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  KEAZY ☇ écrivain damné.

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MessageSujet: KEAZY ☇ écrivain damné.    KEAZY ☇ écrivain damné. EmptyMer 23 Avr - 13:43

keazy emmet fields
i like the way it's hurts

Nom : Fields. Fields. Le nom de quelques musiciens inconnus. De quelques mélopées enivrantes. Le son de la musique. De la plume. Des écrits perdus. Des mots échoués. ✏️ Prénom : Keazy Emmet. ✏️ Âge : Quarante-sept ans. Trop d'années de vie perdues. Trop de temps à errer, à tenter de trouver cette inspiration qui n'est plus. Poète a la dérive. Musicien à la débauche. ✏️ date et lieu de naissance :  Une âme échouée errant de ville en ville, à la recherche d'une inspiration qui n'est plus, à la recherche de cette flamme éteinte depuis des années. Las Vegas. Tu m'as mis au monde et tu m'as tué. ✏️ vos origines : simple américain. ✏️ Métier : écrivain damné dont l'inspiration est à la dérive. doux songe d'une nuit d'été. créateur de son, de musique. compositeur de tristesse. fidèle à la bouteille. ✏️ Orientation sexuelle :les femmes. il évite pourtant depuis des années de se glisser entre les cuisses d'une demoiselle. le manque d'envie. le manque de vie. le manque d'une passion à même de se loger au creux de ses reins. ✏️ Statut matrimonial : perdu dans ce manque qu'il à d'elle, de cette présence qui n'est rien d'autre qu'un amer regret entre ses lèvres. Rien d'autre qu'une odeur futile. Une odeur d'une parfum d'atan. ✏️ côté financier : l'argent n'a pas réellement d'importance pour lui. Caractère : ombre tristesse à même de le briser, de laisser les bouteilles d'alcool s'accumuler dans sa demeure pitoyable. écrivain en manque de muse, en manque d'inspiration. compositeur condamné à refléter ce mal de vivre à même de l'empoisonner, de le laisser dériver. ce silence trop prenant, trop étouffant autour de lui. les mots qui peinent à sortir de sa bouche. cette non-joie de vivre. cette lassitude apparente. ce mal de vivre. ce mal d'être. c'est ce qu'il est.  ✏️ Groupe : les imparfaits

un peu plus sur vous.
l est complètement dépendant de la nicotine, il aime cette sensation de brûlure qui lui coule le long de la gorge ஓ les alcools forts ca le connait. les carcasses de bouteilles vides s'accumulent dans son appartement miteux ஓ l'écrivain n'aime pas vivre dans le luxe, comme si les quartiers malfamés allaient lui apporter la moindre once de réconfort ou d'inspiration ஓ un cahier qui lui sert à écrire est toujours logé dans le creux de sa poche, au cas où une idée lui viendrait en tête, ce qui est rare ஓ il est doué pour jouer de la guitare et du piano, c'est tactile, c'est facile, c'est innée ஓ le silence fait partie de sa vie, il n'aime pas s'étaler sur les affres de son passé, sur ce qui le tourmente, le ronge ஓ une photo de sa femme traîne toujours dans son porte-monnaie usé, son visage d'ange, son sourire candide ஓ son style est varié, parfois désabuser, parfois un peu plus habillé, au final ca l'importe peu ஓ il ne parle pas pour rien dire, il se perd souvent dans des phrases dénué de sens, cherchant toujours cette petite étincelle qui manque, ce quelque chose qui n'est plus ஓ il rêve trop souvent d'elle, pris dans des songes du passé, les fantômes le hantent depuis des années ஓ l'insomnie fait partie de son quotidien, il a du mal à avoir un sommeil récupérateur ஓ il est incapable d'oublier la chaleur de son sang contre ses doigts, de son souffle saccadé, se son visage en train de s'éteindre juste devant ses yeux ஓ il est taciturne, n'aime pas parler pour rien dire, même si ses phrases semblent parfois trop longue ou trop pensé, c'est naturel pour lui ஓ il tente de trouver son âme, sa muse dans les coins perdus

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? depuis quelques semaines sans plus. ce n'est qu'une ville de passage comme les autres. je ne pense pas m'y attarder très longtemps. je recherche cette inspiration qui ne semble pas avoir envie de montrer le bout de son nez. elle tarde. elle se fait attendre. comment considérer vous votre vie actuellement? ce n'est que les éclats de mon passé. je n'ai pas réellement envie d'avancer, mais je n'ai d'autre choix que de survivre, que de tenter de trouver une motivation quelque part. c'est impossible. elle me manque. est-ce qu'l y a quelque chose que j'aimerais changer? sa mort. la mort de celle que j'aime. celle qui me manque jour après jour. j'aurais voulu que ce soit autrement, la prendre encore dans mes bras et profiter de notre vie ensemble. c'est la seule chose qui m'importe, mais je sais que je ne peux pas revenir en arrière.

derrière l'écran.
votre pseudo : belzébuth ✏️ votre âge : 24 ans ✏️ votre pays : canada ✏️ scénario ou inventé : inventé ✏️ votre fréquence de connexion : souvent ✏️ comment êtes-vous arrivé ici? :  lol!  ✏️ vos commentaires/impressions :   KEAZY ☇ écrivain damné. 4186256398  j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question :   KEAZY ☇ écrivain damné. 1510423090 
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Invité

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MessageSujet: Re: KEAZY ☇ écrivain damné.    KEAZY ☇ écrivain damné. EmptyMer 23 Avr - 13:44

story of my life
i like the way it's hurts

une esquisse de notre histoire. de ce moment à jamais gravé dans ma mémoire. un semblant d'écrit que je pose sur papier pour toi. ma douce. année 1975.

