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| Stop trying to fix me - PV Nell | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell Dim 21 Sep - 19:40 | |
| Stop trying to fix meJe suis incapable de vous dire combien de temps est passé depuis que nous sommes entrés dans cette baignoire. Mais l’eau est presque froide, je m’en rends compte maintenant que mon corps n’est plus soumis à la fièvre douce de nos échanges. Je l’ai gardée dans mes bras un long moment, le front posé sur son épaule pendant que je récupérais, les doigts entremêlés avec les siens, jointures blanchies tant je les ai serrés. J’émerge doucement, lentement, finis par me redresser et lâcher ses mains, non sans poser les miennes dans son dos pour quelques caresses apaisantes. Sa réflexion m’arracha un petit rire, il est vrai qu’on ne pouvait pas rester indéfiniment dans cette maison, isolés du monde extérieur à ne faire que boire, manger, dormir et s’envoyer en l’air ! C’était presque dommage d’ailleurs, mais toutes les bonnes choses ont une fin paraît-il.
Ne me dis pas que je vais te manquer !
C’est drôle quand même, il y a peu on était encore comme chien et chat tous les deux, incapables de se parler sans s’envoyer balader purement et simplement. Voilà qu’on a du mal à l’idée de se quitter, la vie est ironique parfois. Mon pouce glisse doucement sur la joue de la jeune femme et mes lèvres frôlent les siennes dans un baiser aérien.
Peut être que si. Je te l’ai dit tout à l’heure que je ne t’avais jamais vue aussi belle, non ?
Je lui fais un clin d’oeil, m’extirpe de la baignoire, puis j’aide Nell à en sortir à son tour. Elle prend l’initiative d’attraper les serviettes et c’est non sans amusement que je la vois observer attentivement mon corps, profitant au passage de la vue qui lui était offerte. Bien entendu, je ne peux pas m’empêcher de la taquiner, c’est plus fort que moi.
On se rince l’oeil Mademoiselle Heatley ?
Je me mords la joue mais à la voir lever les yeux au ciel, je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Ses fringues ? Attendez, laissez-moi me souvenir… Ah oui, on s’est pris l’eau, on est venus à la salle de bains pour se sécher, j’y ai laissé Nell pour aller dans ma chambre et quand je suis revenu, j’ai été happé par cette vision de rêve de son corps totalement mis à nu. Bref, elles devraient être dans le coin, non ? Je regarde autour de moi et finis par les trouver tout en haut du radiateur mural d’où je les décroche.
Secs et bien chauds ! Mais bien moins agréables que moi sur la peau évidemment.
Je fais l’idiot, m’amuse à lui mettre une petite claque sur les fesses avant d’éclater de rire. Pendant que la baignoire se vide, je m’essuie un peu plus sérieusement. Il va falloir que je me rhabille, ça fait plus de vingt quatre heures que je me balade totalement à poil dans la maison !
En tout cas intérieurement j’ai l’impression d’être un gamin en pleine poussée d’hormones qui bande à la moindre pensée érotique.
C’est plutôt amusant, je ne vais pas me plaindre d’avoir perdu quelques années de maturité dans ma tête pour ce temps donné qui est de toute façon trop court. Il me faut aller dans ma chambre pour trouver des vêtements et me rhabiller. J’enfile mon t-shirt en revenant vers la salle de bains où j’ai laissé Nell quelques secondes auparavant. Souriant, je place une mèche de ses cheveux derrière son oreille et enroule mes bras autour de sa taille.
Tu veux que je te ramène maintenant ou tu préfères manger avant ?
