'' baby i've been losing sleep ▬ cadell

Invité

cadell eyon
i like the way it's hurts

Nom : eyon.

Prénom : cadell.

Âge : vingt-quatre ans.

date et lieu de naissance : 26 août 1989, à cardiff, pays de galles.

vos origines : le jeune homme est entièrement gallois, mais détient tout de même une part d'irlande sans son sang; son grand-père était irlandais.

Métier : il est tout d'abord un étudiant en art (à l'école des beaux arts) et d'un autre côté, des études en musique. deux volets qui lui font voyager dans un monde imaginaire auquel il se sent bien. pour ce qui est de son métier, il est chansonnier dans un bar et il adore ça.

Orientation sexuelle : il n'est qu'aux femmes.

Statut matrimonial : ses relations du passé font qu'aujourd'hui, c'est un connard de première.

côté financier : il gagne plutôt assez bien pour « survivre ». il a cependant une fâcheuse manie de toujours s'approprier des substances illicites à gros prix pour son plaisir personnel. Caractère : pour ce qui est de ses qualités, il est charmeur, déterminé, intelligent, artiste dans l'âme, créatif. ensuite, pour ses défauts, il est têtu, indépendant, accro à la drogue, rancunier, impulsif, n'aime pas se faire diriger.

Groupe : indicatif présent (les présents).

un peu plus sur vous.

il a vécu une enfance « presque » heureuse jusqu'à l'âge de ses cinq ans. il ne s'en rappelle pas trop mais il se souvient avoir vu son père être violent avec sa mère à plusieurs reprises. c'est en cela qu'il a développé son trait de caractère d'impulsif, mais aussi protecteur envers ses proches.

il a la fâcheuse manie de toujours vouloir diriger, toujours vouloir faire les choses comme lui le voit.

c'est un addict de drogue. il dépense tout son argent là-dedans et est toujours ouvert à essayer de nouvelles substances. il est incapable de s'en sortir puisque lorsqu'il n'est plus sous l'effet de la drogue, il en reveut plus pour ressentir les mêmes effets. en bref, il est devenu dépendant.

à cause de la drogue, toute sa vie sociale est en train de chambouler, ainsi que sa vie au niveau travail. c'est-à-dire, il a tourné le dos à de nombreux de ses amis d'enfance qui ont essayé de l'aider, et il a accumulé de nombreux boulots qui se sont rendus compte que cadell venait travailler lorsqu'il n'était pas ajun.

une de ses passions est l'art. il adore dessiner et peintre toutes choses qui lui vient en tête qu'il soit ajun ou non. ses dessins finissent souvent en quelque chose de glauque, c'est à cela que mène sa gigantesque imagination. c'est son moyen à lui de s'évader et de penser à autre chose.

c'est également un dépendant de la cigarette. en bref, il est en train de devancer sa mort.

c'est un homme à femmes, mais il se contente d'avoir des histoires sans lendemains. il est rare de le voir s'attacher.

il joue de la guitare depuis qu'il a dix ans. c'est sa mère qu'il lui a montré et qui lui a transmis cette passion pour la musique. il a également un bon timbre de voix qu'il utilise parfois pour charmer les femmes.

il a du mal à se payer un loyer, donc c'est le genre de personne qui se passera d'un souper pour essayer de finir ses mois dans son logement.

il a déjà tenté de devenir dealer, mais on lui a dit qu'un dealer qui n'était jamais ajun ne pouvait être un bon dealer, il a donc rennoncé et se contente de son job.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? à cardiff ? je suis né ici. cardiff, c'est mon lieu de naissance, c'est ma vie, mon futur. je ne crois pas qu'un jour je partirai de cet endroit, à moins que j'en aie vraiment marre ou que je gagne à la loterie. j'suis bien. j'ai mes contacts pour me remplir le tiroir, j'ai mes bars auquel je me rends pour faire de nouvelles rencontres litales... litales, ça se dit ? bref. who cares. les femmes sont belles ici, mais j'aimerais bien visiter les états-unis afin de voir plus d'origines. on m'a souvent raconté que les brésiliennes, oufiouf. j'suis ici depuis toujours, et je n'ai pas l'intention de me rendre ailleurs pour le moment... comment considérez vous votre vie actuellement? bah. comme d'habitude. j'fais la teuf, je fais mes études, j'essaie de rendre mon rêve réel quoi. je rêve de devenir un artiste internationnal, même si je sais que ça arrivera probablement jamais. y'a que les gens qui sont déjà riches qui montent en haut de l'échelon. les autres ne valent que des merdes. regardez déjà, la justice, qui s'en sort ? les riches. bref. je sais que je ne suis pas toujours assez fortuné pour payer mon logement, mais je fais mon possible, même si c'est pour manquer quelques repas, bien que la mari me donne une faim de loup, c'est pas toujours facile vous voyez ! à la fin, j'me tire une balle. et je réssucite.est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? mes proches, enfin... mes anciens amis, ils savent à quel point j'ai eu une enfance difficile, même si je ne le laisse pas particulièrement paraître et que lors de mes lendemains de veille je me fais traiter de tous les noms: « trou du cul », « connard », ou peu importe ce qu'ils peuvent trouver d'insignifiant dans leur cerveau. premièrement, j'crois que... je sais, c'est dur à dire mais... je ne serais jamais entré dans ce cercle vicieux de drogues. j'en suis rendu au stade où une journée sans drogues, c'est du kill myself pur et dur. je ne me sens plus du tout moi-même. bref. peu importe. deuxièmement, je n'aurais jamais fait entré cette gillian dans ma vie. troisièmement, je n'aurais jamais dû m'ouvrir à ce sujet et profiter de ce que la vie m'apporte aujourd'hui. pas de regrets, pas de maux de tête.

