[vos messages]

I'll sleep when I'll be dead

J'étais claqué et je peinais à tenir debout, il faut dire que cette réunion de la cellule de crise relativement à la possible présence d'une cellule locale appartenant au réseau Al Qaida avait été de nature à m'épuiser … plus 30 heures à analyser des données  sur cette question et tout ça au final pour un résultat aussi risible, j'étais d'avis que quelqu'un quelque part s'était bien foutu de notre gueule en nous balançant des renseignements sans la moindre valeur. D'une certaine façon j'étais d'avis que le tout avait été une diversion afin de nous éloigner de la réelle menace mais le tout n'était qu'un soupçon de ma part mais tant que je n'avais pas de preuve afin d'étayer ma thèse je préférais me taire après tout il était inutile d'attiser des craintes qui seraient susceptible de provoquer une paranoïa collective si le tout en venait à se propager.

Les traits fortement tirés par le manque de sommeil je n'avais pas tardé à m'écrouler sur le sofa dès mon arrivée à la maison, la fatigue était telle que je n'avais pas cru bon de me dévêtir. J'ai du dormir approximativement 8 heures  mais il m'en aurait fallu davantage afin de récupérer pleinement et mes traits ne pouvaient qu'en témoigner. Réveillé par le bruit de la sonnette qui retentit je finis par ouvrir les yeux et par me redresser pour ensuite me lever et me diriger vers la porte. Replaçant mes cheveux et balançant ma chemise au loin afin de ne porter qu'un t-shirt je finis par ouvrir la porte afin de me retrouver nez à nez avec ma visiteuse. Sarah? Quelle surprise! Allez entre, ne reste pas là. Je lui souris faiblement, visiblement fatigué et je fermai derrière nous. Tout va bien? Lui demandais-je visiblement inquiet pour elle, un peu comme si j'étais son père.

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J'étais claqué et je peinais à tenir debout, il faut dire que cette réunion de la cellule de crise relativement à la possible présence d'une cellule locale appartenant au réseau Al Qaida avait été de nature à m'épuiser … plus 30 heures à analyser des données  sur cette question et tout ça au final pour un résultat aussi risible, j'étais d'avis que quelqu'un quelque part s'était bien foutu de notre gueule en nous balançant des renseignements sans la moindre valeur. D'une certaine façon j'étais d'avis que le tout avait été une diversion afin de nous éloigner de la réelle menace mais le tout n'était qu'un soupçon de ma part mais tant que je n'avais pas de preuve afin d'étayer ma thèse je préférais me taire après tout il était inutile d'attiser des craintes qui seraient susceptible de provoquer une paranoïa collective si le tout en venait à se propager.

Les traits fortement tirés par le manque de sommeil je n'avais pas tardé à m'écrouler sur le sofa dès mon arrivée à la maison, la fatigue était telle que je n'avais pas cru bon de me dévêtir. J'ai du dormir approximativement 8 heures  mais il m'en aurait fallu davantage afin de récupérer pleinement et mes traits ne pouvaient qu'en témoigner. Réveillé par le bruit de la sonnette qui retentit je finis par ouvrir les yeux et par me redresser pour ensuite me lever et me diriger vers la porte. Replaçant mes cheveux et balançant ma chemise au loin afin de ne porter qu'un t-shirt je finis par ouvrir la porte afin de me retrouver nez à nez avec ma visiteuse. Sarah? Quelle surprise! Allez entre, ne reste pas là. Je lui souris faiblement, visiblement fatigué et je fermai derrière nous. Tout va bien? Lui demandais-je visiblement inquiet pour elle, un peu comme si j'étais son père.

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Je pouvais par moment donné l'impression d'être un homme plutôt rude, un rustre de la pire espèce, j'en étais conscient après tout. C'était donc afin de m'amender que j'en étais venu à proposer à la jeune femme de venir me voir … je voulais lui donner une autre image que celle qu'elle pouvait bien avoir de moi et puis sans trop pouvoir me l'expliquer elle éveillait un petit je ne sais quoi au plus profond de mon être … un petit je ne sais quoi qui ne pouvais que m'insuffler une folle envie de lui venir en aide, de la guider et de la protéger. Tout ce temps passé à discuter du plan d'intervention lors de cette rencontre de la cellule de crise n'avait pas été sans laisser quelques traces et les effets de la fatigue en était probablement la plus apparente si bien que dès mon arrivée chez moi je ne résistai pas bien longtemps à l'appel du lit.