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| | | Nell Heatley
vos messages : 324 Date d'inscription : 12/05/2014
| Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell Lun 22 Sep - 0:47 | |
| Stop trying to fix me Je me contente de lui tirer la langue en guise de réponse, faute de trouver mieux. Disons qu'il y a de quoi regretter de devoir partir bosser quand on peut aisément abuser d'un corps qui n'attend bien que ça, encore et encore, jusqu'à ce que mort s'ensuive. Considérant la glorieux registre des corps à corps consommés depuis la veille, j'imagine que je suis à une dizaine près d'une fin tragique si mon coeur lâchait parce que j'ai trop souvent et trop intensément pris mon pied en si peu de temps. Ça me fait sourire intérieurement, cette connerie, parce que j'ai rarement eu envie de m'attarder quelque part après avoir obtenu satisfaction, ce qui est peu dire. Seulement, quitter sans être totalement rassasiée - mon appétit pour la luxure avec Valentyne a-t-il une limite, voilà la véritable question à se poser - c'est presque pire qu'un coït interrompu, presque. Dans tous les cas, je finis par simplement accepter la triste fatalité, non sans maudire le système et tout le reste au passage, happée au vol par la bouche frivole et gourmande de Mylow qui semble pas non plus repue « Je crois que la candeur ajoute un petit charme à l'éventail que je possède déjà » que je rétorque, amusée. Puis les festivités s'achevant, mon regard fait le deuil de ce paysage plutôt équivoque ces dernières vingt-quatre heures alors que je me fais surprendre sur le fait. Je souris, relève les yeux pour croiser son regard, arquant un sourcil au passage « Et monsieur ne se gêne pas pour faire de même, c'est donnant-donnant moi je dis ». Des gamins, des putain de gamins.
Frôler du bout des doigts le tissu de mes vêtements semble nettement moins plaisant qu'à l'habitude, regrettant déjà la confortable et seyante nudité qui m'habille depuis un moment déjà. Je les regarde, hébétée, hésitante, jusqu'à ce que la voix de Mylow m'interpelle et m'extirpe de cette torpeur inusité. Je n'ai rien à ajouter, je crois que ça résume pas mal notre psyché que de se référer à la puberté qui se trouve pourtant loin derrière nous. Je me résous à enfiler ma petite-culotte et mon t-shirt, mais pas le soutif et les jeans qui vont avec. Un deuil à la fois, je vous prie. Il ne commente pas mon accoutrement, son regard brillant simplement au moment de s'approcher, d'initier un énième contact entre ses phalanges et ma chair. Je me tâte à réfléchir avant de répondre à sa question, passant la langue sur mes lèvres avant de redresser légèrement le menton pour croiser son regard « Il y a quoi au menu? ». Je rigole doucement, me détache doucement de son emprise et le précède entre ses propres murs. Je reprends place sur le comptoir avec aisance et sans la moindre gêne, ouvrant un panneau puis un autre à la quête de quelque chose « T'a du courage liquide quelque part? De ceux plutôt fort, qui te fracasse la gueule si tu en abuses même qu'un peu ». Puis si je m'écoutais, je mettrais de la musique, me permettant de me délester de la torpeur dans laquelle il me plonge, me dandinant et réchauffant mes muscles avant que ce soit l'hécatombe sur scène. Sitôt je me retourne que je vois une bouteille ambrée, je la lui soutire d'entre les doigts pour la porter à mes lèvres sans daigner regarder ce que c'est. Secoue la bouteille, l'œsophage brûlant à feu doux. Lui en propose une rasade avant de poser une paume sur son torse pour lui en verser dans le gosier, passant la langue sur quelques gouttes perlant sur ses lèvres l'instant d'après « Entre tes tâches de cuisinier et d'entraîneur, faudra trouver le temps de picoler ». |
| | | | Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell Lun 22 Sep - 19:44 | |
| Stop trying to fix meDe véritables gosses. Les bons mots fusent de part et d’autre et c’est franchement amusant. Depuis hier tout n’est que récréation et c’est un peu comme si aucun des deux n’avait envie de la voir se terminer. En même temps, on n’a rien mangé depuis le petit déjeuner, au demeurant excellent, que Nell nous a concoctés ce matin. On s’est pas mal entraînés, dépensé des calories… Tout ça, ça donne faim. C’est donc tout à fait logique que je propose à la jeune femme de manger un bout avant de partir non ? On est gentleman ou on ne l’est pas ! Maman m’engueulerait si elle savait que j’avais laissé une fille partir de chez moi avec rien dans le ventre… Si ça c’est pas de la belle excuse, excusez-moi mais je ne comprends plus rien !
