(olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu.

Invité

olga svetlana
i like the way it's hurts

Nom : Svetlana. Elle le déteste ce nom. Il lui fait penser à cet homme ; trop vieux, trop con, trop lui. Il a le goût du malheur. L'odeur de la trahison. Un nom qui lui ressemble, il siffle entre les dents à la manière d'un serpent venimeux. ✏ Prénom : Olga. Bref. Sans chichi ni blabla, à son image. Un brin sensuel, le prénom d'une fille perdue. ✏ Âge : vingt-quatre ans. Les années, elle les a compté. Chaque minute, chaque heure de chaque jour. Elle est déjà heureuse d'avoir vécu aussi longtemps. Elle pourrait mourir demain, peu importe. ✏ date et lieu de naissance : Elle est née il y a aujourd'hui vingt-quatre ans durant le Samedi de Lazare. Sa mère avait souffert tout au long du carême mais l'avait tout de même respecté. Elle est par ailleurs née dans une petite ville éloignée de la civilisation, en Bulgarie. ✏ vos origines : Elle est bulgare par son père et française par sa mère. Mais si on lui demande ses origines, elle répond qu'elle est seulement bulgare. ✏ Métier : Arnaqueuse. Elle se nourrit avec des cartes, piégeant hommes et femmes. Elle organise des parties de poker qui finissent bien souvent mal. ✏ Orientation sexuelle : En présence de sa mère, elle aurait répondu Dieu. Mais elle n'est plus là. Elle aime les hommes, les vrais, les beaux mâles. ✏ Statut matrimonial : Seule. Elle est seule et cela ne la gêne pas. La liberté, il n'y a que ça qu'elle aime. ✏ côté financier : Elle fait avec ce qu'elle a. Même si elle ne roule pas sur l'or, elle vit bien. Caractère : Curieuse - Peu bavarde - Souriante - Franche - Égoïste - Agressive - Impulsive - Drôle - Cynique - Extravertie - Vulgaire - Croyante. ✏ Groupe : les présents

un peu plus sur vous.
✏ Olga, elle est instable. Inconstante et éternellement perturbée. Le monde est noir, non, le monde est blanc. Oui, ou alors non. Peut-être, qui sait. Le mal, est-il bon ? Elle penche sitôt d’un côté que l’autre l’attire. Elle est attirée vers le bas, un poids accroché à son mollet atrocement molesté. Elle trouve le mal plutôt pas mal. Elle remonte à la surface en battant frénétiquement des bras pour ne pas sombrer. Elle se rend compte que si, c'est mal. Alors elle replonge. Cette scène se répète inlassablement. Tantôt bonne, tantôt mauvaise. Tantôt heureuse, tantôt maussade. Lunatique. Bipolaire. Son cœur balance, la mort ou une simple punition ? La violence ou le pardon ? Le pardon, elle n'y a pas eu droit. Elle est tombée bas, mais elle creuse encore.
Sans cesse, elle cherche. Elle recherche la médiocrité et les déjections de Satan. Elle recherche ce qui pourrait l'empêcher d'être elle-même. Elle se met à genoux face à Dieu et l'implore de l'aider, elle le menace. Elle lui crache dessus en lui jurant de se tourner vers Satan si c'est là la seule manière d'attirer son attention. Parce que dans le fond, elle n'attend que ça. Un signe.

