de son travail alors qu’un contrat était en jeu. Il joua donc avec lui tout simplement, tâchant au travers de ses paroles éveiller d’autant plus les souvenirs coquins de cet homme avec qui il avait passé une nuit torride quelques mois auparavant. Plus leurs échanges se prolongeaient, plus il sentait le regard de cet homme devenir plus brillant, moins concentré sur le contenu de la réunion. Lorsque ce dernier vint ranger son téléphone après un énième message dans lequel il semblait l’avoir poussé à bout en le provoquant, il comprit qu’il était allé trop loin mais, peut être pour la bonne cause. Ce dernier s’efforçait de ne plus regarder dans sa direction mais, son regard ne mentait pas en dépit de tous les efforts qu’il faisait pour reprendre le fil de la discussion. Son regard était fébrile de désir. Une impression qui ne pu que le satisfaire alors qu’il venait faire de même en venant lui jeter de temps à temps des petits coups d’œil lorsqu’il sentait son regard sur lui.

Ainsi, lorsque la réunion prit fin, il se leva simplement en rangeant ses affaires, saluant ses collègues de travail, fournisseurs et clients en bonne et due forme dans ce sourire qui lui valait tant d’avis favorables. Un sourire qui charmait, envoutait résolument les gens qui l’entourait et qui semblait attiré le regard d’une bel hispanique, qui en dépit de ce qu’il voulait faire croire, le fixait toujours avec cette lueur qui ne pouvait que le trahir sur ses desseins intérieurs. C’est donc tout naturellement qu’il vint quitter la salle de réunion pour retrouver les couloirs de l’entreprise dans laquelle cette dernière se déroulait pour rejoindre les toilettes, lieu indispensable pour pouvoir se rafraichir un peu alors qu’il venait se passer un coup d’eau sur le visage. Un rafraichissement ô appréciable après trois heures de réunion intensive qui ne semblait résolument pas se finir. Une envie qui semblait être réciproque avec son rival de toujours puisqu’il le vit entrer dans son champ de vision. Une intrusion qui ne pouvait que lui plaire alors qu’il passait sa main sur son visage pour essuyer les perles d’eau qui s’écoulait sur sa chair. Une vision qui semblait résolument plaire à son vis-à-vis tant il sentait son regard perçant sur sa chair.

« Tiens Morales, toi aussi tu as besoin de te rafraichir ? » lança-t-il dans un ton provocateur alors qu’il se redressait simplement dans un sourire ô malicieux et taquin.

Il le provoquait de nouveau et en vue du regard qu’il lui tendait, il était fort à parier que d’ici quelques secondes, ses lèvres se fondraient sur les siennes, après tout son regard se trouvait tout aussi fébrile que lors de cette merveilleuse nuit.

TENUE : 01.

Bloody Storm
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Baltazar Morales
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:05

I thought you didn't want me
Ardor que fue bajando hasta el cinturón Que tú desabrochaste sin ningún pudor Empapaste todas las ventanas de mi desordenada habitación
Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

La réunion qui se déroulait en ce jour était résolument l’une des réunions les plus étranges à laquelle Baltazar avait participé depuis ces débuts dans le mode des vêtements de luxe. Depuis de nombreuses semaines, il avait été mis au courant de la venue de son concurrent principal, sans doute son entreprise appâtait par le gros contrat qu’il risquait d’obtenir auprès de ce client. Une sorte de duel qui permettrait à leurs entreprises de se développer à nouveau dans un nouveau secteur. Néanmoins, ce n’était pas tant cette situation qui était hors du commun, mais plutôt le comportement de Scott. Celui-ci semblait résolument s’amuser à le taquiner de sa main, la glissant sur sa cuisse jusqu’à atteindre son aine. Un contact qui n’avait pu que le rendre fébrile, essayant vainement de se concentrer et de ne pas perdre ses moyens. Son corps n’avait pu que s’échauffer à ce contact qui ne pouvait que lui rappeler la merveilleuse nuit qu’ils avaient vécu ensemble, son pauvre corps étant bien obligé de s’en rappeler.

Ainsi, il n’avait pu qu’être particulièrement ravi de la pause qui leur avait été imposé, lui permettant de fuir cet homme, sentant la température de son corps augmenter. Il en avait alors profité pour se rafraichir dans les toilettes des hommes, avant de rejoindre quelques discussions entre cadres de l’entreprise. Après ces discussions terminées il s’était contenté de fuir cet homme et de s’asseoir de l’autre côté de la pièce, profitant du départ de l’un des membres de la réunion. Il lui fut bien impossible de ne pas remarquer l’air amusé de son adversaire, tout comme ces regards volontairement coquins qu’il lui lançait. Il ne sut quelles étaient les raisons qui l’avaient emmené à envoyer un message à cet homme, mais les discussions qu’ils avaient échangé n’avait pu que le rendre qu’encore plus fébrile. A croire que cet homme avait un pouvoir de séduction et de persuasion sur son corps et son être, un fait qu’il désirait taire tant Morale serait ravi de ce fait. Se souvenir de cette nuit à Paris n’était résolument pas une bonne manière de ne pas songer à tous ses instants de luxure passé à ces côtés. Des pensées qui vinrent le tourmenter, lui faire perdre quelque peu le fil de la discussion bien qu’il essayait et réussit à la rattraper avec aisance.

La fin de ces échanges le ravit dans une certaine mesure, rangeant ses affaires et prenant plus de temps que son collègue pour sortir, discutant et échangeant avec les hommes qui restaient dans la salle. Il pourrait ainsi peut-être fuir cet homme et ne pas affronter ces envies qu’il avait voulu cacher, bien que son regard légèrement brillant ne laisse Scott sans aucune pensée quelque peu perverse. Souhaitant à nouveau se rafraichir à nouveau, il vint pénétrer dans la salle d’eau et eut la surprise de voir l’homme qu’il fuyait dans celle-ci. Les gouttes qui s’écoulaient sur son visage ne le rendaient plus que sensuels, savourant la vue que lui offrait ce corps. Un regard que Scott intercepta alors qu’il l’entendait lui demandait si lui aussi avait besoin de se rafraichir. Des mots résolument taquins qui s’échappaient de ces lèvres si tentatrices, une pensée qui vint sans doute abattre toutes ses résistances, l’emmenant à se rapprocher soudainement de lui. Il ne lui laissa alors guère le choix avant de venir l’embrasser brutalement, venant se saisir de sa main pour abaisser son visage et atteindre ces lèvres. Il laissa échapper un doux soupir à ce contact alors qu’ils les emmenaient dans une cabine ouverte, souhaitant profiter du contact de leurs chairs pendant plusieurs minutes. La chaleur de son corps venaient alors s’accentuer, l’emmenant à soupirer alors qu’il collait le corps de son adversaire contre la paroi, refermant alors cette porte. Baltazar profita alors de ces instants pour laisser ces mains se perdre contre le torse ô combien plaisant de son amant, encore recouvert de cette chemise. L’hispanique vint laisser alors simplement soupirer : « Tu… es résolument pervers… Scott » avant de capturer ces lèvres dans un baiser ô combien langoureux, un baiser qui sembla plaire à son adversaire qui répondait activement à ceux-ci.

Néanmoins, le jeune homme dut s’arrêter subitement, à l’attente de la porte de la salle de bain qui venait de s’ouvrir pour laisser entrer deux personnes, dont l’une qu’il reconnut à la voix être l’un des dirigeants de l’entreprise. Un contexte ô combien étrange qui l'emmena à lancer alors un regard noir à Scott s’il osait ne serait-ce que bouger ou parler, ne souhaitant nullement attirer l’attention.

TENUE : 01.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:17

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la tentation avait été trop forte. Sans s’en rendre compte, il n’avait pu s’empêcher de venir titiller cet homme qui se trouvait magnifique dans cet ensemble noir et bien cintré et qu’il n’avait point vu durant des mois. C’était comme si cet homme lui avait mit devant les yeux, le fruit auquel il lui était formellement interdit de touché sous peine de tout détruire comme Adam avait pu le faire avec le péché originel. Un péché auquel il avait gouté de nombreuses fois sans que cela ne vienne satisfaire pleinement cette soif insatiable qu’il avait pour l’échine de cet homme, dont les formes ô masculines se trouvaient résolument bien mises en valeur dans ce costume. Il ne regrettait nullement d’avoir céder à ses pulsions naturelle en venant caresser sa cuisse et cette entrejambe qui n’avait pu que réagir à son initiative. Un acte que cette chair avait approuvé et savouré en dépit de ce que voulait lui faire croire cet homme en agissant de façon si prude et outrée de le voir agir de la sorte. Son regard ne pouvait lui mentir, ni camoufler le désir ardent que ses phalanges avait réveillé au sein de sa chair. Si lui s’efforçait de l’oublier, son corps ne pouvait oublier la passion et la fougue avec laquelle il l’avait serré dans ses bras au cours de cette nuit de débauche dont il avait encore tous les détails en tête.

