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 [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini

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Adam Scott
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MessageSujet: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 9:07

OOPS, I'M IN TROUBLE, CAN YOU HELP ME
Ardor que fue bajando hasta el cinturón Que tú desabrochaste sin ningún pudor Empapaste todas las ventanas de mi desordenada habitación
Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

La journée qu’il venait de vivre était résolument l’une des plus frustrantes qu’il avait pu vivre au cours de son existence, tant cette dernière lui était pénible. Pourtant, cette dernière aurait du se passer très simplement, aussi intéressante et motivante que toutes celles qu’il vivait depuis qu’il était entré en tant que commercial dans l’entreprise de son père. Après tout, quel autre métier pouvait être plus intéressant que de parcourir le monde gratuitement afin de défendre des parts de marchés indispensables à son entreprise pour continuer de fructifier ? Aucun à ses yeux et chaque jour se trouvait être un véritable challenge qu’il cherchait toujours à relever haut la main, d’autant plus lorsqu’il se trouvait en compétition direct avec la famille Morales, matérialisé par leur idiot de fils, Baltazar. Drôle de nom pour un américain d’origine d’Amérique Latine mais au moins, cela lui avait toujours permis d’avoir à sa disposition, une vacherie à lui lancer à chaque fois qu’il le croisait, surtout quand il était déterminé à l’ennuyer profondément.

Rivaux ? Assurément, ils n’avaient jamais pu se supporter tant leurs pères se vouaient une lutte sans fin dans les affaires. Fardeau, qui s’était rapidement retrouvé sur leurs épaules dès l’instant où ils fréquentaient la même école. Leurs vies s’étaient souvent résumées à se confronter constamment et dans tous les domaines, même celui du sexe. C’était pour dire, il couchait avec les ex du jeune homme et ce dernier faisait de même, même si aucuns des deux voulaient bien l’avouer. Le hasard faisait bien les choses, n’est ce pas ? Du moins, ça les arrangeait bien à l’époque. Désormais, beaucoup de choses avaient changés, ils étaient diplômés, avaient juste à se confronter dans le monde professionnel. Il n’enviait pas la vie personnelle du jeune homme. Ce dernier qui n’avait eu jamais de petite amie attitré, s’était fait fiancé à une parfaite inconnu avec qui il jouait une comédie aussi digne que celle qu’on pouvait voir sur les plateaux d’Hollywood. Pourtant, l’effet de poudre était parvenu à convaincre certaines personnes du sérieux de la relation entre les deux jeunes époux mais pour sa part, il ne se laissait pas leurrer. Il connaissait bien le jeune homme au-delà du fait qu’ils se supportaient pas et savaient que bons nombres de points communs auraient pu faire d’eux d’excellents amis.

Quoi qu’il en soit et malgré leur rivalité profonde, il devait bien reconnaitre qu’aujourd’hui, il lui avait sauvé la mise. Franchement, qui aurait pu songer un instant qu’un voleur se serait amusé à s’attaquer à un mec de son gabarit malgré son excellente technique ? Surement pas lui et il en avait payé chèrement le prix : 500$ parti en fumé mais si ce n’était que ça, il aurait pu en rire. Le problème était qu’il y avait ses cartes de crédits et son passeport à l’intérieur, en gros... oui il était dans la merde. Pourtant, ce n’avait pas été faute d’essayer de poursuivre ce malotru en compagnie du jeune homme, qui ayant assisté à la scène avait réagit aussi rapidement que lui... mais fallait croire que ce gars courrait plus vite que son ombre. A tel point, qu’il avait perdu sa trace dix minutes plus tard, le laissant totalement désemparé. Il avait plus de papiers sur lui, seul le mec à côté de lui pouvait plus ou moins certifier son identité mais, cela changeait rien au fait qu’il était désormais : sans papiers. Et il fallait que ça tombe sur lui, franchement.

Grâce à l’amabilité de Morales, ce dernier l’avait accompagné jusqu’à la Gendarmerie et consulat américain pour remplir une déclaration de vol de son portefeuille et ses papiers d’identité. A croire qu’ils avaient que ça à faire mais malheureusement, il s’agissait d’une affaire grave. Quoiqu’il en soit, ce fut un véritable parcours du combattant dans lequel il dut reconnaitre qu’il était satisfait de ne pas être seul. Quatre heures plus tard, toutes les déclarations de pertes et de vols étaient faites, le laissant résolument épuisé d’avoir tant parlé. Il était habitué à parler énormément mais s’exprimer sur un même sujet durant six heures, c’était de trop pour lui. Sortant enfin du consulat avec un papier lui permettant de faire une demande d’urgence de passeport pour pouvoir rentrer comme prévu le surlendemain, c’est dans un ton amical mais résolument fier qu’il vint remercier son pire ennemi, murmurant simplement.

« Au fait, Merci Morales ! C’était vraiment agréable d’avoir quelqu’un sur qui compter durant la journée. Ces formalités m’ont épuisés...dire que je dois recommencer, demain... ça donne pas envie d’y être. Je t’aurai bien payé un coup à boire mais j’ai plus un rond. Et Merde ! Je ne sais même pas où aller! Si j’attrape ce connard, je jure que je le tue. Fort heureusement qu’il me reste la voiture de location près de l’hôtel, je pourrais dormir dedans. »

Inspirant profondément une première fois, il vint se masser douloureusement la nuque, ajoutant simplement. « Dis, ça ne te dérange pas de m’amener jusqu’à là-bas ? Je te revaudrais ça un jour. »

C’est ainsi qu’il vint lancer son regard amical et séducteur comme si ce dernier pouvait influencer son rival. Après tout, tous les moyens étaient bons quand on n’a pas de tunes, ce qu’était résolument son cas. Puis autant, il accepterait même de le voir loger dans sa chambre, voir lui prêter de l’argent, il ne fallait pas hésiter. Qui sait ?

TENUE : 01.

   
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Baltazar Morales
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 9:56

OOPS, I'M IN TROUBLE, CAN YOU HELP ME
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Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

Cette journée aurait dû sans aucun doute être des plus banales, un voyage typique d’affaire qui l’avait emmené à affronter à nouveau les concurrents directs de l’entreprise familiale dans cette belle ville de Paris. Une ville qu’il connaissait par cœur ou du moins presque par cœur en raison des nombreux voyages qu’il effectuait. Cette ville se trouvait particulièrement sûre si ce n’était ces pickpockets qui se baladaient dans les rues et notamment dans les quartiers qu’ils fréquentaient où les hommes riches d’affaires se retrouvaient à chaque instant. C’était sans doute leur tenue volontairement luxueuse qui avait dû attirer le regard d’un voleur alors qu’il se retrouvait à la sortie d’un des bâtiments dans lequel il avait eu affaire à un client. Sans doute la situation aurait été plus aisée s’il n’avait pas eu à croiser le fils de ces concurrents, du même âge que lui : Adam. Celui-ci avait été victime d’un vol, le larron ayant fuit après dix minutes de courses avec son porte-monnaie. Ayant pu se retrouver dans la même situation que lui, Baltazar avait alors pris patience et l’avait accompagné à la gendarmerie et au consulat. Fils ennemi il l’avait été depuis leur premier jour d’existence, concurrent au lycée comme à l’université, ils n’avaient pu que se côtoyer mais jamais ils n’avaient réellement appris à se connaitre. Baltazar ayant toujours eu une habitude certaine à garder un masque d’apparence sur son visage, le fils Scott n’avait pas fait exception bien qu’il avait réussie à de nombreuses reprises à voir en lui quelques parties de sa réelle personnalité. Pour sa part, bien qu’il sache que cela n’était nullement vraiment franc, il avait réussi au travers du site Formspring à apprendre le connaitre de manière anonyme en lui posant quelques questions, en le draguant même, venant répondre à un doux fantasme qui était celui de draguer cette homme qu’il avait toujours trouvé particulièrement attirant. Les années s’étaient écoulées depuis qu’il s’était rendu compte que les hommes l’attiraient autant que les femmes et particulièrement celui-ci lorsqu’il l’avait eu la chance d’observer son corps dans les douches ou bien sur le stade de sport.  

A la sortie du consulat, une fois les papiers enfin obtenus pour un passeport d’urgence, ils s’étaient retrouvés les deux ensemble. Son ami de fortune vint alors le remercier, ravi d’avoir quelqu’un sur qui compter durant la journée, ces formalités l’ayant épuisé. S’il avait pu payer un coup à boire en cet instant, il lui aurait fait n’ayant tout simplement plus d’argent pour lui en payer. Il se rappela alors soudainement qu’il ne pouvait pas non plus aller à son hôtel, bien qu’heureusement il lui restait une location de voiture près de l’hôtel qui lui permettrait de dormir.  Ainsi, il vint lui murmurer d’une voix quelque peu gêné s’il pouvait l’y emmener, il lui revaudrait ça un jour. Baltazar trouvant cette situation un peu ridicule et sans doute appréciait-il peut-être un peu plus le jeune homme qu’il voulait bien lui faire croire depuis leurs échanges, il prononça alors :

« Tu me revaudras ça un jour, t’inquiètes pas si un jour je me retrouve dans la même situation et que tu te retrouves dans la même situation Scott… et tant qu’à faire une bonne action jusqu’au bout, je t’invite dans ma suite plutôt que te laisser dans ta voiture de location… cela ne serait pas de notre rang, ne crois-tu pas ? »

Laissant échapper un sourire quelque peu amusé s’afficher sur son visage, il vint prendre alors la direction de son hôtel quatre étoiles qui se trouvait seulement à quelques minutes à pied du consulat, prendre un taxi serait alors bien inutile après avoir eu à marcher tant dans les rues de la ville à la recherche de ce maudit larron.

Ils arrivèrent à son logement assez rapidement, passant l’entrée sans problème et sans recevoir le moindre regard du personnel qui voyait deux hommes entrer dans la même logement. La réputation se trouvait assez aisée pour que personne ne les croie pour des amants, bien que Baltazar ne refuse pas une nuit à ces côtés pour venir répondre à un de ces fantasmes depuis de nombreuses années, même s’il n’avait pas vu son corps nu ou quasi nu depuis des années.  Sur cette pensée quelque peu coquine, le jeune homme vint ouvrir la porte de la suite luxueuse aux tombes sombres, la suite qu’il avait toujours l’habitude de prendre à chaque fois qu’il venait à Paris.  Le jeune prononça alors qu’ils pénétraient la pièce :

« Fais comme si c’était ta suite…  on verra pour dormir comme on fait, y’a un lit et un canapé… ca devrait aller. Tu peux aller te doucher si tu veux, après tout nous avons eu une très longue journée en plus du travail… » Terminant ces mots le jeune homme vint se poser sur le canapé quelque peu éreinté, enlevant son blazer, portant alors simplement une chemise noire, dénouant en partie sa cravate, retroussant légèrement ces manches.

Il eut le plaisir de voir son ennemi se diriger vers la douche, ne pouvant nullement s’empêcher d’avoir quelques pensées érotiques du corps qu’il supposait particulièrement séduisant. Sentant quelque peu la chaleur augmenter à ces pensées, il vint détacher les premiers boutons de sa chemise au niveau de son torse avant d’ouvrir simplement la bouteille de vin rouge français qu’il avait demandé comme un lot de consolation après cette longue journée.  Il attendit un certain temps avant de venir se saisir de la bouteille et de verser en suivant l’alcool dans deux verres à vins, attendant simplement alors la venue proche du jeune homme à ces côtés pour le déguster. Heureusement pour lui, il n’était pas en train de boire lors qu’il vit une admirable vision, celle du corps de son ennemi simplement vêtu d’une serviette qui ne cachait que peu de choses, lui permettant de voir ce corps bien formé qui ne pouvait le laisser de marbre. Il n’y avait rien d’étonnant au fait que les femmes lui courent après…  Déviant son regard de ce corps, ne souhaitant nullement que son ennemi ne remarque son trouble il prononça simplement:

« J’ai sorti du vin… j’espère que tu l’aimeras. C’est l’un de mes vins favoris français…  après une si longue journée, il n’y a rien de mieux qu’un bon vin français, n’est-ce pas ? »

TENUE : 01.

   
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Adam Scott
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 10:54

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Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

Aussi invraisemblable que celui puisse paraitre, Adam n’avait jamais ressenti aucune haine particulière vis-à-vis de l’héritier des Morales. Quand bien-même leurs parents avaient toujours souhaité qu’il en soit ainsi, le jeune homme s’était simplement contenté d’en faire son adversaire sous tous les plans comme on se confronte contre un ami pour se donner des objectifs.  De ce fait, il n’avait jamais eu un quelconque mépris pour sa personne, se contentant la plupart du temps à le défier de façon taquine et peut être trop direct. Il ne pouvait nier que cela lui plaisait énormément qu’il en face de même. Ennemi et adversaire dans tous les domaines, ils avaient passés leurs vies à se mesurer l’un à l’autre, sans chercher un seul instant à aller contre la volonté de leurs parents. Du moins jusqu’à il y a quelques jours. En effet, par un pur hasard, il était tombé sur le Formspring de son rival de toujours et intrigué, n’avait pu le quitter sans y déposer une question, avide de le découvrir et de découvrir son vrai visage. Cette envie malsaine, il n’avait pu la contenir comme le cours qu’avait prit cet échange à la base si innocent. En l’espace de quelques jours, cet échange avait prit une nouvelle tournure, devenant plus sensuel et pervers que prévu. Le découvrir de cette manière sous un masque impénétrable, le tenter, le séduire à travers ses paroles exaltaient ses sens.

Il appréciait l’idée de le tenter, que son corps puisse représenter un doux fantasme à ses yeux comme le sien le troublait toujours autant. De ce fait, il était évident qu’il ne savait point où tout cela allait le et les mener. Il ne préférait nullement y songer comme à ses habitudes. S’il avait envie de lui un jour, il ne laisserait pas cette occasion lui passer sous les doigts tant cela ne faisait nullement parti de ses habitudes. Il devait donc reconnaitre qu’il usait actuellement de ses charmes sur le jeune homme, le regardant avec cet air amusé et taquin qui lui cillait tant. Il était connu pour avoir toujours ce petit air lorsqu’il désirait obtenir quelque chose d’une autre personne et son rival n’échappait pas à cette règle. C’est ainsi qu’il eut le plaisir de se faire inviter dans la suite de ce dernier. En effet, il partait du principe qu’il devrait faire la même chose s’il se retrouvait un jour dans la même situation alors autant l’inviter à partager sa suite pour ne pas faire du mal à leur rang.

« Sérieux ? Je te remercie, tu me sauves vraiment la mise mais, pas pour autant que je laisse ce contrat me filer sous les doigts, d’accord ? » Avait-il simplement répondu dans un sourire réjoui alors qu’il prenait sa suite, avançant à ses côtés.

Dieu que ce sourire qu’il avait été très appréciant, il le boufferait du regard comme ce corps qui se trouvait sous ses vêtements si bien cintrés. Baltazar l’avait toujours tenté même s’il n’était résolument pas le genre à l’avouer. Beau hispanique aux formes très avantageuses, son regard s’était souvent posé sous ces dernières lors de leurs douches communes. Il avait tellement eu envie de lui à ces instants qu’il avait été souvent obligé d’actionner le bouton d’eau froide pour tenter de calmer ses pensées lubriques de l’envahir. Pervers ? Assurément, il l’avait toujours été et son palmarès de conquêtes ne venait résolument pas prouver le contraire. C’est ainsi qu’ils arrivèrent enfin dans la suite du jeune homme, une belle chambre qui convenait parfaitement aux gouts qu’il se faisait du jeune homme. Il l’écouta donc parler alors qu’il enlevait lui-même sa veste pour la faire tomber sur le tissu du canapé, fixant son hôte alors qu’il lançait.

« T’inquiète pas, je dormirai sur le canapé à moins que tu veuilles bien partager ce magnifique lit avec moi, mais je ne veux pas trop insister sur ton amabilité non plus. » Avait-il lancé dans un sourire charmant mais presque désinvolte, poursuivant. « Merci pour la proposition, je te devance donc pour la douche, c’est sympa. A tout de suite. »

C’est ainsi qu’il le vit s’avaler sur le canapé en dénouant sa cravate et retroussant légèrement ses manches dans des gestes, démontrant parfaitement qu’il adoptait une position décontractée. L’idée lui plaisait tant il était habitué à le voir si rigide en sa compagnie. Se détournant alors de cette vision que lui offrait son hôte, il vint simplement se détourner de lui, venant se rendre dans la salle de bain pour prendre une douche. Il laissa ses affaires se choir à ses pieds avant de se glisser sous le flux d’eau qui vint fouetter sa chair, la tonifiant alors qu’il la frictionnait. Il se laissa envouter par les bienfaits de cette dernière avec plaisir avant d’attraper une serviette pour s’essuyer, la nouant autour de ses reins en récupérant ses affaires.

