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 Put on your war paint Ϟ Jamie.

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MessageSujet: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptySam 3 Mai - 14:53

Jamie Neils
my songs know what you did in the dark

Nom : Neils. ✏ Prénom : Jamie ✏ Âge : Dix-neuf années d'existence. ✏ date et lieu de naissance : 23 juillet 1992, Bronx. ✏ vos origines : Américaine pure-souche. ✏ Métier : Danseuse dans un strip-club, droguée à plein-temps. ✏ Orientation sexuelle : Bisexuelle. ✏ Statut matrimonial : Totalement célibataire. ✏ côté financier : Largement pauvre. Caractère : Je suis l’incarnation même du mot « brisé ». Mon passé a ravagé tout ce qu’il y avait de pur en moi, mais je ne vais pas m’en plaindre, c’est ce qui a forgé mon caractère + J’ai un véritable caractère de merde, je ne me laisse pas faire et oui, je suis vulgaire et alors ? + Je sais exactement comment fonctionne un homme et légèrement séductrice, j’aime jouer au chat et à la souris avec eux. Ils se prennent pour les chats, ils sont mes souris. + Méfiante, je n’accorde pas facilement ma confiance, parce que la confiance, ça se mérite. Et rares sont ceux qui en valent la peine. + Les gens pensent que j’suis paumée. Ils ont peut-être raison ? J’doute de moi parfois mais, jamais assez longtemps pour perdre la tête. + J’rentre pas dans la norme, j’emmerde la normalité en fait. + J’me shoot à la séduction et à la drogue, accro à l’un comme à l’autre. + Ouais, j’aime que les garçons fantasment sur moi et je ne supporte pas qu’on me résiste. + Les hommes ont tendance à dire que je suis extrêmement sensuelle comme fille. + Au final, je ne suis que douceur impure, mais ça, peu de gens sont capable de vous le dire. Ils ne me connaissent pas. Personne ne me connait.  ✏ Groupe : Conditionnels.

un peu plus sur vous.
✏ Mon passé est quelque chose dont je ne parle pas, jamais. ✏ J’ai un putain de tic qui me pousse à systématiquement passer ma main dans mes cheveux. A force, ma non-frange finirait presque par en devenir grasse. ✏ De règle générale, je ne couche pas avec les clients. Ce n’est pas compris dans mes nombreux talents. ✏ Je suis une excellente danseuse, contrairement à ce que mon style garçon manqué pourrait laisser suggérer. ✏ J’ai fais de la gym pendant deux ans quand j’étais petite et je me suis efforcée à garder ma souplesse. Ca me sert, aujourd’hui. ✏ Bien que je sois bisexuelle, j’ai une préférence pour les hommes et surtout, les hommes mûrs. Il parait que c’est une histoire de recherche de la figure paternelle… ✏ Je suis accro à la cocaïne, le manque peut me rendre extrêmement violente. ✏ Allez savoir pourquoi, tout dans mon comportement laisse suggérer que je suis vulgaire. Jusqu’à mes chewing-gums que je mâche bruyamment volontairement. ✏ J’aime le rock des années quatre-vingt, je cultive ce style depuis la fin de mon adolescence. Quoique, certains vous diront que je ne suis pas encore sortie de cette période. ✏ Je suis claustrophobe, les petits espaces reclus, loin de tout me rendent nerveuses. ✏ Je gratte ma guitare, de temps à autre mais je ne suis pas particulièrement douée.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? J’viens tout juste de débarquer. Ca s’arrête là, ne comptez pas sur moi pour vous dire d’où je viens et ce qu’il s’est passé pour que je parte. C’pas mon truc de raconter ma vie et encore moins à des inconnus. Et puis de toute façon, qu’est-ce que vous en avez à foutre de ma vie ? Ca ne risque pas de changer la vôtre de savoir que je me suis tirée de chez moi quand j’avais quinze ans et que j’ai voyagé d’Etats en Etats, de pays en pays, jusqu’à arriver dans cette ville du Pays de Galles. Non, ça ne changera rien de me connaître un peu plus. comment considérez vous votre vie actuellement? En un mot « bordel ». Ma vie, je la résume facilement : addiction, quasi-prostitution et pureté en perdition. J’suis complètement paumée et je doute des choix que j’ai pu prendre dans le passé. Justement, mon passé me bouffe de l’intérieur. Ca fait que ma vie actuelle ne rime à rien. Mais bon, je ne vais pas m’en plaindre, j’ai un job et un toit. Je vis au jour le jour, pour l’instant, je n’ai pas de but dans la vie. J’suis anéantie, je me reconstruis. Y avait donc un gars qui disait « je suis debout bien que blessé », non ? Bah voilà, c’est exactement ça ma vie actuelle. est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Si je répondais « non » je serais la pire des hypocrites. Parce qu’il y a vraiment des gens qui ont dit non ? Mais tout le monde voudrait changer quelque chose, l’herbe est toujours plus verte chez le voisin. On envie tous secrètement ce qu’un autre a et pas nous. Certaines pensent immédiatement à un détail physique, des grosses cuisses, des yeux trop globuleux, une petite poitrine. D’autres jalousent des biens matériels, richesse, maison, voiture. Personnellement, ma vie est un joli bordel, je vous l’ai dis. Et sans doute que j’aimerai avoir une vie friquée et me prélasser au bord d’une piscine. Néanmoins, j’ai ce que j’ai et je m’en satisfais. Vous ne vous attendiez pas à celle-là, pas vrai ?