Le sang contre ses doigts. Ce souffle qui peinait à s'expulser de sa bouche perlée de fines gouttes de sang. Ses côtes étaient douloureuses sous le moindre mouvement qu'elle tentait de faire. Un moment d'inattention. Un conducteur à l'haleine trop alcoolisé. Il gisait sur le côté de la route, le corps décapité, les entrailles s'expulsant soigneusement de son ventre, les yeux bien trop sortis de leur orbite. L'homme ne le voyait pas. Il se contentait de suffoquer sous le sang translucide de sa femme. Liquide rougeâtre. Chaleur désagréable qui ne cessait de s'étendre contre ses paumes. Le crépitement des moteurs qui ne voulaient que s'enflammer au moindre moment de répit. Elle était là. Entre ses mains. Tentant de survivre à cet accident. Le visage brisé par les éclats de vitre qui avait atteint sa peau de porcelaine. Sa chevelure d'or était souillée de cette couleur rouge. Ce rouge qui s'empreignait contre ses vêtements, contre le sol. Les côtes brisées. Le corps en lambeau. Il n'avait pratiquement rien. Le côté passager de la voiture était en morceaux, montrant l'ampleur de coup qu'elle avait reçu quelques instants plus tôt. La moiteur de mains de Fields était incontrôlable. Il peignait le calme sur son visage, tentant comme il pouvait de la rassurer. Les secours allaient finir par arriver. Sa main, trop tremblante, se leva pour venir doucement caresser le visage de sa bien-aimée. Immobile entre ses doigts. L'eau saline emplissant la prunelle de ses yeux. « Je vais mourir.» Une voix. Une voix trop faible qui peinait à s'expulser de ce corps souffrant, de ce corps qui se perdait doucement dans les abysses d'une mort à venir. Son sourire qui ne quittait pas ses lèvres alors qu'elle n'était que souffrance. Son bras fragile se leva et vint s'échoir contre sa mâchoire carrée, caressant cette barbe qui traînait sur sa peau depuis des jours. « Je t'aime.» Les larmes lui montèrent aux yeux. Le souffle lui manqua alors qu'il tremblait encore sous la sensation du sang qui ne cessait de couler. « Tu vas t'en sortir.» L'assurance d'antan n'y était plus. Sa voix était nouée par les sanglots qu'il tentait de dissimuler derrière ce masque de fierté et d'assurance. Masque qui ne faisait que se fissurer plus les secondes passaient. Masque qui n'allait pas tarder à s'échouer contre le sol. Elle rit. Elle laissa un rire s'échouer contre la peau grisâtre de son mari. Il s'arrêta. L'observa. Elle était partie. Elle venait de le faire. À cette seconde précise. Après ce rire qu'elle échappa. Dernière chose sortie de sa bouche pâle, de ses lèvres rosées. Il mourut à ce moment. En même temps qu'elle. Il mourut à son tour.

le semblant d'une inspiration qui vient de poindre en moi. sirène de la nuit. douce poupée opaline et fragile perdue dans les abysses de la vie. année 2014.

La musique lui vrillait les tympans. Héros d'une soirée désabusée. Piètre homme contraint à errer sans but particulier. Il observait l'endroit. Les corps qui se heurtaient dans des danses trop sensuelles, tout était dénué du moindre sens pour lui. Ses doigts se glissaient contre son verre de whisky, triste ami qu'il s'était forgé au fil des années. Le liquide lui brûlait littéralement la gorge, comme le mégot de sa cigarette qui ne faisait que se transformer en fumée dans l'air. De temps en temps, elle venait se perdre entre ses lèvres, empoisonnant ses poumons de cet air néfaste. L'ambiance était ennuyante, autant que les gens qui ne se rendaient pas compte qu'ils étaient aussi misérables les uns que les autres. Ce goût de la vie, d'avancer, il avait fini par s'estomper en ne laissant qu'une amertume impitoyable en lui. Un soupir passa entre ses lèvres, s'enfonçant plus profondément dans sa chaise, il lorgnait les alentours avec un détachement réel. Si seulement il avait pu écrire une once de quelque chose. Le moindre détail.

Elle perça la foule. Incapable de tenir. Vacillant entre la réalité et un autre monde qu'il ne connaissait pas. Chevelure d'ange. Un regard perdu dans une brume qui lui était inconnue. La chaleur lui frappait au visage. Des mèches de cheveux se perdaient contre sa peau trop chaude, s'y collant d'une façon troublante. Petite colombe perdue dans un endroit de débauche. Il finit son verre, ne quittant des yeux cette petite chose fragile qui semblait sur le point de s'écrouler à tout moment. Son corps se retrouvait percuté par les autres qui ne prenaient garde, qui ne voyaient pas cette faiblesse pratiquement palpable tellement elle était présente. La douce perdit pied et vint s'écrouler contre le sol. Elle perdit pied ou conscience du à l'abus de drogue qui se trouvait dans son système. Il se mit en marche vers la demoiselle, tentant de lui reprendre conscience. C'était peine perdue. Il n'y connaissait rien en ce qui concernait ce qu'elle avait pu s'injecter dans le corps, mais elle ne semblait pas dans un très bon état. Son teint était blafard. Sa peau était moite. La sortie. Sa voiture. Direction l'hôpital. Il avait du mal à détacher son regard d'elle. Cette jeune fille tellement fragile, perdue dans des recoins trop sombre, surement dû a un passé tortueux. Elle l'intriguait. Elle l'animait. Faisant revivre une parcelle de lui. Cette curiosité malsaine. Petite perle fragile qu'elle semblait être, perdue, brisée, elle l'inspirait.
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KEAZY ☇ écrivain damné.

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