Oh ben… Y’a qu’à voir ce qu’il y a dans les armoires et improviser !
J’étais le roi de l’improvisation, qu’on se le dise ! Affichant un sourire goguenard à mon invitée, cette dernière me répond en tournant les talons pour aller vers la cuisine. Bon ben… Je suis alors, on verra bien si elle trouve quelque chose qui l’inspire et on avisera. Marchant derrière elle, je peux vous dire que la vue est à couper le souffle. La Miss n’a remis que sa petite culotte et un t-shirt assez près du corps, autant vous dire que j’ai du mal de me concentrer sur une future recette de cuisine. Vous pensez qu’elle le fait exprès ? Parce que moi je la soupçonne fortement de ne pas être innocente du tout dans l’histoire…
Y’a de la vodka dans le freezer…
J’attrape une bouteille qui est sur le comptoir.
Sinon y’a du co…
…gnac. Pas le temps de finir ma phrase que la bouteille m’est subtilisée d’un geste rapide et précis. Je regarde la jeune femme se délecter du liquide alcoolisé avec un petit sourire en coin et me laisse faire quand elle décide de jouer à la poupée en me donnant le biberon. Ouais, bon, OK, image malheureuse, pardon. En attendant, je vous confirme que la belle me cherche. Glisser ainsi sa langue sur mes lèvres c’est de la provocation pure, d’autant qu’elle sait à présent sans le moindre doute possible que face à elle, je suis aussi faible qu’un nourrisson. J’essaie de rester stoïque - Je dis bien « j’essaie » - et pose mes mains sur les hanches de la divine succube qui me fait face et qui est toujours assise sur le plan de travail de la cuisine, la tire vers moi d’un coup sec pour que nos bassins soient collés l’un à l’autre.
Je me rends compte que je ne t’ai pas prise sur le plan de travail…
Je penche un peu la tête, mes doigts glissent sur ses cuisses tandis que mon regard se plante dans le sien et la provoque.
Je suis sensé te ramener chez toi en voiture, picoler n’est pas vraiment raisonnable si tu veux rentrer entière…
A présent, mes mains se fraient un passage sous le tissu de son t-shirt pour caresser le bas de son dos.
Et si toi tu picoles… Je pourrais bien en profiter et abuser de ton corps…
Mine de rien, je ne fais qu’énoncer des évidences. Bordel, pourquoi faut-il qu’elle bosse ce soir ! Ca m’aurait pas mal arrangé si elle avait été dans sa semaine de vacances, histoire de se flinguer complètement et d’en ressortir à moitié morts. Ben oui après tout, pourquoi faire les choses à moitié, hein ? Je pose mes paumes de part et d’autre de son corps sur le marbre de la cuisine, les lèvres à un souffle des siennes.
Alors… Tu veux vraiment qu’on picole ?
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| | | Nell Heatley
vos messages : 324 Date d'inscription : 12/05/2014
| Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell Mar 23 Sep - 3:59 | |
| Stop trying to fix meJe dois admettre que la pudeur n'a jamais été quelque chose que j'ai compris et encore moins un principe auquel j'ai adhéré. Surtout ici, surtout maintenant, considérant que j'ai passé plus de temps avec Valentyne dans une flamboyante et seyante nudité qu'autre chose. Je fais un effort, quand même, ce qui relève de l'exploit olympique. Ceci expliquant cela, ça me file un sacré coup de pouce dans le boulot que je me coltine, n'ayant guère de principe venant à l'encontre de la nécessaire. Je souris tant à la réflexion qu'à la sensation de son regard rivé dans mon dos, n'en soufflant mot, me contentant d'avancer et de prendre place, mes aises acquises ces dernières vingt-quatre heures. L'instant d'après, j'inonde ma bouche de ce liquide alcoolisé, ambré et corsé à souhait. Du cognac. De l'excellent cognac, en fait. Ou bien était-ce simplement la soif intarissable qui parle à ma place, j'en sais trop rien, et ça n'a franchement aucune importance de toute façon...