derrière l'écran.
votre pseudo : MissVenomania. ✏ votre âge : Dix-huit ans. ✏ votre pays : France. ✏ scénario ou inventé : Scénario. ✏ votre fréquence de connexion : 4-5/7. ✏ comment êtes-vous arrivé ici? : J'ai vu de la lumière alors... Une recherche de scénario sur Facebook. ✏ vos commentaires/impressions : Pour le moment, je n'ai aucun commentaire et qu'une bonne impression du forum. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : Euh... oui ? Oui.
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptySam 3 Mai - 14:54

story of my life
i like the way it hurts


« Viens-là ma petite princesse ! » C’était l’appelle redouté, la pire apostrophe que je pouvais entendre. Il ne la réitérerait sûrement pas et pour cause, il savait pertinemment que j’allais obéir. Pourquoi ? Pourquoi étais-je incapable de me rebeller pour une fois dans ma misérable vie. La réponse se tenait en un mot « peur ». J’avais peur de ce type qui empestait l’alcool à des kilomètres à la ronde. J’avais peur de ses petits yeux sortants de leurs orbites qui me fixaient durement. J’avais peur de sa fine bouche qui s’élargissait en un sourire salace, montrant des dents de travers, tandis qu’il songeait à ce qu’il pourrait me faire, une fois ma mère partie. J’avais peur de ses grosses mains poilues et baladeuses qui ne manquaient pas de s’abattre sur moi, si je n’obéissais pas. J’avais onze ans bordel ! Je ne pouvais tout simplement pas me rebeller face à ce type. Et je ne pouvais rien dire à ma mère, elle n’était jamais là, elle ne voyait rien. Quand bien même, elle ne ferait rien parce qu’elle aussi, elle avait peur. J’ignorais bien ce qui l’avait poussée à épouser un type aussi répugnant que Tony. Tout comme j’ignorais les raisons du départ de mon véritable géniteur. Tout ce que je savais, c’était qu’à présent, la seule qui en subissait les conséquences, c’était moi. Et une fois de plus, j’allais devoir en payer le prix.

