[vos messages]

If you play, you play for keep.
Ft. Clyde Keynes & Trinity O'Hara

Une silhouette parcourant les miroirs de ce couloir étroit, cette robe rouge laissant apercevoir des courbes divines,  une chevelure blonde laissant cette apparence indomptable, les talons portés par cette jeune résonnèrent à chaque pas qu’elle effectuait. Trinity parcourait le couloir la menant dans cette grande salle ! Les premières notes de musique retentirent et la voici apparaissant, aux yeux de tous, les bras croisés sur sa poitrine. Un soir comme les autres ? Non, pour elle, chaque soirs étaient différents, à chaque fois qu’un client passé le seuil de cet endroit, tout devait lui paraître nouveau et désirable à la fois. Souriant à quelques personnes présentes ici, elle se contentait de faire un tour des lieux avant que son regard soit captivé par une des serveuses, elle ne semblait pas être au meilleur de sa forme, mais qu’à cela ne tienne ! Si elle était là ce soir, elle devait se montrer sous son meilleur jour, sinon cela se servait à rien. Elle empressait le pas afin d’atteindre ce comptoir, personne ne se plaçait sur son passage. La majorité des personnes présentes ici connaissait cette jeune blonde, il savait à quel point elle pouvait être adorable, mais lorsqu’elle avait une idée en tête, un simple regard signifiait beaucoup. N’étant plus qu’à quelques mètres du bar, elle pénétrait dans la zone réservée au personnel avant d’apercevoir ce léger sourire se dessiner sur le visage de cette serveuse. Comment s’appelait-elle déjà ? Emma ! Ces jeunes femmes ne sont pas les plus à plaindre dans ce club ! Trinity arborait ce sourire, présent en toute circonstance avant d’empoigner le bras de la jeune femme, l’incitant à venir tout contre elle, son dos collé contre la poitrine de Mme O’Hara. La discrétion a toujours été le fort de cette femme de poigne, elle remontait son visage dans le creux du cou de cette créature avant de lui glisser. « Ce n’est pas parce que tu es l’une de nos meilleures filles, que tu dois oublier de sourire et de te montrer avenante ! » La respiration d’Emma s’accélérait soudainement, elle semblait avoir peur de bouger et se contentait, simplement, d’acquiescer d’un hochement de tête avant de pouvoir répondre à son interlocutrice.  « Je suis désolée Mme O’Hara, mon fils à été malade toute la journée, je suis exténuée !  » Toujours le même motif, les mêmes excuses, comme si ce critère devrait être spécifié lors de prochains recrutements. Trinity lâcha l’emprise qu’elle percevait sur elle, mais ne s’éloignait pas pour autant, elle laissait échapper un soupir en signe d’exaspération.  « Si ces hommes viennent ici, ce n’est pas pour entendre tes lamentations, alors soit tu reprends tout de suite ton sourire et ce petit côté sauvage qu’il vienne chercher, soit tu poses ce que tu es en train de faire et tu rentres chez toi ! » Rentrer chez elle ? Bien entendu qu’elle avait le droit de le faire ! Le droit d’être arrivée à un point de non-retour ! Mais cela signifiait un manque de revenu, des pourboires et des compléments en mois, ce qu’Emma ne pouvait pas se permettre. Arborant rapidement un sourire, Trinity n’attendit aucune réponse de sa part avant de séparer leur corps et de reprendre sa place habituelle.
Elle ne se retournait pas un seul instant et continuait de vaquer à ses occupations. Le monde commençait à prendre place à l’intérieur de cette immense salle, différents coins étaient présents. Le luxe était présent à chaque pas que l’on effectuait dans ces lieux ! Elle vit son mari apparaître quelques secondes, elle se contentait de hocher simplement la tête, avant qu’il ne prenne pas aux côtés d’autres hommes afin de se lancer dans des discussions visant à refaire le monde. Sans même avoir à parler, un mojito vint se placer sur le comptoir, Trinity s’est alors emparée du verre avant de le porter délicatement sur ses lèvres et y ressentir le liquide, tellement savoureux, passait le long de sa gorge et son regard fut concentré sur l’une des danseuses. Elle n’en était qu’à son premier jour, mais elle possède cette grâce, cette jeunesse et cette naïveté qui plaît tant ici. A en voir les clients, les yeux rivés sur elle, Triny n’est pas la seule à penser ainsi, elle avait devoir avoir une conversation avec elle ! Son regard fut subjugué par cette déesse quelques instants avant qu’une autre silhouette attire son attention. Elle se concentrait quelques secondes avant de pouvoir mettre un nom sur ce visage qui s’approchait. Non, elle ne rêvait pas ! Dans un énième soupir, elle se retournait donc vers le bar, dans l’espoir que cet homme ne soit présent, uniquement, pour passer une bonne soirée !  