Les tentatives de réprimer toute forme de désir et d'emprunter la voie de la bienséance et de la raison échouent toutes lamentablement, les unes après les autres. Si je me veux sage, même l'espace d'un moment, je reviens inconsciemment à la charge, cherchant de façon involontaire à retrouver cette candeur et cette fougue dans laquelle je me complais depuis quelque temps déjà. Si mes approches sont plutôt fourbes, voire même vicieuses, il se montre nettement plus franc, attaquant de front et se délestant de faux semblants. Mes jambes se referment comme un automate autour de son corps, se nouant derrière lui, m'abandonnant volontiers à ces paumes inquisitrices qui courent, glissent sur mon épiderme. Ses propos vont à l'encontre de ce que chaque fibre de son corps crie, hurle, et pourtant il parvient à les livrer d'une voix relativement calme, filtrant ses caprices et envies au nom d'une raison que je ne parviens pas à adhérer. Et si durant un instant, si bref fut-il, je songe à concéder ce fait, ses phalanges me troublent, me font perdre le fil de mon raisonnement. Entre ça, et son intonation plus mielleuse, plus joueuse aussi, je ne sais pas à quel saint me vouer. En fait, je semble nettement plus encline à m'octroyer une supplémentaire afin qu'on se damne encore, qu'on s'y adonne tant que l'on peut avant de perdre pied d'épuisement. Puis vient l'ultimatum, ce moment de prise de décision où je dois me montrer raisonnable ou non, responsable ou pas.
Je pèse brièvement le pour et le contre, muette, avant que mes paumes ne se posent sur les siennes, remontent sur ses bras pour venir encadrer son visage « Tu t'éloignes de plus en plus de l'auréole, Valentyne ». Comment diable refuser des avances de ce genre, ces promesses silencieuses derrière ses prunelles alors que je presse mes lèvres sur les siennes « M'inciter à la débauche, c'est cruel ». Mes mains redescendent plus bas, remontant son chandail au passage en m'arrêtant pour l'embrasser à travers l'étoffe, pressant davantage mon bas-ventre contre le sien « Je vais faire le mur pour que tu me prennes ici, puis là-bas, et là aussi » que je susurre contre ses lèvres, me recule et m'esquive pour aller pianoter sur mon téléphone, la bouteille à proximité, prenant une goulée au moment où mon patron décroche. Je grimace, m'arrête brusquement sur le chemin du retour « Hey Toni, comment ça va... ouais non, je-. Soulevée de terre, de nouveau prise d'assaut par l'assaillant aux cheveux bouclés, martelant mon cou de baisers, m'enserrant de nouveau contre son corps avant de relever mes jambes pour retirer ma culotte. Je peine à articuler, parler est un supplice et je suis à moitié sérieuse en tentant de le repousser, réprimant une envie de rire au passage « La communication est mauvaise, j't'entends à peine, tu disais quoi?... Skyler, ouais ». Ça s'éternise putain, et Valentyne continue de s'en donner à coeur joie. |
| | | | Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell Mer 24 Sep - 22:19 | |
| Stop trying to fix meJ’étais sensé la ramener. C’était ce que je devais faire et je vous jure que le plus honnêtement du monde c’est ce qui était prévu. Sauf qu’avec une femme comme Nell, la vie est totalement imprévisible et c’est ce qui la rend si foutrement attachante. J’aime ne pas savoir ce qui va se passer dans l’heure qui suit, j’aime cette sensation de liberté totale, de brûlures sur ma peau, de muscles épuisés et d’envie d’elle toujours inépuisable. Elle me rend totalement cinglé et je n’ai aucune envie de redevenir moi, ce mec irréprochable, raisonnable, qui n’emploie jamais un mot plus haut que l’autre et qui pense trop. Mr Hyde est de sortie quand je suis en présence de cette nana et je vous parie gros que ça ne va pas se limiter à hier et aujourd’hui. Nell est devenue mon échappatoire, une pause dont j’ai besoin dans ma vie pour ne pas aller droit contre un mur, elle me fait du bien, dans tous les sens du terme.