Il ne pouvait que sourire de façon mesquine et taquine face à lui, se moquant impunément de lui qui venait enfin à sa rencontre. Son regard était animé de cette malice et perversité alors qu’il observait celui si troublé de son rival de toujours. Allait-il encore résisté ou allait-il enfin assumé la passion qu’il avait ranimé au travers de ses gestes et mots ? Il avait déjà sa petite idée et ne pu que s’en satisfaire alors qu’il le voyait venir à lui pour attraper sauvagement sa nuque pour conduire ses lèvres aux siennes. Une action désespérée et ô enflammée qui vint le faire sourire contre ces merveilleuses paires de chair qui venait s’abattre brutalement sur les siennes comme s’il était atteint d’une soif qu’il n’en pouvait plus de devoir rassasier. Un baiser dans lequel il se laissa faire, se faisant entrainer dans l’une des cabines alors que les lèvres de son agresseur accentuaient leurs présences sur sa bouche, la dévorant sans lui donner la moindre occasion de résister. Une ambition qu’il ne désirait nullement, souriant simplement de sentir ce soupir de bien être s’extirper des lèvres de cet homme qui au travers de ce baiser venait le coller contre le mur de ses toilettes sophistiqués tout en fermant la porte derrière lui. Un fait qui ne pu que le satisfaire, comprenant aisément que cet homme ne comptait résolument pas s’arrêter qu’à quelques échanges langoureux en cette fin d’après-midi. Une songée qui le fit sourire d’autant plus alors qu’il sentait les phalanges cupides de cet homme se choir sur son torse, ambitieuses de le découvrir de nouveau.

Les mots faussement accusateurs de cet homme le firent rire délicatement alors qu’il le traitait de pervers. Une ironie qui ne pouvait que l’amusait alors qu’il était celui qui était en train de lui sauter dessus pour obtenir ce qu’il voulait. Bien entendu, il était loin de s’en plaindre, le trouvant terriblement érotique à cet instant alors qu’il venait le faire taire de ses lèvres de nouveau dans un baiser ô langoureux. Une étreinte qui ne pouvait que se renforcer, devenir plus profonde alors qu’il y répondait sans demi-mesure, savourant tant le contact si appréciable de cette bouche masculine contre la sienne. Une bouche qui lui fit le déplaisir de s’éloigner de la sienne suite à l’intrusion intempestive de leur hôte au sein de la pièce, qui en compagnie d’un de ses hommes venait également se rafraichir. Sagement enfermé dans l’une des cabines, ils se trouvaient invisibles de ces deux hommes qui conversaient mais, qui semblait avoir éveillé la raison de son rival. Insatisfait et nullement inquiété par le regard noir que ce dernier pouvait lui lancer pour l’intimer à être silencieux, c’est tout naturellement qu’il vint glisser ses mains sur les reins de cet homme avec sensualité. Il le défiait littéralement du regard, souriant du coin des lèvres en immisçant l’une de ses cuisses entre ses jambes pour l’obliger à se retrouver coincé contre lui, son bassin collé au sien. Une position qui ne devait résolument pas laisser son amant indifférent, rendant son regard beaucoup plus profond mêlé entre effusion et noirceur. Ses phalanges quant à elles continuaient de palper sensuellement ses fesses avec intérêt, savourant la fermeté de ces dernières alors qu’il le fixait de son regard joueur. Sans attendre son feu vert, ni même son approbation, une de ses menottes vint se glisser sur sa hanche pour rejoindre sa cuisse, remontant délicatement sur son aine qu’il n’hésita pas à venir frôler sans vergogne. Une aine qu’il revint chatouiller avec espièglerie alors qu’il venait baiser son visage contre son oreille pour venir la mordiller, laisser sa langue humide frôler le lobe de cette dernière dans un mouvement sensuel. Il sentait la respiration de l’hispanique s’emballait tout contre sa nuque alors qu’il opérait des mouvements sur son aine délicatement en renforçant la présence de ses doigts contre cette partie sensible de son anatomie. Son autre menotte le contraignait, quant à elle, à se retrouver d’autant plus collée à son bassin tandis que ses lèvres jouer avec son oreille, susurrant dans une voix ô sensuelle.

« Tu en as envie… profite donc Morales… mais, il faut être discret… »

Il avait murmuré cela très faiblement à son oreille, à peine audible pour eux deux alors qu’il venait la mordiller avec plus d’intérêt alors qu’il poursuivait ses desseins, ravi de sentir ce corps réagir si aisément à ses taquineries, à tel point qu’il vint faire glisser la fermeture éclair du pantalon de son amant pour venir titiller directement cette partie ô enthousiasmée du désir de cet homme. Il ne pouvait s’empêcher de lui dire des mots coquins, ponctués d’un léger « pervers » qui ne pu que le faire sourire de délectation alors qu’il n’avait de cesse de titiller son corps de son corps. Il était ambitieux et déterminé à lui faire connaitre un moment de luxure au sein de cette cabine puisque le jeune homme en avait prit l’initiative tout simplement.

 
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Baltazar Morales
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:19

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Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

L’hispanique était résolument attiré par Scott, il ne pouvait certainement pas le nier alors qu’il l’avait emmené dans cette cabine, l’embrassant sans retenue avant même d’avoir fermé cette porte. Le jeune homme était sous le charme de cet homme depuis cette nuit bien qu’il essayait de le masquer dans son comportement, ne le montrant bien à personne à part celui-ci. Personne n’était au courant de leur histoire, celle-ci devant rester secrète tant leurs relations en tant que concurrents n’avaient pas à être perturbé par leurs attirances mutuelles. Ces instants n’avaient nullement à être connus, ils se devaient seulement de profiter de ces baisers, de ces instants en compagnie de l’autre. C’était sans aucun doute les raisons qui l’avaient emmené à s’éloigner des lèvres de son amant lorsque la porte de la salle de bain s’était ouverte, lui offrant un doux regard noir s’il osait ne serait-ce de bouger, de continuer ce petit jeu en présence de leurs hôtes. Personne ne devait les trouver dans cette pièce et encore moins ses hommes. Ainsi, le regard qu’il lui adressait se voulait en quelque sorte réprobateur, bien qu’il supposait que celui-ci n’est pas grande effet sur le jeune homme qui profiterait sans doute de la situation pour le taquiner. Il connaissait sans doute trop Scott pour penser qu’il agirait autrement.

Ainsi, il n’eut nullement à attendre vraiment avant de voir celui-ci profiter de la situation. Scott glissa ses mains sur ses reins avec sensualité. Il le voyait lui lancer un regard résolument amusé, souriant alors qu’il immisçait l’une de ces cuisses entre ses jambes pour l’obliger à se retrouver coincé contre lui. Du fait de la différence de taille, cette cuisse se trouvait collé non loin de son aine, un contact qui ne pouvait que le rendre quelque peu fébrile, tout particulièrement alors que ses mains venaient caresser ses fesses avec sensualité et appétence. Il semblerait que son amant d’une nuit aimait ces fesses musclées, un fait nullement dérangeant pour lui, l’amusant certainement. Son regard se faisait plus sombre, animé par une lueur d’envie certaine. Celui-ci ne lui laissa guère le choix, ll vint glisser ses mains sur sa hanche pour rejoindre asa cuisse, frôlant son aine à de multiples reprises. Un jeu dans lequel son amant d’une nuit semblait se plaire, taquinant cette zone ô combien sensible de tout homme.

Dans un geste résolument taquin, le jeune homme s’amusa à venir embrasser son oreille, la mordillant, laissant sa langue frôler son lobe avec sensualité. Un mouvement qui ne put que le faire résolument frissonner, sentant son corps s’échauffer plus que raison, sa respiration s’accélérer doucement bien qu’il essayait de le masquer. Cet homme souhaitait le rendre fou, le jeune homme ne voyait que cette possibilité alors qu’il se sentait fondre sous ses doigts et sous ses lèvres. Les messages quelque peu coquins qu’ils s’étaient échangés au cours de cette réunion n’avaient pu que faire renaitre de délicieux souvenirs qui avaient attisé sa chair, bien qu’il avait essayé de le cacher à cet homme. Il se devait d’être silencieux sinon les autres hommes se poseraient des questions, le jeune homme en était convaincu. Baltazar se mordait les lèvres, de peur de laisser un seul gémissement s’échapper de ses lèvres alors qu’il sentait son corps brûlait de l’intérieur en raison des assauts de son amant sur sa chair. Leurs bassins se retrouvaient alors résolument collé l’un à l’autre, l’emmenant à sentir plus franchement ces mains sur ses fesses. Comme si ses actions ne suffisaient, son amant vint murmurer entre plusieurs baisers et mordillements qu’il en avait envie, de ce fait il devait seulement en profiter bien qu’il devait rester discret. Le jeune homme ne pouvait que craindre les actions futures, en sachant qu’il risquait de les apprécier malgré lui. Une action qui vint le faire frissonner alors que cette main coquine abaisser sa fermeture éclair pour titiller directement son aine.

Son amant remarquant qu’il appréciait résolument ces gestes résolument pervers vint lui murmurer des mots coquins, le traitant de pervers, sans doute en raison du contexte dans lequel il se trouvait. Le jeune hispanique avait tendance à oublier leur situation, se mordant les lèvres à chaque instant pour ne pas laisser échapper un seul gémissement. Son corps lui ne restait pas vraiment sans réaction, son aine prenant forme au sein de ce pantalon et de ce boxer résolument étroit. Baltazar en oubliait presque qu’à quelques mètres d’eux se trouvaient ses personnes ô combien importantes.