Nu, son bas du corps seulement couvert par une légère serviette, il vint enfin sortir de la salle de bain, y retrouvant son hôte qui se trouvait particulièrement séduisant avec cette chemise entrouvert, laissant deviner la naissance de ses biceps. Le regard intéressé de ce dernier vint nullement passer inaperçu alors qu’il se souvenait des messages quelques peu coquins qu’ils avaient échangés en secret de ce dernier et où il avait pu voir ce jeune homme fantasmer sur son torse. Il ne pu alors que sourire de le voir détourner son regard alors qu’il lui indiquait qu’il avait sorti du vin, son préféré pour être plus exact. Après tout, rien ne valait mieux qu’un bon vin français après une si longue journée. Une remarque qui le fit sourire de façon plus charmeuse alors qu’il venait se poser à côté de lui, en petite tenue, venant prendre sa coupe de vin entre ses doigts pour lui lancer.

« Eh bien, tu me gattes, j’ignorais que tu étais un hôte si irréprochable. Il serait fort dommage de refuser une petite collation, d’autant plus avec une boisson si plaisante que le vin. »

Venant alors porter le verre à ses lèvres pour le palper du bout de ces dernières, il vint simplement rajouter dans un ton quelque peu désinvolte, le regardant du coin de l’œil, le sourire aux lèvres.

« Y’a rien de mieux qu’un bon vin pour passer une bonne soirée... quoique la compagnie tout aussi charmante de magnifiques créatures ne seraient pas de refus. Qu’en dis-tu, Morales ? »

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 11:40

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Partager son lit avec Scott n’aurait été nullement un évènement qu’il regretterait s’il avait l’occasion de le faire dans un futur proche, même s’il s’agissait que d’une soirée. Pour lui qui avait tant fantasmé pendant ces dernières années sur ce corps ô avantageux, il serait bien difficile de lui résister surtout qu’il savait que ce corps n’avait pu que devenir encore plus séduisant qu’à l’époque où ils étaient étudiants. Scott était tout comme lui quelqu’un qui faisait attention à son physique et en tant que sportif, son corps ne pouvait qu’être particulièrement séduisant. Un fait qui ne le dérangeait nullement tant il venait à le trouver particulièrement sexy. Même s’il n’avait pas l’occasion de découvrir le plaisir de la chair à ces côtés, au moins il pourrait avoir une vision de ce corps sorti de la douche, une vision qui ne pourrait que l’enchanter.  Les propos même quelque peu taquins du jeune homme à l’idée de partager ce magnifique lit avec lui ne pouvait que lui plaire, bien qu’il sache que le jeune homme semblait ne pas prendre au sérieux ces propres mots. Ainsi à sa proposition, le jeune homme était parti le devancer et rejoindre la douche comme pour reprendre des forces. Le regardant partir il était venu s’installer confortablement, s’asseyant simplement contre ce canapé, dénouant légèrement sa cravate, retroussant ces manches, dévoilant légèrement son torse.

La discussion qu’il avait eu avec lui de manière anonyme l’avait sans doute emmené à se détendre plus aisément, comme s’il cherchait à le séduire malgré lui. Après tout, celui-ci se trouvait attiré par les latinos, semblant même en désirer un en particulier, peut-être était-ce lui, peut-être que non mais, dans tous les cas les latinos ne le laissaient pas insensible alors il avait des chances de le séduire.  Ces pensées n’avaient pu nullement s’atténuer lorsqu’il le vit sortir de la douche uniquement vêtu d’une serviette blanche, lui laissant la libre vue sur ce corps ô séduisant. Il resta quelques instants à le regarder avant de détourner les yeux de ce corps, ne souhaitant nullement se trahir d’une quelconque manière. Seulement, il ne put que constater mentalement que son doux fantasme était bien plus séduisant que dans le passé, ne pouvant qu’attiser ce désir malsain.  Son corps crut flancher alors que celui-ci venait s’asseoir à ces côtés, dévoilant alors une partie de ces reins. Détournant le regard et venant regarder le visage de Scott, séduisant avec ces cheveux légèrement humides, un fait qui ne calma nullement son désir pour sa personne. Le jeune homme s’était alors saisi de son verre pour le prendre entre ces doigts d’une manière particulièrement attrayante.  

Le jeune homme  comme il lui avait dit semblait apprécier le bon vin, un fait qui ne pouvait que lui plaire étant lui-même un amateur de vin. Le jeune homme continua ces propos alors d’une manière quelque peu taquine en lui murmurant qu’il n’y avait rien de mieux que du bon vin, bien que la compagnie de magnifiques créatures ne serait nullement de refus. Des mots résolument taquins lui demandant son avis. Essayant de masquer son trouble le jeune répondit alors d’une voix qui se voulait neutre :

« Je confirme tes propos, un vin et très appréciateur…  tout comme la présence de magnifique créatures bien que je ne crains que cela reste impossible en cet instant.  Malheureusement ma femme, la plus belle des créatures, n’est pas ici, je me rattraperai à mon retour et me contenterai de ce bon vin en compensation… ! »  Termina-t-il buvant avec appréciation son vin, détournant volontairement son regard du corps de son ennemi.  Laissant échapper un léger sourire il vint se relever, détachant complètement sa cravate, la posant sur l’une des chaises il vint alors annoncer : « Je vais me doucher…   y’a une plaquette sur la table pour voir leur menu, prends ce que tu veux, tant qu’il y a pour deux c’est bon… »

A peine eut-il prononcé ces mots qu’il vint se diriger vers la douche, enlevant sa chemise et ces vêtements avant de se positionner sous le jet de la douche. Pour lui qui avait senti son désir augmenter en présence de Scott, celle-ci ne put qu’être appréciable en vue de la température volontairement tiède de celle-ci, voir froide.  Désirer son pire ennemi n’était résolument pas une bonne idée, surtout lorsque celui-ci se trouvait dans la même pièce dans une tenue quelque peu dénudé. Son esprit ne devait nullement y songer alors qu’il frictionnait son corps avec le gel douche de l’hôtel. Il ne sut exactement combien de temps il resta ainsi sous cette douche mais à la sortie il vint se sécher avec une serviette prenant son temps avant d’enfiler simplement un des peignoirs particulièrement doux qui trainaient dans la salle de  bain. Souriant, se rendant compte que ce peignoir se trouvait un peu court, il pensa que son ennemi juré sans doute le trouverait séduisant puisqu’il rêvait des beaux latinos, tous sexes confondus. S’amusant et voulant le séduire inconsciemment ou du moins le rendre tout aussi fébrile qu’il l’était, le jeune homme vint ouvrir alors la porte de la salle de bain.  Il se dirigea vers le salon de la suite et eut la surprise de voir Scott allongé simplement sur le canapé, tranquillement en train de regarder la télévision… en cet instant il ne put que songer qu’il se trouvait particulièrement beau et séduisant ainsi vêtu, ravivant malgré lui ce désir pour sa personne. La douche qu’il avait prise quelques minutes auparavant ne semblait plus du tout avoir un quelconque effet sur son corps…  Pour lui qui avait tant fantasmé sur ce corps pendant des années, la vision de ce corps se trouvait tout simplement parfaite. Souhaitant reprendre ces esprit, le jeune homme vint prononcer :

« Il ne faut pas te répéter deux fois de faire comme si c’était ta suite à ce que je vois… fais-moi de la place tout de même sur le canapé. »  

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 12:36

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En toute sincérité, il ne savait nullement ce qu’il allait advenir de cette soirée en compagnie de la personne de son rival mais, cette dernière s’annonçait particulièrement intéressante. Il avait très bien perçu le regard intéressé de l’hispanique, ce dernier s’étant échoué sur ses formes alors qu’il était venu à sa hauteur seulement vêtu d’une simple serviette. Quand bien même ce dernier avait détourné le regard pour ne point poursuivre sa contemplation, il l’avait très bien remarqué, s’en amusant sincèrement. Il appréciait résolument l’idée de représenter un fantasme pour cet homme, qu’il savait bisexuel désormais, ce qui l’arrangeait grandement. Pour sa part, il s’était toujours pensé hétérosexuel, ayant toujours eu jusqu’à ce jour que des amantes aux formes ô généreuses et sensuelles. Les formes masculines, aussi bien sculptées soient-elles ne l’avait pas intéressé plus que cela, si ce n’est celle de cet homme qui se tenait sous ses yeux. Il n’était nullement en mesure d’indiquer ce qu’il l’envoutait chez cet homme mais Baltazar était pourvu d’un charisme qui le tentait plus que de raisons, ses formes réveillant des pensées qu’il n’avait pas pour les autres. Cette réalité l’avait toujours troublé, lors qu’adolescent, il s’était découvert ce penchant ô pervers pour son ennemi de toujours mais comment dire non à un corps si bien formé. S’il en avait l’occasion, il était fort à parier qu’il n’hésiterait point à profiter d’un instant de luxure à ses côtés, pour l’observer encore plus érotique et sensuel qu’il ne l’était en temps normal sous la pulpe de ses doigts.

Une idée résolument perverse mais qui ne semblait point improbable en vue des récents échanges anonymes qu’ils avaient échangés l’un avec l’autre. Il avait apprécié de le tenter, de voir que son corps le tentait tout autant que le sien pouvait avoir un effet sur sa personne. Sans doute se trouvait-il pervers en ayant agit de cette façon mais il s’agissait d’une aventure trop tentante à laquelle il ne désirait point résister. Il est donc évident qu’il n’avait pas pu s’empêcher de se la jouer taquin et désinvolte, le lançant sur la voie de la dépravation en lui faisant part que quelques magnifiques créatures ne seraient pas de refus pour apprécier d’autant plus la qualité de ce vin. Une remarque à laquelle il imaginait sans aucun mal la réaction de son compagnon de chambre. Ce dernier ne manquerait pas de jouer la comédie au sujet de sa fidélité, allant même jusqu’à avouer que sa femme se trouvait être la plus belle des créatures et qu’il en profiterait à son retour. C’était tellement évident qu’il ne pu s’empêcher de sourire narquoisement à l’entente de sa réponse, le fixant du coin de l’œil, d’un air résolument moqueur et taquin. Il mentait comme il respirait et les preuves se trouvaient directement dans son téléphone portable comme son désir de se laisser tenter à la tentation d’un parfait inconnu qui le charmait. Il comptait résolument en profiter et quand bien même ce désir se trouvait sans doute résolument pervers, il désirait dans une certaine mesure répondre à ses fantasmes.

Ce jeu dangereux et sensuel l’avait fait prisonnier de ce dernier et il ne pouvait nier que s’il pouvait avoir un avant gout ce soir, de ce qu’il l’attendait par la suite, il n’hésiterait pas un seul instant. En signe de réponse, ce dernier vint totalement détacher sa cravate, se relevant pour la poser sur une chaise alors qu’il l’informait qu’il allait se doucher et qu’il lui donnait la possibilité de choisi leur menu tant qu’il y en avait pour deux.

« Pas de soucis, profite bien de ta douche. T’inquiète pas, je m’occupe de tout ! » Lança-t-il avec le même ton désinvolte alors qu’il venait se pencher pour attraper la carte, tout en allumant la télévision pour écouter une chaine de musique.

Il baissa le son de cette dernière pour s’allonger sur le canapé, agrippant le téléphone pour commander. Résolument d’humeur taquin et amusé, il s’amusa à commander tous les plats qu’il avait pour habitude de choisir lorsqu’il voulait conclure. Son petit sourire moqueur n’avait de cesse de se figer sur ses lèvres alors qu’il prenait commande. On l’informa que d’ici dix minutes, ils recevraient leur plat, ce qui ne le dérangea nullement alors qu’il venait éteindre le son de la télévision, entendant l’eau s’écoulait dans la salle de bain. Il se demandait sincèrement si ce dernier prendrait conscience qu’il s’amusait à le tenter même au travers de la nourriture, il avait hâte de découvrir tout cela, désirant le voir plus troublé et désireux de sa personne que jamais. Il s’amusait tel un enfant et c’est donc dans une humeur ô taquine qu’il vint accueillir le repas tout simplement, riant de bon cœur avec la gouvernante qui n’hésitait pas à le séduire. Une attaque séductrice qu’il accueillit avec plaisir, prenant entre ses doigts le petit papier qu’elle lui tendit lorsqu’il vint la remercier du service. Cette dernière le laissa alors de nouveau seul, il vint de nouveau s’allonger sur le canapé, prenant ses aises posant sa tête sur un de ses avant-bras, adoptant une position quelque peu décontractée et séduisante en vue de sa tenue. Une vision ô plaisante qui sembla plaire à son compagnon de chambre à son retour, sentant parfaitement son regard détaillé ses reins, son torse, ce qui le fit sourire d’autant plus lorsque ce dernier lui reprocha qu’il ne fallait pas lui répéter deux fois de faire comme chez lui, lui demandant de lui faire une place.

« Pardon. » Lança-t-il alors qu’il pliait ses jambes pour lui donner une place, mettant quelques minutes pour adopter une autre position, laissant le jeune homme profiter de la vue, peut être un peu malsaine que sa serviette lui permettait d’entrevoir sous cet angle.

Une position qu’il vint rompre rapidement, adoptant une disposition plus conventionnelle en s’asseyant convenablement, pour lui présenter le repas qu’il avait choisi.

« J’ai opté pour du saumon de Norvège mariné à l’asiatique comme entrée, du Requin à la sauce de feu pour plat principal et des poires pochées au vin et à la cardamome pour désert, ça te convient ? »

Des plats aphrodisiaques qui allaient résolument mettre à rude épreuve leur désirs mais n’était-ce pas justement ce qui était envoutant. Dans tous les cas, ce peignoir mettait parfaitement en valeur les formes du latino, ce dernier s’arrêtant à mi-cuisses, donnant cruellement envie de s’immiscer dedans pour palper la texture de cette chair pour faire frissonner son possesseur. Une idée résolument taquine, qui ne pu que le faire sourire du coin des lèvres alors qu’il venait prendre un pique pour prendre une mini rondelle de saumon, son bras frôlant l’arrête d’un de ses genoux tandis qu’il sentait sa cuisse contre celle de son rival, le canapé leur obligea d’adopter une position résolument rapproché. Se saisissant alors d’un pique, il vint le tendre à son camarade pour en prendre un autre pour lui, venant se saisir d’un morceau de saumon pour le mener à ses lèvres, le mangeant simplement en ajoutant.

« Qu’en penses-tu ? Personnellement c’est un de mes repas favoris, pleins d’épices et de gouts différents, ça change des plats typiquement américains. Ça te plait ? »

Venant se saisir de la bouteille de vin qu’il avait fait monter également, il vint remplir le verre de son camarade ainsi que le sien pour en boire une gorgée. Il profita du doux parfum de ce vin pour y tremper ses lèvres, fermant un instant les paupières pour savourer cette exquise sensation l’envahir, laissant délicatement sa langue essuyer une goute de vin qui semblait s’échapper de ses lèvres.

« Ce vin est tout simplement divin, je n’ai pas pu résister à le commander, c’est vraiment le meilleur à mes yeux. Goute et dis-moi ce que tu as pense, si fin buveur que tu es ! Ça serait dommage de ne pas se laisser tenter, n’est-ce pas ? » Avait-il lancé en lui lança un clin d’œil taquin et amusé, venant lever son verre à sa hauteur, murmurant. « A toi et à ton amabilité de recueillir un pauvre SDF comme moi ! Je te dois une chère chandelle alors n’hésites pas à me demander quelque chose en retour, sauf de te laisser un contrat, c’est la seule chose que je ne peux pas marchander. »

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 13:16

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Fuir sous la douche la vision du corps de son ennemi dans ce vêtement ô séduisant était sans doute la meilleure idée qu’il ait eut de la journée. Son esprit se trouvait particulièrement hanté par la vision de ce corps ô séduisant qui ne pouvait laisser de marbre l’homme qu’il était surtout après avoir envoyé tant de messages anonymement dans lesquels il lui avait annoncé qu’il viendrait vers lui pour le draguer et le séduire. Baltazar avait toujours eu une certaine réserve avec le jeune homme, une réserve naturelle qui l’accompagnait dans chacun des échanges qu’il avait avec une quelconque personne. Bien entendu, l’attirance qu’il portait pour le jeune asiatique n’était pas nouvelle et ne pouvait que frustrer, bien qu’il sache que celui-ci semblait être attiré par les personnes d’origines latines. Un fait qui ne pouvait qu’accentuer son désir pour sa personne à chaque instant, même s’il tentait de se raisonner et de ne pas céder. La question se trouvait là, jusqu’à quand son esprit réussirait à parer son corps qui ne demandait qu’à venir caresser ces formes, déguster chaque centimètre de peau et venir dévorer cet être avec passion, épousant leurs formes pour enfin goûter au pécher de la luxure à ces côtés. Il savait que ces pensées étaient malsaines et la douche légèrement froide qu’il avait prise lui avait permis de reprendre ces esprits. Seulement, à son retour de la douche alors qu’il n’était plus qu’uniquement vêtu d’un peignoir, la vision du corps du jeune asiatique n’avait pu que difficilement le laisser de marbre, surtout lorsqu’il se trouvait allongé sur le canapé de manière nonchalante, sa tête posée sur ces avants bras. S’il avait pu le prendre en photographie, il l’aurait fait sans hésiter, voulant garder précieusement une photographie de ce bel apollon. Bien entendu cela n’était pas possible, il s’en rendait bien compte et c’était sans doute ces pensées qui l’avaient emmené à se montrer peut-être moins aimable dans ces mots, souhaitant s’asseoir à ces côtés lui aussi.