« Où est-ce que tu te caches, petite princesse ? Papa perd patience. » Cachée dans mon placard, je regardais, à travers l’entrebâillement de la porte, Tony faire des allers retours dans la pièce. J’étais persuadée que d’ici quelques minutes, il finirait par comprendre que j’étais dans cette foutue armoire. Et lorsque ça arriverait, je ne donnerai pas chère de ma peau. Néanmoins, en attendant, j’étais toujours protégée par les deux immenses portes qui me séparaient de mon beau-père. Cela faisait quatre ans que le rituel avait été instauré. Rituel sadique et salace de Tony, qui me forçait à perdre toute pureté au prix de son propre plaisir. Ma mère le savait. Elle le savait, j’en étais sûre mais elle ne disait rien. A quoi bon ? Dès qu’elle l’ouvrait, elle s’en prenait une. Et si ce n’était pas elle, c’était moi. Seulement, dans ces conditions, les baffes étaient toujours bien plus violentes alors ma mère préférait se taire. Elle avait les mains liées, elle s’était mise à dos tout le monde en protégeant Tony. Elle ne voyait plus personne. C’était la situation idéale pour mon beau-père. Et moi, du haut de mes quinze ans, je n’en pouvais plus. « Est-ce que tu es dans le placard ? » demanda-t-il en se dirigeant vers l’armoire où j’étais planquée. Néanmoins, je savais que cette fois-ci, ce serait différent. Pour la simple et bonne raison que j’avais décidé qu’il était temps que cela cesse. Je ne me ferais plus jamais maltraitée par cet homme. Je serrais dans mes mains ma clé de sortie : un sac à dos avec quelques trucs à manger, mes papiers et de l’argent que j’avais piqué à Tony quand il dormait. Cette fois, j’étais prête à me tirer. Ainsi, lorsqu'il ouvrit brutalement la porte, pensant me surprendre un minimum, je ne lui laissai le temps de réagir et me jetai sur lui, lui administrant un coup de genou dans les parties. Puis, mon cerveau me hurla de courir et je me décidai à lui obéir. « Reviens ici tout de suite ! Tu vas me le payer, sale garce ! » Je me refusai à songer aux choses horribles qu’il me ferait si jamais il m’attrapait. Il ne devait pas m'attraper. Quand j’arrivai à la porte d’entrée, celle-ci s’ouvrit sur ma mère dans sa tenue de serveuse. Je ne m’arrêtai, cependant, pas en la voyant. Au contraire, j’accélérai la cadence pour passer sous son bras et sortir de cette baraque de dingues. Rien à foutre de la laisser seule avec ce taré. Ca faisait des années qu’elle me laissait seule avec lui. Je ne l’entendis pas crier mon nom, par ailleurs. En fait, je n’entendis plus rien du tout et de toute façon, je ne me serais arrêtée pour rien au monde. Il fallait que j’arrive à l’arrêt de bus, là, je serais à l’abri. Là, je pourrais commencer une nouvelle vie.

