[vos messages]

All I need is drink, all I need is drink ... drink is all I need.

Les affaires de sécurité nationale je commençais à en avoir royalement plein le cul, nous devions nous efforcer à protéger la nation des divers danger qui la guettait alors que d'une façon elle s'en moquait … il ne suffisait que de poser un simple regard sur celle-ci pour s'en persuader mais bon il était de notre devoir de protéger celle-ci, par moment, contre elle-même et il était impératif de bien s'acquitter de notre boulot même si nous n'en tirions pas la reconnaissance escomptée. Lorsque je ne travaillais pas je redevenais songeur et lors de ces moments il m'arrivait de ressasser le passé, de me remémorer ce qui était survenu il y a de cela déjà plus de 10 ans, et évidemment alors les regrets et les remords qui refaisaient surfaces venait la tristesse et les larmes qui en découlaient … bien que le temps avait continué de filer depuis je n'avais pas réussi à passer à autre chose je continuais de nourrir le même état d'esprit qui me torturait depuis toutes ces années et la seule façon que j'avais trouvé d'apaiser mes démons étaient de travailler sans relâche ou de me noyer dans l'alcool et puisque j'étais en arrêt de travail suite à une blessure il ne me restait que la boisson comme porte de sortie.

Ressentant l'appel du whisky, et ne pouvant que difficilement lui résister, je finis par quitter ma résidence non pas sans avoir mis un peu de temps à me préparer j'avais ma fierté après tout. C'est donc élégamment vêtu que je finis par me rendre à cette boîte de nuit , ou j'avais mes entrées, et je me dirigeai vers le bar afin de m'y installer me commandant une double dose de cognac. Portant mon verre à mes lèvres, tout en le faisant tourner entre mes doigts, je regardai un peu partout autour de moi afin de vérifier si je n'allais pas tomber sur un visage familier et et je portai à nouveau mon verre à mes lèvres. Ce verre allait être le premier d'une longue série, je le sentais … la soirée allait être longue – voire interminable – ma conscience me travaillait et il n'y avait que l'alcool qui puisse l'apaiser.

[Date d'inscription]

All I need is drink, all I need is drink ... drink is all I need.

Les affaires de sécurité nationale je commençais à en avoir royalement plein le cul, nous devions nous efforcer à protéger la nation des divers danger qui la guettait alors que d'une façon elle s'en moquait … il ne suffisait que de poser un simple regard sur celle-ci pour s'en persuader mais bon il était de notre devoir de protéger celle-ci, par moment, contre elle-même et il était impératif de bien s'acquitter de notre boulot même si nous n'en tirions pas la reconnaissance escomptée. Lorsque je ne travaillais pas je redevenais songeur et lors de ces moments il m'arrivait de ressasser le passé, de me remémorer ce qui était survenu il y a de cela déjà plus de 10 ans, et évidemment alors les regrets et les remords qui refaisaient surfaces venait la tristesse et les larmes qui en découlaient … bien que le temps avait continué de filer depuis je n'avais pas réussi à passer à autre chose je continuais de nourrir le même état d'esprit qui me torturait depuis toutes ces années et la seule façon que j'avais trouvé d'apaiser mes démons étaient de travailler sans relâche ou de me noyer dans l'alcool et puisque j'étais en arrêt de travail suite à une blessure il ne me restait que la boisson comme porte de sortie.

Ressentant l'appel du whisky, et ne pouvant que difficilement lui résister, je finis par quitter ma résidence non pas sans avoir mis un peu de temps à me préparer j'avais ma fierté après tout. C'est donc élégamment vêtu que je finis par me rendre à cette boîte de nuit , ou j'avais mes entrées, et je me dirigeai vers le bar afin de m'y installer me commandant une double dose de cognac. Portant mon verre à mes lèvres, tout en le faisant tourner entre mes doigts, je regardai un peu partout autour de moi afin de vérifier si je n'allais pas tomber sur un visage familier et et je portai à nouveau mon verre à mes lèvres. Ce verre allait être le premier d'une longue série, je le sentais … la soirée allait être longue – voire interminable – ma conscience me travaillait et il n'y avait que l'alcool qui puisse l'apaiser.