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Une silhouette parcourant les miroirs de ce couloir étroit, cette robe rouge laissant apercevoir des courbes divines,  une chevelure blonde laissant cette apparence indomptable, les talons portés par cette jeune résonnèrent à chaque pas qu’elle effectuait. Trinity parcourait le couloir la menant dans cette grande salle ! Les premières notes de musique retentirent et la voici apparaissant, aux yeux de tous, les bras croisés sur sa poitrine. Un soir comme les autres ? Non, pour elle, chaque soirs étaient différents, à chaque fois qu’un client passé le seuil de cet endroit, tout devait lui paraître nouveau et désirable à la fois. Souriant à quelques personnes présentes ici, elle se contentait de faire un tour des lieux avant que son regard soit captivé par une des serveuses, elle ne semblait pas être au meilleur de sa forme, mais qu’à cela ne tienne ! Si elle était là ce soir, elle devait se montrer sous son meilleur jour, sinon cela se servait à rien. Elle empressait le pas afin d’atteindre ce comptoir, personne ne se plaçait sur son passage. La majorité des personnes présentes ici connaissait cette jeune blonde, il savait à quel point elle pouvait être adorable, mais lorsqu’elle avait une idée en tête, un simple regard signifiait beaucoup. N’étant plus qu’à quelques mètres du bar, elle pénétrait dans la zone réservée au personnel avant d’apercevoir ce léger sourire se dessiner sur le visage de cette serveuse. Comment s’appelait-elle déjà ? Emma ! Ces jeunes femmes ne sont pas les plus à plaindre dans ce club ! Trinity arborait ce sourire, présent en toute circonstance avant d’empoigner le bras de la jeune femme, l’incitant à venir tout contre elle, son dos collé contre la poitrine de Mme O’Hara. La discrétion a toujours été le fort de cette femme de poigne, elle remontait son visage dans le creux du cou de cette créature avant de lui glisser. « Ce n’est pas parce que tu es l’une de nos meilleures filles, que tu dois oublier de sourire et de te montrer avenante ! » La respiration d’Emma s’accélérait soudainement, elle semblait avoir peur de bouger et se contentait, simplement, d’acquiescer d’un hochement de tête avant de pouvoir répondre à son interlocutrice.  « Je suis désolée Mme O’Hara, mon fils à été malade toute la journée, je suis exténuée !  » Toujours le même motif, les mêmes excuses, comme si ce critère devrait être spécifié lors de prochains recrutements. Trinity lâcha l’emprise qu’elle percevait sur elle, mais ne s’éloignait pas pour autant, elle laissait échapper un soupir en signe d’exaspération.  « Si ces hommes viennent ici, ce n’est pas pour entendre tes lamentations, alors soit tu reprends tout de suite ton sourire et ce petit côté sauvage qu’il vienne chercher, soit tu poses ce que tu es en train de faire et tu rentres chez toi ! » Rentrer chez elle ? Bien entendu qu’elle avait le droit de le faire ! Le droit d’être arrivée à un point de non-retour ! Mais cela signifiait un manque de revenu, des pourboires et des compléments en mois, ce qu’Emma ne pouvait pas se permettre. Arborant rapidement un sourire, Trinity n’attendit aucune réponse de sa part avant de séparer leur corps et de reprendre sa place habituelle.
Elle ne se retournait pas un seul instant et continuait de vaquer à ses occupations. Le monde commençait à prendre place à l’intérieur de cette immense salle, différents coins étaient présents. Le luxe était présent à chaque pas que l’on effectuait dans ces lieux ! Elle vit son mari apparaître quelques secondes, elle se contentait de hocher simplement la tête, avant qu’il ne prenne pas aux côtés d’autres hommes afin de se lancer dans des discussions visant à refaire le monde. Sans même avoir à parler, un mojito vint se placer sur le comptoir, Trinity s’est alors emparée du verre avant de le porter délicatement sur ses lèvres et y ressentir le liquide, tellement savoureux, passait le long de sa gorge et son regard fut concentré sur l’une des danseuses. Elle n’en était qu’à son premier jour, mais elle possède cette grâce, cette jeunesse et cette naïveté qui plaît tant ici. A en voir les clients, les yeux rivés sur elle, Triny n’est pas la seule à penser ainsi, elle avait devoir avoir une conversation avec elle ! Son regard fut subjugué par cette déesse quelques instants avant qu’une autre silhouette attire son attention. Elle se concentrait quelques secondes avant de pouvoir mettre un nom sur ce visage qui s’approchait. Non, elle ne rêvait pas ! Dans un énième soupir, elle se retournait donc vers le bar, dans l’espoir que cet homme ne soit présent, uniquement, pour passer une bonne soirée !  