« Eh, la nouvelle, tu bouges ton cul, oui ?! J’te paye pas à rien foutre. » Je poussais un soupire en me remettant sur mes deux jambes. A croire que la politesse et les hommes de mon entourage, ça faisait deux. Néanmoins, je ne pouvais pas trop me permettre de râler contre Johnny, il avait été là pour moi lorsque personne ne voulait m’aider. J’étais arrivée à Chicago, il y avait de cela trois mois. J’étais complètement paumée, je n’avais quasiment plus d’argents et plus personne qui pouvait m’aider. Bien entendu, comme je m’y étais attendue, l’imbécile qu’était Tony n’avait pas songé une seconde à faire des recherches pour me retrouver. Ou, s’il les avait faites, je n’avais jamais été dérangée. Pour plus de sécurité, j’avais tout de même préféré changer de nom et ainsi, on m’appelait Dylan, à présent. Enfin, pour mon patron et les quelques habitués du fast drive où je travaillais, c’était la « nouvelle ». Même après trois mois, j’étais toujours une nouvelle pour eux. Je m’étais retrouvée devant ce drive sans vraiment me souvenir du comment, uniquement du pourquoi : je mourrais de faim. Johnny m’avait attrapée entrain de tenter de voler un muffin à la myrtille. Il avait longuement hésité avant de me signaler à la police. Et puis, il m’avait dit que si je savais faire la plonge, je pouvais le manger, ce muffin. Ainsi, je m’étais retrouvée à laver des piles d’assiettes sales en échange de nourriture et d’un toit où dormir. Johnny était brutal et vulgaire, mais ce n’était que dans ses propos jamais dans ses gestes. Il ne m’avait jamais frappée et honnêtement, je le voyais très mal capable d’être violent envers quelqu’un. Avec le temps, j’étais passée de la plonge au service. J’étais mal à l’aise avec ce nouveau poste mais les gens semblaient m’apprécier. J’avais l’avantage de faire plus que mon âge et Johnny ne m’avait jamais demandé de renseignements sur moi. Il savait que je me nommais Dylan et que je n’avais plus personne pour m’aider. Cela lui suffisait. Cependant, je me doutais bien que plus je trainais dans le coin, plus je risquais de m’attirer des ennuis. Après tout, Tony avait peut-être vraiment lancé des recherches. Et même si ma vie ici était plutôt agréable, ce risque qui planait au-dessus de ma tête m’empêchait de pleinement me réjouir de ma nouvelle situation. Je n’étais pas en paix, pas aussi proche de l’homme qui avait détruit toute pureté en moi.

« La ferme, Jobs ! On sait tous que c’est toi le plus toxico de nous quatre. » déclarai-je en défiant du regard le fameux Jobs. Cela faisait deux ans que j’avais quitté Chicago pour continuer ma route, après pratiquement un an passé aux côtés de Johnny. Je ne pouvais nier que pendant un temps, ses blagues et son comportement un peu brutal m’avait manqués. Néanmoins, il m’était impossible d’oublier mon passé quand celui-ci menaçait de ressurgir à chaque seconde. J’avais tenté de prolonger mon séjour, chaque mois, je me disais juste que je pouvais rester encore un mois de plus. Et puis finalement, un jour, j’avais écris un mot de remerciement en signant de mon vrai nom, parce que je lui devais bien un fragment de vérité. Ma route m’avait conduite dans plusieurs Etats, toujours vers l’Ouest, pour finalement me faire atterrir parmi cette bande de toxicos de Seattle. Jobs, Pokerman et Billie. J’ignorais leurs vrais noms, ils ne m’avaient même pas demandé le mien. « Tu peux parler, c’pas moi qu’on appelle « camée », la camée. » Voilà ce que j’étais pour eux, une camée de plus. J’avais commencé à goûter à la cocaïne en arrivant à Helena, sept mois auparavant. Par la suite, cela m’avait juste intriguée. Et puis, c’était devenu une putain d’addiction lorsque j’avais commencé à fréquenter ces trois fêlés. Ils m’avaient trouvée en train de faire de la gratte –gratte que Johnny m’avait donnée et que je trimballais depuis- dans la rue. Quelle mouche m’avait piquée d’accepter de les suivre ? C’était juste que la solitude pouvait être ennuyante à souhait. Alors je m’étais retrouvée dans ce squatte avec eux, à fumer de l’herbe et sniffer des railles de coc. Malheureusement, à ne rien faire, on finit par y prendre goût et par manquer d’argent, surtout. Du coup, là, on essayait de savoir qui consommait le plus de substance illicite, pour que cette personne soit celle qui se décide à trouver un boulot. « Vous savez quoi ? Allez vous faire foutre tous les trois. J’vais me trouver un job, moi. » Depuis quand je me laissais abattre comme ça ? Depuis quand avais-je cessé de bosser pour gagner et gagner pour mieux pouvoir me casser ? Non définitivement, Seattle ne m’avait apportée que de la merde. Et subitement, je me décidai à interrompre notre débat parce qu'à la vérité, je n'avais pas besoin d'eux. Je me débrouillais très bien seule et ce serait encore le cas. « Eh ! Tu fais quoi, la camée ? » me demanda la seule autre fille de la bande, en me voyant me lever difficilement. « J’me tire. » lui dis-je avant de me diriger vers la sortie sans jamais me retourner.