Je dormais paisiblement, trop paisiblement peut être, et je finis par me faire tirer de mon sommeil alors que j'entendis la sonnette retentir … de toute évidence le repos du guerrier allait devoir attendre. Me levant du lit je passai une chemise afin de la boutonner, après tout un gentleman digne de ce nom n'ouvrait jamais torse nu … on ne sait jamais sur qui nous pouvons tomber après tout. Arrivé devant la porte j'hésitai un moment avant d'ouvrir, m'assurant que tout était impeccable, et puis j'ouvris afin de ne pas trop attendre la personne se trouvant de l'autre côté. Je voyais bien qu'elle était mal à l'aise et puis d'entrée de jeu , probablement afin de meubler la discussion, elle me demanda comment allait mon bras. Il va bien merci. Je la regardai un bref instant et je compris de par l'expression de son sourire qu'elle était mal à l'aise je décidai donc d'abréger son supplice. Je présume que tu te demandes bien pourquoi je t'ai invité? Je pris quelques secondes histoire de réfléchir sur la formulation des mots que je comptais prononcer. Et bien c'est tout simplement pour te remercier pour ce que tu as fais pour moi cette fameuse journée, te témoigner de mon entière reconnaissance, et te montrer que je ne suis pas aussi rude que je le laisse présager. Je lui fis un sourire amical, voire paternel, et d'un geste de la main je l'invitai à prendre place sur le sofa. Tu as pris ton petit déjeuner ce matin? Je peux t'offrir croissant et café?

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Je pouvais par moment donné l'impression d'être un homme plutôt rude, un rustre de la pire espèce, j'en étais conscient après tout. C'était donc afin de m'amender que j'en étais venu à proposer à la jeune femme de venir me voir … je voulais lui donner une autre image que celle qu'elle pouvait bien avoir de moi et puis sans trop pouvoir me l'expliquer elle éveillait un petit je ne sais quoi au plus profond de mon être … un petit je ne sais quoi qui ne pouvais que m'insuffler une folle envie de lui venir en aide, de la guider et de la protéger. Tout ce temps passé à discuter du plan d'intervention lors de cette rencontre de la cellule de crise n'avait pas été sans laisser quelques traces et les effets de la fatigue en était probablement la plus apparente si bien que dès mon arrivée chez moi je ne résistai pas bien longtemps à l'appel du lit.

Je dormais paisiblement, trop paisiblement peut être, et je finis par me faire tirer de mon sommeil alors que j'entendis la sonnette retentir … de toute évidence le repos du guerrier allait devoir attendre. Me levant du lit je passai une chemise afin de la boutonner, après tout un gentleman digne de ce nom n'ouvrait jamais torse nu … on ne sait jamais sur qui nous pouvons tomber après tout. Arrivé devant la porte j'hésitai un moment avant d'ouvrir, m'assurant que tout était impeccable, et puis j'ouvris afin de ne pas trop attendre la personne se trouvant de l'autre côté. Je voyais bien qu'elle était mal à l'aise et puis d'entrée de jeu , probablement afin de meubler la discussion, elle me demanda comment allait mon bras. Il va bien merci. Je la regardai un bref instant et je compris de par l'expression de son sourire qu'elle était mal à l'aise je décidai donc d'abréger son supplice. Je présume que tu te demandes bien pourquoi je t'ai invité? Je pris quelques secondes histoire de réfléchir sur la formulation des mots que je comptais prononcer. Et bien c'est tout simplement pour te remercier pour ce que tu as fais pour moi cette fameuse journée, te témoigner de mon entière reconnaissance, et te montrer que je ne suis pas aussi rude que je le laisse présager. Je lui fis un sourire amical, voire paternel, et d'un geste de la main je l'invitai à prendre place sur le sofa. Tu as pris ton petit déjeuner ce matin? Je peux t'offrir croissant et café?