Tant mieux.
J’en n’ai rien à foutre de cette fichue auréole. Ca m’a rapporté quoi après tout, vous pouvez me le dire ? Absolument rien. J’ai passé des années à aimer une femme, à la choyer, à la traiter comme une reine, à veiller sur elle, à me montrer patient et doux, protecteur et compréhensif, à lui être fidèle de corps et de pensée et ma récompense a été qu’elle préférait passer son temps à son travail plutôt qu’avec moi. J’étais là, tout seul, comme un con, à me dire que ce n’était que temporaire, que les choses allaient évoluer quand elle aurait sa clientèle et qu’elle aurait mis sa routine en place, je ne lui ai jamais fait le moindre reproche et passé tout mon temps à imaginer comment lui rendre la vie plus facile mais elle ne s’est rendue compte de rien et a fini par me briser le coeur. C’est ça qu’on récolte quand on a une auréole, dès que vous donnez votre coeur à quelqu’un, il finit toujours par le briser, alors autant rester libres, vivre dans une luxure assumée qui évite les désillusions.
C’est la reine des succubes qui me dit ça ? Je suis flatté… Et je ne m’excuserai pas de cette cruauté. J’aime être cruel avec toi.
Vu comme c’est parti, on ne va pas manger tout de suite… Ni faire ceinture jusqu’à son départ ! Cette façon qu’elle a de m’embrasser, de murmurer contre mes lèvres, de jouer de ses mains sur ma peau et de frotter son bas-ventre contre moi est diabolique. Je sens déjà une nouvelle érection poindre le bout de son nez et ce qu’elle me dit ne fait qu’allumer un peu plus le feu aux poudres ! Mylow le raisonnable auréolé lui aurait demandé si elle était sûre de pouvoir faire ça, si ça n’allait pas lui apporter des ennuis ou la mettre à mal avec la direction du club où elle travaille. Le Mylow cruel jubile à cette nouvelle et imagine déjà des plans machiavéliques pour la faire crier comme elle n’a jamais crié son plaisir. Si je la laisse prendre son téléphone, je ne lui concède cependant qu’un temps très limité pour faire son annonce et à peine son interlocuteur lui a-t-il répondu que je m’empresse de la soulever dans mes bras, inondant son cou de baisers, mordillant sa peau tout en la reposant sur le plan de travail pour pouvoir lui enlever son slip qui, bien que ravissant, la couvre décidément bien trop.
La belle est toujours au téléphone, tente de se concentrer sur sa conversation tandis que de mon côté je ne fais absolument rien pour l’aider. La culotte par terre, c’est son t-shirt que je décide d’enlever, ce qui l’oblige à lever les deux bras et donc de louper une partie de la conversation. Je fais comme si de rien n’était et dès que son corps est dépourvu de l’étoffe, je plonge sur ses seins qui semblent appeler ma bouche.