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Son seul désir, que cette silhouette aperçu quelques secondes plus tôt, ne soit qu’un simple mirage. Cette jeune femme de poigne n’aimait pas qu’un contre-temps vienne à elle, que ce ciel empli d’ éclaircies se noircissent en une fraction de seconde, pourtant dès qu’elle apercevait cet homme, la prédiction était proche. Ne prêtant guère attention à sa démarche, elle préférait combler son envie actuel par ce cocktail, tout en laissant ses yeux vagabonder sur la jeune serveuse. Il semblait en avoir décidé autrement, que voulait-il au juste ? Appréciait-il qu’une femme se mette à le détester, se mette à l’éviter afin d’éviter toutes tentations, afin d’éviter tous nuages dans ce ciel ensoleillé. Elle ne put cacher sa surprise à la présence de cet homme à ses côtés, des dizaines de places étaient présentes, la soirée promettait riche en rebondissements. Tournant, doucement, les yeux ! Elle regardait cet homme du coin de l’oeil, comme si elle pouvait imaginer qu’il n’était pas juste pour profiter de la soirée. Pourquoi cet homme intriguait autant la jeune femme, elle avait tendance à le détester et le désirer en même temps, bien qu’elle ne le connaisse pas vraiment. Ses jambes restèrent croisés ! Elle ne lui prêtait aucun signe d’attention, comme si cela suffisait à pouvoir le faire fuir. Malgré cette apparence d’homme à femmes, d’homme actuel, il s’était montré un peu trop curieux lors de sa dernière visite, la curiosité est un vilain défaut donc cet homme possédait le vice. Dotée d’une assurance inébranlable, elle vint détourner le regard afin de fixer les prunelles de ses yeux dans les siennes, mais ce ton n’était pas des plus avenants, une once d’exaspération prit le dessus.  « Je ne suis pas ici afin de réserver de très bon accueil.  » Au fond, elle n’avait pas tord ! En temps normal, ce sont les employées de cet endroit qui s’occupèrent des clients, mais ce blond ne semblait pas comme les autres. Pourquoi semblait-il posséder ce petit côté provocateur qui donne envie de jouer à un jeu dangereux ? La jeune femme s’était renseigné sur lui, depuis sa dernière visite, son mari avait été d’une grande aide pour cela ! Mais rien n’était apparu, rien qui pourrait nuire à cet homme, elle ne connaissait que son métier, au plus grand dam de cette jeune femme.

Elle fit tournoyer ce verre, entre ses doigts, afin que le mélange soit parfait. La serveuse vint à servir cet homme, Trinity lui sourit ne voyant que l’indifférence à son égard de la part de ce blond. Le tabouret de la jeune blonde se mit à tourner afin de pouvoir faire face à cet homme ! « Surtout à un homme un peu trop curieux à mon goût. »   La jeune femme n’avait pas sa langue dans sa poche et elle ne put s’empêcher de faire descendre un peu son regard sur lui, comme pour pouvoir mémoriser les traits de son visage, tenter de déceler une faille chez celui-ci. Une chose dont elle pouvait se servir comme arme, elle tentait de le percer en plein jour. Ne dit-on pas que le regard est le reflet de l’âme, le sien ! Le liquide savoureux fut enfin terminé, elle ne lui laissait le temps d’aucune réponses avant que ses talons reprennent possession du sol et qu’elle se plaçait debout, face à lui tout en arborant un sourire. Ce sourire signifiait-il quelque chose pour Trinity ? Bien sur que non ! Elle avait ce don de mélanger plusieurs sentiments dans celui-ci, de l’indifférence à la provocation, de la malice à l’envie ! Méfiez-vous de ces sourires, ils peuvent blesser comme déshabiller ! Avant de tourner les talons, elle regardait cet homme une dernière fois, croisant les bras autour de sa poitrine.  « Mais je suis certaine que cet endroit regorge de jeunes femmes prêtes à vous accueillir comme il se doit, en tout cas je suis ravie de vous avoir revu M. Keynes !  » La phrase fut lancée, elle connaissait son identité, afin de pouvoir jouer un peu à part égale. Ce qui se passait dans cet endroit n’était visible que pour les propriétaires, les clients étaient choisis sur des critères et un moyen de pression était exercé sur eux, si l’un venait à avoir la langue bien trop pendue ! La jeune femme pouvait conserver cette confiance à toute épreuve ! Elle avait prononcé la fin de sa phrase en approchant doucement son visage du sien, comme pour lui susurrer ses mots, afin que celles-ci puissent se montrer audibles face à la musique perçu dans cette boîte de nuit !