Seulement à son plus grand plaisir, ceux-ci franchirent enfin les portes de la pièce pour rentrer sans doute à leur bureau. Un fait qui ne pouvait que le rassurer en quelque sorte alors qu’il se laissait porter par cette douce passion qui prenait part de son être. Baltazar vint sourire délicatement alors qu’il posait ses mains sur le torse de son amant, venant défaire quelques boutons de la chemise de son amant pour laisser ces doigts venir se perdre contre ce torse si plaisant à regarder et à caresser. Son autre main se posa contre les reins de son amant, frôlant ses fesses avec envie pendant plusieurs secondes. Baltazar avait résolument chaud en ce jour et même s’il se trouvait dans un lieu résolument compromettant, le jeune homme comptait bien profiter de ces instants, Scott l’ayant emmené à ressentir une attirance résolument forte lors de ses dernières minutes. S’il se trouvait ainsi dans cette position, cela n’était certainement que la faute de cet homme résolument sexy et plaisant, attirant à souhait. Le jeune homme en était résolument persuadé alors qu’il posait sa main directement sur son fessier très plaisant à caresser, ayant fantasmé dessus depuis de nombreux mois après cette nuit ensemble dans cet hôtel. Ces lèvres vinrent se poser sur le haut de la nuque de son amant, étant plus petit que lui, lui mordiller sa nuque comme pour se venger du traitement qu’il lui faisait subir, un traitement véritablement agréable tant il sentait son aine s’échauffer au contact de cette main. Malgré lui, il vint d’ailleurs laissait échapper un doux soupir de bien-être de ses lèvres, appréciant résolument le contact de celle-ci, comme de cette main qui venait taquiner ses fesses. Scott semblait savoir exactement comment le rendre fou en de si simples gestes.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:20

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En tant qu’être cupide, Adam n’avait pu résister à la douce tentation de le taquiner de la sorte. Il se trouvait particulièrement exaltant de le sentir si fébrile sous ses actions ô coquines, qui n’avait que seules ambitions de lui faire perdre la raison. Un petit jeu malsain dans lequel il prenait un vil plaisir, se rendant compte ô combien, il pouvait agir de façon friponne. Il aimait le danger, ces situations dangereuse où il pouvait être à tout instant interrompu par l’arrivé de certaines personnes alors qu’il prenait un plaisir certain avec sa partenaire. Il faisait partie de ces personnes perverses qui prenaient grand plaisir à repousser ses limites et celles de ces compagnes pour savourer cette luxuriante apothéose ultime qui ne pouvait que le rendre accro. Un plaisir et une ambition malsaine, qu’il imposait généralement à ses amantes sans pourtant les forcer à rien et il était évident qu’en cet instant : son seul désir était de l’entendre gémir sous ses actions. Il avait envie de sentir la chair de cet homme s’enflammer à son contact, devenir de plus en plus brulante au point de lui faire perdre toute notion comme ce merveilleux soir où il avait pu profiter de corps si magnifique. Une échine qu’il avait pu serrer de nouveau dans une situation similaire sous les traits d’un parfait inconnu avec lequel cet hispanique avait vécu un moment de luxure ô exfoliant. Il avait pu l’entrevoir au travers de la réponse si spontanée de sa chair qui s’était pleinement offerte à ses actions.

Une soumission de cet être qu’il désirait de nouveau connaitre en ce jour alors qu’il s’amusait si joyeusement d’éveiller les pensées si lubriques de cet homme, qui en dépit de ses paroles se laissaient pleinement allé à ses actions. Il se sentait exalté de le sentir si fébrile, si désireux sous ses doigts alors qu’il l’avait collé à son corps. Un contact ô plaisant qui venait également titillée sa chair alors qu’il s’agitait promptement pour lui faire plaisir et répondre aux désirs malsains de son corps qu’il ne pouvait point camoufler. Ce souffle brulant qui s’extirpait de ses lèvres se trouvait résolument plaisant tout comme la fermeté de cette aine, qui sous ses doigts semblaient s’affermir petit à petit. Un fait qui ne pouvait que le glorifier alors qu’il pouvait lire dans ses prunelles, cette lueur de luxure qui s’instaurait au creux de ses entrailles. Il était si érotique ainsi, si désirable qu’il ne pouvait s’empêcher de sourire sournoisement tout en poursuivant ses actions sur ce corps qui se consumait sous ses actions, devenant si brulant et excité par ce petit jeu coquin. Il le trouvait si sexy à se mordre les lèvres ainsi, qu’il ne pouvait s’empêcher de l’observer avec attention, lubricité tant il semblait devenir aliéné par ses actions.

De ce fait, son compagnon sembla résolument s’enflammer à l’instant même où ils purent comprendre que leurs hôtes venaient de quitter la pièce pour retourner à leurs occupations premières, les laissant de nouveau seuls dans cette pièce résolument peu orthodoxe. Une solitude qui ne pouvait que leur plaire alors qu’il voyait ce dernier sourire tout contre lui, ravi, libre enfin de répondre à ses plus sombres desseins. Ce qu’il ne manqua nullement de faire en venant glisser ses mains sur son torse pour rejoindre quelques boutons de sa chemise. Des boutons qu’il vint faire voler en éclat pour mouvoir ses phalanges ô coquines et impatientes sur sa chair, qui apprécia résolument leur présence. Il se contentait alors de le regardait faire, ce sourire narquois toujours plaquer contre ses lèvres alors qu’il poursuivait ses caresses ô coquines. Des actions qui semblaient le rendre d’autant plus cupide alors que ce dernier glissait une de ses mains contre ses reins pour venir frôler de ces doigts son fessier qu’il semblait tant apprécier. Il ne dit mot à tout cela alors qu’il sentait les lèvres ô chaudes et humides de cet homme venir baigner sa nuque de baisers, de morsures comme pour éveiller sa propre excitation. Des cajoleries ô désirables à ses yeux alors qu’il renforçait sa prise sur cet homme, accélérant légèrement la pression de ses doigts sur cette magnifique aine, qui se trouvait merveilleusement ferme sous la pulpe de ses doigts. Un acte qui vint faire légèrement soupirer de bien être son rival qui n’avait pu contenir son émoi en vue de tout ce bien être que sa chair éprouvée à son contact.

Une réalité qui ne put que le glorifier alors qu’il venait délicatement glisser sa main libre contre la hanche de ce bel hispanique pour rejoindre sa ceinture, la défaire délicatement tout en poursuivant ses actions. Il vint donc le dessaisir de cette ceinture pour venir s’affairer à déboutonner ce bouton afin de permettre à son ami de se sentir moins serré dans ces vêtements. Ce qui se passa résolument alors qu’il le sentait soupirer contre la chair de sa nuque alors qu’il venait murmurer contre son oreille dans un ton ô sensuel et un brin taquin.

« Tu sembles avoir résolument chaud, Morales… Mon corps semble toujours te faire autant d’effets même plus… non ? »

Une vanité dont il devrait résolument avoir honte mais qui ne vint nullement atténuer ses pensées lubriques alors qu’il venait faire glisser ce pantalon sous les fesses de cet homme qu’il maintenait solidement contre son échine. Un bas ventre qu’il cajolait toujours avec la même ambition, venant même glisser sa main sous le tissu de son sous vêtement pour découvrir cette aine si brulante d’impatience sous ses doigts. Une intimité qu’il s’amusa à parcourir du bout des doigts en venant mordiller le lobe de cette oreille avec délectation en ajoutant.

« Peut-être devrais-tu retirer ta chemise, tu sembles être résolument brulant, je me trompe, Morales ? »

Il vint sourire à ses mots, résolument amusé et impatient de le voir s’éloigner de lui pour retirer sa propre chemise comme ce soir là où il avait rejeté son peignoir pour lui permettre d’admirer ce corps si érotique et masculin qu’il disposait. Ainsi, débraillé, sans doute lui serait-il bien impossible de résister à l’envie de lui faire du bien de ses lèvres, de ses doigts même si sa véritable ambition était qu’il lui réclame de nouveau de le faire sien au sein de cette cabine. Il était résolument pervers…

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:22

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Ardor que fue bajando hasta el cinturón Que tú desabrochaste sin ningún pudor Empapaste todas las ventanas de mi desordenada habitación
Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

Dès l’instant où l’hispanique attendit la porte se refermer sur leurs hôtes de la journée, toute notion de rationalité disparut de son esprit. Seules les mains résolument coquines de son amant l’importaient, tout comme ses douces sensations qui prenaient part de son corps. Cet asiatique avait le don de savoir comment le rendre fou en quelques minutes à son plus grand désarroi, bien qu’il n’était certainement pas à plaindre. Les gémissements et les soupirs qu’il laissait échapper de ses lèvres en était bien la preuve. L’hispanique se plaisait dans cette situation, ses mains guidé par ses secrètes envies sur le torse ô combien intéressant de son amant, tout comme cette main plus coquine qui était venue se poser sur ce fessier qui l’avait toujours attiré depuis tant de mois. Ces lèvres n’en étaient pas pour autant plus prudes, celles-ci dévorant presque sa nuque de baisers et de mordillements. Même si le jeune homme se trouvait plus petit que son amant, cela ne l’empêchait résolument pas de se trouver entreprenant avec lui. Il aurait été dommage de pas rendre fou alors que celui-ci réussissait à le rendre ainsi avec ses mains sur son aine, réchauffant son corps si aisément. Cet homme avait un pouvoir sans doute trop fort sur son corps pour que cela soit anodin, ou bien était-ce son corps qui soit en manque ? Le jeune homme l’ignorait en cet instant. A vrai dire, il ne réfléchissait pas à tout cela, suivant principalement ses instincts d’hommes.

