[vos messages]

“ Hope&Logan ♦L’art sauvera le monde.  

Je venais tout juste de me lever. Le soleil brillait de tous ses éclats, le ciel était dégagé et il y avait un petit vent frais. La température était plus qu’agréable et j’avais décidé d’en profiter. En effet, étant en repos forcé, je n’avais pas vraiment d’autre chose à faire de mes journées… Je ne pouvais pas travailler, mon accident me causait encore beaucoup trop de tort : ma jambe était encore trop faible pour pouvoir soutenir mon poids et mon esprit était encore trop fragile pour endurer toutes les atrocités que l’on pouvait t voir à la guerre. Mes médicaments m’étaient d’un plus grand bien, mais je ne pouvais pas tout de suite m’en passer.

Je devais admettre que l’armée me manquait. En effet, les journées commençaient à être longues et je n’en pouvais plus de croiser régulièrement ma tendre sans pouvoir la serrer dans mes bras.  J’en avais marre de faire semblant et encore pire, de vivre avec ma fiancée. Une inconnue, une femme que je n’aimais pas et pourtant, j’allais l’épouser. Je n’avais aucun intérêts en communs avec elle et les moments passés en  sa compagnie m’ennuyait énormément. Je n’étais pas le seul à vivre dans cette condition, probablement qu’elle aussi n’appréciait pas nos moments passés ensemble. Les journées étaient longues, car tous mes amis avaient leurs occupations. Il n’y avait que moi seul et je devais occuper mes journées, sans quoi mes souvenirs envahissaient trop mes pensées et m’empêchait de voir clair.
Bref, tout ça pour dire que j’avais besoin de  me changer les idées. J’enfilai mon uniforme, un veston et un pantalon marin et une jolie chemise blanche. Je nouai ma cravate autour de mon coup, enfilai mes chaussures propres et pris ma canne pour sortir. J’avais décidé d’aller à la galerie d’art !

**

J’avais appelé un taxi pour m’y rendre. En effet, bien que je voulais profiter de la belle température, marcher dans ma condition jusqu’à la galerie me prendrait des heures. Je boitais et être trop longtemps debout amplifiait la douleur que j’avais à la jambe. Bref, une fois arrivée, j’entrai doucement dans la galerie et contemplai les tableaux.
J’adorais l’Art sous toutes ses formes. La dance, la musique, le dessin, tout. J’étais toujours émerveillé par l’imagination des artistes. La façon qu’ils utilisaient afin de  s’exprimer m’étonnait à chaque fois. J’avais beaucoup de reconnaissance et d’admiration envers eux. L’art était un talent que seuls les artistes pouvaient comprendre.  Je prêtai une attention particulière à un tableau qui, je trouvais, sortais vraiment du commun. Il avait un quelque chose  qui m’attirait plus que les autres, mais je n’arrivais pas à trouver. Était-ce les couleurs ? Les contrastes ? Le dessin en général ou le message que je comprenais de cette peinture? Peu importe, j’étais debout devant cette toile debout déjà quelques minutes et je n’arrivais pas à détourner le regard de sur cet œuvre.

©clever love.

[Date d'inscription]

“ Hope&Logan ♦L’art sauvera le monde.  

Je venais tout juste de me lever. Le soleil brillait de tous ses éclats, le ciel était dégagé et il y avait un petit vent frais. La température était plus qu’agréable et j’avais décidé d’en profiter. En effet, étant en repos forcé, je n’avais pas vraiment d’autre chose à faire de mes journées… Je ne pouvais pas travailler, mon accident me causait encore beaucoup trop de tort : ma jambe était encore trop faible pour pouvoir soutenir mon poids et mon esprit était encore trop fragile pour endurer toutes les atrocités que l’on pouvait t voir à la guerre. Mes médicaments m’étaient d’un plus grand bien, mais je ne pouvais pas tout de suite m’en passer.

Je devais admettre que l’armée me manquait. En effet, les journées commençaient à être longues et je n’en pouvais plus de croiser régulièrement ma tendre sans pouvoir la serrer dans mes bras.  J’en avais marre de faire semblant et encore pire, de vivre avec ma fiancée. Une inconnue, une femme que je n’aimais pas et pourtant, j’allais l’épouser. Je n’avais aucun intérêts en communs avec elle et les moments passés en  sa compagnie m’ennuyait énormément. Je n’étais pas le seul à vivre dans cette condition, probablement qu’elle aussi n’appréciait pas nos moments passés ensemble. Les journées étaient longues, car tous mes amis avaient leurs occupations. Il n’y avait que moi seul et je devais occuper mes journées, sans quoi mes souvenirs envahissaient trop mes pensées et m’empêchait de voir clair.
Bref, tout ça pour dire que j’avais besoin de  me changer les idées. J’enfilai mon uniforme, un veston et un pantalon marin et une jolie chemise blanche. Je nouai ma cravate autour de mon coup, enfilai mes chaussures propres et pris ma canne pour sortir. J’avais décidé d’aller à la galerie d’art !