Pour la jeune gallo-russe, cette discussion devait s’arrêter là ! En aucun cas, elle pouvait se permettre de mettre en danger la réputation, le fonctionnement de cet endroit. Elle tournait alors les talons afin de pouvoir se mêler à la foule, bien qu’elle ne passait jamais inaperçue dans un endroit ! Elle n’avait laissé aucune autres chances à cet homme de pouvoir parler. Elle se frayait un passage afin de retourner dans ce petit couloir, utilisé quelques instants plus tôt, ce couloir qui allait la mener, par la suite, aux petites pièces où la musique était présente, mais en simple bruit de fond. Pour le moment, seuls ses talons résonnèrent de nouveau dans ce couloir de glaces !  

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Son seul désir, que cette silhouette aperçu quelques secondes plus tôt, ne soit qu’un simple mirage. Cette jeune femme de poigne n’aimait pas qu’un contre-temps vienne à elle, que ce ciel empli d’ éclaircies se noircissent en une fraction de seconde, pourtant dès qu’elle apercevait cet homme, la prédiction était proche. Ne prêtant guère attention à sa démarche, elle préférait combler son envie actuel par ce cocktail, tout en laissant ses yeux vagabonder sur la jeune serveuse. Il semblait en avoir décidé autrement, que voulait-il au juste ? Appréciait-il qu’une femme se mette à le détester, se mette à l’éviter afin d’éviter toutes tentations, afin d’éviter tous nuages dans ce ciel ensoleillé. Elle ne put cacher sa surprise à la présence de cet homme à ses côtés, des dizaines de places étaient présentes, la soirée promettait riche en rebondissements. Tournant, doucement, les yeux ! Elle regardait cet homme du coin de l’oeil, comme si elle pouvait imaginer qu’il n’était pas juste pour profiter de la soirée. Pourquoi cet homme intriguait autant la jeune femme, elle avait tendance à le détester et le désirer en même temps, bien qu’elle ne le connaisse pas vraiment. Ses jambes restèrent croisés ! Elle ne lui prêtait aucun signe d’attention, comme si cela suffisait à pouvoir le faire fuir. Malgré cette apparence d’homme à femmes, d’homme actuel, il s’était montré un peu trop curieux lors de sa dernière visite, la curiosité est un vilain défaut donc cet homme possédait le vice. Dotée d’une assurance inébranlable, elle vint détourner le regard afin de fixer les prunelles de ses yeux dans les siennes, mais ce ton n’était pas des plus avenants, une once d’exaspération prit le dessus.  « Je ne suis pas ici afin de réserver de très bon accueil.  » Au fond, elle n’avait pas tord ! En temps normal, ce sont les employées de cet endroit qui s’occupèrent des clients, mais ce blond ne semblait pas comme les autres. Pourquoi semblait-il posséder ce petit côté provocateur qui donne envie de jouer à un jeu dangereux ? La jeune femme s’était renseigné sur lui, depuis sa dernière visite, son mari avait été d’une grande aide pour cela ! Mais rien n’était apparu, rien qui pourrait nuire à cet homme, elle ne connaissait que son métier, au plus grand dam de cette jeune femme.