Des instincts qui ne pouvaient résolument qu’être heureux alors qu’il sentait la main libre de son amant rejoindre sa hanche pour enfin venir libérer son corps d’une barrière : sa ceinture. Son amant la défit délicatement en poursuivant ses caresses sur son aine. Baltazar n’eut pas longtemps à attendre avant de sentir ses doigts déboutonner celle-ci, lui permettant alors de se sentir plus à l’aise dans son vêtement. Un fait résolument plaisant pour le jeune homme qui ne put s’empêcher de soupirer contre sa chair. Le murmure de son amant ne lui permit nullement d’apaiser la chaleur qui prenait part de son corps, tout particulièrement alors qu’il lui murmurait qu’il semblait avoir résolument chaud. Celui-ci s’amusa même à le taquiner à ce propos, se vantant dans une certaine mesure que son corps semblait lui faire tout autant d’effets. Un fait véritable qui ne pouvait que se confirmer alors qu’il remarquait que son amant avait fait glisser son pantalon sous ses fesses. Son amant semblait s’amuser de ses réactions, laissant ces doigts parcourir du bout des doigts à nouveau son aine, déjà si ferme. Comme pour le rendre plus fébrile, bien que cela se trouvait à présent difficile, celui-ci vint à nouveau lui mordre le lobe de son oreille pour le manipuler certainement. Le jeune homme lui proposa qu’il retire sa chemise, semblant avoir résolument chaud ainsi vêtu.

Baltazar ne pouvait que difficilement se persuader du contraire, son corps étant résolument épris de cet homme et par cette chaleur presque suffoquant. Donner raison à nouveau à l’asiatique le dérangeait certainement, sachant que celui-ci ne pourrait qu’être plus arrogant. Seulement, il lui était bien difficile à l’idée de sentir directement ses mains sur son torse. Ainsi, malgré sa volonté, il ne résista guère longtemps avant de venir retirer un à un les boutons de sa chemise. Il retira chacun de ses boutons avec une lenteur certaine, appréciant le regard fébrile de son amant sur sa chair. Il lui offrit un sourire quelque peu coquin, lui adressant un regard pénétrant au même instant jusqu’à qu’il n’y est plus un seul bouton d’attaché. Il prit dans sa main l’une des mains de son amant à cet instant pour l’apposer sur son torse à présent presque nu, sa chemise étant encore sur ses épaules.

Baltazar appréciait résolument le contact de ses mains sur sa chair, se mordant les lèvres alors qu’il sentait celle-ci se promenait sur son torse. Les caresses sur son aine ne s’arrêtant pas, le jeune hispanique ne pouvait qu’avoir l’impression d’avoir particulièrement chaud. Offrant sans doute une vision particulièrement débraillée à son amant, il ne put que sourire à ce fait alors qu’il venait progressivement enlever véritablement sa chemise, laissant son torse nu à la vision de cet être quelque peu pervers. Celui-ci ne semblait pas s’en plaindre à son regard. A vrai dire, voir son amant quasiment nu, seulement vêtu d’un jean placé sous ses fesses ne pouvaient véritablement pas être déplaisant, surtout lorsqu’on le voyait si fébrile. Baltazar en avait certainement conscience alors qu’il laissait échapper un doux soupir de bien-être avant de venir coller leurs corps plus fortement, ses lèvres dévorant sa nuque et le haut du torse de son amant. Dans une voix quelque peu fébrile, il vint lui murmurer : « Scott… que dirais-tu de te retrouver à ton tour si peu vêtu, il serait dommage que je sois le seul, n’est-ce pas ? » Souriant à ses mots il vint lui offrir un sourire quelque peu coquin, posant ses mains sur ce si beau fessier qui le tentait véritablement. Combien de fois n’avait-il pas rêvé de celui-ci ? Il l’ignorait bien et à vrai dire ces derniers mois il lui était arrivé de nombreuses fois de fantasmer dessus, en secret.

Baltazar lui offrir un sourire charmeur, posant ses mains sur la ceinture de son amant, venant la défaire à son tour pour le libérer en quelque sorte du poids de celle-ci. Il en profita alors pour caresser à travers son jean son aine qui semblait se trouver assez ferme en cet instant à son plus grand plaisir. Le jeune homme sourit doucement au même instant où ses lèvres vinrent à nouveau dévorer sa nuque et ses pectoraux de baisers sensuels.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:24

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Il se trouvait particulièrement exalté de l’effet qu’il provoquait en l’échine de son rival tant cette dernière semblait être prise possession d’un feu incandescent, qui le rendait fébrile aux contacts de ses doigts, de ses lèvres contre sa chair. Des frisons qu’il ne pouvait qu’appréciait, savourant également les phalanges ô désireuses, cupides de cet homme se déplacer sur la chair ferme de son torse. Il aimait cette passion qui animait l’être de son rival, venant faire voler en éclat toute cette froideur qu’il avait voulu contenir face à lui au cours de cet après-midi au sein de cette pièce. La cupidité de sa chair ne pouvait que le trahir alors qu’il se trouvait sous ferme, si fiévreux sous ses actions. Le souffle brulant qui venait frôler la chair de sa nuque se trouvait résolument plaisant et envoutant, l’amusant au plus haut point. Il avait envie de lui procurer ce bien être qu’il aimait tant vivre à ses côtés. Il le trouvait particulièrement érotique dans cette tenue quelque peu débraillée et décadente, tellement qu’il éveillait en lui des pensées perverses face auxquelles il ne pouvait nullement résister. Il avait envie qu’il retire cette belle chemise noire et cette veste qui lui sillait à merveille pour pouvoir admirer ce corps joliment sculpté qu’il avait tant pris plaisir à embrasser, dévorer de ses lèvres sous les traits de ce bel inconnu. Cette aine le tentait tout autant, si excitée, si ferme au creux de ses phalanges, qu’il n’avait de cesse de titiller pour accroitre cette chaleur due à la luxure dans l’échine de ce bel hispanique, qui fondait littéralement de désir sous ses actions.

Une envie qui ne mit nullement trop de temps à se concrétiser alors qu’il voyait les mains de Baltazar s’éloigner de son torse pour rejoindre les boutons de sa chemise, les défaisant un à un tout en lenteur et sensualité. Une action dans laquelle il resta simple spectateur, appréciant bien trop le regard enchanté de cet homme qu’il lui lançait tant il se trouvait particulièrement intéressé envers sa personne. Il ne pouvait nier qu’il dévorait du regard ces phalanges qui se dirigeaient vers ces boutons pour les retirer avec aisance et lui permettre ainsi d’admirer ce torse relativement attirant. Il ne fallut quel quelques vingtaines de secondes pour que ce dernier apparaitre véritablement à son regard, s’offrant de la façon la plus sexy qu’il soit. Le sourire coquin que ce dernier lui tendit ne pu que le faire rire délicatement en le regardant faire. Il laissa la main de cet homme prendre au creux de la sienne sa main libre pour l’intimer à rejoindre son buste. Une demande muette à laquelle il ne vint nullement se faire prier pour venir le caresser, le sentant frémir sous le contact de ses actions, qui semblaient renforcer d’autant plus cette chaleur au sein de ces entrailles. Il sourit quelque peu sournoisement lorsqu’il le vit se mordre les lèvres, lui conférant un charisme d’autant plus érotique à ses yeux alors qu’il retirait enfin ces bouts de tissus pour laisser ces derniers se choir sur le sol de la cabine.

Une cabine bien isolée du monde extérieur d’où personne ne pouvait les voir, sauf ceux qui connaissaient leurs présences, c'est-à-dire eux deux. Il profitait donc de la vue qu’il lui offrait si obligeamment alors qu’il le sentait venir se coller à lui plus intimement dans un soupir de bien être. Il appréciait ce petit gémissement tout comme le contact de son torse contre le sien, sa bouche contre sa nuque, qui la dévorer avec ambition et passion, sentant même cette dernière se choir contre la peau de ses pectoraux. Il savourait cette impatience, s’en amusant même alors qu’il le fixait avec ce regard et ce sourire taquin. Sa peau brulait résolument sous les baisers et caresses de cet homme qui vint naturellement glisser ses mains sur son fessier en lui demandant ce qu’il pensait de se trouver à son tour dénudé. Il trouvait d’ailleurs que ça serait dommage qu’il soit le seul à se retrouver ainsi. Des paroles qui le fit rire délicatement face à son regard et sourire coquin alors qu’il le sentait déjà glisser ses doigts sur sa ceinture pour venir le libérer de cette dernière.

« Fais-toi plaisir, Morales… » Vint-il susurrer dans un sourire narquois alors qu’il ajoutait. « Je ne voudrai nullement cacher ton ambition… tu sembles particulièrement désireux pour quelqu’un qui n’avait pas envie de moi. »

Il n’avait pu s’empêcher de le taquiner dans un fin sourire alors qu’il renforçait sa poigne autour de cette intimité si cuisante de désir pour mouvoir ses lèvres contre sa nuque, ressentant ceux de son amant en faire de même. Il laissait donc sa bouche dévorer sa peau, la mordillant avec le même empressement que cet homme qui semblait particulièrement désireux de le sentir également nu contre lui. Il sourit lorsqu’il sentit l’une des mains de cet homme faire glisser la fermeture éclair de son pantalon pour venir le caresser à son tour. Une aine qui ne pu qu’être satisfaite, l’obligeant à sourire tout en se mordant délicatement la lèvre. Il appréciait résolument ce contact alors que sa bouche glisser contre le creux de sa mâchoire pour rejoindre son oreille, la mordillant de nouveau alors qu’il venait le pousser contre la paroi inverse de la cabine dans un sourire coquin tandis que sa main libre venait se choir sur son fessier musclé pour faire d’autant plus glisser le tissu de ce boxer, l’obligeant à tomber d’autant plus bas sur ses cuisses pour l’en débarrasser plus. Il le taquina d’autant plus de sa main, renforçant la cadence de sa poigne et de ses mouvements sur son intimité si ferme.

