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❝ NE ME REMERCIE PAS

• feat. Andréas Ricci •

J'adorais ma vie ! Je ne réfléchissais jamais deux fois avant de sortir faire la fête. Mais ce soir-là, je ne m'étais pas amusée dans les lieux que je fréquentais habituellement. Et oui. J'étais allée au casino. Je ne manquais pas d'argent, bien au contraire. Ainsi, le dépenser en jouant, ça ne me dérangeait pas, mais alors pas du tout. J'y suis restée, deux voire trois heures avant d'enfin commencer l'éclate totale. J'étais lancée dans la tournée des bars. Il n'était pas rare que je rentre complètement ivre chez moi. D'ailleurs, en parlant de ça, je suis incapable de vous dire comment j'arrive à rentrer chez moi en vie. Je ne suis pas une petite joueuse. Soit je bois vraiment, soit je ne bois pas. Je ne vous cache pas que c'est souvent le premier cas qui se produit. Il devait être environ trois heures du matin quand je suis sortie du dernier bar, complètement saoule. Je n'avais plus conscience de grand-chose, je dois le reconnaître. Je me souviens avoir vu, au loin, deux flics. Ils ne m'avaient pas raté. Et merde ! Je savais une chose. A cause de l'état d'ébriété dans lequel je me trouvais, je ne pourrais pas les éviter, encore moins les semer. Entre mes talons de dix centimètres et ma trajectoire pas très droite, j'étais foutue.

C'est tout ce dont je me rappelle. Et maintenant, je suis là. Enfermée dans une cellule au poste de police. Ils m'ont dit que je resterai là tant que je n'aurai pas décuver, à moins que quelqu'un vienne me chercher et me ramène chez moi. J'ai bien évidemment essayer d'appeler mon père, qui ne se priverait pas de m'engueuler. Mais bon, je fais ce que je veux donc je m'en fiche. Dommage pour moi, il ne répond pas. En même temps, à cette heure-ci. Mon deuxième et dernier espoir : Logan. Raté ! J'ai donc remballé ma fierté et je l'ai appelé. Andréas. Je ne le supportait pas, mais pour le moment, il était le seul à pouvoir me sortir d'ici. Enfin ce n'était pas garanti qu'il vienne me chercher. Je savais d'avance qu'il jubilerait de me voir enfermée ici. Comme on dit, quand faut y aller, faut y aller, donc autant l'appeler.

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code par Skank aka Achiavel sur Apple-Spring

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• feat. Andréas Ricci •

J'adorais ma vie ! Je ne réfléchissais jamais deux fois avant de sortir faire la fête. Mais ce soir-là, je ne m'étais pas amusée dans les lieux que je fréquentais habituellement. Et oui. J'étais allée au casino. Je ne manquais pas d'argent, bien au contraire. Ainsi, le dépenser en jouant, ça ne me dérangeait pas, mais alors pas du tout. J'y suis restée, deux voire trois heures avant d'enfin commencer l'éclate totale. J'étais lancée dans la tournée des bars. Il n'était pas rare que je rentre complètement ivre chez moi. D'ailleurs, en parlant de ça, je suis incapable de vous dire comment j'arrive à rentrer chez moi en vie. Je ne suis pas une petite joueuse. Soit je bois vraiment, soit je ne bois pas. Je ne vous cache pas que c'est souvent le premier cas qui se produit. Il devait être environ trois heures du matin quand je suis sortie du dernier bar, complètement saoule. Je n'avais plus conscience de grand-chose, je dois le reconnaître. Je me souviens avoir vu, au loin, deux flics. Ils ne m'avaient pas raté. Et merde ! Je savais une chose. A cause de l'état d'ébriété dans lequel je me trouvais, je ne pourrais pas les éviter, encore moins les semer. Entre mes talons de dix centimètres et ma trajectoire pas très droite, j'étais foutue.

C'est tout ce dont je me rappelle. Et maintenant, je suis là. Enfermée dans une cellule au poste de police. Ils m'ont dit que je resterai là tant que je n'aurai pas décuver, à moins que quelqu'un vienne me chercher et me ramène chez moi. J'ai bien évidemment essayer d'appeler mon père, qui ne se priverait pas de m'engueuler. Mais bon, je fais ce que je veux donc je m'en fiche. Dommage pour moi, il ne répond pas. En même temps, à cette heure-ci. Mon deuxième et dernier espoir : Logan. Raté ! J'ai donc remballé ma fierté et je l'ai appelé. Andréas. Je ne le supportait pas, mais pour le moment, il était le seul à pouvoir me sortir d'ici. Enfin ce n'était pas garanti qu'il vienne me chercher. Je savais d'avance qu'il jubilerait de me voir enfermée ici. Comme on dit, quand faut y aller, faut y aller, donc autant l'appeler.

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