[vos messages]

Drink is all I need.
Ft. James Stonebridge & Trinity O'Hara

Dans le bureau, les feuilles s’entassaient, des dossiers à lire, à remplir, à discuter en compagnie de son mari et prendre des décisions adéquates. Loin du bruit du club, les murs étaient insonorisés et cela laissait place à une réflexion intense. Les doigts de Trinity glissait contre le clavier de cet ordinateur afin de répértorier les dernières personnes employées, gérer quelques dossiers avant de pouvoir penser au loisir de la soirée. Certaines personnes imaginaient cet emploi comme une opportunité de pouvoir allier le plaisir et le professionnel, cependant deux femmes sommeillaient chez la jeune femme. Lorsque la journée était présente, elle se transformait en une jeune femme modèle, alliant son domicile, ses activités, son bien-être, une vie quotidienne exaltante. Mais lorsque la nuit prenait possession des rues de Caerphilly, elle troquait sa vie contre un tailleur, une robe, empoignait son gant de velours intérieur et la voici prête à entrer dans une autre facette d’elle-même. Dans ce métier, elle dut apprendre à se faire respecter, ne pas être que la simple compagne du propriétaire, mais apprendre à montrer son autorité à toute épreuve. Au fond d’elle, elle possède cette générosité, cet altruisme qu’elle cache derrière une carapace de jeune femme froide et sans scrupules. Cela lui est déjà arrivé de mettre une employée à la porte, après plusieurs absences, bien que cette employée soit mère de famille. Lors de situations trop complexes, elle laisse son mari prendre le dessus et sortir ce côté sombre qu’elle appréciait tant au fond. Le calme, la paix, la sérénité, régnait dans cette pièce où seul le professionnalisme régnait en maître. Cela était sans compter sur ces trois coups brefs qui se firent entendre à la porte. Sans prendre la peine de retirer son nez de ses dossiers, Trinity lançait un cri, donnant son autorisation à la personne d’entrer. Les lunettes, délicatement posées sur le nez, elle vit l’une de ses serveuses se poster devant elle. « Qu’est-ce qui se passe Emy ? - Vous m’avez demandé de vous prévenir quand M. Stonebridge reviendrait, il se trouve au bar actuellement. » La surprise se lisait sur les visages de la jeune blonde, qui remercia son employé avant qu’elle ne prenne congé.
Se plaçant au fond de son siège, Trinity délaissait ses occupations quelques instants, afin de pouvoir opter pour un temps de réflexion. Cette demande n’était pas anodine, cet homme avait cessé de venir du jour au lendemain, sans en expliquer la raison. Surtout que Trinity avait pris la décision de le considérer comme un client particulier, un client qui possédait cette particularité de pouvoir s’isoler avec l’une des ‘serveuses’ dès que le désir le lui prenait. Avant de pouvoir établir ce ‘contrat’, elle s’était renseignée sur lui, rares sont ceux à avoir cette opportunité. Cependant, il restait avant tout son ami ! Elle se levait du siège, dont elle s’était ancrée de nombreuses minutes auparavant, se recoiffa légèrement avant de quitter cette pièce. Elle prit soin de fermer à clé derrière elle, seule son mari et elle possédait la clé de leur bureau. Quelques mètres la séparaient du lieu principal, la musique parvint à ses oreilles et la lumière filtrait dans son regard. Elle fit un crochet par la table où se trouvait son mari afin de laisser paraître quelques signes de tendresse puis elle prit la direction du bar. Elle passait de l’autre côté de celui-ci, arborant un sourire narquois face à la présence de James. Se plaçant aux côtés de la serveuse, elle lui glissait à l’oreille. « Je m’occupe de ce client ! - Vous êtes sûres Mme O’Hara ? » Des ordres sont des ordres, il suffit qu’elle acquiesce d’un simple regard pour que la serveuse s’éloigna. Se plaçant face à James, les mains sur le comptoir, elle servit un verre de sa boisson préférée avant de le placer devant lui. « Tiens James, te voilà de retour parmi nous ? Tu as du être très occupé en ce moment pour ne plus passer du tout, du jour au lendemain ! » Ce n’était pas une remarque de la part de la jeune femme, mais plus une constatation ! Trinity arborait un joli sourire angélique sur ces traits, signe d’une joie de le voir réapparaître soudainement.  

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Drink is all I need.
Ft. James Stonebridge & Trinity O'Hara