La position que prit le jeune homme à ces côtés pendant ces longues minutes ne put qu’attiser son désir tant elle lui semblait plaisante, relevant légèrement la serviette et lui offrant une belle vue sur ce corps bien qu’il essayait de ne pas le regarder, fixant presque avec désespoir la télévision pour ne pas avoir plus de pensées malsaines. Heureusement pour lui, le jeune homme reprit une position correcte, s’asseyant de manière plus conventionnelle. Reposant alors son regard sur sa personne, celui-ci vint lui présenter les plats qu’il avait commandés pour leur repas. Il ne connaissait pas exactement chacun des plats mais il savait que dans au moins deux des trois plats, on pouvait y trouver des aliments aphrodisiaques. Soit le hasard faisait vraiment bien les choses, soit le bel asiatique avait décidé d’en faire son dessert ce soir ce qui n’était pas pour le déplaire. Le jeune homme ne put qu’ajouter alors : « Ca me convient… il me semble en avoir déjà mangé pour une autre occasion et avoir apprécié. » Sa phrase se voulait volontairement tendancieuse mais son ennemi de toujours ne cherchait-il pas cela en restant en serviette et en gardant une position aussi sensuelle.

Comme pour continuer son manège, Baltazar sentit son bras frôler presque volontairement l’un de ces genoux, faisant rencontrer leurs chairs alors que leurs cuisses se collaient. Il avait beau chercher à résister au jeune homme, chaque attaque ne faisait qu’accentuer son désir pour sa personne. Ainsi, il observa le jeune homme lui tendre une des piques, la saisissant il vint à son tour mordre dedans pour absorber la douce nourriture qui se trouvait résolument bon, bien qu’elle restait aphrodisiaque. Le jeune asiatique vint alors lui demander son avis à ce propos, complimentant ces plats. Baltazar vint répondre simplement : « Mmm... cela me convient, chacun de ces plats semble particulièrement délicieux et aphrodisiaque… je me trompe ? » Il lança alors un regard scrutateur au jeune homme à ces paroles.

Scott se saisit alors de la bouteille de vin qu’il avait commandé, remplissant leurs deux verres. Se saisissant à son tour du verre qu’il avait rempli, il ne put qu’apprécier la vision de ce visage pris par un plaisir même court, souhaitant voir son visage bien plus souvent ainsi. La langue qui s’échappa de ces lèvres pour attraper l’une des gouttes de vin qui s’était écoulé. Cette vision se trouvait résolument exquise pour l’homme qu’il était, surtout alors qu’il lui demandait son avis, il aurait été dommage de ne pas se laisser tenter par le vin. Des mots qui ne pouvaient que le faire céder peu à peu, surtout après un tel clin d’œil. Venant lever à son tour son verre pour trinquer. Le jeune homme trinqua alors à lui et à son amabilité de recueillir un pauvre SDF, il lui devait une fière chandelle alors il n’avait pas à hésiter à lui demander quelque chose. S’il écoutait ces désirs sans aucun doute qu’il lui demanderait de lui offrir son corps en cette nuit en échange du logement mais il tenta de rester relativement calme alors qu’il lançait un regard ô pénétrant à son rival. Lui offrant un merveilleux sourire, celui-ci prononça d’une voix presque sensuelle, après avoir bu une gorgée de ce vin qui était particulièrement bon : « Ce vin est tout à fait délicieux… ! Il aurait été bien dommage de résister oui... rater un si bon vin. Ce que veux en retour ? Mmm… je ne sais pas laisse-moi réfléchir. » Lui lançant un regard ô pénétrant, il but une gorgée de ce vin ô délicieux, laissant glisser ces doigts sur le verre de manière particulièrement séduisante, comme s’il jouait sur les touches d’un piano. Au diable son esprit rationnel, au diable toute sa raison, il n’avait qu’une envie : celle de céder à ce corps. Même si ce n’était que pour un soir il pouvait réaliser son fantasme en ce jour et allait profiter de cette occasion, après tout chaque geste de son rival semblait répondre à celui-ci. Tout avait été mis en œuvre seulement pour le séduire.

Déposant le verre sur la table devant lui, il vint alors glisser sa main sensuellement sur l’épaule de son rival, l’intimant à venir le regarder, prononçant : « Mmm… j’en ai une petite idée… ». Sans prévenir, le jeune homme il vint alors faire rencontre leurs lèvres dans un simple contact avant de venir les embrasser avec moins de fougue, plus d’envie, ces mains venant s’égarer sur les reins ô séduisant du jeune homme, sa compère se faufilant contre la nuque du jeune homme avec passion pour venir embrasser langoureusement celui-ci. Il se sentait revivre en cet instant, son désir revenant fortement contre lui, tant l’un de ces fantasmes qui était celui de l’embrasser se produisait. Le jeune homme se trouvait résolument magnifique tant à regarder qu’à caresser… Suivant ces instants et son désir, ne voyant nullement son rival réagir négativement à son approche, l’appréciant même, il ne put que l’emmener à le faire tomber sur le canapé, le surplombant avec délice, le trouvant absolument magnifique ainsi allongé. Lui offrant un merveilleux sourire, il vint reprendre entre ces lèvres celles de son potentiel amant, ces mains venant s’égarer sur ce corps magnifique qui se trouvait à présent dévêtu, la serviette étant tombée sur le sol par un heureux accident. Leurs corps se collant à présent, bien que son peignoir représentait une certaine barrière, Baltazar ne put qu’être fébrile à ce contact, répondant avec passion au baiser qu’ils partageaient.

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 14:11

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Ravi, il ne pouvait que l’être de le voir céder à ses cupides dessins. Quand bien même avait-il mis tout en œuvre pour que cette situation se produise, il ne pouvait qu’être satisfait que son rival, fantasme secrètement, se soit disposé si rapidement à répondre à ses avances. Ce dernier ne cachait nullement son engouement, ni même son plaisir de vivre cette expérience auprès de lui. Après tout, cela ne serait résolument pas la première fois que cet espagnol finirait dans les draps d’un autre homme. Un fait qui changeait résolument de sa personne tant il n’avait jamais éprouvé le moindre désir pour aucun autre homme, si ce n’est pour ce corps qui se trouvait sur lui, sous la pulpe de ses phalanges. Des menottes cupides et désireuses qui caressaient les formes si plaisantes et douces des cuisses du jeune homme, qui se trouvait à sa disposition. Des gestes ô lents et sensuels, ses phalanges épousant la moindre parcelle de ces dernières pour les explorer afin d’éveiller ses sens, tout comme lui faisait avec sa chair. Ce dernier semblait particulièrement avide avec sa personne, explorant son buste avec avidité, laissant ses doigts tracer le moindre de ses muscles alors que leurs lèvres se dévoraient sans nul honte, affamées et impatientes du désir qui somnolaient en leurs êtres.

Il n’avait pu alors que sourire de ce fait, résolument amusé de le voir si tenté et désireux de le toucher. Cela semblait résolument être un de ses fantasmes également tant ce dernier cherchait à le dominer en s’imposant ainsi à lui. Ce dernier n’avait de cesse d’affermir sa présence contre ses lèvres, son corps, tentant de le restreindre dans ses possibilités de contre attaque, seulement ce dernier était bien loin de connaitre l’amant qu’il pouvait être. Il n’était nullement disposé à se laisser totalement dominé, quand bien même le laissait-il agir en cet instant. Il n’avait nulle inquiétude à ce sujet, il finirait par enflammer l’être de son amant pour lui donner l’envie de se soumettre à lui, lui permettant de réaliser un de ses fantasmes lorsque les préliminaires toucheraient à leurs fins. Il réaliserait son fantasme ainsi que le sien, afin de faire de cette soirée, une des plus stimulantes de leur vie, à tel point que le jeune homme serait bien incapable de l’oublier durant fort longtemps.

Il n’avait pu alors que le provoquer de nouveau sans la moindre hésitation, relâchant ses merveilleuses lèvres pour murmurer contre ses dernières. Son regard se voulait cruellement pénétrant et tentateur alors qu’il avait le plaisir de sentir son futur amant rapprocher son corps au sien, renforçant d’autant plus l’éclat de son sourire coquin. Ses doigts caressaient toujours les reins de ce dernier au dessus du tissu moelleux de son peignoir, renforçant d’autant plus la frustration qu’il pouvait percevoir dans son regard. Il mourrait d’envie qu’il lui retire et le touche plus intimement, chaque geste de sa personne ne venait que confirmer la chose alors qu’il le sentait l’embrasser brièvement dans un sourire, ses lèvres se mouvant contre sa nuque pour la dévorer à son tour. Une action qu’aimait particulièrement exécuter ses amantes lorsqu’elles se retrouvaient au dessus de lui. Une zone relativement sensible pour son être, qui vint délicatement le faire réagir favorablement, appréciant la texture des lèvres de son assaillant sur cette dernière pour y déposer un suçon. Un acte résolument coquin et attrayant qui ne pu que le faire sourire d’avantage, se mordant délicatement la lèvre alors qu’il sentait les doigts de ce dernier se mouvoir sur ses abdominaux, ses assaillantes mordant sa chair. Un fait ô appréciant qui ne fit que renforcer son souhait de le voir agir de la sorte, même s’il comptait bien se venger et prendre le dessus. Les paroles de ce dernier ne purent que le faire rire doucement alors qu’il sentait la bouche de son amant venir se choir sur sa mâchoire, se fendant de nouveau sur la sienne avec passion.

Impatient, ce dernier sembla comprendre qu’il ne comptait pas l’aider dans l’exercice de le déshabiller tandis qu’il sentait les mains de ce dernier quitter sa chair pour venir détacher son peignoir, le retirant totalement en le jetant à terre. Un fait, qui ne pu que le rendre d’autant plus souriant contre ses lèvres alors qu’il sentait enfin leurs chairs se mouvoir l’une contre l’autre, soupirant tout autant que ce dernier alors qu’il sentait le désir s’accroitre au sein de son corps, laissant son cupide amant s’éloigner de ses lèvres en appréciant le regard ô appréciateur qu’il lui tendait. Il le laissa donc caresser son corps avec envie, souriant résolument de le voir si attiré par sa personne. Après tout n’était-ce pas délectable de voir son fantasme mourir de désir pour sa personne et ce quand bien même ce dernier l’ignorer ? Les mots sensuels de ce dernier ne purent que renforcer cet état de faire alors qu’il lui lançait un regard résolument amusé et pénétrant, murmurant très sensuellement.

« En effet, c’est une offre très alléchante, je dois reconnaitre… Tu sembles cruellement cupide avec mon corps… mais tu oublies une chose, Morales ! Je ne me soumets jamais totalement à quelqu’un… »

C’est ainsi que ses doigts vinrent de nouveau se mouvoir sur ses cuisses en toute sensualité, remontant vivement à ses fesses pour les caresser, laissant ses phalanges se glisser entre elles, obligeant son bassin à se coller au sien, souriant de le voir réceptif à cet état de fait. Résolument cupide et tentateur, c’est tout naturellement qu’il vint glisser une de ses cuisses entre celle du jeune homme pour gagner un peu plus de domination sur ce dernier. Après tout, s’il ne voulait pas perdre face à lui, il devait absolument apprendre à le dominer en restant dans cette position, tout à fait plaisante. Cette vue en contre plongée était résolument attrayante alors qu’il caressait fougueusement les reins de ce dernier, venant mouvoir ses lèvres taquines et brulantes sur sa nuque, l’embrassant fougueusement. La peau de son gorge se trouvait particulièrement plaisante sous la pulpe de ses lèvres alors qu’il venait délicatement la mordiller, la suçoter avec délice tout contre son oreille. Il ne pouvait s’empêcher de sourire contre sa chair tandis que ses doigts malaxaient délicatement ses magnifiques fesses pour les agripper doucement, obligeant les reins du jeune homme à se mouvoir contre le sien, frissonnant doucement à ce contact électrisant en venant mordiller le lobe de son oreille, murmurant au creux de son oreille dans une voix ô sensuelle et tentatrice.

« Tes fesses sont fermes et musclées, terriblement tentantes, tu sais, Morales ? J’ai cruellement envie de les explorer plus en longueur. » Il inspira un coup, soufflant au creux de sa nuque alors qu’il glissait ses phalanges entre ses cuisses pour frôler une partie ô particulière de ses reins, pour descendre sur le haut de ses cuisses pour poursuivre tout doucement. « Es-tu sur de vouloir me faire gémir où préfères-tu que ça soit mon corps qui s’occupent du tien ? En tout cas, il me semble bien sensible sous mes gestes…. Qu’en dis-tu, mm ? »

Sur ses mots, ses lèvres vinrent de nouveau mordiller son oreille, ses doigts se mouvant plus implicitement sur ses reins, sa jambe marquant plus sa présence entre ses cuisses. Qui des deux allaient être le premier à se soumettre à l’autre, c’était résolument la question qui restait en suspens.

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 14:50

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Dominer le jeune asiatique, rien n’aurait pu rendre si heureux Baltazar que ce fait. Scott avait toujours été une personne résolument dominatrice autant dans son travail que dans ces relations sexuelles. Peut-être était-ce un fait quelque peu étrange, voir vicieux mais il savait que tout comme l’asiatique, ils avaient couché les uns après les autres avec les mêmes filles, alors qu'ils n'étaient qu'étudiants comme pour venir se concurrencer dans ce domaine. Ainsi, dominer le jeune homme ne pouvait qu’être résolument une bonne idée pour l’espagnol, venant répondre à un de ces fantasmes malsains à son propos. Le surplombant, il lui semblait être bien celui qui lui imposerait sa force, son envie. Ainsi, guidé par la passion il avait embrassé ce corps avec une envie non dissimulée, caresser ces formes de ces doigts dans l’unique de voir son rival faiblir. Un rival qui semblait particulièrement sensible à ces attouchements, le voyant frémit sous ces doigts. Baltazar souhaitait voir dans ces yeux une lueur de perversité, une lueur qui ravivait son désir pour sa personne. Ces baisers s’étaient trouvés alors particulièrement séduisant, comme ces caresses sur les abdominaux si finement musclé de son amant, s’amusant à retracer chacun de ces muscles. Ces mots résolument taquins et notamment sa demande avait semblé plaire au jeune homme qui lui avait lancé un regard amusé et pénétrant. L’échange de son corps contre une nuit dans cette était une offre résolument alléchante, il devait le reconnaitre. Celui-ci vint lui indiquer qu’il semblait cruellement cupide avec son corps mais il oubliait une chose. Jamais il ne se soumettrait totalement à quelqu’un. Des mots qui venaient raviver son désir de le posséder tant cela se trouvait être quelque chose de difficile. Baltazar n’avait jamais reculé sur un quelconque défi alors il serait prêt à le réaliser, souhaitant voir son rival si faible et fragile face à lui.