Il savoura ce gémissement qui vint s’extirper des lèvres de son amant alors que de son autre main, il venait taquiner, jouer avec la partie sensible de son anatomie, celle qu’il désirait tant de nouveau explorer. Il souriait contre son oreille, laissant sa bouche moite taquiner son oreille en soufflant sensuellement au creux de cette dernière. Il le sentait si brulant, si désireux et si impatient qu’il ne pu s’empêcher de le relever au travers de petits mots pervers et coquins tandis qu’il sentait les doigts de cet homme, le dévêtir de son boxer pour venir titiller sa cupidité. Ce qui ne manqua nullement de se réaliser tant il se trouvait déjà ferme rien qu’en sentant le corps de Baltazar s’enflammer sous ses actions, si cupide et désireux. Il ne fallut que quelques minutes de plus pour qu’il ne vienne porter sa main libre à ses lèvres pour venir les humidifier, les léchant dans un sourire plus que pervers tout en le fixant avec son regard profond et cupide. Il vint donc faire glisser cette main le long du buste de son vis-à-vis, laissant ses phalanges humides jouer avec un des boutons de chair de ce dernier pour rejoindre ses cotes, ses reins, ses fesses afin de retrouver cette partie qu’il désirait taquiner. Il pouvait sentir dans le regard du bel hispanique, cette lueur de fébrilité, conscient de ce qu’il allait vivre alors qu’il venait poser ses lèvres sur sa nuque, sa pomme d’Adam avec passion murmurant simplement.

« Avoue, que tu meurs d’envie que je te prenne de nouveau, n’est-ce pas Morales ? » Il laissa ses lèvres glisser de l’autre côté de sa nuque avec sensualité pour venir ajouter au creux de son oreille. « Qu’en dis-tu ? Tu n’as pas envie de reconnaitre cette luxure intense et parfaite que je t’ai fais vivre plus d’une fois… Si je ne me trompe pas, tu as pris ton pied à chaque fois, n’est-ce pas ? »

Il vint rire de nouveau alors qu’il laissait une de ses phalanges s’infiltrait au creux de cette partie intime, son autre menotte continuant ses caresses taquines alors que sa bouche glissait sur sa clavicule pour rejoindre la naissance de ses pectoraux dans la seule ambition de le rendre encore plus brulant qu’il ne l’était déjà.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:26

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Le jeune hispanique n’avait plus aucune raison de se retenir d’une quelconque façon, telle étaient ses pensées actuelles alors qu’il avait la chance de pouvoir avoir sous ses yeux le corps ô bien plaisant de cet amant d’une nuit. Un homme qui deviendrait pour la deuxième fois son amant, un fait qui dérogeait certainement à ses habitudes, tout particulièrement pour lui qui ne se laissait que rarement dominer. Bien que ces derniers mois, il avait laissé un deuxième homme se rapprochait de lui, un inconnu qui le hantait encore aujourd’hui tant celui-ci s’était retrouvé sensuel et érotique. Néanmoins, son esprit se trouvait particulièrement incohérent ses derniers mois, l’emmenant à penser à ses deux hommes alors qu’il ne le devrait pas. Pour lui qui aimait tant avoir une vie cadrée, ces deux hommes, qui sillonnaient les chemins de sa vie, brouillaient ce qui l’avait tant difficilement construit.

Seulement, à chacune de ses fois, son corps tout comme son esprit lui intimait de ne pas réfléchir et de seulement venir profiter de ce corps si agréable et tentateur. C’était d’ailleurs ce que Baltazar faisait en ces instants, dévorant de ses lèvres la peau de Scott, son torse et sa nuque, sa taille ne permettant d’embrasser plus son amant. Ces mains s’étaient glissées sur sa ceinture dans l’unique ambition de la lui enlever, murmurant des mots dans lesquels il lui intimait de se dévêtir sous ses yeux. Une demande qui fit rire son amant qu’il lui indique de se faire plaisir, ne souhaitant nullement cacher son ambition, s’amusant à le taquiner, relevant qu’il semblait désireux pour une personne qui n’avait pas envie de lui.

Caressant son aine au travers de son pantalon, le jeune hispanique ne put que laisser échapper un doux soupir contre la chair de cet amant, si ravi de sentir au même instant de sentir les lèvres de son amant contre sa nuque. Résolument impatient, il vint faire glisser la fermeture éclair de son pantalon pour l’ouvrir et caresser véritablement son aine au travers de son boxer, si ravi de le sentir si ferme contre lui. Scott semblait apprécier ses minutes à son plus grand plaisir, venant glisser ses lèvres contre le creux de sa mâchoire jusqu’à atteindre sa mâchoire. Au même instant son amant le poussa contre la paroi inverse de la cabine dans un sourire coquin, sa main libre venant se choir sur son fessier musclé, sentant son boxer tomber jusqu’à atteindre ses cuisses. Ces mouvements sur son intimité se firent alors plus intense, l’obligeant à gémir contre sa chair, se mordant les lèvres tant les sensations qui parcouraient son être se trouvaient appréciables. Son amant souhaitant le rendre ô combien fou s’amusa alors à glisser sa main contre la partie si sensible de son anatomie, cette zone qui lui avait fait tant vivre d’agréable sensations. Cette pensée ne put qu’accentuer son envie de découvrir à nouveau les sensations de bien-être qu’éprouvait son être, mordant ses lèvres à chacun de ses mots pervers et coquins. Tout comme il pouvait se trouver tout aussi impatient, Baltazar s’amusa à venir faire tomber le boxer de son amant, l’abaissant pour atteindre son intimité et effecteur de douces caresses contre celle-ci. Baltazar se sentait particulièrement brûlant contre sa chair, son souffle se faisant de plus en plus en difficile alors que son amant le taquinait. Le jeune homme ferma les yeux sentant son cœur s’échauffer de plus en plus, si fébrile, ayant le souhait de rendre tout aussi fou cet homme.

Au moment où Baltazar ouvrit les yeux il eut devant lui une scène ô combien érotique, celle de son amant qui était de porter sa main libre à ses lèvres pour les humidifier, les léchant dans un sourire résolument pervers. Le jeune homme eut subitement particulièrement chaud, son regard devenant particulièrement brûlant et fébrile. Son amant se trouvait trop sensuel pour qu’il n’ait nullement envie de lui, sentant son aine et son corps frissonnaient presque qu’impatience au bien-être qui posséderait son corps. Ainsi, il ne peut que frissonner au contact de ses phalanges qui glissaient le long de son buste, ses phalanges jouant avec un de ses boutons de chair jusqu’à rejoindre ses côtes, ses reins, ses fesses sont intimité qu’il comptait taquiner. Baltazar n’avait pas à avoir beaucoup d’imagination pour connaitre le fond des pensées de Scott tant il souhaitait lui-même connaitre à nouveau ses sensations. Il ne put alors qu’à nouveau fermer les yeux aux baisers de ses lèvres sur sa nuque, tout comme sa pomme d’Adam, sentant son corps frissonner véritablement. Celui-ci vint alors le taquiner à nouveau, lui demandant d’avouer qu’il mourrait d’envie qu’il le prenne à nouveau. Des mots qui eurent le don de le faire frissonner, tout particulièrement alors qu’il sentait son cœur s’affolait.

Scott vint à nouveau lui demander son avis, s’il n’avait pas envie de reconnaitre cette luxure intense et parfait qu’il lui avait fait vivre plus d’une fois. S’il ne se trompait pas, Baltazar avait pris son pied à chaque fois. Il s’agissait bien évidement d’une vérité à laquelle qu’il ne pouvait réfuter tant l’ensemble de ses émotions se trouvaient bénéfiques, même dans ses souvenirs, ayant fantasmé de nombreuses nuits à ce propos. Il ne sut que répondre à cette phrase, si ce n’était en fermant les yeux et gémissant le nom de son amant dans une voix éprise par le plaisir alors que celui-ci venait embrasser la naissance de ses pectoraux, sa clavicule tout en laissant l’une de ses phalanges s’infiltraient au sein de cette partie intime. Baltazar ne put que laisser un doux gémissement alors que son autre main venait caresser son aine avec ambition, bien qu’il ne sentait qu’encore de la douleur. Une sensation résolument contrastée pour le jeune homme qui n’en restait pas pour autant inactif. Sa main restait contre l’aine de son amant, s’amusant à la caresser dans des mouvements de va-et-vient résolument coquins, souhaitant lui faire partager ses douces sensations à son tour. Son autre main était simplement posée contre les fesses résolument attirantes de Scott, les caressant avec une envie non feinte. Néanmoins, il ne put retenir un énième gémissement alors qu’il sentait son amant insérer une autre de ses phalanges en son sein. Comme si celui-ci connaissait son corps, il n’eut nullement à attendre guère longtemps avant de sentir d’agréables sensations prendre part de son être. Ses doigts semblèrent effleurer sa prostate à son plus grand plaisir, l’obligeant à fermer les yeux et serrer les fesses de son amant.