« Et vous avez une quelconque expérience ? » me demanda le propriétaire du strip-club. Je venais tout juste de débarquer dans cette ville du Pays de Galles et autant dire que je n’avais aucune idée de la raison qui m’avait poussée à prendre un billet d’avion et à quitter mes Etats-Unis natals. Disons que j’avais simplement l’impression que le seul moyen de clairement tirer un trait sur mon passé, c’était de me barrer de ce pays merdique. Le rêve américain, tu parles darling. Il l’appellerait la merde américaine que ce serait pareil. Il n’y avait plus rien pour moi, là-bas. J’avais fait quelques boulots, prit plus de postes que je ne le pouvais, économisé un maximum et dépensé le reste en substances illicites. Finalement, j’avais parfaitement mérité mon surnom de « camée ». Cependant, ici, personne ne me connaissait et je pouvais recommencer ma vie. Et même, garder mon véritable prénom, Jamie. Tout ce qu’il me fallait, à présent, c’était un job. Et c’était la raison pour laquelle j’étais venue dans ce strip-club. A la base, j’avais postulé comme simple serveuse. On m’avait embauchée, faute de mieux et j’avais fait mes preuves. Néanmoins, cela ne payait pas. Pas assez, j’entends. Ma situation de droguée me poussait à avoir besoin de beaucoup plus que quelques malheureux billets, à la fin du mois. Il me fallait des bonus. Et les seules personnes que je connaissais capables d’obtenir de tels bonus, c’était les jolies filles qui se trémoussaient contre des bars ou qui se déshabillaient et dansaient devant des clients prêts à payer des sommes monumentales pour ça. J’avais déjà perdu toute pureté, je n’avais vraiment rien à perdre à tenter ce boulot. Et voilà pourquoi j’étais en entretien avec le propriétaire, qui venait de me poser une question stupide. Comme si c’était possible d’avoir de l’expérience pour ce genre de… boulot. « Non. » lui répondis-je simplement. « Alors qu’est-ce qui vous fait croire que je devrais vous prendre ? » Je lui fis un sourire narquois. Il fallait que je fasse mes preuves, très bien. J’étais habituée à employer mon culot pour obtenir un boulot. Je me levai, donc, et me mis à retirer les quelques vêtements que je portais. Le type sembla surpris, mais suffisamment professionnel pour ne faire aucune remarque, me laissa continuer. Une bonne vingtaine de minutes plus tard, je ressortais de la pièce. « Alors, à demain soir, Jamie. »