Pour venir le tenter son rival vint se mouvoir ces doigts sur ces cuisses, remontant jusqu’à atteindre ces fesses, pour les caresser, laissant celles-ci se glisser entre elles. Un contact qui ne put que le faire doucement frissonner, étant bien réceptif à ces attouchements. Souriant à ce geste, il vint apprécier cette cuisse qui était venu se mêler aux siennes, rapprochant leurs corps de manière particulière. En même temps que les mains de son amant caressaient ces reins, le jeune homme lui caressait avec délice chaque muscle qui lui était découvert. Les baisers sur sa gorge ne purent que l’emmener à frissonner tant son être se trouvait sensible en cet endroit, le rendant toujours pantois. Pour lui qui n’avait jamais reçu jusqu’à cet instant ces baisers, ceux-ci se trouvait bien électrisant, souhaitant en recevoir tant d’autres de sa part. Cupide il l’était avec ce jeune homme qui avait le don de le rendre fou, surtout alors qu’il suçotant la peau de sa nuque, l’emmenant à pencher sa tête pour ressentir encore plus de bien-être. Les mains sur ces fesses ne le laissaient nullement de marbre, sentant le désir prendre possession de son être tant l’asiatique se trouvait désirable et presque professionnel dans sa tâche de le rendre fou. Son corps ne pouvait que frissonner aux mordillements contre le lobe de son oreille, tout comme ces mots si tentateurs. Le bel asiatique lui susurrait que ces fesses étaient résolument fermes et musclés, terriblement tentante ô point qu’il avait envie de les exploser plus en longueur. Des mots qui vinrent accentuer le feu qui possédait son être… avec ces simples mots il avait l’impression de sentit déjà tant de désir pour sa personne.

Le souffle sur sa nuque ô chaud et ces caresses sur ce s cuisses ne le laissaient nullement de marbre, souhaitant tant le voir approfondir ces caresses sur son corps. Peut-être était-il fou mais dans tous les cas le jeune homme se trouvait déjà résolument appréciateur. Ces derniers mots faillirent le faire lâcher prise, se rendait-il compte qu’il était incroyablement sexy en murmurant s’il était sûr de vouloir le faire gémir ou préférait-il que cela soit son corps qui s’occupe du sien. Dans tous les cas il se trouvait bien sensible sous ces gestes. Baltazar en quelques minutes était devenu la proie d’un soir de cet homme qui avait le don de le rendre fou. Dans un doux sourire le jeune homme vint laisser échapper d’une voix particulièrement sensuelle et désireuse : « Nous avons toute la nuit devant nous… tu auras donc tout le temps de venir explorer mes si belles fesses qui te font rêver… comme moi j’aurais le temps d’explorer les tiennes… n’est-ce pas un bon deal Scott ? »

Terminant ces mots dans un sourire, il vint poser ces mains sur les reins de son amant, profitant de leur place pour caresser ce formidable fessier si musclé dans un air de domination. Oh oui, le jeune homme rêvait d’explorer celles-ci, comme de voir son amant l’emmener à ce pécher de la luxure. La nuit se trouvait devant eux, il serait dommage de ne pas profiter du corps de l’un et de l’autre, n’est-ce pas ? Dans un sourire empli de surprise de luxure, il vint venir ré-embrasser la chair de ce torse ô finement musclé. Néanmoins, les caresses de son amant ne s’arrêtant pas sur ces fesses il ajouta : « Tu as un corps résolument attirable tu le sais ? Je n’ai d’envie que d’une chose… te voir mourir de bien-être à mes côtés en cette nuit … qu’en penses-tu ? Il serait bien dommage de ne pas profiter de ton incroyablement corps séduisant … tu ne crois pas ? »

Souriant simplement à son amant d’un soir, ces baisers vinrent se perdre sur la nuque d’Adam, ces mains continuant leurs caresses sur ce corps, sur ces reins et sur ces fesses qui ne demandaient qu’à être si bien cajolé par l’amant qu’il était. Reposant sa marque son amant au niveau de sa nuque, il sourit, continuant de caresser ces si belles fesses en prononçant : « Ne suis-je pas déjà en train de te rendre fou ? Il suffit alors de me laisser guider cette soirée pour profiter de l’instant avant de te laisser mon corps librement. Cela me semble toujours un bon deal. Après tout, tu as dû entendre déjà que j’étais un très bon amant… non ? » Pour terminer ces mots il vint caresser ces fesses avec plus d’insistance, les trouvant si agréable au toucher qu’à la vue. Il n’y avait nullement une arnaque lorsqu’on le regardait, tout se trouvait tout simplement parfait tant au toucher qu’à la vue.

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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 15:00

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Dominateur, il l’était assurément tant il faisait parti de ses hommes qui avaient toujours les cartes en main de leur destin, ne laissant que peu de place à l’imprévu, même s’il appréciait résolument que les choses sortent de l’ordinaire. Que ce soit dans sa vie professionnelle ou personnelle, il était le maitre absolu dans tous les domaines et peu de personnes pouvaient se vanter de l’affaiblir, aucun pour ainsi dire, pas même ses parents. Présomptueux et vaniteux, il connaissait résolument sa valeur et ses limites et une d’entre elles se trouvait actuellement sous ses yeux lubriques. Un secret fantasme qu’il avait confiné dans son esprit durant des années, depuis le jour où son regard s’était niché sur la naissance des reins de son rival de toujours avec l’ardent désir d’y céder. Ses magnifiques fesses fermes et musclées avaient un attrait bien plus attrayant que celles des autres mecs.

A vrai dire, il ne s’était jamais senti fantasmer sur les formes d’un autre homme que sur celles de Morales et pourtant ce dernier avait tout d’un « homme » sur tous les points. Il n’était nullement en mesure d’identifier d’où lui venait ce désir malsain de consommer le plaisir de la chair avec son ennemi de toujours mais, il ne parvenait pas à l’oublier. Quelque chose lui plaisait assurément en la personne du bel hispanique et en cette soirée, il se trouvait déterminé à découvrir ce pêché avec cet homme en le dévorant tout simplement, quand bien même ce dernier avait déjà expérimenté le sexe avec d’autres partenaires masculins mais jamais en tant que dominé. Il désirait donc lui prendre cette première fois en véritable Don Juan qu’il était. Il savait comment rendre fou ses amantes et aucune d’entre elles avaient résisté bien longtemps à ses caresses frustrantes et ses paroles ô sensuelles et perverses. Cet homme ne dérogerait pas à cette règle alors qu’il rêvait déjà de le rencontrer sous les traits de son bel inconnu afin de réaliser un de ses fantasmes. Il ne pourrait qu’être fier de le réaliser à ce jour en le faisant céder à ses désirs, le dominant tout simplement et il agissait en conséquence pour que son idée se réalise.

Il ne pouvait donc qu’être réellement enthousiaste de le voir réagir si favorablement à ses caresses, à ses mots. L’être de son futur amant semblait s’exalter sous ses gestes et paroles, éveillant sans hésitation un feu ardent dont il était l’investigateur. Il se félicitait de cette réalité, ne pouvant que sourire ravi et charmé de le voir aussi réceptif, cupide même envers son être. Il était bien évident que lui-même n’était nullement insensible aux caresses et attentions de son assaillant tant il sentait son être s’échauffer peu à peu à cet envoutant contact. Seulement et quand bien même les paroles du jeune homme se voulaient cruellement tentatrices et prometteuses de bien être, il n’était nullement disposé à se laisser dominer. Qu’importe combien de temps durerait les préliminaires, Morales serait celui qui céderait à ses avances et se soumettrait à lui.

Pourtant, ce dernier résistait tant bien que mal, tâchant d’avoir son mot à dire sur l’avancée de leur nuit torride, l’informant qu’ils pourraient tous les deux profiter de la chair de l’autre pour de nombreuses occasions mais, cela ne faisait qu’accroitre d’autant plus son souhait de le voir flancher. Il le laissa donc baiser sa nuque dans un sourire narquois, sa chair frissonnante sous ses caresses alors qu’il poursuivait d’autant plus cupidement ses caresses sur les reins, les fesses de sa future victime. Ce doux contact était plaisant et envoutant d’autant plus en le voyant si désireux de le dominer, cela en était presque amusant tant ce dernier semblait cupide et pervers. Il lui demandait s’il n’était pas déjà en train de le rendre fou. Si oui, il lui suffisait alors de se laisser guider en cette soirée pour profiter de l’instant avant qu’il ne lui offre son corps librement. Cela lui semblait être une bonne affaire car il se trouvait après tout être un bon amant. Des paroles qui ne purent que le faire rire de façon très naturelle tant l’arrogance de son compagnon d’une nuit l’amusait. Ils étaient similaires dans une certaine mesure qu’il ne pouvait qu’être ravi de relever le défi en le faisant céder à ses avances. Un rire spontané et court, tant son corps semblait peu à peu s’animer au contact du jeune homme, ce dernier appréciant résolument ses attentions.

« Nous verrons bien mais j’aime bien l’idée que tu me vendes du rêve, Morales ! Qui sait, y céderais-je un jour mais ce soir, c’est toi qui flanchera sous mes doigts, sois en sur. Tu me réclameras lorsque je me serai décidé à te dominer… tant tu fondras sous mes doigts. »

Il avait murmuré cela avec sérieux et arrogance, venant de nouveau mordiller l’oreille du jeune espagnol qui se trouvait à sa portée tandis qu’il soufflait le nom de son amant dans une voix ô sensuelle. Conscient de sa fébrilité qui n’avait de cesse de s’accroitre, il avait d’autant plus renforcé sa poigne autour des fesses de son assaillant pour bien les plaquer contre ses reins, sentant l’intimité de ce dernier se fendre contre la sienne. Un contact ô plaisant et cupide, qui le fit délicatement mordre son oreille alors qu’il souriait de cet état de fait. Ses lèvres ô brulantes vinrent alors se mouvoir sur la naissance de la nuque de son hôte, venant l’embrasser avec fougue tandis que l’une de ses mains quittaient ses fesses pour venir se glisser sous sa hanche, frôler le membre de ce dernier très faiblement. Un fait qui sembla résolument plaire à son assaillant grâce au frison qui parcourra son échine, profitant de cet état de fait pour se relever doucement, gagnant une possibilité d’actions plus ample et de champ de vision plus que plaisante.

Ses lèvres toujours plaquée contre sa nuque, il vint les descendre sur sa pomme d’Adam pour la suçoter tandis que sa main cupide venait se choir sur la cuisse, non loin de son intimité qui semblait cruellement impatiente. Cette fébrilité, cette impatience qui s’échappait de l’être de son amant ne pouvait que le rendre d’autant plus amusé et déterminé. Son autre main, n’avait de cesse de palper sa fesse, le haut de sa cuisse tandis que son autre menotte venait enfin effleurer plus sincèrement son intimité cuisante de désir. Ce simple geste vint faire frissonner son hôte dans un soupir d’aise, alors qu’il venait délicatement mordre sa nuque pour doubler son émoi, venant effectuer un rapide passage. Conscient de lui faire du bien et résolument cupide d’accroitre cet état de fait, sa bouche vint enfin gouter la chair de sa clavicule pour descendre au centre de ses pectoraux, les dévorant avec fougue et avarice. C’est donc dans un sourire résolument narquois et taquin qu’il vint murmurer sensuellement contre sa chair.

« Tu sembles avoir très chaud Morales, es-tu sur de vouloir résister où cet avant gout te donne suffisamment envie d’en découvrir plus sous mes doigts ? »

A ses mots, sa main vint se mouvoir délicatement sur le membre du jeune espagnol pour réaliser un mouvement de va-et-vient bien lent et langoureux, sentant le plaisir gagner l’échine de sa victime, à tel point qu’il trouvait l’expérience envoutante. C’était la première fois qu’il touchait un homme de cette façon et il comptait bien allait au bout de cette action, que Morale se fasse à cette idée, il finirait par l’avoir tout simplement.

   
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En cette soirée de luxure Baltazar se perdait dans ce doux pécher au côté de cet amant d’un soir qui se trouvait être son rival. Son statut de rival n’avait plus d’importance, seul ce corps ô désirable et tentateur l’importait. Son regard ne cessait de dévorer cet être, tout comme ces mains qui se baladaient sur son torse redessinant chacun de ces muscles avec une envie non dissimulée. Le jeune espagnol désirait seulement connaitre ce pécher à ces côtés, espérant voir son assaillant flancher lui demandant de venir le dominer. Un fantasme qu’il voulait réaliser bien que le jeune asiatique ne semblait pas le vouloir. Baltazar ne serait nullement du genre à le forcer mais au moins, il espérait le convaincre du fait qu’il se trouvait un amant tout à fait désirable et admirable pour n’importe quelle personne qui avait été dans son lit. Vaniteux, sans aucun doute l’était-il mais sans doute pas plus que l’asiatique à ces côtés. Baltazar savait qu’il était un bon amant, chacune de ces amantes l’avait complimenté à chaque fois essayant de capturer le cœur de l’espagnol bien que cela était impossible tant le jeune homme n’avait jamais connu l’amour et n’était pas prêt à le vivre. Celui-ci n’avait de toute manière pas de place dans sa vie étant donné qu’il se trouvait marié jusqu’à la fin de ces jours ou du moins jusqu’à la mort de sa femme, bien qu’il ne souhaitait nullement sa mort. Sa vie serait seulement remplie d’amantes et d’amants, pourquoi se plaindrait-il alors de sa position ? Il ne s’en plaignait pas d’ailleurs, ayant été bien heureux de découvrir le plaisir de la chair avec d’autres personnes et surtout ce bel asiatique qui se trouvait sous son corps en cet instant. Sa femme, bien qu’elle soit particulièrement jolie, ne tenait tout simplement pas la concurrence face à ce corps particulièrement beau et désirable.

Ces pensées ne pouvaient que s’accroitre alors qu’il entendait ce rire si merveilleux qui s’échappait des lèvres de son amant, le trouvant véritablement beau ainsi, son corps appréciant chacune de ces attentions. Les mots du jeune homme ne pouvaient que l’emmener à frissonner. Le jeune asiatique avouait qu’il aimait l’idée qu’il lui vend du rêve, peut-être céderait-il un jour mais ce soir c’était lui qui flancherait sous ses doigts, il en était sûr. C’était lui qui le réclamerait lorsqu’il aurait décidé à le dominer tant il fondrait sous ces doigts. Des mots qui le firent doucement frissonner alors que l’asiatique venait mordiller son oreille, soufflant le nom de son amant d’une voix sensuelle. Il laissa échapper un doux soupir à cet instant, surtout qu’il sentait le jeune homme renforcer sa poigne sur ces fesses pour venir faire rencontrer leurs reins, leurs intimités se rencontrer un instant. Souriant au jeune homme il vint laisser échapper un doux soupir alors que celui-ci venait mordiller son oreille. Ces lèvres étaient venues fondre avec fougue sur sa nuque l’emmenant à frissonner alors qu’il sentait ces mains quitter ces fesses pour atteindre sa hanche et venir frôler son entrejambe qui demandait à être si bien cajolé par son amant d’un soir. Les mains des hommes avaient toujours eu le don de le rendre fou, pour eux qui se trouvaient bien moins doux que n’importe quelle femme, le rendant toujours particulièrement faible à chaque fois.

Se relevant alors, Baltazar eut une vision ô agréable, celle de Scott décidé de le dominer en ce soir et mettant tout en œuvre pour qu’il lâche prise. Un fait ô appréciable pour l’amant qu’il était de voir Scott si impatient de dévorer son corps. Des pensées qui ne purent que s’accentuer alors qu’il sentait ces lèvres embrasser sa pomme d’adam pour la suçoter, appréciant ces caresser sur sa cuisses venant titiller sa virilité qui se trouvait toujours si proche de sa main. Comme pour venir répondre à sa demande, le jeune homme vint enfin effleure son entrejambe qui ne demandait qu’être flatté par l’asiatique. Dans un soupir d’aise, il lui transmit son bien-être alors même que Scott mordait sa nuque pour doubler son émoi. Faible, le jeune homme en réaction continua de caresser le corps si plaisant de l’asiatique, caressant ces reins et sa nuque avec délice. Scott ne mentait vraiment pas, il se trouvait résolument un bon amant qui savait faire fondre n’importe quelle personne avec son corps. Lui-même en était la victime en cet instant, bien trop faible pour résister d’une quelconque manière alors qu’il savait déjà au fond de lui que Scott ne pourrait que gagner en ce jour ou du moins cette fois-ci tant le désir se faisait puissant. L’espagnol ne put que fermer les yeux face à l’afflux de bien-être alors que les lèvres de son amant s’échouer sur sa clavicule et atteindre progressivement le centre de ces pectoraux, le faisant résolument frissonner. Les baisers du jeune homme se trouvaient résolument électrisant.