Elle fit tournoyer ce verre, entre ses doigts, afin que le mélange soit parfait. La serveuse vint à servir cet homme, Trinity lui sourit ne voyant que l’indifférence à son égard de la part de ce blond. Le tabouret de la jeune blonde se mit à tourner afin de pouvoir faire face à cet homme ! « Surtout à un homme un peu trop curieux à mon goût. »   La jeune femme n’avait pas sa langue dans sa poche et elle ne put s’empêcher de faire descendre un peu son regard sur lui, comme pour pouvoir mémoriser les traits de son visage, tenter de déceler une faille chez celui-ci. Une chose dont elle pouvait se servir comme arme, elle tentait de le percer en plein jour. Ne dit-on pas que le regard est le reflet de l’âme, le sien ! Le liquide savoureux fut enfin terminé, elle ne lui laissait le temps d’aucune réponses avant que ses talons reprennent possession du sol et qu’elle se plaçait debout, face à lui tout en arborant un sourire. Ce sourire signifiait-il quelque chose pour Trinity ? Bien sur que non ! Elle avait ce don de mélanger plusieurs sentiments dans celui-ci, de l’indifférence à la provocation, de la malice à l’envie ! Méfiez-vous de ces sourires, ils peuvent blesser comme déshabiller ! Avant de tourner les talons, elle regardait cet homme une dernière fois, croisant les bras autour de sa poitrine.  « Mais je suis certaine que cet endroit regorge de jeunes femmes prêtes à vous accueillir comme il se doit, en tout cas je suis ravie de vous avoir revu M. Keynes !  » La phrase fut lancée, elle connaissait son identité, afin de pouvoir jouer un peu à part égale. Ce qui se passait dans cet endroit n’était visible que pour les propriétaires, les clients étaient choisis sur des critères et un moyen de pression était exercé sur eux, si l’un venait à avoir la langue bien trop pendue ! La jeune femme pouvait conserver cette confiance à toute épreuve ! Elle avait prononcé la fin de sa phrase en approchant doucement son visage du sien, comme pour lui susurrer ses mots, afin que celles-ci puissent se montrer audibles face à la musique perçu dans cette boîte de nuit !

Pour la jeune gallo-russe, cette discussion devait s’arrêter là ! En aucun cas, elle pouvait se permettre de mettre en danger la réputation, le fonctionnement de cet endroit. Elle tournait alors les talons afin de pouvoir se mêler à la foule, bien qu’elle ne passait jamais inaperçue dans un endroit ! Elle n’avait laissé aucune autres chances à cet homme de pouvoir parler. Elle se frayait un passage afin de retourner dans ce petit couloir, utilisé quelques instants plus tôt, ce couloir qui allait la mener, par la suite, aux petites pièces où la musique était présente, mais en simple bruit de fond. Pour le moment, seuls ses talons résonnèrent de nouveau dans ce couloir de glaces !  

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If you play, you play for keep.
Ft. Emrys Keynes & Trinity O'Hara

Cette musique se fit de plus en plus discrète, ne laissant que les ébauches d'une mélodie en fond sonore, un soupir s'extirpait de la bouche de cette demoiselle alors que ses pas se voulaient lents et affirmés. La colère fut une expression, dont elle goûtait les saveurs, à présent. Cet homme avait réussi, à éveiller en elle, ce sentiment d'agacement dont elle n'était qu'une simple victime. Sa soirée n'en serait que meilleure ! Tentant de rejoindre l'autre côté de ce miroir, les paroles de cet homme lui revinrent en mémoire comme des pierres frappant sur l'eau, pourquoi fallait-il qu'il soit aussi arrogant, mais aussi séduisant ? Qu'il puisse se montrer aussi distant, mais à la fois aussi persistant ? Tant d'incompréhensions se lisant dans l'esprit de cette jeune femme d'affaire. Le bruit de ses talons transcendaient la pièce, ses entrailles voulaient enrayer ces minutes précédentes, récupérer cette douceur dans la voix, ce sourire imperturbable et cette envie de laisser son corps et son esprit ne pensait à rien d'autres que la luxure et les notes mélodieuses des instants. Son esprit était déjà parti ailleurs, bien loin de ces instants passés, pourtant quelques secondes auparavant, ce fut qu'un geste brutal qui la fit revenir à la réalité. Les prunelles de ses yeux quittèrent cette porte, face à elle, afin d'être contrainte d'admirer la personne se trouvant face à elle. Comment osait-il venir ici ? Oser attiser les foudres d'une jeune femme, ne supportant pas qu'un homme puisse s'autoriser une force supérieure à elle. Cette sensation bouillonnait en elle, prête à exploser dès qu'une limite serait dépassée. Pourtant, ses yeux plongés dans les siens, elle de faiblissait pas le regard, prête à prouver que ses agissements n'eurent pas l'effet escompté, elle n'avait nulle envie d'être considéré comme une jeune femme qu'il puisse manipuler. Son corps se mit à reculer à la demande de ses gestes, l'incitant à maintenant une certaine proximité. Son poignet fut oppressé par ses mains se voulant résistantes alors que les iris de ses yeux s'abreuvèrent de cette noirceur de ce couloir. « Alors, allez-vous trouver une charmante demoiselle prête à vous offrir une nuit de folie, vous seriez, peut-être, un peu plus attrayant le lendemain ! » Laissant ses pensées s'échapper, elle possédait cette fâcheuse tendance à laisser la franchise exploser telle une révélation. Le mensonge et l'hypocrisie sont des termes à bannir chez cette femme, préférant manier les mots, les entendre claquer sous sa langue pour venir percer le son de ce lieu. L'insistance de son regard s'intensifiait alors que cette assurance ne démordait pas. « Et lâchez-moi, maintenant ! » Comme un ordre lancé dans le but qu'il puisse conserver ses distances.