**

J’avais appelé un taxi pour m’y rendre. En effet, bien que je voulais profiter de la belle température, marcher dans ma condition jusqu’à la galerie me prendrait des heures. Je boitais et être trop longtemps debout amplifiait la douleur que j’avais à la jambe. Bref, une fois arrivée, j’entrai doucement dans la galerie et contemplai les tableaux.
J’adorais l’Art sous toutes ses formes. La dance, la musique, le dessin, tout. J’étais toujours émerveillé par l’imagination des artistes. La façon qu’ils utilisaient afin de  s’exprimer m’étonnait à chaque fois. J’avais beaucoup de reconnaissance et d’admiration envers eux. L’art était un talent que seuls les artistes pouvaient comprendre.  Je prêtai une attention particulière à un tableau qui, je trouvais, sortais vraiment du commun. Il avait un quelque chose  qui m’attirait plus que les autres, mais je n’arrivais pas à trouver. Était-ce les couleurs ? Les contrastes ? Le dessin en général ou le message que je comprenais de cette peinture? Peu importe, j’étais debout devant cette toile debout déjà quelques minutes et je n’arrivais pas à détourner le regard de sur cet œuvre.

©clever love.

[vos messages]

Savoir écouter est un art.

La jolie brune s’était levée du bon pied aujourd’hui. Il était temps qu’elle se reprenne et fasse sa petite vie comme elle l’avait toujours souhaité. Elle s’était donc levée, avait mis de la musique et dansait comme une vraie gamine pendant qu’elle se préparait son petit déjeuner. Une chose qui était bien quand on était son propre patron était que l’on pouvait commencer à bosser à l’heure que l’on souhaitait. Alors aujourd’hui, Hope allait arriver un peu plus tard. Elle prit son temps de déguster quelques fruits tout en lisant un magazine. Elle adorait ces petits moments. De plus, il faisait beau. Tout était absolument parfait. Elle finit par aller prendre sa douche et s’habiller pour enfin partir travailler. Elle quitta son appartement et mit ses lunettes de soleil sur le bout de son nez tout en marchant à travers les rues du centre-ville. Elle adorait le faire, marcher, apprécier le soleil, l’ambiance de cette ville. Elle lui avait vraiment manquée. Elle était plus qu’heureuse d’être revenue malgré ses appréhensions du début. Elle dit bonjour au gérant de la boutique juste à côté avec un grand sourire et ouvrit enfin sa galerie. Elle se dirigea dans son bureau et s’y installa. C’était parti pour une longue journée de travail dans quelque-chose qui la passionnait plus que tout.

Après avoir grignoté quelque-chose à midi, la jeune femme s’occupa de quelques commandes et quelques arrivages. Elle n’avait eu que deux visites. Mais elle en avait l’habitude. Tout le monde ne pouvait pas se payer un tableau. L’art coûtait cher aujourd’hui. L’art était une culture à choyer. Elle était la première à le penser. De plus, grâce à ses études, elle avait réussi à faire en sorte d’avoir une certaine réputation dans le domaine. Elle avait donc pas mal de contacts qui lui permettaient d’avoir de grandes œuvres sur ses murs. Elle en était plus que fière. Elle avait fait tout ce chemin pour en arriver là. Elle sortit de ses pensées en entendant la sonnerie de la porte et jeta un rapide coup d’œil. Un jeune homme venait d’entrée. Il boitait. Mais elle n’alla pas le déranger tout de suite. Hope savait à quel point les personnes aimaient admirer tranquillement les tableaux pour en comprendre le sens, qu’ils leur parlent. Alors elle lui laissa du temps.

Les minutes défilèrent et Hope se décida à bouger. Elle quitta le refuge qu’était son bureau et se dirigea vers l’homme en souriant. Elle observa le tableau qu’il admirait. Elle le connaissait par cœur. Elle sourit un peu plus. « Très bon choix. Ce tableau parle à beaucoup de monde. » Elle laissa passer quelques secondes avant de se tourner vers l’homme et lui sourire. « Je peux vous aider peut-être ? Ou préférez-vous que je vous laisse un peu plus de tranquillité pour admirer les autres œuvres ? » Elle comprendrait très bien. Elle n’en voulait jamais aux gens qui venaient pour simplement se retrouver dans un lieu rempli d’art sans rien acheter.