Les mots du jeune homme ne lui permirent nullement de calmer son désir. Tout particulièrement alors qu’il lui murmurait qu’il semblait avoir très chaud, lui demandant s’il était sûr de vouloir résister ou bien cet avant goût lui donnait suffisamment envie d’en découvrir plus sous ces doigts. Des mors qui l’emmenaient à brûler de désir tout particulièrement alors que le jeune homme effectuait pour la première un mouvement de va-et-vient sur son entrejambe, lent et langoureux. Des mots qui ne pouvaient que l’emmener à être particulièrement cupide de ces doigts et de cet amant qui semblait lui promettre une agréable nuit, sa première nuit en tant que dominé. Le jeune homme n’était nourri d’aucune angoisse à ce propos, sachant ô combien cette position était agréable, surtout pour lui qui fantasmait un jour de trouver la bonne personne pour être résolument dominé. Il ne savait nullement si Scott se trouvait la bonne mais dans tous les cas son corps ne pouvait appréciait le traitement qu’il lui réservait en cet instant. Se mordant les lèvres alors, les yeux encore fermés il vint laisser échapper d’une voix sensuelle et éprise par le plaisir : « L’avant goût que tu m’offres… me donne résolument l’envie d’en découvrir plus sous tes doigts Scott… bien que je n’abandonne pas l’idée de te dominer… »

Comme pour venir répondre à ces mots et le convaincre, le jeune asiatique effectua à nouveau contre son intimité un mouvement de va-et-vient, un fait qui ne pouvait que le ravir alors qu’un doux gémissement s’extirpait de ces lèvres, rendant cette partie de ce corps ô cupide. Se mordant les lèvres aux baisers sur ces pectoraux, le jeune homme vint laisser échapper un doux soupir, laissant ces lèvres contre ces pectoraux le rendant ô fébrile. Pour accentuer ce désir, le jeune asiatique vint embrasser le centre de ces pectoraux, frôlant ces boutons de chair le rendant ô combien fébrile, l’obligeant à fermer les yeux, serrer entre ces doigts les reins du jeune homme face à l’afflux du plaisir. Il se savait bien trop faible pour résister d’une quelconque manière à cet homme qui le rendait déjà si fou rien qu’avec ces lèvres et ces doigts, il n’imaginait qu’alors avec plaisir le bien-être qu’il ressentirait lorsqu’il connaitrait le réel plaisir à ces côtés. Perdu, il l’était, sa résistance ayant disparu à cet instant alors qu’il laissait échappait de doux gémissement sortir de ces lèvres. Dans une voix particulièrement sensuelle il prononça alors : « Mmm… je t’offre l’occasion de me découvrir sous tes doigts alors… ne rates pas cette occasion alors… cela serait dommage. Après tout, n’ais-je pas un corps particulièrement séduisant… n’ais-je pas des fesses à faire tomber n’importe quel homme ? » Souriant à ces mots, il vint embrasser la nuque de son amant, mordillant celle-ci et laissant ces mains effleurer les fesses de son rival avec une envie certaine. S’il trouvait qu’il avait de belles fesses, le jeune homme pouvait en dire autant à lui, pour qui il mourrait de les dévorer à son tour. Après tout, il n’était pas prêt d’abandonner son fantasme, peut-être le réaliserait-il en ce jour, la nuit venait seulement de commencer après tout. Souriant à ces mots et souhaitant connaitre le côté si dominateur de son amant, il vint échanger alors leur situation de départ et s’allonger sur le dos, entrainant le bel asiatique à le surplomber. Il laissa échapper alors dans un murmure : « Il est vrai que cette vision est agréable… »

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 15:24

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Sans doute que le jeune homme devait paraitre particulièrement à l’aise pour un novice dans la matière mais Adam mettait en pratique ce qu’il avait toujours fait. Outre le fait que de caresser un homme se trouvait être une nouveauté non négligeable, il ne se sentait pas pour autant inférieur à son partenaire qu’il prenait plaisir à taquiner de la sorte afin d’obtenir ce qu’il désirait. Il avait tant passé des années à fantasmer sur ces formes ô attrayantes, quoique masculines, qu’il ne pouvait laisser passer cette occasion lui filer entre les doigts. Il se montrait donc confiant, maitre de ses gestes et désirs, quitte à frustrer la personne de son hôte, qui désirait tout comme lui le dominer en cette soirée. Cette pensée ne semblait nullement quitter son esprit tant elle respirait au travers de ses gestes. Il le sentait impatient et cupide à son attention et il ne pouvait que s’en sentir ravi, exalté de savoir que son corps ne déplaisait nullement à la personne de son amant. Seulement, il ne comptait nullement se laisser dominer par ce dernier, quand bien même l’idée était intéressante en soit. Fier, l’idée d’offrir son corps ne l’attrayait nullement même s’il ne niait pas qu’il puisse être tenté d’y céder un jour, si leur relation se poursuivait dans l’avenir. Il n’était nullement en mesure d’affirmer qu’il prendrait du plaisir et atteindrait l’extase à ses côtés mais si tel qu’il le pensait, ce dernier était aussi excitant que dans ses rêves pervers, il était fort à parier qu’il prendrait gout à sa chair et à son corps qui l’avait tant fait rêvasser au cours de ses dernières années.

Il avait tant désiré le faire sien qu’il ne pouvait tolérer une autre alternative que cette dernière et il s’était intimé à faire tout en son pouvoir pour le faire céder. Ces caresses ô coquines n’étaient qu’une mise en bouche de ce qu’il pourrait vivre à ses côtés en se laissant dévorer par son être. Il savait le jeune homme réceptif à cet aspect si sensuel de son être, ne pouvant que sourire de le voir frissonner et soupirer d’aise au moindre de ses attouchements. Il semblait en désirer encore plus et son corps ne faisait que le prouver au travers de ses gémissements et caresses. L’avant gout qu’il lui offrait semblait lui plaire tant ce dernier semblait peu à peu flancher, céder à son désir d’être encore plus caresser. Il ne pouvait s’empêcher de sourire d’entendre sa voix si sensuelle et éprise d’un plaisir profond tandis qu’il avouait que ces caresses donnaient résolument envie d’en découvrir plus sous ses doigts. Très bonne réponse, songea-t-il en silence alors qu’il venait embrasser ses pectoraux avec plus d’insistance, venant délicatement glisser ses doigts sur son intimité dans un mouvement de va-et-vient. Quand bien même n’avait-il jusqu’à ce jour, jamais eu de relations sexuelles avec un homme, il possédait assez de connaissances sur le sujet pour savoir comment donner envie à l’un d’entre eux de se soumettre. Une maitrise similaire à celle qu’il employait pour dominer ses amantes en temps normal et qui fonctionnait à merveille. Ce qui semblait résolument être le cas également en vue du gémissement qu’il eut le plaisir d’entendre de la part de sa victime.

Un soupir résolument plaisant à ses oreilles alors qu’il le sentait fébrile, cupide sous ses doigts, désireux de recevoir d’autant plus d’attention. Une envie à laquelle il ne manqua nullement de répondre, venant embrasser d’autant plus son buste en laissant ses lèvres se mouvoir sur ses boutons de chair, en capturant un pour venir l’explorer, le tourmenter au creux de ses lèvres avec impatience. Ce simple geste sembla d’autant plus renforcer l’émoi de sa victime tant il le trouvait particulièrement sensible à ses cajoleries, serait-il parvenu à le faire flancher ? Il fallait croire et cette songé ne pu que le faire sourire d’autant plus profondément alors que ce dernier lui susurrait dans une voix ô particulièrement sensuelle qu’il lui offrait l’occasion de le découvrir sous ses doigts. Il serait bien dommage de ne pas en profiter et de rater une telle occasion. Après tout n’avait-il pas un corps particulièrement séduisant et des fesses à faire tomber n’importe quel homme ? Cette vanité dans ses paroles au travers de son abandon dans ses bras le fit d’autant plus sourire alors qu’il venait d’autant plus embrasser la chair qui se trouvait à sa portée, sentant ses reins s’enflammer à ses caresses sur ses reins tandis qu’il venait mordiller sa nuque, inversant alors leur position. Il ne pu alors qu’être enchanté de le voir agir de la sorte, lui lançant un regard résolument amusé tant il trouvait son comportement attrayant. Ses paroles ne purent que d’autant plus affermir cette sensation alors qu’il l’observait simplement, appréciant résolument de voir ce regard fébrile qu’il lui tendait.

« En effet, il serait dommage que tu ne découvre pas le merveilleux amant que je suis… D’autant plus alors que tu sembles mourir d’envie de gémir sous mon corps, mes doigts, ma bouche… ton corps ne cesse de me désire d’autant plus à chaque seconde. »

Sans doute devait-il paraitre ô présomptueux en s’exprimant de la sorte mais il pouvait entrevoir dans son regard cette lueur cupide qui l’intimait à agir de la sorte. Penché au dessus de lui, en appui sur ses bras, il vint embrasser avec passion la nuque de son hôte, laissant ses lèvres ô brulantes marquer la chair de son amant d’un soir, une de ses menottes venant se choir sur l’une de ses cuisses pour remonter à son aine, la frôler de nouveau. Il savourait pleinement la fébrilité du corps qui se trouvait sous son emprise, souriant de le voir si faible et cupide sous ses phalanges qui vinrent rapidement reprendre place sur son intimité, la caressant avec l’intention de le rendre d’autant plus ferme sous ses doigts. Ces lèvres contre son oreille, il n’avait de cesse de souffler contre sa peau pour accroitre sa fébrilité tandis que son autre main le maintenait au dessus de lui. Il appréciait ô résolument la vue que ce dernier lui offrait, souriant d’autant plus lorsqu’il sentait un gémissement s’extirper des lèvres de Morales.

Ses mouvements se firent beaucoup moins innocent, plus passionné sur son intimité tandis que les secondes s’écoulaient, poursuivant son manège quelque peu frustrant alors qu’il venait dévorer sa nuque de ses lèvres avec passion, venant enfin coller sa chair à la sienne sans pour autant amoindrir ses caresses. Tout contre ses reins, il sentait sa cupide main taquiner son ami avec le même empressement tandis qu’il ne pouvait résister à l’envie de venir y coller son aine, venant les mouvoir l’une contre l’autre. Ce simple contact le fit délicatement gémir contre la chair de sa clavicule alors qu’il venait mouvoir sa main sur leurs membres mêlés pour les caresser ensemble. Un geste résolument pervers mais si plaisant qu’il ne pu s’empêcher de sourire satisfait que ce simple geste ne faisait qu’accroitre l’excitation de son compagnon qui semblait d’autant plus réceptif à ses caresses. Il poursuivit ses caresses avec insistance et sensualité, cupide et désireux de l’attendre geindre son émoi, lui intimer de le faire sien. Il mourrait d’envie de lui faire l’amour, d’explorer enfin ce corps qui lui donnait tant envie mais avant cela, il désirait plus que tout : qu’il s’offre totalement à lui et de la façon la plus naturelle qu’il soit, telle une évidence pour lui.

   
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N’importe quel homme sur cette terre ne pouvait que faillir devant le corps ô si séduisant de l’asiatique, le jeune homme en était bien persuadé alors qu’il avait abandonné toute résistance et offrait son corps au jeune homme. Sans doute était-ce un acte fou au vu de leurs situations propres, les deux se trouvant de valeureux rival mais face à l’appel de ce corps Baltazar se trouvait bien faible. Pour lui qui avait eu l’habitude de fréquenter des hommes tard le soir, tant avant son mariage qu’après, c’était bien la première fois qu’il se sentait si fébrile face à un homme. Peut-être était-il devenu fou ? Il ne savait pas mais dans tous les cas il profiterait de cette nuit à ces côtés pour connaitre le pécher de la luxure. Depuis qu’il était venu embrasser ces lèvres, il ne regrettait pas un seul instant son geste tant son corps appréciait le traitement de l’asiatique. Comment pourrait-il seulement ne pas aimer ces baisers sur sont torse, sur son buste qui se relevait de lui-même pour être la pauvre victime de la passion de son amant. Ainsi, faible homme qu’il était, il avait murmuré qu’il aurait été bien dommage de ne pas profiter de l’occasion de découvrir l’amant qu’il était.

Abandonnant toute tentative de résistance, il était venu s’allonger sur le dos, inversant leur position. Dans un merveilleux sourire, il prononça des mots enchanteurs pour sa personne qui semblèrent plaire au jeune homme en vue de son regard amusé. Dans une voix ô taquine et présomptueuse, il était venu lui avouer qu’en effet il serait dommage qu’il ne découvre pas le merveilleux amant qu’il était. Tout particulièrement alors qu’il semblait mourir d’envie de gémir sous ces doigts, sous son corps. Un corps qui ne cessait pas de le désirer à chaque seconde. Chacun de ces mots étaient résolument arrogants mais tellement criant de vérité. Baltazar ne souhaitait que cela en s’offrant à cet homme, qui le rendait déjà fou juste avec ces simples baisers, ces doigts. Etre dévoré par Adam n’était résolument pas une mauvaise idée. Dans un doux sourire alors il vint accueillir ces lèvres sur sa nuque, ayant placé ces mains sur le dos ô séduisant de son amant. Fermant les yeux, il ne put qu’apprécier plus fortement les sensations qui traversaient son corps. Cette main venait effleurer sa cuisse jusqu’à atteindre son aine, la frôlant. Le temps lui paru infiniment long avant qu’il ne sente sa main reprendre son entrejambe pour y effectuer de légères caresses. Des caresses qui rendirent bien fébrile le jeune homme qui laissa échapper un doux gémissement sortir de ces lèvres, bien malgré lui. Il se sentait faiblir à chaque seconde à chaque baiser, à chaque caresse et particulièrement ce souffle qui s’échappait pour atteindre sa nuque. Oh oui, il ne regrettait nullement de s’être fait avoir par le charisme de Scott tant celui-ci semblait se plaire à le rendre si fébrile. Ces mains loin d’être inactive continuaient à caresser ce corps ô plaisant, venant tracer la forme de ces muscles. Si seulement il avait pu véritablement dévorer celui-ci le jeune homme, il en aurait été enchanté, en cette nuit il en aurait l’occasion et comptait bien en profiter une fois qu’il aurait définitivement atteint ce bonheur.

Baltazar fut bientôt obligé de se mordre les lèvres pour retenir un gémissement à nouveau tant son corps appréciait que ces caresses sur son entrejambe, des caresses bien plus passionnés. Il se sentait devenir de plus en plus brulant, ayant l’impression d’avoir résolument très chaud dans cette pièce. Le corps de son rival lui paraissait si chaud entre ces doigts, si brûlant que son propre corps ne pouvait que l’être tant il se sentait si fébrile. Ce fut sans doute la dernière action de son amant qui le rendit encore plus fou, le contact de leurs aines se trouvait résolument plaisant. Savoir que son rival se trouvait si ferme contre son aine était un fantasme inavouable alors qu’il sentait faiblir, se sentant si excité au creux de ces reins. Cette simple main l’emmenait tout simplement si près de la luxure, il laissa alors à nouveau des gémissements s’échapper de ces lèvres tant son corps appréciait son traitement. S’il avait su que cet homme se trouvait si séduisant sans aucun doute qu’il aurait lâché prise il y avait bien des pour connaitre ce doux pécher à ces côtés. Son corps s’échauffait à chaque instant, son aine devenant de plus en plus ferme au creux de ces doigts. Souriant à son amant, le jeune homme vint gémir son doux nom comme pour lui implorait de lui laisser le droit d’accéder à la luxure finale.