Elle vit selon les préceptes de la Bible. Cette bible avec laquelle elle a grandit, avec laquelle elle a appris à lire, à ressentir. La Bible, son simple espoir. Les prières, sa manière de s'exprimer, le bonheur lorsque sa langue se délit. Elle ne mange pas pendant un moment, pour ressentir le manque. Pour se punir. Elle s’inflige parfois des douleurs insupportables pour chasser les tentations et le mal qui la ronge à l’intérieur et qui lui patine parfois la gueule et les mains. Cela allant de la simple flagellation qui lui laisse le dos en sang, rongé par les cicatrices du temps qui laisse des marques indélébile, jusqu’à serrer sa cuisse avec une croix. Celle qu'elle a depuis toujours, celle qui ne la quitte que rarement. Elle sera toujours ainsi, à jamais dans la démesure. Pas entièrement, simplement la moitié. La moitié d'une femme impure mais aux pensées parfois loufoques. Son caractère est ainsi. Soit elle vous paraît sympathique, soit effrayante. C'est une grande catholique, il lui arrivait dans le temps de faire la charité. Accueillir des sans abris chez elle, les nourrir et leur offrir des vêtements, un toit au dessus de leur tête pour la nuit. Elle est fascinée par le mal, mais se tourne vers le bien. Ou bien est-ce le contraire. Elle oublie parfois.
Elle parle plusieurs langue, le français, le latin, le grec ancien, l'hébreu et elle n'a que quelques notions d'arabe. Grâce à sa mère. Elle lui a toujours dis que la parole était une arme que peut pouvait égaler. Alors elle a beaucoup appris, pour devenir forte. Un esprit saint, dans un corps saint. Ou presque. Elle fume. Elle boit. Elle se drogue. Condamnée à jamais à trouver son bonheur dans la détresse de ses semblables. Une bonne vivante, une morte vivante.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? Depuis hier, ou bien l'année dernière, mais c'est la même chose non ? Cela fait tout juste deux semaines qu'Olga a emménagé. Elle ne peut rester trop longtemps au même endroit, ses tours risqueraient de l'embarquer en prison une fois de plus. Elle ne veut pas y retourner. Cet endroit sombre, froid, juste de quoi l'enrager un peu plus. Comme si elle n'avait pas été assez gâtée par la nature comme ça. En deux semaines elle n'a pas vu grand monde, mais grâce à ses arnaques et duels de chiens, elle espère faire bien vite des connaissances et se trouver un fournisseur. comment considérez vous votre vie actuellement? Mal. Mais elle trouve ça plutôt pas mal. Après tout, elle n'a pas à se plaindre, le plus dur est fait. Ce qu'elle a vécu étant adolescente l'a aidé à se construire, à faire d'elle la lionne qu'elle est aujourd'hui, pourquoi regretter ? Sa vie est merdique, mais elle l'aime. Elle aime cette crasse dans laquelle elle baigne inlassablement. Parce que ça lui ressemble, parce que le monde est laid, à son image. est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Une chose. Une petite. Minuscule. Si elle pouvait, elle reviendrait dans le temps et ôterait la vie de son père. De ce salaud qui a perdu ses couilles au moment le plus critique de sa vie. Un lâche, c'est tout ce qu'Olga voyait en lui, et pourtant elle avait essayé de lui pardonner. Mais comment peut-on pardonner une chose pareille ?

derrière l'écran.
votre pseudo : abcdextasy. léa. ✏ votre âge : dix-sept ans. ✏ votre pays : la France. ✏ scénario ou inventé : inventé. ✏ votre fréquence de connexion : tous les jours, si possible. ✏ comment êtes-vous arrivé ici? : facebook, il me semble. ✏ vos commentaires/impressions : très joli forum. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : oui, pourquoi pas.

Invité

story of my life
i like the way it's hurts

Le portrait parfait de la famille modèle. Warren, le père, homme d’affaire respecté. Il est aimé, il aime en retour. La mère, Kelly, femme de maison maniaque à la tenue irréprochable. Et puis la fille, le petit rayon de soleil de la famille. Tout est là, ça forme un ensemble parfait, rien à ajouter. Ils sont assis autour d’une table, peu à peu, les rires s’élèvent dans la pièce. Ils jouent, ils rient, ils gloussent, ils s’esclaffent. Monsieur est un grand joueur de poker, lorsqu’il était enfant il ne perdait jamais. Alors, aujourd’hui que sa princesse a atteint l’âge requit, il lui apprend à jouer. Les cartes glissent sur la table tandis que les pions se bousculent. Bientôt, on peut entendre la petite demander à son père, le plus doucement possible quelles sont ses cartes. Ce à quoi, il répond avec un sourire narquois aux lèvres. « Pas de triche, sinon ce soir tu dors dehors. » Alors la petite se met à rire. Elle est heureuse. Son sourire est resplendissant, elle dévoile une rangé de dents parfaitement alignées en tirant la langue vers son père pour le narguer. « Tu n’oserais pas, tu m’aimes trop pour ça. » Sa tête se baisse vers la gamine, il la porte dans ses bras et la dépose sur ses genoux en embrassant son front. « Bien sûr ma douce, je ne pourrais jamais faire de mal à ma princesse. » Ses bras se referment autour d’elle et comme d’un accord commun muet, ils se remettent à jouer. Elle est là la famille parfaite, le tableau d’une future agonie. Lente et douloureuse.