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Savoir écouter est un art.

La jolie brune s’était levée du bon pied aujourd’hui. Il était temps qu’elle se reprenne et fasse sa petite vie comme elle l’avait toujours souhaité. Elle s’était donc levée, avait mis de la musique et dansait comme une vraie gamine pendant qu’elle se préparait son petit déjeuner. Une chose qui était bien quand on était son propre patron était que l’on pouvait commencer à bosser à l’heure que l’on souhaitait. Alors aujourd’hui, Hope allait arriver un peu plus tard. Elle prit son temps de déguster quelques fruits tout en lisant un magazine. Elle adorait ces petits moments. De plus, il faisait beau. Tout était absolument parfait. Elle finit par aller prendre sa douche et s’habiller pour enfin partir travailler. Elle quitta son appartement et mit ses lunettes de soleil sur le bout de son nez tout en marchant à travers les rues du centre-ville. Elle adorait le faire, marcher, apprécier le soleil, l’ambiance de cette ville. Elle lui avait vraiment manquée. Elle était plus qu’heureuse d’être revenue malgré ses appréhensions du début. Elle dit bonjour au gérant de la boutique juste à côté avec un grand sourire et ouvrit enfin sa galerie. Elle se dirigea dans son bureau et s’y installa. C’était parti pour une longue journée de travail dans quelque-chose qui la passionnait plus que tout.

Après avoir grignoté quelque-chose à midi, la jeune femme s’occupa de quelques commandes et quelques arrivages. Elle n’avait eu que deux visites. Mais elle en avait l’habitude. Tout le monde ne pouvait pas se payer un tableau. L’art coûtait cher aujourd’hui. L’art était une culture à choyer. Elle était la première à le penser. De plus, grâce à ses études, elle avait réussi à faire en sorte d’avoir une certaine réputation dans le domaine. Elle avait donc pas mal de contacts qui lui permettaient d’avoir de grandes œuvres sur ses murs. Elle en était plus que fière. Elle avait fait tout ce chemin pour en arriver là. Elle sortit de ses pensées en entendant la sonnerie de la porte et jeta un rapide coup d’œil. Un jeune homme venait d’entrée. Il boitait. Mais elle n’alla pas le déranger tout de suite. Hope savait à quel point les personnes aimaient admirer tranquillement les tableaux pour en comprendre le sens, qu’ils leur parlent. Alors elle lui laissa du temps.

Les minutes défilèrent et Hope se décida à bouger. Elle quitta le refuge qu’était son bureau et se dirigea vers l’homme en souriant. Elle observa le tableau qu’il admirait. Elle le connaissait par cœur. Elle sourit un peu plus. « Très bon choix. Ce tableau parle à beaucoup de monde. » Elle laissa passer quelques secondes avant de se tourner vers l’homme et lui sourire. « Je peux vous aider peut-être ? Ou préférez-vous que je vous laisse un peu plus de tranquillité pour admirer les autres œuvres ? » Elle comprendrait très bien. Elle n’en voulait jamais aux gens qui venaient pour simplement se retrouver dans un lieu rempli d’art sans rien acheter.

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“ Hope&Logan ♦L’art sauvera le monde.  

La galerie d’art était le seul lieu, ou l’un des seuls, où je pouvais réellement être calme et reposé. Je pouvais me perdre pendant des heures à contempler des toiles, des peintures, des dessins d’artistes et de voir au-delà de tout ça. Je cherchais l’émotion véhiculée là-dedans, ce que l’artiste ressentait lorsqu’il avait peint cet œuvre. Je tentais de percevoir le message de cet individu sans jamais réellement trouver un sens. Quoi que l’art, il n’y avait pas de sens, ou du moins, il était propre à tous et chacun. Ce que je voyais dans cette toile pouvait être complètement l’opposé de ce qu’une autre personne voyait. L’art me permettait également de me sentir bien. Lorsque j’allais dans un musée, c’est comme si j’oubliais tout mes problèmes, comme si, pour l’espace d’un instant, j’oubliais ce que j’étais et je me voyais comme ce que je voulais être : Un homme libre, heureux, amoureux de la femme qu’il voulait, être qui je voulais. Personne ne me jugeait, chacun étant trop préoccupé par les peintures qui nous entouraient, personne ne me regardait, personne ne m voyait. Je n’avais pas à jouer un rôle, je n’avais pas à bien me conduire, à être irréprochable. Non, j’étais qui je voulais être.