Etre possédé par Adam ne le dérangeaient nullement, surtout pas alors qu’il lui prouvait déjà qu’il était un amant ô doué de ces mains. Il avait tant envie d’être possédé par lui, oubliant toutes les appréhensions qu’il pouvait avoir en tant que dominé. Peu importe s’il avait mal, la souffrance ne serait rien comparé au plaisir qu’il ressentirait. Ainsi, en être faible, le jeune homme vint murmurer d’une voix éprise par le plaisir :

« Scott… c’est si agréable… si bon… je t’en supplie… fais ce que tu veux… de moi…» Terminant ces mots dans un gémissement, le jeune homme vint caresser les reins de Scott, déviant sur ces fesses ô musclés pour les caresser et rapprocher leurs corps comme pour lui intimer de le posséder. Néanmoins, l’asiatique ne semblait nullement se contenter de tels mots en vue de ces caresses plus appuyées entre leurs deux aines et de ces baisers beaucoup plus passionnés contre sa chair, contre son torse si demandeur d’attention. Scott en tant qu’être résolument dominateur ne se contentait nullement de ces mots…

Ainsi en tant qu’homme particulièrement faible il vint murmurer : « Scott… fais-moi l’amour.. je t’en prie… » Laissant échapper un gémissement à ces mots, le jeune homme vint à nouveau caresser ces fesses, venant faire rencontrer leur chair dans un contact rapprochés. Sans s’en rendre compte, le jeune homme vint de lui-même ouvrir ces jambes pour laisser plus de facilité d’accès à son corps. Son corps se trouvait tant en feux… Baltazar vient recueillir entre ces lèvres leurs jumelles dans un baiser ô langoureux et passionné, savourant ce contact alors que leurs corps à présent se trouvaient si proche. Qu’il lui fasse l’amour, il ne demandait que cela en cet instant…

Néanmoins, la réalité lui revint à l’esprit, se rendant bien compte qu’ils devaient se protéger avant tout dans cet acte charnel. Souriant dans ce baiser langoureux, le jeune homme vint lui lancer un regard ô rempli de désirs alors qu’il murmurait d’une voix sensuelle : « Scott… y’a des préservatifs dans mon portefeuille qui est sur la table… attrape-les… et je te préviens… si tu tentes un seul instant de me faire languir plus que nécessaire… cette nuit se terminera…» peut-être mentait-il dans ces derniers mots mais le jeune espagnol se trouvait bien trop impatient pour attendre plus longtemps. Il ne voulait nullement d’une quelconque manière terminer cette nuit ainsi, cette situation se trouvait bien trop frustrante. Il voulait définitivement atteindre la luxure à ces côtés. Ces mains vinrent caresser comme pour le presser venir caresser ces fesses avec plus d’envie, les griffant volontairement pour lui transmettre son empressement.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 15:40

OOPS, I'M IN TROUBLE, CAN YOU HELP ME
Ardor que fue bajando hasta el cinturón Que tú desabrochaste sin ningún pudor Empapaste todas las ventanas de mi desordenada habitación
Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

Excité, il ne pouvait nullement nier l’être tant son aine se trouvait cruellement cupide contre celle de son futur amant. Un homme qu’il avait longtemps désiré en secret, se réprimant de ressentir une telle avarice sans pour autant être en mesure de la contenir. Le corps de ce jeune homme l’envoutait inexorablement, le rendant faible et impatient tant il souhaitait le voir s’exalter sous ses doigts, ses lèvres, son corps. Érotique, le beau latino l’était résolument et ses regards enflammés, affamés n’avait de cesse de l’intimait à poursuivre tant il avait pour aspiration de connaitre la luxure à ses côtés. Découvrir les penchants bisexuels de son rival de toujours ne pouvait avoir qu’une forte influence dans son esprit tant il s’était intimé à oublier ce désir cuisant qui le dévorait sans pouvoir l’assouvir. Sous les traits d’un parfait inconnu, du moins pour le jeune espagnol qui se trouvait sous ses yeux, il éveillait son intérêt, tout comme il le faisait si aisément avec lui. Il avait pour ambition de le séduire pour le soumettre à ses desseins tout en réalisant ses plus merveilleux fantasmes. Devenir bisexuel pour lui, pouvoir explorer sa chair, son corps sans n’était qu’un détail auquel il ne songeait nullement, n’en voyant même pas l’intérêt. Du moins, c’était les projets qui s’étaient éveillés avant que le destin ne les amène à se rencontrer au sein de cette merveilleuse ville qu’était Paris. Il n’avait pu passer devant une telle opportunité qui s’était présentée à lui. De plus, lorsqu’il fut certain que le jeune homme le reluquait avec envie. Alors pourquoi diable refuser ? Il avait bien fait et ne pouvait que s’en satisfaire, sentant son aine affermir son excitation contre celle toute aussi désireuse de sa victime. La robustesse de cette dernière, sa forme si prononcée envoutait ses sens alors qu’il les caressait l’une contre l’autre pour affermir sa domination, cette fébrilité qui exaltait l’être de son amant.

Ce dernier n’avait de cesse de soupirer son émoi, gémissant son nom comme pour l’implorer de poursuivre ses attentions tant il les appréciait. Des soupirs qui ne pouvaient que le ravir d’autant plus, augmentant sa perversité en le taquinant d’autant plus de la sorte. Pervers, il l’était et n’avait jamais pu le nier tant cette avarice de la luxure avait toujours guidé ses gestes. Jusqu’à ce jour, aucune de ses amantes n’avaient eu à s’en plaindre, appréciant ô résolument ce côté passionné et fougueux qu’il possédait lorsqu’il couchait avec elles. Morales n’allait nullement échapper à cette règle et il comptait bien lui faire connaitre l’orgasme, à la parfaite image de ce fantasme qu’il avait toujours eu lorsque ses yeux s’étaient posés tant de fois sur ses reins par le passé. Une réalité qui prenait de plus en plus forme sous son regard, sous sa chair tandis qu’il sentait la chair de cet homme s’échauffer d’autant, son intimité s’affermissant au creux de ses doigts. L’avoir ainsi à sa merci, si faible, si enclin à répondre à ses désirs n’avait de cesse que d’accentuer sa passion, son appétit à son sujet. Il n’était plus avide que d’une chose : qu’il lui supplie de lui faire amour. Des paroles qu’il avait hâte d’entendre tant il les avait envisagées dans ses fantasmes ô lubriques et qui étaient sur le point d’être prononcés pour peu qu’il ne le pousse encore plus loin dans son excitation. Les mots de ce dernier se trouvaient être un bon début. C’était résolument plaisant de l’entendre lui dire qu’il lui faisait cruellement du bien, qu’il aimait cela. Il sourit fermement lorsque ce dernier l’implora de faire ce qu’il voulait de lui, sentant ses doigts se coller à ses reins pour l’intimer à se coller plus fermement à lui. Rien que ces paroles laissaient pleinement entrevoir le désir de soumission qui étreignait le beau latino mais en homme cupide qu’il était, il ne pouvait s’empêcher de vouloir entendre plus intimement ses murmures d’abandon. Résolument vicieux, il ne pu que renforcer d’autant plus ses caresses sur son membre, le pressant sensuellement contre son aine tandis que ses doigts parcouraient plus intimement leurs peaux, les intimant à se mouvoir continuellement l’une contre elle. Il se sentait bruler d’une appétence sans nom, à tel point qu’il ne pu que prononcer à son tour le nom de son rival en embrassant plus sauvagement son torse. Des attentions qui ne faisaient qu’affaiblir son hôte qui vint enfin lui offrir les mots qu’il souhaitait. Il s’abandonnait à lui, lui donnait enfin l’opportunité de le découvrir, le faire geindre sous sa domination. Des mots qui ne purent que renforcer son appétence de sa chair, le voyant ouvrir d’autant plus ses cuisses pour l’accueillir. Il brulait de désir pour lui et cette réalité l’envoutait et lui plaisait énormément, ne pouvant que sourire coquin tandis qu’il sentait les lèvres du latino se fendre sous ses lèvres. Un baiser fougueux qu’il savoura avec enthousiasme tant la chair du jeune homme se trouvait brulante et emplie de désir. Il avait hâte de découvrir ce corps et le voir atteindre le paradis terrestre tant et si bien qu’il ne pu que sourire glorifié de l’entendre lui murmurer d’aller prendre des préservatifs dans son portefeuille qui se trouvait sur la table. Il lui demandait d’aller les prendre pour pouvoir poursuivre et qu’il n’avait pas intérêt à le faire languir plus que nécessaire sinon cette nuit se terminerait. Des mots qui ne purent que le faire rire de façon mesquine alors qu’il murmurait dans une voix ô profonde et sensuelle.

« Vu l’état dans lequel tu te trouves, je pense plus que tu me supplieras de venir te faire du bien et abréger tes souffrances. Tu es tellement empressé que je vais vite te faire atteindre le paradis, compte sur moi… »

Rompant alors tout contact avec la chair de son hôte, il ne pu que sourire de le voir geindre son impatience. Il vint alors se relever, plus glorifié que jamais en attrapant le portefeuille de son rival, en retirant les préservatifs dans un sourire mesquin, amusée sans pour autant dire mot. Juste son sourire sous entendait la remarque qu’il voulait faire tandis qu’il revenait à sa hauteur pour poursuivre sa torture. Posant les autres préservatifs sur la table, il vint en prendre un entre ses doigts, l’ouvrant avec expérience avec sa bouche pour en sortir le précieux objet, caressant son aine un instant avant de le revêtir, soupirant ce bien être dingue qu’il ressentait à ce fait. Un bien être si profond qu’il vint se mordre la lèvre dans un regard ô ténébreux alors qu’il prenait place entre ses cuisses, ses doigts se mouvant sur ses reins pour l’intimer à adopter une position qui allait lui offrir un angle de pénétration très envoutant tout autant pour lui, obligeant ses jambes à se mouvoir autour de ses reins, souriant glorieux. Morales se trouvait soumis à lui et rien que cette sensation exaltait ses sens tant ce dernier l’avait toujours rendu faible lorsqu’il se trouvait face à son corps nu. Un corps qui l’envoutait toujours autant alors qu’il venait embrasser sa nuque pour la mordiller avec ambition, une de ses menottes s’échouant sur son membre pour la prendre entre ses doigts tandis qu’il le pénétrait enfin, sans le préparer d’une aucune façon. Il n’était pas assez patient pour écarter plus l’instant alors qu’il découvrait enfin son corps, si étroit et à la fois si envoutant. Cette expérience, lui fit un bien considérable alors qu’il exerçait un mouvement sur son intimité au même rythme que ses reins, gémissant son nom dans une voix ô profonde et exalté. C’était si bon qu’il ne pu que soupirer d’autant plus alors qu’il tentait de reprendre contenance, murmurant tout contre son oreille.

« Décontracte-toi, Morales ! Ne pense plus qu’au bien être que mes reins vont te faire… Bientôt tu gémiras si fort que tu pourras plus que me suppliait de te faire encore plus de bien… tout comme ton corps rend fou ma chair. »

Des élucubrations résolument cupides alors qu’il initiait un mouvement de ses reins dans son être, sa main massant l’aine de son amant tandis que l’autre caressait le creux de ses cuisses, près de ses fesses musclées pour renforcer d’autant plus sa fébrilité. Vaniteux ? Il l’était et il était déterminé à lui faire atteindre l’orgasme jusqu’au bout.

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 15:42

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Connaitre le péché de la chair aux côtés de cet amant se trouvait résolument agréable pour le jeune homme. En homme avide qu’il l’était, les corps des femmes et des hommes l’avaient toujours attiré. Depuis son adolescence le jeune homme avait appris à connaitre ce pêché avec tant de femmes et d’hommes, n’ayant en soit pas de raison de ne pas céder. Il savait depuis toujours qu’il n’aurait pas le choix et serait marié à une femme qu’il n’aimerait certainement pas. Rien ne pouvait alors l’empêcher de venir céder à ces pulsions et surtout pas ce corps ô délicieux et si finement musclé qu’il toucherait peut-être pour une unique fois dans sa vie. Le jeune homme comptait bien en profiter alors, se laissant aller tout simplement aller tant son corps ne demandait que cela. Son entrejambe se trouvait déjà bien ferme rien qu’avec ces caresses dont elles étaient victime. Son corps brûlait d’un désir ô puissant à chacun de ces baisers, l’emmenant à prononcer des mots d’abandon, offrant son corps à son rival de toujours. Il n’avait jamais été dominé avec une seule femme et un seul homme mais, en ce jour cela ne le dérangeait nullement tant il n’avait en cet instant que cette solution pour goûter au plaisir de la chair avec cet homme.

Le jeune homme n’avait même pas honte de son comportement lorsqu’il était venu ouvrir ces cuisses pour faire rencontrer leur corps de manière plus intense, venant embrasser ces lèvres de manière particulièrement fougueuse. Ils étaient prêts à s’unir désormais, l’espagnol lui avait alors murmuré d’aller chercher ces préservatifs dans son portefeuille, lui indiquant qu’il n’avait pas intérêt à le faire languir plus que nécessaire. Des mots qui n’étaient que la traduction de son empressement et son envie pour ce corps si parfait. Ces mots était venir faire rire le bel asiatique, murmurant dans une voix particulièrement profonde qu’étant donné l’état dans lequel il se trouvait, il pensait que c’était lui qui viendrait le supplier de lui faire du bien et abrégé ces souffrances. Il se trouvait tellement empressé qu’il lui ferait atteindre le paradis rapidement, il pouvait compter sur lui. Des mots qui n’avaient réussi qu’à enflammer le feu qui possédait son corps, tant impatient de pouvoir goûter au péché de la luxure à ces côtés. Impatient le jeune homme ne pouvait que l’être, sentant son corps frémir alors que le jeune homme s’éloignait de lui pour enfin se saisir de son portefeuille, y sortant alors un préservatif. Le jeune homme ne put que lancer alors un regard sur ce corps nu devant lui, sur ces fesses bien appétissantes et cette chute de rein terriblement séduisante. Il se mordit les lèvres un instant, impatient et dévorant du regard le jeune homme qui venait caresser son aine, enfilant enfin ce préservatif qui signifiait le début de leurs ébats. Il ne fallut que quelques secondes au jeune homme pour venir le rejoindre sur ce fauteuil, venant se placer entre ces cuisses se mouvant pour adopter une position plus confortable tant l’un que pour l’autre. L’espagnol ne put alors que laisser échapper un soupir de bien-être, ressentant à nouveau leurs corps se retrouvant enfin, réanimant ce désir en son être. Baltazar ne put que le dévorer du regard alors qu’il le trouvait particulièrement beau et attirant avec cet air de domination sur le visage.

L’espagnol laissa échapper un gémissement alors qu’il sentait ces lèvres revenir sur sa nuque pour l’embrasser, la mordiller alors qu’au même instant sa main caressait son aine. Néanmoins, la sensation d’être possédé était véritablement nouvelle pour lui qui avait toujours gardé un rôle de dominant et cette première pénétration ne pouvait qu’être signification de souffrance, bien qu’il savait que le plaisir gagnerait sur celle-ci d’ici quelques minutes. Sans aucun doute que le jeune asiatique devait remarquer qu’il se trouvait contracté malgré ce désir cuisant de découvrir le plaisir de la chair. Ce furent ces caresses sur son aine qui lui permirent de se détendre légèrement bien que la douleur restait très présente. Soupirant alors à cet instant le jeune homme ne put que frissonner aux mots de son amant d’un soir. Scott lui murmurait de se décontracter, de ne plus penser qu’au bien-être que ces reins lui procureraient. Bientôt il gémirait si fort qu’il ne songerait plus qu’à le supplier de lui faire encore plus de bien, tout comme son corps rendait fou sa chair. Des mots qui ne pouvaient que l’électriser alors que déjà celui-ci venait initier un mouvement de ces reins. Son corps ne put que se tendre malgré lui, tentant de se laisser aller à cette douce passion et d’oublier cette brûlure. Le jeune homme ne pouvait que s’impatienter de toucher cette luxure, de devenir cette masse gémissante qui ne pourrait que geindre le nom de son amant. Aussi cupide cela pouvait-il être le jeune homme voulait connaitre aux côtés de Scott le pêché de la luxure, connaitre cet amant que bon nombres de jeunes filles semblaient être tombé amoureuse. Cette main sur son aine lui permettant d’oublier cette douleur, comme sa compère qui s’amusant à caresser le creux de ces cuisses, près de ces fesses comme pour le rendre fou.