Trinity laissait son regard divaguer, quelques instants, sur la main de cet homme, alors qu'elle posait l'autre sur la rambarde se situant derrière elle. La proximité de leur corps ne la dérangeait pas, le seul inconvénient fut cette langue passant sur ses lèvres. Ce signe, chez elle, serait perçu aux yeux des autres comme une simple manies banales, alors que ceux qui connaissent cette femme diront que ce n'est que le signe d'un amusement certain. Elle refusait de croire que son esprit peux pencher et apprécier ce jeu s'offrant à elle. Elle ne pouvait pas, elle le haïssait, n'ayant pas l'envie d'entrer dans de simples formalités, en sa compagnie. « Clairement, que faites-vous là alors ? » Soupirant une énième fois, elle tentait de glisser doucement sa main afin que la pression sur son poignet, ne soit qu'un simple souvenir. Elle ne savait pas lire en lui, ce sentiment générait une frustration chez la jeune femme, elle se sentait à découvert, vulnérable, n'ayant trouvé aucune faille assez suggestive pour s'en servir contre lui. Trinity dut se faire violence afin de ne pas crier, de conserver ce ton neutre, agacée, mais doux, comme pour trahir cette envie de lui jeter des assainîtes au visage et d'inverser les rôles afin que ce soit lui qui ne soit plus en mesure de s'enfuir. « Si ce n'est uniquement, dans le but d'assouvir une soif, d'autres endroits peuvent vous accueillir ! » Ses questions furent claires et précises alors qu'un sourire se dessinait sur le coin de ses lèvres, comme pour le provoquer, lui ôter toute chance qu'elle succombe à la peur, se raclant doucement la gorge, elle cachait les signes de cette proximité soudaine, elle se refusait de penser, ne voulait que, le voir s'éloigner et tenter de calmer ses pensées ardentes, cette façon dont il a de la provoquer à son tour, de ne pas être qu'un simple homme prêt à l'asservir pour arriver à ses fins. Alors, pour le détestait-elle autant ? Peut-être était-ce l' arrogance, ce métier qui empêchaient la jeune blonde de s'accorder, un tant soit peu, d'importance à cet homme. La moindre de ses réactions seraient épiées, analysées, comme si sa recherche d'une faille n'était pas que l'ombre du passé, mais une réalité encore présente !