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| | | Nell Heatley
vos messages : 324 Date d'inscription : 12/05/2014
| Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell Jeu 25 Sep - 2:48 | |
| Stop trying to fix meSans doute y prenait-il goût, à cette liberté, à l'univers de possibilités qui s'ouvrait à lui et à tout ce qu'il avait pu un jour désirer, quelque fantasme que ce soit, assouvir ici comme ailleurs. À ce rôle, j'étais absolument parfaite, le préférant largement à celui de femme à marier. Dans cette capacité de lui fournir de quoi raviver une sacro-sainte envie de prendre son pied, de s'oublier le temps de cette intermède où ni le temps ni l'espace n'avait plus aucune importance, j'en retirais un plaisir équivoque. Chaque caprice de Valentyne m'enivrait suffisamment, m'inspirait même, m'entraînait à sa suite dans les méandres de la félicité. S'il pouvait se libérer ici et maintenant des entraves de conventions et de ce qui est socialement acceptable ou pas, politiquement correct ou non, ce serait mission accomplie. Moi qui croyait trouver une âme à débaucher, je m'émerveille en constatant qu'il est au moins aussi taré que moi sur le sujet, sachant simplement mieux comment le camoufler, voilà tout. À le voir agir, répondre avec avidité à chaque mot, chaque caresse, je me dis que cette parcelle de lui-même exulte de pouvoir prendre possession de son corps et de se gaver de cette tension sexuelle qui n'en tarit plus depuis la veille.
« Fais gaffe, je pourrais m'invectiver... ou mordre, encore » que je lui rétorque, amusée, lui happant un baiser au passage, regrettant de ne pouvoir simplement exprimer mon désarroi quant à mon incapacité à honorer mon quart de travail par la pensée. Seulement, il apparut qu'être exempt de contacts physiques ne soit pas dans les envies du moment du jeune homme. Si je n'ai aucune raison de m'en plaindre, il augmenta le degré de difficulté de maintenir une conversation avec mon patron. Au contraire, je dois faire preuve d'une extrême discrétion - moi qui n'ai pas l'âme de l'introspective - alors que je soulève mes bras, abandonnant le combiné pour un nombre de secondes qui m'échappe « Tony je... ouais arrête, j'veux te dire un truc important. Pourrai pas venir bosser, nan, j'ai, je-. Un frisson me traverse l'échine tandis que Mylow lèche, mord et entreprend sérieusement ma tolérance en kidnappant ma poitrine entre ses lèvres. Je me cambre, penche la tête vers l'arrière en mordant ma lèvre « Un imprévu, suis désolée. J'sais que je serai pas payée et que j'ai merdé, c'est bon, ouais. Je... ». Mais il continue, il chiale, il jure, il me gave sérieusement. Une paume me maintient à flot, m'empêche de m'étendre complètement sur le plan de travail. Le désir lancinant fait son approche, inonde mon entrejambe « Barbie. Demande à... je sais pas moi putain... fais ce que tu veux alors, j'en ai rien à foutre ». N'y tenant plus, je raccroche, fais remonter le visage de Valentyne de mes deux mains et embrasse sa lèvre supérieure « Mais c'est que l'élève dépasse le maître, dis donc ».
Je reste braquée contre son visage, une main descendant inexorablement vers l'érection, refermant mes phalanges, l'enserrant comme un étau en remontant lentement de bas en haut, puis de haut en bas. De ma main libre, j'attrape le goulot de la bouteille de cognac, en verse dans ma bouche. Tout juste avant que je ne presse mes lèvres contre les siennes, partageant la généreuse rasade avec mon hôte. Je compte bien m'enivrer, j'espère bien baiser jusqu'à ne plus tenir et à consumer jusqu'à la dernière étincelle de volonté de Valentyne avant de m'arrêter. Je contrains son membre à pulser au rythme de mes vas-et-viens, le faisant frôler l'intérieur de mes cuisses plusieurs fois, l'approchant dangereusement de mon intimité pour qu'il puisse aisément déceler que je suis foncièrement parée à l'accueillir chaleureusement « À partir de maintenant, tout est permis, fais de moi ce que tu veux et je ferai de même ». Promesse solennelle, serment réciproque. Une invitation à la débauche, si tant et si bien qu'il peut éventuellement être sustenté. |
| | | | Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell Ven 26 Sep - 19:06 | |
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| | | | Sujet: Re: Stop trying to fix me - PV Nell | |
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