Ainsi possédé, le jeune homme laissa échapper à nouveau un gémissement de douleur mêlé au plaisir qu’il ressentait, murmurant le nom de son amant. Scott semblait décidé à le rendre totalement fou, réitérant un mouvement de reins en son sein, le laissant progressivement plonger dans ce début de luxure, le jeune homme ferma alors les yeux. Baltazar vint alors rapprocher à l’aide de sa main le visage de son rival pour venir lui voler un baiser langoureux dans lequel le jeune homme se perdit, sentant son corps se réchauffer progressivement. Sans aucun doute que le jeune asiatique pouvait à présent remarquer que le jeune homme se décontracter progressivement, gémissant son nom alors que ces doigts venaient s’agripper avec plus de ferveur aux reins de son amant. Désirant ressentir ce plaisir, comme pour accentuer le contact de leur chair, le jeune homme vint entourer de lui-même les reins de son amant de ces jambes de manière plus encollé. Sans doute paraissait-il bien pressé mais le mouvement de rein qui suivit cet acte vint directement toucher une zone hétérogène de son corps, lui laissant alors échapper un gémissement de plaisir, oubliant presque cette douleur. L’asiatique ayant bien remarqué ce changement vint à nouveau réitérer un mouvement sur cette zone, sans doute voulait-il l’entendre gémir et le supplier de lui faire encore plus de bien. Soupirant le jeune homme vint réellement se décontracter au fur et à mesure permettant un passage plus aisé en même temps que son aine devenait de plus en plus en ferme au contact de cette main qui ne semblait pas vouloir le quitter. Soupirant le jeune homme, vint détacher ces lèvres de celles de son amant pour murmurer simplement : « Scott… continue… »

Ces mots semblaient plaire à son amant, qui dans son regard paraissait fier de pouvoir entendre sortir ces mots de sa bouche. Le plaisir augmentait au fur et à mesure et sans aucun doute que lorsqu’il toucherait réellement sa prostate, d’ici peu de temps, le jeune homme ne deviendrait qu’un massage gémissante qui ne demanderaient qu’à ressentir plus de sensations. Il ne sut exactement combien de minutes s’écoulèrent depuis le début de ces ébats mais, à présent son corps était résolument plus fébrile, l’emmenant à gémir à nouveau tandis qu’il sentait le jeune homme touchait résolument sa prostate avec son aine. Le jeune homme vint alors gémir plus profondément le nom de son amant, resserrant leur étreinte et griffant malencontreusement le dos de son amant. Sa prostate avait été définitivement touché le rendant ô fébrile. La douleur bien qu’encore présente ne comptait plus pour le jeune homme, tant il pouvait enfin toucher des doigts ce début de luxure qui rendait ces reins complètement fous. Il gémit alors « Scott… si t’arrêtes… je te tue…» Peut-être que ces mots étaient exagérés mais en cet instant où il apprenait enfin à connaitre la luxure à ces côtés, le jeune homme ne pouvait tout simplement pas tolérer ce fait, bien qu’en regard de la situation il ne voyait pas Scott arrêté, surtout qu’il comptait le voir gémir son nom et le supplier de lui faire plus de bien.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 15:44

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En toute sincérité, Il ne pouvait que se sentir glorifier de réaliser un de ses plus profonds fantasmes. Quand bien même le bel hispanique n’avait nullement conscience ô combien il se trouvait attiré par lui depuis des années, il n’en restait pas moins que son corps ne pouvait nullement camoufler cette réalité. Lui, qui jusqu’à ce jour n’avait connu que les formes si féminines et sensuelles des femmes, semblait être cruellement cupide de dévorer cet homme aux muscles si bien taillés. Un corps digne d’un dieu qui avait toujours su s’accaparer son regard à cette époque où les hormones étaient en ébullition et qu’il se cherchait sexuellement. Il avait désiré ses reins, ses fesses si musclées et tentatrices qui ne demandaient qu’à le recevoir. Des fantasmes éveillés qui continuaient souvent de le hanter quelques années plus tard lorsque lors d’une réunion, son regard se posait sur sa chute de ses reins, mise en avant par ces costumes hors de prix et terriblement bien cintrés. Il profitait donc de ce plaisir malsain qui s’initiait au creux de sa chair, exaltant tous ses sens alors qu’il venait enfin lui faire l’amour. Au creux de ses reins, son aine semblait être terriblement cupide et impatience, résolument enchanté par la félicité que ce corps lui apportait. Il se trouvait actuellement contracté mais, il ne doutait pas un seul instant qu’il finirait par se détendre, bien trop désireux de connaitre l’extase à ses côtés. Il pouvait le voir au travers de son regard, si brillant, si dévoré par le péché qu’ils étaient en train de commettre. Après tout, quels monstrueux fiancés et époux faisaient-ils en se comportant de la sorte ? Des hommes de la pire espèce mais, ce soir, même cette réalité n’avait nulle importance. Ils étaient deux jeunes hommes, qui découvraient la luxure la plus totale, sans limite, sans implication, telle qu’ils l’appréciaient tous les deux. Il n’y avait pas de place pour de telles pensées que celles-ci et il ne souhaitait nullement leur attribuer le moindre crédit. Il profitait donc de ce plaisir, de cette chaleur qui brulait au creux de ses reins tandis qu’il initiait un mouvement de va-et-vient a la même lenteur que celui qu’il initiait sur l’aine de son amant. Par ce geste lent et langoureux, il désirait donner la possibilité à son hôte de profiter de se présence, du bien être qu’il lui procurait en dépit de la douleur certaine qu’il ressentait.

Impatient, il n’avait pu se maitriser plus longtemps, s’immisçant en lui à sa demande tant ce désir était cuisant pour eux deux. Il ne pu alors que se laisser embrasser par ce dernier, laissant leurs lèvres se mêler avec passion tandis que ses reins initiait de nouveau un mouvement. Cette douleur ne serait que temporaire, il en était persuadé et ce dernier était déjà réceptif à cela, se décontractant peu à peu, à mesure qu’il l’explorait avec passion. Il ne pu que sourire de l’entendre gémir son nom, ses doigts s’agrippant à ses reins comme pour l’inciter à le prendre de nouveau plus intimement. Ce qu’il ne manqua nullement de faire à son plus grand plaisir puisque ce dernier vint enserrer ses reins plus profondément de ses jambes, l’obligeant à se serrer plus fermement contre lui. L’hispanique se trouvait cruellement impatient de ressentir le bien être qu’il allait lui offrir, ne pouvant que s’en féliciter alors qu’il poursuivait ses mouvements cupides. Un nouveau mouvement qui sembla enfin frôler une partie sensible de l’être de son amant d’un soir, le sentant enfin gémir de plaisir. Un gémissement résolument envoutant, plaisant à son oreille qui l’intima à sourire satisfait contre sa nuque qu’il baignait de baisers brulants, sa menotte libre, caressant plus profondément la chair de sa cuisse, laissant ses phalanges la pénétrer dans de légères griffures pour doubler son bien-être. Des caresses qui eurent l’effet désiré puisque son amant n’avait de cesse de soupirer son bonheur, son aine si ferme au creux de ses phalanges qui lui administrait les mêmes soins que la sienne ressentait au sein de ses reins. Il se sentait bruler de bien être au creux de ses reins, se mordant les lèvres pour atténuer le moindre de ses gémissements de se faire connaitre, quand bien même grondait-il au fond de son être. Il se trouvait si ferme qu’il n’avait qu’un seul désir, le découvrir de plus en plus profondément pour découvrir cette partie ô sensible, qui saurait le mener au paradis terrestre. Il se laissa donc embrasser de nouveau avec passion, résolument exalté et satisfait des mots qu’il pu entendre.

Ce dernier lui demandait de continuer, se sentant si fier de l’entendre murmurer ses mots qu’il avait tant rêvé lui voir dire. Sa voix sensuelle attisait son émoi, son appétence alors qu’il poursuivait ses mouvements de reins. Cupide, il n’avait de cesse de dévorer cette partie ô attirable de son hôte qui semblait devenir peu à peu fou. Il n’était nullement en mesure d’identifier depuis combien de temps ils se trouvaient ainsi lotit l’un contre l’autre mais, il n’avait de cesse de s’affermir au creux de ses reins, plus désireux que jamais. Il ne pu que gémir à son tour lorsqu’il sentit les reins de son amant se contracter soudainement tandis qu’il semblait frôler sa proteste, lui apportant un nouveau bien être, qui semblait consumer son hôte. Une partie qu’il vint de nouveau frôler avec avarice, si satisfait de le sentir griffer son dos lorsqu’il le prenait plus fougueusement. Une cadence qui vint s’accélérer à ce fait, doublant d’autant plus son souhait de le voir fou à son contact. Une ambition qui semblait porter ses fruits car il ne pu que sourire narquoisement à sa menace, stoppant tout mouvement de ses reins lorsqu’il se retira un instant de son corps. La frustration qu’il vint lire dans son regard, ce gémissement si merveilleux qu’il entendait, cette expression si envoutante qui le suppliait de continuer, tous ses éléments le rendait fou tandis qu’il le dévorait du regard. Il se mordit la lèvre terriblement avide et pervers, susurrant.

« Tu es sur de toi… tu es sur que tu veux me tuer ? Ou veux-tu que je poursuive comme cela, Morales ! »

A ses paroles ô perverses, il vint de nouveau le pénétrer, de façon bien plus fougueusement alors qu’il gémissait contre ses lèvres, le regardant avec intensité, se nourrissant de l’expression si érotique de son hôte et amant. Une pénétration qu’il vint réitérer de nouveau mais de façon bien moins innocente, dans des gestes plus langoureux et lents que jamais, les atténuant avec des mouvements plus brefs et vifs, qui n’avaient de cesse d’exalter ses sens, ceux de son amant. La vision qu’il lui offrait se trouvait si perverse et érotique qu’il ne pouvait s’empêcher de le détailler avec lubricité, souriant narquoisement de le savoir si excité, si dépendant de ses mouvements, murmurant simplement contre ses lèvres.

« Tu es vraiment érotique à mourir dans cette position, Morales ! Elles ne mentaient pas…tu pourrais exciter n’importe quel homme avec cette expression. Tu m’excites à mourir tant tu sembles prendre ton pied grâce à moi… a tel point que je désire qu’une chose : te faire atteindre l’orgasme de ta vie. Celui que tu ne pourras jamais oublié tant il t’aura fait voyager ! »

Des derniers mots qu’il avait murmuré dans un faible susurre avant de l’embrasser sauvagement et langoureusement, laissant ses reins accélérer la cadence au creux de son être, déterminé plus que jamais à le rendre fou et dépendant de sa chair, à jamais. Cela faisait également parti de ses désirs tout simplement.

   
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Le jeune hispanique n’avait jamais fantasmé d’une quelconque manière sur le fait d’être dominé par Scott, son souhait premier étant l’inverse. Pour lui qui avait tant l’habitude de voir Adam si dominateur et manipulateur, son souhait premier était de le voir dominé par sa personne, réclamant sa présence. Rendre fébrile son amant sous ces gestes et sous son corps était l’un de ces fantasmes… seulement en ce jour, cela n’était malheureusement pas possible, bien qu’il ne pouvait nullement se plaindre réellement de la situation qu’il vivait. Son corps ne pouvait nullement s’en plaindre, son aine prenant de plus en plus de fermeté entre ces mains. Pour lui cette position de dominé était particulièrement nouvelle, n’ayant alors jusqu’alors que dominé des hommes et des femmes. Néanmoins, son corps appréciait tout autant ce traitement si ce n’était plus, son corps s’ouvrant et permettant une pénétration plus aisée à chaque mouvement de rein de son amant. La douleur avait laissé place au plaisir, l’emmenant à agir presque cupidement, entourant ces jambes de son corps pour assurer une meilleure pénétration et un meilleur contact entres leurs reins. Un fait qui lui avait permis sans doute un certain temps après d’enfin sentir sa prostate être cajolé par les reins de son amant, bien que la fougue et la passion d’Adam devait être l’un des éléments clés de ce plaisir monstre qui possédait ces reins.

Faible, il l’était sans aucun doute alors qu’il goutait pour la première fois à ce plaisir malsain d’être possédé et de sentir sa prostate ne malmenait pas l’aine de son amant. Ce furent d’ailleurs ces nouvelles sensations qui l’avaient emmené à griffer son dos et prononcer ces mots menaçant pour la personne de Scott. Seulement, comme à son habitude le jeune homme profita de l’occasion pour le frustrer d’autant plus, stoppant tout mouvement. Baltazar sans réfléchir était venu alors gémir de frustration, lui lançant un regard ô frustré, quémandant à nouveau sa présence en son être tant sa prostate aimait être malmené. Scott en profita alors pour lui demander volontairement s’il était sûr du fait de le tuer, préférait-il peut-être qu’il poursuive ainsi. Le jeune homme ne put alors que gémir à nouveau sentant le plaisir et le bien-être revenir en son sein, fermant les yeux face à l’afflux de plaisir. Baltazar était réellement sensible à ces sensations, devenant si faible face à cet homme ô dominateur.

Son amant aimant résolument le voir ainsi, il rendait ces mouvements plus brefs et vifs, l’emmenant à se mordiller les lèvres, sentant son corps s’échauffer à chaque instant. S’offrant à Scott, le jeune homme venait renforcer à son tour le contact entre leurs deux chairs, enserrant ces jambes contre ces reins tant les sensations qui le traversaient étaient bénéfiques. Il ne pouvait que comprendre à présent ces hommes qui aimaient être dominés. Si à chaque fois ces sensations étaient si bénéfiques, il pourrait bien garder cette place pour devenir cette masse gémissante quémandeuse d’attention, bien qu’il n’abandonnerait nullement l’idée de dominer cet asiatique. Les mots prononcés par son amant ne pouvait que l’emmener à frissonner malgré lui. Il lui était bien impossible de rester de marbre, tant ces mots ravivaient son désir déjà présent. Le regard résolument pervers de Scott se trouvait résolument plaisant.

Ces mots lui paraissaient tout autant l’être alors qu’il lui murmurait qu’il était résolument érotique à mourir dans cette position, affirmant sans doute que ces anciennes conquêtes avaient complimenté ces capacités d’amant. Il lui avoua qu’il pourrait exciter n’importe quel homme avec cette expression. Il l’excitait à mourir tant il semblait prendre son pied grâce à lui à tel point qu’il ne désirait que lui faire atteindre l’orgasme de sa vie, celui qu’il ne pourrait jamais oublier tant il aurait fait voyager. Des mots ô vaniteux qu’il savait pourtant bien véridique alors qu’il se laissait embrasser sauvagement, soupirant de bien-être dans ce baiser tant sa prostate appréciait son traitement. Scott se trouvait si ferme entre ces reins, si cupide malmenant son aine en même temps, à chaque seconde il lui semblait avoir de plus en plus chaud. Souriant alors, le jeune homme vint laisser ces mains se posaient sur ces fesses ô musclées et attirantes, les caressant, les malaxant avec délice, rapprochant leurs corps et lui intimant silencieusement de lui faire subir des assauts avec plus de ferveur, plus de cadence. Soupirant le nom de son amant, le jeune homme murmura alors simplement : « C’est définitivement bon Scott… continue…fais-moi atteindre …ce si fabuleux orgasme … que tu m’as promis… »

Il savait que ces mots particulièrement tentateurs pour son amant mais, ces mots n’avaient été que prononcé pour attiser son désir et sa passion pour son être. Ces mains toujours présentes sur le si beau fessier de son amant, ne cessaient de malaxer ces fesses avec délice. Souriant à son amant, il le dévorait du regard, appréciant ô grandement la possessivité de son amant et son empressement. Néanmoins, il ne put que laisser échapper un gémissement alors que Scott revenait en son sein de manière plus fougueuse. Plus les minutes avançaient, plus il lui semblait que plus rien n’existait autour de lui si ce n’était son amant et l’affection sauvage qui lui offrait. Son corps se trouvait définitivement sensible au jeune homme, l’obligeant à se montrer si faible entre ces bras. La tête légèrement penchée en arrière, le jeune homme crut défaillir alors qu’il sentait les lèvres mordiller sa nuque avec amusement. Gémissant à nouveau, le jeune homme vint pencher un plus son visage en arrière alors qu’il se sentait faiblir à chaque instant, sentant sa prostate et son aine devenir ô combien ferme. Il ne sut combien de temps se déroula mais il sentait son corps faiblir à chaque seconde, sans doute que Scott avait dû s’en rendre compte. Peu importe l’image qu’il pouvait donner de lui, seul l’importait d’enfin pouvoir toucher cette luxure au côté de cet amant d’un soir. Souriant à son amant de bien-être il murmura simplement alors qu’il sentait qu’il atteindrait le paroxysme d’ici quelques minutes : « Scott … je ne vais pas tenir longtemps… à ce rythme… c’est si bon… »

Comme pout continuer à le taquiner, le jeune homme sentit son amant s’arrêter subitement, l’emmenant à gémir de frustration alors qu’il était si près de cette luxure. Soupirant, il vint ouvrir les yeux et lancer un regard rempli de frustration à son amant, bien qu’on puisse y voir ces pupilles dilatés de désir. Un manège qui dura un temps bien trop long à ces yeux alors qu’il revenait en son sein avec lenteur comme pour l’empêcher d’atteindre si aisément cette luxure. Baltazar vint alors prononcer d’une voix presque désespérée, bien trop frustré d’être si près de la luxure alors : « Scott …plus vite… je ne demande que ça… ». Peu importe s’il paraissait faible, peu importe s’il avait l’impression d’être presque désespéré mais il s’en fichait pour vu qu’il atteignait enfin cette luxure qu’il ne connaissait que partiellement. Sans s’en rendre compte consciemment, il venait de lui-même caresser ces fesses et accentuer le contact entre leurs chairs, renforçant le contact de leurs corps alors qu’avec ces jambes enserré autour de ces reins, il serrait leurs corps, venant s’empaler lui-même plus rapidement sur son intimité. Le jeune homme se sentait partir dans ce doux pécher… il lui suffisait simplement de quelques mouvements alors pour atteindre cet orgasme qui lui ferait oublier tous ces amants jusqu’alors.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 16:13

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La vision que lui offrait son amant du jour, se trouvait si perverse et érotique qu’il ne pouvait s’empêcher de le détailler avec lubricité tant il le trouvait désirable au possible. Cette vue, il en avait tellement rêvé dans ses songes les plus inavouables qu’il ne pouvait que se sentir exalté de la voir se réaliser sous ses yeux. L’appétence qu’il avait toujours eu pour cet homme, qui se trouvait sous son corps, résolument faible à ses attaques taquines, l’avait toujours cruellement troublé, le rendant si intrigué par sa personne. Être en mesure de satisfaire ses pensées lubriques, réaliser un de ses fantasmes avec lui, était résolument envoutant. Il ne pouvait que se sentir glorifier de le sentir si cupide, si impatient sous ses reins, quémandeur de ses attentions et caresses, ses baisers et morsures, qui semblaient le rendre dingue. Il appréciait cette fébrilité qui semblait vivre au sein des reins de sa victime, mendiant bien d’autres mouvements dans son sein pour connaitre ce bien être profond de la luxure. Tant d’éléments qui ne pouvaient que l’exciter à son tour, se sentant si ferme au creux de ses reins, désirant ressentir des sensations plus intenses que celles qu’il vivait à cet instant. Il n’avait donc pas hésité à lui en faire part, lui murmurant cette vérité qui l’ébranlait, lui avouant qu’il l’excitait à mourir tant il prenait son pied grâce à lui. Des paroles ô vaniteuses qui se trouvaient pourtant véridique, lisant dans ses prunelles toute l’agitation que son corps provoquait en son être. Il était son premier amant en tant que dominant, tout comme il se trouvait être son premier en tant qu’amant masculin, et ce dernier semblait savourer cette position qu’il lui faisait connaitre. Un détail, qui ne pouvait qu’affermir son désir de le rendre fou de ses reins, au point d’en faire sa victime.