derrière l'écran.
votre pseudo : fairplay.

votre âge : j'sais pas.

votre pays : QUÉBEC est mon pays '' baby i've been losing sleep ▬ cadell 3367090554

.

scénario ou inventé : scénario héhé.

votre fréquence de connexion : tous les jours ou presque. je serai rarement là les week-ends par contre.

comment êtes-vous arrivé ici? : bazzart.

vos commentaires/impressions : avec l'accueil de fou ainsi que ce scénario, je risque totalement d'avoir tout plein de bons moments '' baby i've been losing sleep ▬ cadell 3486337128

. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : mais oui, ça peut être marrant '' baby i've been losing sleep ▬ cadell 3486337128

.

Invité

story of my life
i like the way it's hurts

Lately I been, I been losing sleep, dreaming about the things that we could be, but baby, I been, I been prayin' hard, said no more counting dollars, we'll be counting stars, yeah, we'll be counting stars. BANGERZ

Tard dans la nuit. Je marchais. Je ne savais pas trop où j’allais, mais je me rendais à un endroit qui allait me donner de l’inspiration pour mon prochain travail de français. Je n’avais plus les pensées claires et l’envie de me retrouver dans un trou d’herbe m’était traversé l’esprit alors que je regardais les feuilletons pourries qui pouvaient passer à la télévision à cette heure de la nuit. J’avais apporté ma guitare, parce que je sais qu’à cette heure personne ne m’entendait. Et si j’allais jouer dans mon appart, ma voisine serait surement venue crier après moi pour que j’arrête de chanter. Mère dormait, mais elle savait que j’adorais prendre des marches nocturnes. Mon meilleur pote me trouvait plutôt bizarre là-dessus, parce que il dort tout le temps. Je suppose qu’on appelle ça… de l’insomnie, ouais. Bref. J’étais rendu au parc, et je me suis adossé à un arbre afin de m’y installer. Je sortis mon paquet de cigarette et m’alluma une clope. Je commençais à jouer quelques notes jusqu’à ce que je m’aperçoive que le ciel était totalement étoilé, magnifique. Un excellent moment pour composer de nouvelles chansons ou bien peintre ce ciel magnifique orné de quelques de mes dessins personnels.

Puis, mes pensées m’envahirent. Ce n’était pas à ma plus grosse surprise, il m’arrivait de mettre mes écouteurs, d’écouter ma musique et de tomber dans un monde où la douleur est complètement inexistante. Sauf quand ces chansons nous font remémorer des souvenirs dont l’on aimerait se débarrasser, c’est là que la musique devient un fardeau pour notre pensée. Je finissais ma cigarette, et je mis ma guitare à ma droite, sur l’herbe. Je fermais les yeux quelques instants, histoire de savourer ce silence… silence qui dura longtemps, puisque je finis par m’endormir, contre cet arbre, sauveur de pensées néfastes.