___________________________________

Elle a tout vu, tout entendu, mais compris que peu de chose. Elle n’assimile pas réellement ce qui vient de se dérouler sous ses yeux d’enfant. Les cris, le désespoir. L’odeur putride de la peur. Sa propre peur. Elle ne peut plus s’en défaire de cette sensation si perturbante. La vue de cet homme, couteau à la main, les membres couverts d’un sang qui n’est pas le sien. Mais celui de sa mère. Cette pauvre femme, étendue par terre, baignant dans son sang encore tiède. C’était une scène abominable pour une jeune fille. Elle n’avait que dix-sept ans. Dans son esprit vagabondaient encore des rêves d’enfants. Elle n’avait pas grandi, le monde elle le voyait merveilleux. Comme Alice Liddell. Comme cette petite fille blonde qui par un hasard malheureux s’était retrouvé au pays des merveilles. Entourée par un chat peu ordinaire, un lapin excentrique et un tas de personnages plus étranges les uns que les autres. Et bien c’était exactement ce que vivait Olga à cet instant. Si seulement il avait tenu parole. Si son père n’avait pas joué avec le feu. Le pauvre, il a fini par se brûler et emporter sa famille toute entière dans un incendie dévastateur. Sans cela, il n’y aurait pas cette crasse autour d’elle. Les hommes, armés et enragés ne seraient pas dans cette demeure. Dents et poings serrés, prêts à brûler ciel et terre pour une raison qu'elle ignore. Qu’avait-il fait ? Pourquoi étaient-ils là ? Le cœur emplit d’une haine qu’elle ne comprenait pas. Tout avait basculé, le monde tel qu’elle le connaissait était devenu un champ de bataille. Un endroit immonde que l’adolescente ne reconnaissait pas. Et il n’était pas là, au moment où elle avait le plus besoin de lui, il n’était pas auprès de sa fille. Il l’avait laissé tomber. Elle le détestait, lui et toutes ses belles promesses. Il ne les avaient pas tenu, elles s'étaient envolées. Une main vint agripper sa chevelure blonde pendant qu’une autre se resserre autour de sa gorge pour l’empêcher d’hurler. « Tu fais un geste déplacé, t'iras rejoindre ta mère, pigé ? » Une odeur nauséabonde se fait alors ressentir, il lui souffle dans le visage en parlant, répandant une senteur putride dans ses cheveux couleur d'or. Elle a peur, cette sensation l'empêche de crier. Et s'il la tuait comme il l'avait fait avec sa mère ? Et si son père n'arrivait pas à temps pour l'aider ? C'est donc ainsi que se finirait l'histoire de la belle Olga. Elle n'aura pas tenu bien longtemps face à la vie, elle se sera pliée aux règles de la faucheuses bien trop tôt.