Scott semblait d’ailleurs s’en amusant, le taquinant et effectuant des caresses sur son aine plus rapidement. Baltazar se sentait si faible en cet instant, à la proie de cet amant qui savait si bien le rendre fou tant par ses baisers que par ses caresses. Ainsi, sans n’omettre aucune résistance il vint murmurer dans une voix résolument sensuelle « Scott… prends-moi… » Peu importe que ses mots trahissaient sa dépendance, en cet instant il n’avait envie que de cela, découvrir à nouveau ce plaisir qu’ils avaient partagé dans cette chambre d’hôtel. Son corps se trouvait résolument trop en manque pour qu’il résiste d’une quelconque manière, il souhaitait tant ressentir ses sensations à ses côtés. Relevant son regard vers Scott, il lui adressa alors un regard empli de fébrilité et d’envie, murmurant son nom alors dans une voix résolument sensuelle.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:28

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Pervers, il ne pouvait nier l’être tant son comportement se trouvait cruellement indécent. Loin d’être nouveau pour lui, il devait reconnaitre qu’il l’était particulièrement avec l’homme qui se trouvait face à lui. Un fait nullement anodin de sa part. En être cupide, Adam appréciait la luxure et l’euphorie qu’elle pouvait provoquer au sein de sa chair. Un péché dont il ne pouvait point se passer et dont il semblait particulièrement touché auprès de cet homme. Adam n’était résolument pas le genre d’homme à coucher plusieurs fois avec la même personne et pourtant, pour une raison inexplicable et sans doute quelque peu incohérente, il ne pouvait s’empêcher de désirer cet homme. Un homme au charisme envoutant auquel il se trouvait particulièrement sensible. Il était tout excité par le simple fait de le rendre fou de ses doigts, de ses lèvres. Il mourrait indéniablement de désir de lui faire connaitre de nouveau cette luxure si sauvage, si passionnée qu’ils avaient pu avoir ensemble par le passé. Cette ambition brulait au fond de ses entrailles, le rendant bien plus taquin et vicieux. Il appréciait bien trop l’érotisme qui se dégageait de ce corps en feu, résolument brulant et impatient sous son emprise. Il le fascinait cruellement même si son orgueil, ce lien de perpétuelle confrontation l’empêcherait un jour de l’avouer. Il avait envie de lui, de sentir de nouveau ses reins se fendre au creux des siens pour atteindre de nouveau ce paroxysme envoutant et époustouflant qu’il n’avait vécu qu’au creux de ses reins.

Morales était le premier homme qu’il serrait au creux de ses bras, le seul à qui il avait montré un côté prévenant et sensuel, même si ce dernier le niait. Il ne pouvait identifier clairement ce qu’il désirait au travers de ce petit jeu malsain qu’il avait entreprit avec l’hispanique mais, il était évident qu’il cherchait à l’envouter. Il aimait particulièrement ce sentiment qui l’étreignait lorsqu’il le voyait si réceptif à ses actions, lorsque ses prunelles se faisaient si sombres et fébriles de désir, tout comme de cette voix ô sensuelle dont se dégager de merveilleux gémissements. Il n’avait pu s’empêcher de le taquiner à ce propos, tant il avait envie d’entendre ces mots s’extirper des lèvres de son vis-à-vis. Il voulait qu’il lui susurre ses mots d’abandons, ces deux petits mots qui sauraient lui donner le glorifier dans son orgueil d’amant et de séducteur. Il agissait dans cette seule ambition, sans vergogne et avec passion. Il préparait ce corps à le recevoir, pour qu’il puisse profiter de ses coups de reins merveilleux qu’ils partageraient dès lors qu’il lui demanderait. L’hispanique se trouvait particulièrement fébrile, brulant sous la pulpe de ses doigts de ses lèvres. Il sentait sa respiration faible et haletante par ces gémissements de bien être qu’il ne pouvait camoufler. Son aine, résolument mure, si tendue entre ses doigts ne boudait nullement son plaisir, qui n’avait de cesse de cloitre sous ses taquines phalanges, qui se plaisaient tant à le malmener, le tourmenter de la sorte. Il savourait le spectacle de ce corps possédé par le désir, cupide à l’idée de l’intensifier par sa présence, la suite de toutes ses actions. Une excitation qu’il ne camouflait point à son amant du moment, son aine se trouvant si ferme et tendue sous le contact des doigts de l’hispanique. Il ne gémissait pas mais l’envie était là, brulante au creux des entrailles. Plus il les retenait, plus il sentait son amant déterminé à les extirper de sa gorge. Un jeu qui l’amusait grandement même s’il était évident qu’il serait l’heureux gagnant de cet échange cocasse entre leurs deux échines.

Il ne fallut pas plus de temps pour qu’il ne vienne frôler cette partie sensible et réjouissante de l’anatomie de son compagnon de luxure, savourant sa réaction avec enthousiasme tandis qu’il venait dévorer un de ses boutons de chair avec minutie et passion, le taquinant sans vergogne. Des actions qui rendaient fous son amant, qui vint rendre les armes en lui suppliant dans une voix ô sensuelle et délicieuse de le prendre. Des mots d’abandons qui ne purent que glorifier son orgueil, son ambition tandis qu’il souriait contre sa peau, s’en détachant pour l’observer dans cette position si délectable. Il vint murmurer son nom dans cette voix si fébrile et tourmentée que ses prunelles brillantes ne rendaient que plus envoutantes. Il ne vint dire mot, savourant ce moment de gloire alors qu’il venait simplement attraper la veste de son costume pour en sortir son portefeuille et attraper une protection indispensable. La vision de cet objet sembla résolument plaire à son compagnon de luxure dont le regard se fit plus sombre de désir. Il vint sourire de ce fait, venant déchirer l’emballage pour venir l’enrouler autour de sa virilité en le détaillant avec profondeur et narquoiserie. Il vint se lécher les lèvres délicatement en réalisant un mouvement de va-et-vient sur son aine pour tenter d’atténuer son impatience. Résolument ébranlé et cruellement cupide, il vint naturellement se coller de nouveau au corps de l’hispanique pour mordiller sa nuque, laisser l’arrête de son nez s’enivrer du parfum envoutant et l’ambiance érotique qui se dégageait de cet homme. Il laissa sa bouche brulante se glisser contre son oreille pour la mordiller, y susurrer des mots cochons alors qu’il l’invitait à se tourner pour qu’il puisse répondre à ses attentes. Ses doigts s’étaient naturellement glisser sur les reins de Morales pour rejoindre son fessier, le malmener de nouveau pour accroitre sa fébrilité.

Il se trouvait si impatient, tout autant que sa chair de le dévorer. Une demande à laquelle son vis-à-vis ne vint manquer de se soumettre tandis, qu’il le sentait lui tourner le dos. Il vint naturellement se coller à lui, laissant son torse rejoindre son dos tandis que ses lèvres glissées contre son oreille pour poursuivre ses taquineries. Il le sentait particulièrement brulant alors que son aine tendue glisser contre ses cuisses pour se donner et lui donner un arrière gout. Ses phalanges vinrent se glisser sur ses cuisses avec sensualité pour s’immiscer au creux de ces dernières. Sa peau était brulante et tremblante de désir. Il pouvait sentir son souffle chaud s’extirper de ses lèvres qui contenaient du mieux qu’elles pouvaient son plaisir d’être ainsi dominer de nouveau. Il vint délicatement rire en prononçant le doux nom de son amant dans une voix si sensuelle, qu’il sentait son amant réceptif à tout cela. Il vint le titiller ainsi de nombreuses secondes, voir minutes avant de laisser son aine s’immiscer au creux de ses reins, laissant enfin un doux gémissement s’extirper de ses lèvres au creux de son oreille. Il n’initia nul autre mouvement pour habituer son amant à cette pénétration dont il mimait le geste que l’aine de son amant de ses doigts, désireux de l’entendre gémir son nom en lui suppliant de lui faire atteindre de nouveau cette extase merveilleuse, tout simplement.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyDim 22 Juin - 20:30

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Ardor que fue bajando hasta el cinturón Que tú desabrochaste sin ningún pudor Empapaste todas las ventanas de mi desordenada habitación
Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

F aiblir face au corps d’Adam, le jeune hispanique n’en avait plus vraiment honte à cet instant. Il se laissait uniquement guider par son corps et les agréables sensations dont étaient à l’origine cet homme. Il était bien le seul homme à le rendre ainsi, bien qu’il ne pouvait certainement pas nier le fait qu’un autre homme avait un pouvoir certain sur sa chair. Un fait résolument complexe pour lui qui n’avait pas l’habitude de sortir de ses propres règles. Le plaisir qu’il prenait et qu’il n’avait jamais connu jusqu’alors, bien qu’il ait de nombreuses fois goûté au plaisir de la chair avec d’autres hommes. Seulement, les sensations avaient été bien différentes, n’ayant été jamais dominé jusqu’à ce jour. Les sensations étaient résolument nouvelles et ô combien appréciables pour l’homme qu’il était. Tant qu’il ne se fixait tout simplement plus de limites en ce qui concernait cet homme, n’ayant aucune gêne de prononcer les mots de presque supplications pour enfin ressentir en son sein cette aine qui lui ferait ressentir tant d’agréables sensations. En tant qu’homme cupide, pouvoir résister à cet amant se trouvait résolument difficile. Il n’avait d’ailleurs pas pu s’empêcher de murmurer dans une voix presque plaintive le doux nom de son amant, posant sur lui un regard brillant.

Son amant n’attendit guère longtemps avant de céder à son tour, se baissant pour attraper la veste de son costume, attrapant son portefeuille et attraper un préservatif. Une vision résolument agréable qui ne pouvait que lui plaire, le dévorant du regard alors qu’il déchirait l’emballage pour venir l’emballer autour de sa virilité. Scott alors coller à nouveau son corps au sien, l’emmenant à être encore plus impatient tout particulièrement alors qu’il mordillait sa nuque, laissant un souffle chaud se poser sur sa nuque. Son amant remonta ses lèvres contre son oreille, la mordillant pour y susurrer des mots coquins, l’invitant à se tourner pour qu’il puisse répondre à ses attentes. Ces simples mots eurent le don de chauffer son être bien plus qu’il ne l’était déjà, tout particulièrement alors que ses doigts caresser et malmener ses fesses.

