Une femme divorcée débarque ici. + Alana Owen

Invité

Alana Owen
i like the way it's hurts

Nom : Owen.

Prénom : Alana.

Âge : Trente deux ans.

date et lieu de naissance : 15 mai 1982 à Cardiff.

vos origines : Galloises.

Métier : avocate.

Orientation sexuelle : j'aime bien trop les hommes.

Statut matrimonial : divorcée.

côté financier : je vis bien, pas besoin de me faire entretenir. Caractère : Mon petit caractère, et bien je suis quelqu'un d'indépendante, pas besoin de quelqu'un pour faire ce que je veux, solitaire, depuis mon divorce, je me sens bien mieux seule. Malgré tout, je suis douce, tendre, j'aime les câlins et les bisous (oui, un vrai bisounours), je n'en reste pas moins méfiante depuis que je suis divorcée. J'aime rire et je ne me gêne pas pour faire la folle. Après tout, à quoi bon s'apitoyer sur son sort. Je suis également fière, si j'en suis arrivée où j'en suis, c'est grâce à moi. Je suis aussi une vraie tête de mule, je suis têtue et fière de l'être, on ne s'ennuie pas avec moi. Malgré la solitude que je m'impose, j'aime séduire et je ne m'en prive pas...

Groupe : Les inconditionnelles.

un peu plus sur vous.

Je ne peux commencer la journée sans mon café.

Je dors encore en suçant mon pouce.

Je joue avec mes cheveux quand je suis stressée.

J'ai une collection incroyable de chaussures, c'est mon péché mignon.

Quand j'étais petite, je mangeais mes frites dans la mousse au chocolat.

Je préfère le soleil à la pluie.

Je me mordille la lèvre inférieure quand je suis sous le charme d'un beau mec.

Je ne peux sortir sans avoir pris le temps de me maquiller, un maquillage naturel hein je suis pas une bitch.

Je suis une fan de vernis, j'en ai une bonne centaine, je suis coquette jusqu'aux bouts des ongles.

J.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? Je viens de déménager pour cette belle ville de Caerphilly, je ne connais personne, mais je sentis l'envie de prendre mon envol. Il serait temps d'ailleurs j'ai tout de même trente deux ans et je n'en pouvais plus d'avoir cette pression sur les épaules, celle de ma cacher et surtout de calculer le moindre de mes faits et gestes pour la tranquillité de ma famille. J'ai donc tout envoyé balader pour pouvoir vivre ma vie comme je l'entends et surtout ne plus avoir à être contraint à un quelconque protocole. J'ignore que mon ex-mari est ici, je ne sais même pas qu'il est en liberté conditionnel. Depuis cette dernière entrevue où j'ai demandé le divorce, je n'ai plus eu de ses nouvelles... Si je suis venue ici, c'est parce qu'un poste important m'a été confié et que je pourrais même prendre du galon en devenant substitut du procureur. J'ai hâte de prendre mes nouvelles fonctions. comment considérez vous votre vie actuellement? Et bien je pense que ma vie n'est tout simplement pas celle que j'aurais imaginée. En ce qui concerne mon métier, j'ai toujours voulu être avocate. Mais être née dans une famille riche n'a pas été la bonne équation en ce qui concerne ma vie. Je manque de liberté et de prises d'initiatives. Cette liberté, je la prends en quittant ce monde de faux semblants et de paillettes. J'aime le luxe, je ne le cache pas, mais j'ai aussi besoin de tranquillité et de folie pour pouvoir être pleinement moi. Ma vie n'est donc pas pleinement la mienne et je compte bien y remédier en venant dans cette ville que je ne connais pas. est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Et bien ce que je voudrais changer ? Et bien j'aurais aimé prendre ma décision par moi-même plutôt que d'avoir été contraint par ma famille à demander le divorce. Que voulez-vous, être amoureuse et qui plus est mariée avec un prisonnier n'était pas bon pour une famille de notre standing. Mon mari, enfin ex-mari faisait tache dans le décor maintenant et pour ne pas entrer en conflit avec mon père, j'ai demandé le divorce. Maintenant, je n'arrive plus à m'attacher à un mec, tout simplement parce qu'il est toujours dans ma tête... J'étais jeune... J'ai fait une erreur et c'est comme ça.

derrière l'écran.
votre pseudo : Petit chou.

votre âge : 26 ans.

votre pays : France.

scénario ou inventé : Scénario.