Dans le bureau, les feuilles s’entassaient, des dossiers à lire, à remplir, à discuter en compagnie de son mari et prendre des décisions adéquates. Loin du bruit du club, les murs étaient insonorisés et cela laissait place à une réflexion intense. Les doigts de Trinity glissait contre le clavier de cet ordinateur afin de répértorier les dernières personnes employées, gérer quelques dossiers avant de pouvoir penser au loisir de la soirée. Certaines personnes imaginaient cet emploi comme une opportunité de pouvoir allier le plaisir et le professionnel, cependant deux femmes sommeillaient chez la jeune femme. Lorsque la journée était présente, elle se transformait en une jeune femme modèle, alliant son domicile, ses activités, son bien-être, une vie quotidienne exaltante. Mais lorsque la nuit prenait possession des rues de Caerphilly, elle troquait sa vie contre un tailleur, une robe, empoignait son gant de velours intérieur et la voici prête à entrer dans une autre facette d’elle-même. Dans ce métier, elle dut apprendre à se faire respecter, ne pas être que la simple compagne du propriétaire, mais apprendre à montrer son autorité à toute épreuve. Au fond d’elle, elle possède cette générosité, cet altruisme qu’elle cache derrière une carapace de jeune femme froide et sans scrupules. Cela lui est déjà arrivé de mettre une employée à la porte, après plusieurs absences, bien que cette employée soit mère de famille. Lors de situations trop complexes, elle laisse son mari prendre le dessus et sortir ce côté sombre qu’elle appréciait tant au fond. Le calme, la paix, la sérénité, régnait dans cette pièce où seul le professionnalisme régnait en maître. Cela était sans compter sur ces trois coups brefs qui se firent entendre à la porte. Sans prendre la peine de retirer son nez de ses dossiers, Trinity lançait un cri, donnant son autorisation à la personne d’entrer. Les lunettes, délicatement posées sur le nez, elle vit l’une de ses serveuses se poster devant elle. « Qu’est-ce qui se passe Emy ? - Vous m’avez demandé de vous prévenir quand M. Stonebridge reviendrait, il se trouve au bar actuellement. » La surprise se lisait sur les visages de la jeune blonde, qui remercia son employé avant qu’elle ne prenne congé.
Se plaçant au fond de son siège, Trinity délaissait ses occupations quelques instants, afin de pouvoir opter pour un temps de réflexion. Cette demande n’était pas anodine, cet homme avait cessé de venir du jour au lendemain, sans en expliquer la raison. Surtout que Trinity avait pris la décision de le considérer comme un client particulier, un client qui possédait cette particularité de pouvoir s’isoler avec l’une des ‘serveuses’ dès que le désir le lui prenait. Avant de pouvoir établir ce ‘contrat’, elle s’était renseignée sur lui, rares sont ceux à avoir cette opportunité. Cependant, il restait avant tout son ami ! Elle se levait du siège, dont elle s’était ancrée de nombreuses minutes auparavant, se recoiffa légèrement avant de quitter cette pièce. Elle prit soin de fermer à clé derrière elle, seule son mari et elle possédait la clé de leur bureau. Quelques mètres la séparaient du lieu principal, la musique parvint à ses oreilles et la lumière filtrait dans son regard. Elle fit un crochet par la table où se trouvait son mari afin de laisser paraître quelques signes de tendresse puis elle prit la direction du bar. Elle passait de l’autre côté de celui-ci, arborant un sourire narquois face à la présence de James. Se plaçant aux côtés de la serveuse, elle lui glissait à l’oreille. « Je m’occupe de ce client ! - Vous êtes sûres Mme O’Hara ? » Des ordres sont des ordres, il suffit qu’elle acquiesce d’un simple regard pour que la serveuse s’éloigna. Se plaçant face à James, les mains sur le comptoir, elle servit un verre de sa boisson préférée avant de le placer devant lui. « Tiens James, te voilà de retour parmi nous ? Tu as du être très occupé en ce moment pour ne plus passer du tout, du jour au lendemain ! » Ce n’était pas une remarque de la part de la jeune femme, mais plus une constatation ! Trinity arborait un joli sourire angélique sur ces traits, signe d’une joie de le voir réapparaître soudainement.  

[vos messages]

All I  need is drink, all I need is drink ... drink is all I need.

Je n'avais pas remis les pieds au Diamond's Pain depuis cette fameuse soirée ou les services d'une des filles de la boîte m'avait été offert par Trinity. Sans doute croyait elle qu'un peu de distraction ne pourrait que me procurer le plus grand bien mais sans le savoir c'est plutôt un lourd dilemme moral qu'elle provoqua. En effet n'ayant pas réussi à m'affranchir de mon deuil, bien que le tout remontait à dix ans déjà, j'étais d'avis que ce comportement était indigne de ma part et rongé par les remords j'avais préféré éviter ce lieu. Afin de taire ces remords qui avaient fini par refaire surface je m'étais consacré corps et âme à mon boulot, il faut dire que ce n'était pas les gros dossiers qui manquaient. À force de lire ces rapports sur la sécurité nationale et les menaces terroristes qui planaient ici et là à l'encontre de la région je commençais à me dire que la vie serait bien plus belle si j'avais un verre – ou deux – dans le nez et c'est ce qui m'incita à me rendre à ce endroit que j'évitais depuis quelques temps déjà.