« Eh ma belle, on pourrait s’voir après ton service, qu’est-ce que t’en dis ? » Je regardai le type qui venait de s’adresser à moi, alors que je me rendais dans les loges pour me préparer pour mon show. Plus petit que moi, c’était déjà mal barré. Un peu trop musclé, sa tête semblait toute petite sur le reste de son corps. Et puis, c’était quoi cette haleine de chacal. Non, il n’avait rien qui pouvait me pousser à accéder à sa requête. « T’es gentil, tu bouges de mon chemin. » Je n’avais plus peur des hommes. Pour la simple et bonne raison que j’étais constamment protégée par deux gardes du corps de la boîte. Notre métier était dangereux, considérant qu’on vendait du plaisir pour les yeux. Les hommes voulaient toujours plus, malheureusement. Et c’était la raison qui les poussait à devenir dingue, lorsqu’une nana à moitié nue se trouvait dans les parages. « Connard. » marmonnai-je, lorsqu’il se poussa pour me laisser passer. Oui, voilà, c’était un putain de connard qui avait trop bu et qui pensait qu’on était là pour le servir. Je dansais à moitié nue, je n’offrais pas mon corps. Uniquement à ceux à qui je le voulais. Et ce n’était jamais contre de l’argent. Plutôt contre un moment de tendresse, de douceur dans ce monde de débauche. Mais il fallait que la personne soit digne de me mériter. Une nana ou un type plaisant à souhait, qui n’avait rien avoir avec ces accros au sexe qui passait régulièrement dans le club claquait leur pognon. Quelqu’un comme ce type, là-bas, au bar. Ce n’était pas un habitué, je n’avais jamais son visage. « Eh, Kate… c’est qui ce type ? » La fameuse Kate, une ancienne collègue serveuse, haussa les épaules en mâchant bruyamment son chewing-gum. « J’sais pas, pourquoi ? Il te plaît ? » Pour toute réponse, je me contentai d’un sourire aguicheur. Oui, il me plaisait. Il ne dégageait rien de salace, tout était tristesse et amertume. Rien que je ne côtoyais dans cet endroit. Et peu importait qu’il avait sans doute l’âge d’être mon père, il était exactement ce que je voulais. Je comptais bien tout faire pour obtenir de lui ce dont je désirais. Une nuit. Rien qu’une seule nuit des plus sauvage. A partir de maintenant, il serait mon obsession.
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptySam 3 Mai - 15:18

Bienvenue iciiiiiiiiiii  Put on your war paint Ϟ Jamie. 4186256398 Put on your war paint Ϟ Jamie. 266073133 Put on your war paint Ϟ Jamie. 2854887067 Put on your war paint Ϟ Jamie. 3166911068 Put on your war paint Ϟ Jamie. 1017839600 Put on your war paint Ϟ Jamie. 1005110720 

Merci de tenter ma petite  Put on your war paint Ϟ Jamie. 2630758752 
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Ilan Avery
Ilan Avery
les futuristes
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptySam 3 Mai - 17:14

Bienvenue  Put on your war paint Ϟ Jamie. 2045347407 
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Trinity O'Hara
Trinity O'Hara
les présents
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Date d'inscription : 22/04/2014

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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptySam 3 Mai - 18:38

Bienvenue parmi nous ma jolie. I love you
Très bon choix de scénario (a)
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptyDim 4 Mai - 1:48

Welcome Put on your war paint Ϟ Jamie. 1915527904
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James Stonebridge
James Stonebridge
les imparfaits
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptyDim 4 Mai - 6:08

Bienvenue
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http://www.tumblr.com/blog/tiny-boy
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptyDim 4 Mai - 11:06

bienvenue parmi nous Put on your war paint Ϟ Jamie. 1442152133
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptyDim 4 Mai - 15:27

Merci à vous  Wink 
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MessageSujet: Re: Put on your war paint Ϟ Jamie.   Put on your war paint Ϟ Jamie. EmptyDim 4 Mai - 16:09

« tu es validé(e), bravo Put on your war paint Ϟ Jamie. 1510423090 »

j'aime beaucoup comment tu as fais le personnage, son passé et tout. c'est exactement comme ca que je voyais la demoiselle. franchement c'est parfait.  I love you 

Pour débuter ta vie sur le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar par ici et ton pseudo. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par l'agence de rp si tu souhait que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. merci. Il faut poster la fiche de lien avec le nom de votre personnage en premier puisque les fiches sont classées en ordre alphabétique. C'est important de faire parvenir par message privé au compte pnj des rumeurs/secrets (et de nous préciser ce qu'elles sont) au sujet de votre personnage, qu'elle soit vraies ou fausses, question que nous puissions les utiliser pour vous mettre des bâtons dans les roues. Vous ne pourrez commencer à rp qu'une fois que cela sera fait. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 450px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . N'oublies pas de passer par la partie communication, un tas de chose t'attends. Et surtout. Have fun.

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