Alors elle ne fait rien, elle attend. Dans son impatience, elle ferme les yeux en frémissant. Elle ne peux crier, elle ne peut implorer l'homme, alors elle le laisse. Qu'il fasse ce que bon lui semble de son corps trop maigre, mais que cela s'arrête vite. C'est tout ce qu'elle demandait, du répit. La main frêle de la petite fille se crispe à la vue de son père, il est là, impuissant face au corps sans vie de sa femme et à l'enlèvement de sa propre fille. L'enfant se met à pleurer en silence quand elle voit un autre homme, bien plus beau, s'approcher d'elle et lui souffler à l'oreille d'une voix roque. « Salut ma belle, que je t'explique un peu, tu vas nous suivre sans faire d'histoire. Ton père t'a perdu à une partie de poker, t'es à moi maintenant, d'accord ? » Ses yeux se tournent machinalement vers son père. Elle n'y croyait pas. Il ne pouvait pas être tombé aussi bas, jamais il n'aurait mis sa fille en jeu pour une simple addiction. Il en était fou de ces jeux, il ne vivait plus que pour ça, il ne s'occupait plus de sa famille depuis peu. Olga et sa mère se sentait bien seule depuis quelques temps, et pour cause, l'homme de la maison désertait. L'adolescente ne pensait tout de même pas que la dépendance de son père pouvait aller aussi loin. Elle se trompait lourdement. Il l'avait mise en jeu, comme une bête. Aux yeux de la loi, c'était illégale, malgré son jeune âge elle en était consciente. Ce qu'avait fait son père était digne du pire des connards, il n'avait pas à en être fier ; il ne l'était pas. Il avait une mine horrible, des cernes sous les yeux et l'air débraillé. Elle lui faisait peur, vraiment. Elle aurait aimé se battre pour lui, pour sa mère décédée et pour elle-même, mais elle ignorait comment faire. Elle était trop jeune, trop petite, trop mince, trop peu musclée. Alors elle se laissa faire, elle ne pouvait rien face à eux. Les membres lourds, elle obéit au doigt et à l’œil pour ne pas avoir de problème.

___________________________________

underco

Invité

BIENVENUE par ici jeune étrangère. (olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 1915527904

J'espère que tu vas te plaire avec nous et bonne chance pour ta fiche Very Happy

Invité

Bienvenue parmi nous!

vos messages · **vos messages** : 228 **Date d'inscription** : 25/04/2014

Bienvenue

vos messages · **vos messages** : 2106 **Date d'inscription** : 20/04/2014

J'adore cette femme c'est un super choix. Elle a vraiment ce quelque chose de particulier (olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 2045347407

(olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 2045347407

Invité

Merci tout le monde ! (olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 3346338418

Invité

Welcome

vos messages · **vos messages** : 249 **Date d'inscription** : 23/04/2014

bienvenue par ici Smile

vos messages · **vos messages** : 322 **Date d'inscription** : 23/04/2014

Bienvenue^^

Invité

Merci ! **

Invité

bienvenue

(olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 7403718

vos messages · **vos messages** : 885 **Date d'inscription** : 22/04/2014

Je ne connais pas cet avatar, mais j'avoue qu'elle est magnifique. I love you

Bienvenue parmi nous. I love you

Invité

merci beaucoup ♥

Invité

Bienvenue

Invité

merci ! **

vos messages · **vos messages** : 2106 **Date d'inscription** : 20/04/2014

Bonjour à toi mon petit. I love you

Ton délai se termine demain. Si tu as besoin d'aide ou de temps supplémentaire, il ne faut pas hésiter à avertir un membre du staff. (olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 3475147407

(olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 3475147407

Pour le moment, ta fiche sera déplacée dans la partie des fiches en danger. Il suffit de nous donner signe de vie pour que nous te remettions au bon endroit.

En espérant que tu restes parmi nous. (olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 2541238462

(olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu. 2541238462

Invité

J'aimerai avoir un délai siouplait **
j'ai mes oraux à la rentré donc je bosse pas mal en ce moment, mais je compte bien terminer ma fiche ! Merci ♥

Invité

Si je te donne jusqu'a vendredi ca te va?

Invité

Je ne promet rien mais je vais essayer, merci ! (:

vos messages · **vos messages** : 276 **Date d'inscription** : 06/05/2014

J'aime beaucoup la coupe et les tatouages de ton avatar Smile

bienvenue

vos messages · **vos messages** : 2106 **Date d'inscription** : 20/04/2014

Des nouvelles ma belle ?

Contenu sponsorisé

» elle avait des yeux comme des saphirs.
» alors ouvre les yeux, et regarde la façon dont nos horizons se rencontrent - jonah pearson
» Un soir fait de rose et de bleu mystique, nous échangerons un éclair unique, comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ; Elsa.
» « Qui cherche l'infini n'a qu'à fermer les yeux »
» KO.RA — Regarde le monde avec des yeux nouveaux, il t'aidera à avancer.

(olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu.

(olga) elle avait les yeux noirs desquels on voit du bleu.

Sujets similaires

Sujets similaires