Il n’attendit guère longtemps avant de se soumettre aux demandes de son amant, se retournant alors pour lui tourner le dos. Son amant continua ses taquineries, embrassant son oreille, la taquinant alors qu’il faisait rencontre son aine si tendu contre ses cuisses. Une situation résolument intéressant et coquine pour le jeune homme qui ne put pas s’empêcher d’apprécier cette situation, songeant à nouveau au bien qu’il ressentirait lorsqu’il serait enfin en son sein, qu’il toucherait sa prostate dans des mouvements de va-et-vient. Un fait qui ne pouvait que lui faire plus intensément ces sensations, son souffle se réchauffant alors qu’il avait résolument chaud. Le doux rire de son amant ne put que le faire frissonner à l’entente de son nom dans une voix résolument sensuelle. Semblant s’amuser de la situation, il le taquina pendant de nombreuses secondes, minutes avant de laisser son aine s’immiscer au creux de ses reins, gémissant au creux de son oreille. Une présence qui fut d’abord douloureuse malgré les nombreuses taquineries de son amant, une douleur cependant nécessaire avant qu’il ne connaisse à nouveau ses agréables sensations. Lors de cette fameuse nuit, le plaisir avait été résolument puissant tel qu’il n’avait pas pu s’empêcher de venir à nouveau réclamer en son sein cet amant qui lui avait fait connaitre pour la première fois ses sensations de bien-être en tant que dominé. Toutes sensations étaient résolument nouvelles pour le jeune homme, ne pouvant pas s’empêcher de les apprécier, en devenant quasiment addictif. L’hispanique ne pouvait résolument qu’aimer les caresses de Scott sur son aine, fermant les yeux face à l’afflux de sensations dans son corps. Il resta ainsi de nombreuses secondes, attendant que son corps s’habitue à ces sensations qui deviendraient addictives. Peu importe que son amant se trouvait être Scott, il s’en fichait bien, bien que ces instants ne pouvaient qu’être peut-être plus intense en sa compagnie tant il avait fantasmé sur sa personne malgré lui.

Au fur et à mesure des secondes qui s’écoulaient, son corps s’habitua progressivement à la présence de ce corps, l’emmenant à venir effectuer lui-même un mouvement de va-et-vient, avançant son corps pour à nouveau sentir cette aine traverser cette partie si sensible de sa chair. Il ne lui tardait qu’une chose, qu’enfin cet homme le possède comme il l’avait fait lors de cette nuit à Paris, souhaitant tout simplement être fou de lui. Ainsi, le jeune homme laissa échapper simplement dans un doux gémissement, de manière basse « Scott… ne te retiens pas... »

Il n’avait aucune raison de le faire après tout, n’était-ce pas ce qu’il souhaitait lui aussi. Scott avait tout autant que lui le souhait de mourir de bien-être et de désir au creux de ses reins. Les réactions de son corps ne pouvaient résolument que le trahir à ses yeux, tant tout comme lui il avait résolument ces instants passés ensemble dans cette suite de luxe. Le jeune homme souffle alors à nouveau le nom de son amant, souhaitant sentir cette aine contre sa prostate, de nombreuses fois.

Son amant vint alors continuer ses taquineries, s'amusant à laisser parcourir ses doigts sur son aine, effectuant à nouveau des mouvements de va-et-vient. Un fait qui ne put que le ravir alors qu’il sentait à nouveau posséder son être, son aine s’immisçant en son sein alors qu’il appréciait résolument ce contact. La douleur ne se fit pas moins forte mais son amant réussissait en partie à lui faire faire oublier à la suite de ses attentions cette douleur. Au fur et à mesure de ses pénétrations, la douleur se fit moins forte, particulièrement lorsqu’il sentit enfin cette aine rencontre sa prostate. Un contact qui eut le mérite de le faire se mordre les lèvres, retenant un gémissement alors que ses mains contre la paroi se crispaient, fermant les yeux face à l’afflux de plaisir qui prenait part de son être. Un fait résolument plaisant. De ce fait, le jeune homme ne put que soupirer, continuant de crisper ses doigts sous le regard coquin, il le devinait en tout cas, de Scott qui devait se plaire de le voir si fébrile face à lui. Savoir qu’il était l’une des faiblesses de Baltazar devait résolument être plaisant pour lui, se considérant comme un vainqueur sans doute. Un vainqueur qui devait être résolument ravi alors qu’il laissait échapper un gémissement alors qu’il frappait à nouveau sa prostate.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyLun 23 Juin - 20:58

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Le souffle chaud, le corps brûlant de cette chaleur incommensurable que ce bel hispanique initiait dans sa chair, Adam devait bien reconnaitre qu’il était particulièrement exalté à l’idée de posséder de nouveau cet homme. Un homme avec qui il jouait, appréciant résolument ce jeu résolument dangereux et plaisant dans lequel il s’impliquait. Il était loin d’imaginer que Baltazar se trouvait tout aussi victime du péché de la chair qu’il ne l’était et ce dernier semblait parfaitement flatter son orgueil et sa vanité et se soumettant ainsi à lui. Cette situation l’amusait beaucoup, l’exaltait comme aucune autre, laissant ses sens guidait ses actions et paroles. Il appréciait la fébrilité que son corps était capable d’engendrer dans l’échine de l’hispanique. Ce dernier ne pouvait nullement le camoufler tant il pouvait sentir sa chair frémissante et brûlante d’un désir sans nom. Cela l’existait de le voir ainsi, si dépendant et quémandeur de ses actions et caresses. Il se plaisait à le rendre d’autant plus cupide et gourmand de ses attentions tant il le trouvait terriblement érotique à le suppliait de la sorte.

Pervers, il ne pouvait nier l’être tant ses actions venaient en adéquation avec ce qualificatif. Il aimait le sexe et le sentiment de domination, cette sensation d’aliénation qui pouvait prendre possession de l’échine de ses partenaires, réclamant ses bienfaits jusqu’à connaitre l’extase grâce à lui. Ce sentiment d’abandon qu’il avait tant apprécié dans la suite de cet hôtel de luxe où il avait pu connaitre au plaisir de la chair avec cet homme. Un homme tout aussi cupide que lui, si cruellement exalté par ses gestes et paroles. Il le taquinait dans de légers mouvements de bassin, laissant son aine glisser entre ce merveilleux fessier qu’il lui donnait cruellement envie d’explorer de nouveau. Il sentait Baltazar brûlant, son aine brûlante de désir sous le contact fripon de ses phalanges qui lui prodiguaient des caresses ô envoutantes. Il s’amusa ainsi quelques minutes de plus avant de venir le pénétrer enfin, laissant son aine retrouver la chaleur enivrante de ses reins en douceur. Il s’immisçant lentement afin de l’habituer à sa présence, profitant de l’étroitesse de son bassin qui doublait les méandres du plaisir qui parcourait sa chair. Il vint gémir contre l’oreille de l’hispanique, laissant ses doigts réaliser avec lenteur le mouvement qu’initiait son aine au creux de ses reins. Il savait que cette action rendait dingue le jeune hispanique, qu’il sentait réceptif et brulant.

Il profitait de ce bien être, sentant délicatement les reins de son amant exécuter un mouvement de va-et-vient comme pour lui faire comprendre qu’il s’était habitué à sa présence et quémandait ses actions, ce que ses mots vinrent souligner. Il lui implorait de ne pas se retenir dans un gémissement, qui ne pouvait que l’exciter d’autant plus. Il souriait, exalté par ces paroles coquines alors qu’il venait initier à son tour un mouvement de bassin avec lenteur dans ses reins et sur son aine. Sa main libre venait quant à elle glissait sur la cuisse de ce dernier pour la griffer sensuellement, savourant le ton de cette voix particulièrement suave qui s’extirpait des lèvres si délectables de cet homme. Il jouait naturellement avec lui, son excitation, son corps, se montrant particulièrement frustrant même si cela augmenter sa propre cupidité de le faire sien, de le rendre fou de son corps, de ses reins. Ce qu’il ne manqua nullement de faire en venant de nouveau le pénétrer sensuellement dans des mouvements de bassins très langoureux et lents. Il le sentait s’habituer à ces dernières, y éprouvait du plaisir. Un plaisir que son cœur ne pouvait camoufler, rendant son souffle court et sa respiration rapide, ponctuée par des gémissements faibles, camouflés par pudeur ou peur d’être surprit. Adam n’hésitait pas à mordiller son oreille, y souffler, laissant ses lèvres dévorer sa nuque avec la même sensualité que ses reins le possédaient. Il finit enfin par frôler cette partie sensible de l’anatomie de son amant, le sentant délicatement se cambrer contre son torse en serrant ses poings.

Un fait qui ne passa nullement inaperçu à l’œil aguerri de l’asiatique, qui ne vint nullement se faire prier pour le pénétrer de nouveau, plus franchement. Le gémissement faible qui s’extirpa des lèvres de sa victime vint l’intimer à poursuivre plus ardemment, passionnément. Il vint donc accélérer la cadence, sentant son bassin se mouvoir avec hâte et appétence contre celui de son amant. Ce dernier était de plus en plus sensible, quémandeur de ses actions, sentant son bassin venir rejoindre les siens plus activement, participant à l’échange langoureux de leur bassin. Cela lui donnait tout aussi chaud que son amant, sentant son intimité si bien traitée par ses reins qu’il appréciait tant dévorer des siens.