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Cette musique se fit de plus en plus discrète, ne laissant que les ébauches d'une mélodie en fond sonore, un soupir s'extirpait de la bouche de cette demoiselle alors que ses pas se voulaient lents et affirmés. La colère fut une expression, dont elle goûtait les saveurs, à présent. Cet homme avait réussi, à éveiller en elle, ce sentiment d'agacement dont elle n'était qu'une simple victime. Sa soirée n'en serait que meilleure ! Tentant de rejoindre l'autre côté de ce miroir, les paroles de cet homme lui revinrent en mémoire comme des pierres frappant sur l'eau, pourquoi fallait-il qu'il soit aussi arrogant, mais aussi séduisant ? Qu'il puisse se montrer aussi distant, mais à la fois aussi persistant ? Tant d'incompréhensions se lisant dans l'esprit de cette jeune femme d'affaire. Le bruit de ses talons transcendaient la pièce, ses entrailles voulaient enrayer ces minutes précédentes, récupérer cette douceur dans la voix, ce sourire imperturbable et cette envie de laisser son corps et son esprit ne pensait à rien d'autres que la luxure et les notes mélodieuses des instants. Son esprit était déjà parti ailleurs, bien loin de ces instants passés, pourtant quelques secondes auparavant, ce fut qu'un geste brutal qui la fit revenir à la réalité. Les prunelles de ses yeux quittèrent cette porte, face à elle, afin d'être contrainte d'admirer la personne se trouvant face à elle. Comment osait-il venir ici ? Oser attiser les foudres d'une jeune femme, ne supportant pas qu'un homme puisse s'autoriser une force supérieure à elle. Cette sensation bouillonnait en elle, prête à exploser dès qu'une limite serait dépassée. Pourtant, ses yeux plongés dans les siens, elle de faiblissait pas le regard, prête à prouver que ses agissements n'eurent pas l'effet escompté, elle n'avait nulle envie d'être considéré comme une jeune femme qu'il puisse manipuler. Son corps se mit à reculer à la demande de ses gestes, l'incitant à maintenant une certaine proximité. Son poignet fut oppressé par ses mains se voulant résistantes alors que les iris de ses yeux s'abreuvèrent de cette noirceur de ce couloir. « Alors, allez-vous trouver une charmante demoiselle prête à vous offrir une nuit de folie, vous seriez, peut-être, un peu plus attrayant le lendemain ! » Laissant ses pensées s'échapper, elle possédait cette fâcheuse tendance à laisser la franchise exploser telle une révélation. Le mensonge et l'hypocrisie sont des termes à bannir chez cette femme, préférant manier les mots, les entendre claquer sous sa langue pour venir percer le son de ce lieu. L'insistance de son regard s'intensifiait alors que cette assurance ne démordait pas. « Et lâchez-moi, maintenant ! » Comme un ordre lancé dans le but qu'il puisse conserver ses distances.

Trinity laissait son regard divaguer, quelques instants, sur la main de cet homme, alors qu'elle posait l'autre sur la rambarde se situant derrière elle. La proximité de leur corps ne la dérangeait pas, le seul inconvénient fut cette langue passant sur ses lèvres. Ce signe, chez elle, serait perçu aux yeux des autres comme une simple manies banales, alors que ceux qui connaissent cette femme diront que ce n'est que le signe d'un amusement certain. Elle refusait de croire que son esprit peux pencher et apprécier ce jeu s'offrant à elle. Elle ne pouvait pas, elle le haïssait, n'ayant pas l'envie d'entrer dans de simples formalités, en sa compagnie. « Clairement, que faites-vous là alors ? » Soupirant une énième fois, elle tentait de glisser doucement sa main afin que la pression sur son poignet, ne soit qu'un simple souvenir. Elle ne savait pas lire en lui, ce sentiment générait une frustration chez la jeune femme, elle se sentait à découvert, vulnérable, n'ayant trouvé aucune faille assez suggestive pour s'en servir contre lui. Trinity dut se faire violence afin de ne pas crier, de conserver ce ton neutre, agacée, mais doux, comme pour trahir cette envie de lui jeter des assainîtes au visage et d'inverser les rôles afin que ce soit lui qui ne soit plus en mesure de s'enfuir. « Si ce n'est uniquement, dans le but d'assouvir une soif, d'autres endroits peuvent vous accueillir ! » Ses questions furent claires et précises alors qu'un sourire se dessinait sur le coin de ses lèvres, comme pour le provoquer, lui ôter toute chance qu'elle succombe à la peur, se raclant doucement la gorge, elle cachait les signes de cette proximité soudaine, elle se refusait de penser, ne voulait que, le voir s'éloigner et tenter de calmer ses pensées ardentes, cette façon dont il a de la provoquer à son tour, de ne pas être qu'un simple homme prêt à l'asservir pour arriver à ses fins. Alors, pour le détestait-elle autant ? Peut-être était-ce l' arrogance, ce métier qui empêchaient la jeune blonde de s'accorder, un tant soit peu, d'importance à cet homme. La moindre de ses réactions seraient épiées, analysées, comme si sa recherche d'une faille n'était pas que l'ombre du passé, mais une réalité encore présente !