L'envie de boire me tenaillait depuis quelques jours je finis donc par céder à cette folle , et insoutenable tentation, pour finalement me diriger vers ce lieu de perdition que je m'étais pourtant promis de fuir comme la peste. Arrivé sur place je m'installai au bar et je me commandai un verre de scotch sans trop me douter de ce qui allait bien m'attendre. Discutant de choses et d'autres, à la fois de tout et de rien, je souris à la serveuse lorsqu'elle me dit qu'elle devait s'éclipser pendant quelques minutes pour un truc de bonne femme et je me contentai de lui sourire … une façon bien à moi de lui dire que je comprenais parfaitement. Et puis au bout de quelques minutes je vis Trinity prendre place derrière le comptoir c'est alors que je finis par réaliser que la serveuse était douée dans l'art de mentir aux gens … elle pourrait faire carrière chez nous celle-là. Trinity me servi mon verre mais plus que tout je me doutais bien que certaines questions allaient m'être adressées … d'ailleurs l'interrogatoire ne se fit pas attendre.

Disons que je n'ai pas eu une seule seconde à moi ces derniers temps avec les dossiers qui s'empilent … d'ailleurs j'ai pris une pause car je commençais à devenir dingue. Je préférais lui servir cette version que de lui dire la vérité après tout si je lui racontais que ce sont mes remords que je ressentais à l'endroit de ma promesse de fidélité à l'endroit de ma femme, morte depuis déjà 10 ans, qui en était la principale raison elle me prendrait sûrement pour le dernier des dingues … non valait mieux y aller avec ma version officielle histoire de ne pas gâcher le moment et puis j'aimais bien admirer ce sourire quasi angélique qui se dessinait sur charmant visage.

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All I  need is drink, all I need is drink ... drink is all I need.

Je n'avais pas remis les pieds au Diamond's Pain depuis cette fameuse soirée ou les services d'une des filles de la boîte m'avait été offert par Trinity. Sans doute croyait elle qu'un peu de distraction ne pourrait que me procurer le plus grand bien mais sans le savoir c'est plutôt un lourd dilemme moral qu'elle provoqua. En effet n'ayant pas réussi à m'affranchir de mon deuil, bien que le tout remontait à dix ans déjà, j'étais d'avis que ce comportement était indigne de ma part et rongé par les remords j'avais préféré éviter ce lieu. Afin de taire ces remords qui avaient fini par refaire surface je m'étais consacré corps et âme à mon boulot, il faut dire que ce n'était pas les gros dossiers qui manquaient. À force de lire ces rapports sur la sécurité nationale et les menaces terroristes qui planaient ici et là à l'encontre de la région je commençais à me dire que la vie serait bien plus belle si j'avais un verre – ou deux – dans le nez et c'est ce qui m'incita à me rendre à ce endroit que j'évitais depuis quelques temps déjà.

L'envie de boire me tenaillait depuis quelques jours je finis donc par céder à cette folle , et insoutenable tentation, pour finalement me diriger vers ce lieu de perdition que je m'étais pourtant promis de fuir comme la peste. Arrivé sur place je m'installai au bar et je me commandai un verre de scotch sans trop me douter de ce qui allait bien m'attendre. Discutant de choses et d'autres, à la fois de tout et de rien, je souris à la serveuse lorsqu'elle me dit qu'elle devait s'éclipser pendant quelques minutes pour un truc de bonne femme et je me contentai de lui sourire … une façon bien à moi de lui dire que je comprenais parfaitement. Et puis au bout de quelques minutes je vis Trinity prendre place derrière le comptoir c'est alors que je finis par réaliser que la serveuse était douée dans l'art de mentir aux gens … elle pourrait faire carrière chez nous celle-là. Trinity me servi mon verre mais plus que tout je me doutais bien que certaines questions allaient m'être adressées … d'ailleurs l'interrogatoire ne se fit pas attendre.

Disons que je n'ai pas eu une seule seconde à moi ces derniers temps avec les dossiers qui s'empilent … d'ailleurs j'ai pris une pause car je commençais à devenir dingue. Je préférais lui servir cette version que de lui dire la vérité après tout si je lui racontais que ce sont mes remords que je ressentais à l'endroit de ma promesse de fidélité à l'endroit de ma femme, morte depuis déjà 10 ans, qui en était la principale raison elle me prendrait sûrement pour le dernier des dingues … non valait mieux y aller avec ma version officielle histoire de ne pas gâcher le moment et puis j'aimais bien admirer ce sourire quasi angélique qui se dessinait sur charmant visage.