Il laissait ses sens primaires le dominait, prendre possession de sa chair avec d’autant plus de force et de passion. Il gémissait en communion avec son amant, qui semblait de plus en plus tremblant de désir et horriblement excité. Il le sentait plus brûlant qu’auparavant à l’instant où ils entendirent la porte des toilettes s’offrir de nouveau pour laisser entrer une personne. Incapable de maitriser le mouvement de son bassin, il vint le pénétrer de nouveau, laissant sa main libre couvrir les lèvres de son amant, l’empêcher de gémir son bien être. Il se mordait les lèvres quant à lui, sentant l’intrus appelait l’hispanique, qui semblait résolument raide et à la fois brûlant. Il s’agissait de l’assistant de ce dernier et le cherchait. Il s’intima à stopper le mouvement de son bassin pour couvrir le bruit érotique qui s’échappait de leur acte charnel. Une véritable frustration à ses yeux, qui le fit fermer ses prunelles, grognant intérieurement de devoir s’arrêter en si bon chemin. Il vint naturellement punir Baltazar en le caressant de nouveau de façon plus rythmée, plus passionnée et cupide.

Il le sentit gémir profondément lorsque cet intrus vint rebrousser chemin, bredouille. Il était tremblant, plus excité que jamais et ses reins vinrent le pénétrer de nouveau pour l’achever, le rendre encore plus brulant que jamais. Il se montra tout aussi bestial que lors de leur première fois. Refusant de laisser son excitation être insatisfaite, il lui fit l’amour sauvagement, jusqu’à qu’il le sente lâcher prise, gémissant son nom dans un râle rauque et brulant, atteignant cette extase qu’il semblait vivre grâce à lui. Ce qu’il connu à son tour dans un dernier mouvement de va et vient en mordillant sa nuque. Il avait prit son pied comme toujours et cela le rendait encore plus cupide de reconnaitre cette luxure avec lui. Il aimait cette perversité de leur rencontre ainsi que l’état profondément jouissif dans lequel il laissait l’échine de Baltazar après l’acte. Il vint donc se retirer de lui avec lenteur, observant son corps comblé par ce qu’il lui avait fait vivre. Il souriait plus mesquin et taquin que jamais alors qu’il soufflait au creux de son oreille.

« Je me demande si ta femme te vois aussi comblé après l’acte. Il n’y a rien à dire, tu as de nouveau pris ton pied, ton corps te trahis, Morales ! Ce n’est pas pour me déplaire. Si tu as besoin d’un bon coup, tu sais où me trouver, désormais ! »

Il rit naturellement contre son oreille, retirant sa protection qu’il vint jeter dans la poubelle, le regard brillant, tandis que Baltazar se retourner vers lui, lui offrant une vision digne d’un film érotique, qui rendit son regard encore plus brillant de satisfaction, de le voir ce regard si passionné et fébrile, souriant d’amusement alors qu’il venait de nouveau vers lui pour le coller contre la paroi, murmurant contre ses lèvres.

« Tu sembles avoir du mal à t’en remettre, Morales… aurais-tu besoin d’un petit extra ? » le nargua-t-il alors qu’il glissait le bout de ses phalanges contre son aine pour le titiller, savourant la lueur lubrique dans le regard de son amant qu’il vint embrasser avant de s’extirper violemment après un langoureux baiser afin de se rhabiller, le détaillant avec ce regard pervers et amusé qui lui collait à la peau.


 
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MessageSujet: Re: [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales   [NC-18] I thought you didn't want me | PV Baltazar Morales EmptyLun 7 Juil - 13:19

Ne plus être cet homme à l’apparence parfaite, se laisse guider par ses sentiments et ses pulsions. C’était sans aucun doute ce que le jeune homme appréciait le plus lorsqu’il se trouvait en compagnie d’Adam, bien qu’il aurait bien du mal à lui avouer, celui-ci n’ayant sans aucun doute pas besoin de ces mots pour le remarquer et en être déjà fier. Il lui suffisait d’observer son comportement en ces instants pour s’en rendre compte. Les gémissements qu’il laissait échapper semblaient résolument plaire à son amant en vue de ses réactions, celui-ci semblant de plus en plus coquin dans chacune de ses caresses et de ses mouvements. En être tout aussi cupide, le jeune homme ne cherchait pas vraiment à résister à celui-ci, laissant son corps et ses sensations guidaient chacune de ses pensées et de ses gestes. Il se trouvait quémandeur d’échanges plus langoureux, de cadences plus intenses pour ressentir au maximum chacune des actions de son amant. Son corps accompagnant ses mouvements de reins, si ravi de voir son amant apprécier tout autant que lui ces instants de luxure. Il n’y avait résolument rien de plus plaisant que d’entendre la voix d’Adam gémir à son oreille, se sentant si fier de le voir si dépendant de sa chair à cet instant, comme il pouvait l’être lui aussi. Seulement, à son plus grand damne et surprise, la porte des toilettes s’ouvrit subitement et leurs actions durent s’arrêter, retenant un de ses gémissements de s’échapper. Baltazar fut résolument surpris d’entendre la voix de son assistant qui l’appelait à son plus grand désarroi, celui-ci ayant sans doute remarqué qu’il avait disparu depuis la fin de la réunion. Une situation ô combien cocasse qui vint l’emmener à être résolument frustré, sentant son amant stopper le mouvement de son bassin, son corps désireux de plus contact ne put que se sentir en manque. Comme s’il souhaitait le punir, Scott vint le caresser malgré la présence de son assistante de manière plus passionnée et plus rythmée. Baltazar réussit alors comme il put à retenir un gémissement, se mordant les lèvres alors que son corps continuait à s’échauffer. Scott se retrouvait résolument cruel en cet instant, l’obligeant à fermer les yeux et à laisser enfin un léger gémissement s’échapper de ses lèvres.

A son plus grand ravissement, il sentit l’aine de son amant reprendre un rythme plus rapide alors qu’il le pénétrait à nouveau. Si Baltazar était déjà auparavant brûlant, il lui semblait qu’il l’était toujours plus tant son amant effectuait des mouvements encore plus intense, plus bestial à son plus grand plaisir. A chaque mouvement son amant touchait ce point si sensible, l’emmenant à connaitre de si agréable sensations à propos desquelles il semblait tombait peu à peu dans une dépendance certaine. Il n’y avait bien qu’avec Scott qui pouvait le voir ainsi, tant il avait souhaité toute sa vie rester de marbre et être parfait. Il lui semblait vivre une déchéance certaine en présence de sa personne, tel qui ne chercha nullement à masquer ses émotions, gémissant son nom dans un râle alors qu’il atteignait enfin l’extase. Son amant connu à son tour l’extase dans un dernier mouvement, mordillant sa nuque au passage qui le fit gémir quelque peu à son tour.

Le souffle de Baltazar se fit plus court et difficile, se tenant encore aux parois des toilettes, le temps de reprendre son souffle, sentant au même moment le corps de son amant se retirer du sien. Il ressentit alors comme une sensation de manque, son corps s’étant résolument habitué à sa présence depuis de nombreuses minutes. Il fut quelque peu surpris d’entendre la voix de son amant dans son oreille, sans l’être pour autant des mots de son amant si habituellement vantard. En effet, celui-ci lui avait demandé si sa femme le voyait aussi comblé après l’acte. Il n’y avait rien à dire, il lui avoua qu’il avait pris à nouveau son pied, son corps le trahissant bien que cela ne le déplaisait certainement pas. Lui informant que s’il avait besoin d’un bon coup, il saurait désormais où le trouver. Des mots qui trahissaient résolument sa vantardise, bien qu’il lui fût simplement impossible de ne pas affirmer ses propos tant son corps avait encore un peu de mal à se faire à toutes ses émotions.

Le jeune homme vint alors simplement se retourner pour affronter son amant et ce regard résolument coquin qu’il devait détenir. Un regard qu’il croisa alors qu’il se sentait coller contre la paroi, celui-ci le poussant contre celle-ci lui murmurant dans une voix quelque peu sensuelle qu’il semblait avoir du mal à s’en remettre, lui demandant s’il avait besoin d’un petit extra. Des paroles qui le firent se mordre les lèvres quelques instants alors qu’il sentait le bout de ses phalanges contre son aine comme pour le titiller. Le baiser langoureux qu’il vint lui voler ne put qu’être appréciable, bien que trop court, souhaitant résolument plus d’échanges bien qu’il n’était certainement pas prêt à le lui informer, celui-ci étant déjà assez vantard. Il se contenta de lui lancer un regard noir avant qu’il ne le voit s’éloigner de lui pour s’habiller, l’observant alors et ne pouvant s’empêcher de trouver cet homme résolument plaisant à regarder, tout particulièrement ce torse et cette chute de rein. Une pensée qu’il chassa rapidement alors qu’il vint prononcer dans une voix rauque : « Tu n’es vraiment qu’un pervers et qu’un vantard… ! Ne te prends pas non plus pour le meilleur des amants. » Des mots qu’il pensait secrètement mais, qu’il n’était résolument pas prêt à avouer à cet homme qui n’avait pas besoin d’entendre ces mots pour être déjà si narcissique. Si seulement, il pouvait le nier, il l’aurait fait mais il lui était difficile de le réaliser en tout cas.

Ainsi, il vint à son tour se baisser et attraper son boxer qu’il vint enfiler, tout comme son pantalon alors qu’il reprenait peu à peu son souffle. Il se contenta alors d’éviter un instant le regard de Scott, sachant très bien qu’il risquait de faiblir face au regard quelque peu coquin de cet homme qui savait le rendre si faible. Il vint alors attraper sa chemise pour l’enfiler avec délicatesse, espérant que sa chemise n’est pas trop de dégâts, espérant passer quelque peu incognito en compagnie de son assistant, bien que son regard était tout autant brillant qu’auparavant.

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