Une douce voix me ramena à la réalité. Je pouvais me perdre ainsi très rapidement et pendant de nombreuses heures. Il m’était d’ailleurs arrivée plusieurs fois d’être mis à la porte, car je pouvais rester jusqu’à la fermeture sans m’en rendre compte. M’enfin, je me retournai pour regarder cette jeune femme. Je reposai mon regard sur le tableau et répondis :

« En effet, et pourtant, il reste silencieux.» Elle m’offrait son aide par la suite. Je lui souris et poursuivis : « Oui en fait, j’aime beaucoup ce tableau. Je ne connais malheureusement pas l’artiste, est-ce nouveau? »

Je n’avais effectivement jamais vu d’œuvre semblable à celle-ci. Elle ressortait du lot et captait mon attention. J’étais très intéressé à me la procurer, mais je voulais savoir, avant tout, qui était l’artiste qui avait fait cette peinture. Je voulais voir, s’il y en avait, les autres œuvres de ce dernier.
Malheureusement, ma jambe commençait à me faire mal. Elle était trop fragile encore pour soutenir mon poids ne serait-ce que pendant une heure. J’étais très fatigué et le fait d’être rester immobile plusieurs minutes n’avaient pas aidé ma cause. C’est alors qu’en me reculant un peu, me dirigeant tranquillement vers le banc tout près de nous, je dis :

« Veuillez m’excuser, ma jambe me fait un peu mal, je vais m’asseoir ici.»

©clever love.

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“ Hope&Logan ♦L’art sauvera le monde.  

La galerie d’art était le seul lieu, ou l’un des seuls, où je pouvais réellement être calme et reposé. Je pouvais me perdre pendant des heures à contempler des toiles, des peintures, des dessins d’artistes et de voir au-delà de tout ça. Je cherchais l’émotion véhiculée là-dedans, ce que l’artiste ressentait lorsqu’il avait peint cet œuvre. Je tentais de percevoir le message de cet individu sans jamais réellement trouver un sens. Quoi que l’art, il n’y avait pas de sens, ou du moins, il était propre à tous et chacun. Ce que je voyais dans cette toile pouvait être complètement l’opposé de ce qu’une autre personne voyait. L’art me permettait également de me sentir bien. Lorsque j’allais dans un musée, c’est comme si j’oubliais tout mes problèmes, comme si, pour l’espace d’un instant, j’oubliais ce que j’étais et je me voyais comme ce que je voulais être : Un homme libre, heureux, amoureux de la femme qu’il voulait, être qui je voulais. Personne ne me jugeait, chacun étant trop préoccupé par les peintures qui nous entouraient, personne ne me regardait, personne ne m voyait. Je n’avais pas à jouer un rôle, je n’avais pas à bien me conduire, à être irréprochable. Non, j’étais qui je voulais être.

Une douce voix me ramena à la réalité. Je pouvais me perdre ainsi très rapidement et pendant de nombreuses heures. Il m’était d’ailleurs arrivée plusieurs fois d’être mis à la porte, car je pouvais rester jusqu’à la fermeture sans m’en rendre compte. M’enfin, je me retournai pour regarder cette jeune femme. Je reposai mon regard sur le tableau et répondis :

« En effet, et pourtant, il reste silencieux.» Elle m’offrait son aide par la suite. Je lui souris et poursuivis : « Oui en fait, j’aime beaucoup ce tableau. Je ne connais malheureusement pas l’artiste, est-ce nouveau? »

Je n’avais effectivement jamais vu d’œuvre semblable à celle-ci. Elle ressortait du lot et captait mon attention. J’étais très intéressé à me la procurer, mais je voulais savoir, avant tout, qui était l’artiste qui avait fait cette peinture. Je voulais voir, s’il y en avait, les autres œuvres de ce dernier.
Malheureusement, ma jambe commençait à me faire mal. Elle était trop fragile encore pour soutenir mon poids ne serait-ce que pendant une heure. J’étais très fatigué et le fait d’être rester immobile plusieurs minutes n’avaient pas aidé ma cause. C’est alors qu’en me reculant un peu, me dirigeant tranquillement vers le banc tout près de nous, je dis :

« Veuillez m’excuser, ma jambe me fait un peu mal, je vais m’asseoir ici.»

©clever love.