votre fréquence de connexion : 5/7.

comment êtes-vous arrivé ici? : Une pub sur facebook.

vos commentaires/impressions : Et bien si je suis venu ici c'est que le forum m'a plu. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : J'accepte totalement, ça ne peut qu'être plus drôle comme ça Smile

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Invité

story of my life
i like the way it's hurts

On dit toujours qu'une vie à un début, un milieu, une fin. Je vais commencer par la fin parce qu'elle est le ciment de mon avenir et ce qui fait de moi la femme que je suis au jour d'aujourd'hui. Dix années, dix longues années que je suis divorcée et je me pose encore et toujours la même question, ai-je pris la bonne décision ? Après tout, mon ex-mari Caerwyn n'a jamais cessé de clamer son innocence et fond de moi, j'ai toujours eu ce doute viscéral de m'être trompée en demandant le divorce. Mais que voulez-vous, je suis une jeune femme de bonne famille et il faut le dire, être mariée à un homme accusé de meurtre ne fait vraiment pas bon ménage dans une famille riche. Mes parents n'ont jamais cautionné mon mariage avec lui, j'étais jeune mais pourtant, je savais que ce grand blond était le bon. Je n'avais pas donc pas hésité et j'avais dit oui. Je ne regrettais absolument pas d'avoir dit oui, cet homme était fait pour moi. Et pourtant, je me suis laissée bouffer par mes parents, trouvant la pression trop forte, j'ai pris la décision de tout arrêter avant que cette situation ne nous fasse encore plus souffrir. Je ne supportais pas de le voir au parloir, de le voir si démuni et puis, je détestais entendre mes parents dire du mal de lui. J'en avais marre d'être celle qui devait faire le choix entre ma famille, mon sang et l'homme de ma vie. Il me fallait le faire. Et j'avais donc annoncé à mon ange blond que je voulais le divorce. Je me souviendrais toujours de ce parloir. Il avait le sourire, il était heureux de me voir et j'avais brisé ses espoirs.

Si ce jour hante encore mes pensées et si mon ex-mari y participe également, c'est parce que huit mois plus tard, un enfant était né, un petit garçon que j'avais décidé de prénommé Jérémyah. Je ne pouvais pas me résigner à avorter. Ce petit être dans mon ventre était le fruit de l'amour. J'avais lutté pour pouvoir lui donner la vie. Je ne regrette pas d'avoir tenue tête à mes parents, ces dictateurs. J'aurais dû en faire tout autant pour mon ex-mari. En grandissant, mon fils arborait de plus en plus les traits de son père. Pas de doute, on ne pouvait que se rendre compte de qui était le père de mon enfant. J'en étais fière quoiqu'en dise les autres. Finalement, ce petit être qu'on m'avait mis dans les bras était le seul lien qui me restait avec mon ex-mari. Quand j'étais petite et que je jouais avec mes poupées de collection, je rêvais du prince charmant, que je me marierais dans une grande robe blanche et que ma famille serait là. Tout avait été différent en réalité. Mais les rêves sont toujours édulcorées et irréalisables dans la majorité des cas. Aujourd'hui, je suis enchaînée à un type que mes parents m'ont présenté en me faisant sous-entendre que ce type serait un bon parti pour notre famille.

Dix années que j'avais supporté la tyrannie de ma famille et que j'avais dit amen à tout. J'étais comme une cocotte-minute, toujours sous pression. Par chance, la soupape ne lâchait pas. Jusqu'au jour où elle a fini par lâcher. J'étais une avocate brillante, la seule chose que mes parents m'ont laissé faire. Une opportunité, un poste de substitut du procureur dans une ville que je ne connaissais pas et me voilà qui fait mes valises sans rien dire. Je demande également à Jérémyah de préparer ses affaires et sans dire un mot, nous sommes partis. Je n'ai rien dit à personne. Mon fiancé Kendall doit être en train de me chercher mais j'en ai absolument rien à foutre. Il fallait que je me libère de cette cage dorée, c'était bien trop de pression. Trois mois que nous sommes installés dans cette ville qu'est Caerphilly. Nous sommes heureux tous les deux, Jérémyah est content de l'école où il va et des copains qu'il se fait. Son sourire me suffit et suffit à me rendre heureuse. Mon nouveau travail me passionne et me donne envie d'avancer. Pour la première fois de ma vie, je suis indépendante et je m'assume pleinement. Je sais, à trente deux ans, il serait temps...