---

Les oiseaux me réveillèrent. Ces chants d’oiseaux que nous sommes obligés d’aimer. Je regardais mon portable, 6h34. Pas si mal. Je suis par contre très surpris qu’un policier ne m’ait pas réveillé pour que je parte. Je suppose que les policiers n’en ont plus rien à faire des gens comme moi, puisqu’ils tournent constamment autour des bars pendant la nuit. Surtout qu’on était dimanche matin, le lendemain de LA veille. Je ne me levais pas tout de suite. Je m’allumais une clope avant, et remis ma guitare dans son étui. Mère devait surement s’inquiéter de mon absence, surtout à mon âge, quinze ans, ce n’est pas fréquent pour des jeunes hommes de mon âge de flâner dehors toute une nuit. Il faut lui pardonner, elle est inquiète j’le sais. Surtout depuis que papa est parti l’été passé, dieu merci, il s’est trouvé une nouvelle femme. J’imagine que mère ne faisait pas l’affaire. Mère, c’est la femme de ma vie. La première. Ma deuxième, c’est Gillian. Gillian a quatorze ans. J’ai toujours eu un faible pour les plus jeunes, puisqu’elles ont moins de vécu, moins d’histoires de cœurs brisés. Ma sœur, Elyann, est de deux ans plus jeune. Elle est toute innocente, fraiche; je me dois de la protéger. Mais peu importe. Je commençais à rejoindre le chemin hors du parc pour me diriger chez moi, jusqu’à ce que je vois une tête blonde arriver. Oui, ma petite amie. Au début, je fronçais les sourcils. Parce que elle m’a toujours dit qu’elle se levait tard le dimanche matin. Je regardais mes textos, aucun d’elle. Je me cachais donc derrière un arbre, pour enfin apercevoir un autre homme avec elle. Il devait avoir une vingtaine d’années, il avait l’air plutôt vieux. Je m’étais dis, bon, un autre ami de son frère plus vieux tiens… mais ce n’est que quelques instants plus tard que je la vis mettre ses mains sur les joues de l’homme. Sur le coup, je me suis retourné. Je ne voulais pas voir mon cœur déchiré encore plus qu’il venait de l’être. Je suis donc partie en courant, faisant tellement basculer ma guitare qu’elle frappa un banc donc forcément, je fis du bruit. « Cadell ? CADELL ! » le son de sa voix me fit frissonner mais je continuais de courir. De courir jusqu’à ce que je me retrouve auprès de mon meilleur ami pour qu’il me passe une gorgée de sa bouteille de Ciroc. Comment pouvait-on se débarrasser d’une personne de la sorte ? D’oublier la personne qui nous a déviergé pour une autre ? Comme on dit, ces choses-là, elles arrivent. Et elles nous font changer une perception que l’on avait de la vie en une bien plus mauvaise.

---

« Merci. » je repars avec mon sac plein d’herbes et de pilules après avoir tout dépensé l’argent que je venais de gagner de ma paie de jeudi dernier. Non mais après on s’en fou, cette argent qu’elle aille dans l’alcool, dans les prostitués, je suis bien mieux que ces mecs. Je passais chez moi afin de cacher un peu ma came pour ensuite me rendre au jazz club. Cet endroit est juste génial. J’entrais avec ma guitare dans son étui, saluait le propriétaire et je me rendis immédiatement au bar afin de me chercher de quoi à boire. « Whisky coca. » mon préféré, le meilleur whisky au monde, c’est au Pays de Galles selon moi. J’allais m’assoir dans un fauteuil puisque je savais qu’à la fin de la soirée, il m’en fallait un pour parler à la demoiselle que je devais ramener chez moi. Elles adorent faire connaissance. C’est con. Parce que le lendemain elles savent très bien que je vais les chasser de chez moi en leur laissant un faux numéro de téléphone. Les filles, si vous couchez avec moi le premier soir, cela ne me dit pas que vous êtes une bonne fille pour moi, m’voyez. Non mais quand même. Je fis quelques clins d’œil à ces demoiselles, pour lesquelles je savais qu’elles allaient tellement être bourrées à la fin de la soirée qu’elles auront besoin d’un homme pour les soutenir. Tenir leurs cheveux pendant qu’ils vomissent. Non, sérieux, ma règle numéro un, c’est de ne jamais s’en tenir à une femme qui a des nausées. Parce qu’elles vomissent tout le temps, et c’est moi qui doit toujours nettoyer. « Alexis Abberline ! » à la suite de cette annonce, je tournais la tête vers la scène pour voir une tête blonde. Les blondes, comme je les aimais. Cette femme, elle avait quelque chose qui avait le don de m’intriguer. Mais ce n’est que lorsque j’ai entendu le son de cette voix majestueuse, magnifique, le genre qui mérite qu’on lui porte attention. Je regardais autour de moi, les gens avaient l’air tous aussi intrigués que je l’étais. Elle était devenue un défi pour moi. Un ange venu sur terre pour me charmer, c’est ce que j’avais pensé… mais la soirée passait, je me faufilais vers quelques personnes qui lui parlaient pour attirer son attention. Pour elle, je n’étais qu’un homme parmi un autre. Or, je n’en suis pas un, je déteste qu’on me dise non et encore moins lorsqu’on me compare à d’autres hommes. Un mur, métaphoriquement parlant, nous séparait. Et je voulais briser ce mur. Après cette soirée, elle est quand même devenue une amie à moi, sans que je m’en rendre compte. Ben, une amie, je sais pas trop comment la catégoriser, je ne sais pas comment moi elle me voit, mais elle n’est certainement pas du genre à s’attacher facilement. Comme moi, au final.