Conquérant par nature, il aimait voir ses amantes, le voir devenir accro à ses reins, à son corps tant cela apportait une fierté sans nom. C’était cruellement envoutant de se savoir si cruellement désiré, être en mesure d’offrir la jouissance à ses partenaires comme jamais. Il aimait le sexe depuis qu’il y avait gouté avec l’une des danseuses de son école et il ne semblait jamais s’en lassait, encore moins au creux des reins de cet homme qui lui faisait vivre des sensations méconnues. L’étroitesse de ses reins, la chaleur qu’il éprouvait au sein de ce corps si envoutant et accueillant, tant d’éléments qui ne pouvaient que le certifier d’une chose : il était enchanté d’avoir pu gouter à ce fantasme, désirant y céder de nouveau mais en tant que le bel inconnu du jeune homme. Si Baltazar voudrait le revoir à la suite de cette nuit pour revivre cet instant magique, qu’il vivait pleinement à ses côtés, il devra être le premier à céder à ses désirs. Un jeu malsain qui l’amusait déjà sans même l’avoir débuté, ses reins se mouvant de façon torride dans ses reins, souriant de le voir malmené ses fesses, cupide de sentir leurs reins se rencontrer plus fougueusement. Des rencontres qui l’envoutaient cruellement alors qu’il ne se gênait plus pour les parcourir avec passion et empressement, souriant toujours de façon mesquine à l’entente de ses paroles. Il s’abandonnait totalement à lui pour connaitre cet orgasme qu’il lui promettait de faire vivre, y trouvant résolument cette félicité qui l’étreignait depuis qu’il avait commencé à lui faire l’amour. Des paroles ô tentatrices qui ne purent que le rendre d’autant plus cupide, ses reins se mouvant plus fougueusement à sa chair, conscient de toute l’excitation qu’il provoquait en l’être de l’hispanique, tant son corps s’était détendu à sa présence. Un fait qui ne pu qu’accroitre cette fierté qu’il éprouvait de le sentir si faible face à lui, poursuivant ses attentions sauvages et cupides au sein de son être, ses lèvres venant mordillée de façon taquine sa nuque pour doubler son agitation, son bien être. Un fait qui sembla avoir l’effet voulu, le voyant devenir si cupide, si érotique que jamais, renforçant d’autant plus la fermeté de son aine au creux de ses doigts comme la sienne, qui se trouvait au creux de son être. Souriant satisfait, il vint continuer ses attaques sur sa chair, le voyant plus exalté que jamais, désireux de connaitre ce bien être vital tandis qu’il lui avouait qu’il n’allait pas tenir très longtemps à ce rythme, ces sensations se trouvant si bonnes. Ce gémissement qui s’extirpa de ses lèvres, le fit devenir plus sauvage dans ses actions, plus cupide que jamais avant de les stopper totalement, désireux d’intensifier cruellement cette extase qui arrivait peu à peu. Un geste de sa part qui eut l’effet désiré, voyant son amant le regardé avec frustration, son regard dilaté par le désir qui se trouvait au sein de son être. Il le suppliait du regard et Adam se sentait plus glorieux que jamais, satisfait de le sentir si avide de le sentir plus fougueusement dans son être. A ses mots, si suppliants et excitables à ses oreilles, il ne pu que sourire ravi et de façon mesquine de le sentir caresses ses fesses pour l’obliger à le pénétrer de nouveau, se mouvant de lui-même sur son membre qui savourait pleinement ce bien être, murmurant contre son oreille, dans une voix ô sensuelle.

« Eh bien, tu me sembles cruellement impatient, Morales ! Pourtant, n’est ce pas mieux de se faire languir pour s’abandonner plus fortement par la suite ? Désolé, mais j’ai encore envie de m’amuser avec toi ! »

Des paroles ô perverses, tandis qu’il se retirait de lui lentement à la même lenteur que prodiguait ses phalanges sur son aine. Un geste qui ne fit qu’accroitre la frustration de son amant qu’il sentit geindre d’impatience, tout autant que lui tant il se trouvait tout aussi cupide. Il avait envie de se laisser aller à son tour mais ne pouvait s’empêcher de vouloir l’entendre geindre son appétence. Il réitéra l’action de nombreuse fois juste pour augmenter cet émoi en leurs êtres avant de laisser ses hanches se mouvoir de façon torride contre le bassin de son amant, laissant cette fois-ci ses pulsions prendre le plein contrôle de son corps. Impatient et résolument excité plus que jamais, ses mouvements se firent fougueux et sauvage, ses lèvres mordillant la nuque de son amant dans des gémissements profond, sa menotte libre griffant sa cuisse tandis qu’il le sentait plus fébrile que jamais. C’est donc dans un râle ô puissant qu’il le sentit atteindre son orgasme, son être se cambra fougueusement contre son torse au même rythme que ce bien être l’étreignait. Tout contre ses phalanges, il sentit la jouissance de ce dernier se répandre sur son bas-ventre tandis qu’il venait faire de même, son corps satisfait d’avoir été en mesure de lui faire vivre cet instant. Une extase résolument envoutante dans laquelle il était venu l’embrasser sauvagement pour ne pas geindre sa jouissance, tant il se sentait bien au creux de son être. Des mouvements qui ne s’interrompit pas un instant, savourant ce bien être profond qu’il éprouvait au sein de ce corps quand bien même l’avouerait-il jamais. Il vint donc se mouvoir quelques minutes de plus, sa menotte libre venant se glisser entre leur deux corps pour venir se poser à la base de son intimité, maintenant le morceau de latex tandis qu’il s’efforçait de se retirer en lui, difficilement. Il vint soupirer son émoi de le quitter, s’éloignant de lui pour retirer son préservatif, son membre encore bien frémissant tant le plaisir avait été intense, reprenant ses sens comme ce beau hispanique qui se trouvait sous son regard. Désireux de le rendre fou, c’est donc tout naturellement qu’il vint glisser sa main sur son aine pour la caresser de nouveau, lui permettre de finir de profiter de ce bien être vigoureux qu’ils ressentaient. Il vint donc l’embrasser de nouveau dans un sourire enchanté et glorieux, murmurant faiblement contre ses lèvres dans une voix ô sensuelle, son corps se mouvant contre sa chair pour profiter de sa chaleur exaltée.

« Alors, Morales, dis-moi ? Tu as pris ton pied ? »

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 16:17

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Atteindre l’orgasme aux côtés de cet amant, le jeune homme ne souhaitait plus que cela à présent qu’il était si près de l’atteindre. Sa prostate si bien maltraitée par son amant était à chaque instant de plus en plus fébrile, rendant son aine si ferme alors même qu’Adam la caressait de sa main. Les gémissements qui s’extirpaient de ces lèvres en était bien la preuve. Cupide, le jeune homme voulait enfin approfondir le contact de leur chair, sentir ces reins venir le pénétrer de manière encore plus fougueuse, plus langoureuse. Impatient, le jeune hispanique était venu de lui-même caresser ces fesses, effectuer une pression sur ces reins pour venir se mouvoir lui-même sur son aine, savourant le contact de leurs chairs dans un énième gémissement. Les mots de son amant ne lui plurent nullement, il se trouvait cruellement impatient et le fait de savoir que son bel asiatique comptait à nouveau le faire languir ne lui plaisait nullement. Le jeune homme avait encore envie de s’amuser avec lui et donc de le frustrer continuellement, un fait qui ne pouvait que lui déplaire. Baltazar lui lança alors un regard rempli de frustration alors qu’il se retirait de sa chair gémissant son émoi.

Ainsi, durant de nombreuses minutes le jeune homme vint le pénétrer de manière frustrante, le quittant aussitôt. Des mouvements ô combien frustrants pour le jeune homme qui ne désirait qu’approfondir le contact de leur chair. Un souhait qui vint se réaliser à son plus grand bonheur, se mouvant en son sein de manière plus torride, résolument ravi de voir sa prostate à nouveau maltraité de manière plus fougueuse. Ces gémissements ne purent que s’accentuer alors, un sentiment de bien-être étant de plus en plus présent en son sein, l’emmenant à participer à son tour à ces mouvements de reins de plus en plus puissants. Il n’eut pas à attendre longtemps avant qu’il ne sente le plaisir augmentait, ces mains sur son corps l’emmenant à frissonner à chaque instant un peu plus, tout comme ces mordillements sur sa nuque. Sans aucun doute qu’il aurait pendant de nombreux jours les traces de cette nuit sur son corps fabuleuse aux côtés de cet amant, sans doute cela était-il même fait exprès pour ne pas qu’il l’oublie.

Ce fut un dernier mouvement qui vint le faire faillir et lui faire connaitre enfin cette douce luxure, un bien-être qui transcenda tout son corps, laissant échapper un râle ô puissant. Ainsi, il vint se cambrer subitement, serrant plus fortement le corps de son amant, fermant les yeux. Il ne put qu’être ravi de ressentir son amant atteindre la jouissance à ces côtés alors qu’il venait l’embrasser, répondant avec délice à ces lèvres qu’il trouvait ô attirantes. Son corps ne pouvait qu’apprécier le fait que le jeune homme ne semblait pas vouloir quitter son corps malgré la jouissance, touchant encore avec ces mouvements de reins cette prostate si bien cajolé par son aine. Bien qu’ils venaient de connaitre cette luxure, le jeune homme ne refuserait nullement de continuer cette nuit tant ces instants lui avaient paru si agréables, son corps appréciant ce doux traitement.

Néanmoins, celui-ci vint quitter son sein avec lenteur à son désarroi, enlevant alors le préservatif de son aine progressivement. Baltazar vint profiter de ces instants pour reprendre son souffle bien qu’il ne dirait nullement non à une poursuite d’ébats tout aussi rapidement. Ce sentiment se trouvait tout autant réciproque à première vue alors qu’il sentait l’une des mains de son amant se choir sur son aine pour venir la caresser à nouveau, l’emmenant à laisser échapper un doux soupir de bien-être à nouveau, son corps appréciant ce traitement. Il vint répondre avec délice au baiser de son amant, un baiser résolument envoutant pour le jeune homme qu’il était. Le contact de leurs corps à nouveau rapproché ne put que lui plaire, bien que la question de son amant lui paraissait ridicule, mais non sans sens connaissant sa personnalité. S’il avait pris son pied ? La réponse était bien évidement positive, ne venait-il pas d’atteindre la jouissance et ne sentait-il pas son aine reprendre déjà forme entre ces doigts ? Le jeune homme bien fébrile vint alors murmurer, lui lançant un regard presque taquin : « Tu oses poser la question ? La réponse ne parait-elle pas évidente, ne crois-tu pervers ? » Baltazar vint alors embrasser ces lèvres dans un langoureux baiser, plaquant leurs corps l’un contre l’autre, venant caresser ces reins avec envie, gémissant malgré lui alors que son amant semblait ne pas le laisser en paix dès lorsqu’il ne prononcerait pas les mots attendus. Venant écarter un instant ces lèvres des siennes, le jeune homme murmura comme pour ne pas oublier son souhait premier : « Que dirais-tu d’inverser les rôles cette-fois ci ? Ne suis-je pas après tout un bon amant ? »

Souriant à ces mots, ayant l’espoir de réaliser son doux fantasme le jeune homme vint coller leurs corps à nouveau, les rapprochant à l’aide de ces mains. Comme pour venir appuyer ces propos, le jeune homme vint déposer sa main sur la base de son aine à son tour, y effectuant un léger mouvement de poignet, souriant alors qu’il sentait celle-ci reprendre forme entre ces doigts. Son amant n’était définitivement pas contre un second tour, peut-être même plus… ils étaient jeunes et détenaient des corps vigoureux, ils pouvaient profiter du corps de l’un et l’autre jusqu’au lendemain, sans aucun soucis. Il en avait le souhait en tout cas, caressant continuellement cette aine, soupirant lui aussi aux caresses de Scott qui ne le laissait pas vraiment insensible. Se mordant les lèvres en raison de l’accélération de ces caresses sur ces reins, le jeune homme tel un désespéré vint prononcer : « Scott… qu’en penses-tu ? » Souriant, il vint lui lancer un regard particulièrement envoûtant et pervers, après tout il se devait de convaincre un dominateur qui ne semblait pas vouloir céder sa place. Abandonnant ces lèvres, Baltazar vint à présent embrasser sa nuque, la mordiller simplement, caressant son aine qui prenait de nouveau la vigueur progressivement. Baltazar prononça d’une voix envoutée : «mmm… il me semble que ton corps a l’air d’apprécié ce traitement n’est-ce pas ?»

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 16:19

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La chair encore fébrile par l’extase qu’il venait de vivre, Adam ne pouvait nier qu’il se trouvait d’autant plus cupide vis-à-vis du corps qui se trouvait offert à ses yeux. Le paradis terrestre avait été plaisant, envoutant à ses côtés et il était évident qu’il ne dirait pas non pour réitérer immédiatement l’opération. Après tout, ils se trouvaient jeunes et l’un autant que l’autre, trouvait dans le sexe, une façon ô enchanteresse de fuir la réalité du quotidien, à un moindre cout. Du mois, c’est ce qu’il pensait sincèrement alors que ses lèvres embrassaient de nouveau celles de son amant de la soirée, désireux de le voir encore plus fébrile sous ses doigts. L’hispanique éveillait ses instincts de domination bien plus furieusement que les autres. Il aimait cette lueur lubrique dans les prunelles si exaltés de sa victime, qui semblait désireux, tout comme lui de profiter de cette soirée de luxure jusqu’au bout. Son aine entre ses doigts semblaient de nouveau prendre forme au fur et à mesure que son poignet venait la taquiner, mesquin à l’idée de la sentir de nouveau cupide. Ses mots transposaient cette perversité que ses gestes exprimaient. Il avait envie qu’il réponde à sa question par pure mesquinerie et parce qu’il était intimé qu’il serait d’autant plus érotique en les avouant.

Seulement, le jeune homme ne sembla nullement disposé à accéder à sa demande, lui murmurant simplement dans un air taquin qu’il osait lui posait la question ? La réponse lui paraissait évidente ne le pensait-il pas aussi, pervers qu’il était. Des paroles véridiques qui ne purent que le faire rire délicatement alors qu’il le sentait l’embrasser langoureusement, plaquant son corps contre le sien. Encore une invitation à poursuivre cette luxure dans laquelle il succombait l’un et l’autre tandis qu’il sentait les doigts cupides de son hôte caressaient ces reins. Des actes qui ne pouvaient que le ravir alors qu’il accentuait ses mouvements sur son intimité, désireux de la voir s’affermir d’autant plus. Son gémissement ne pu que le satisfaire quand bien même ce dernier ne suffisait pas à ravir sa perversité, ses doigts continuant leur pénitence, déterminé à lui faire avouer cette réalité qui ne pouvait être rejetée. La suite de ses paroles ne purent que l’amusait tandis qu’il le sentait se retirer de ses lèvres pour lui demandait d’inverser les rôles cette fois-ci puisqu’il avait pu constater qu’il était un bon amant. Des paroles qui ne purent que le faire rire mesquinement, nullement disposé à réalisé le fantasme de son compagnon, qui semblait nullement oublier qu’il désirait à son tour le dominer. Une idée amusante en soit tant elle se trouvait improbable, ce dernier essayant en vain de l’en persuader. Il sentit donc très rapidement ses doigts se mouvoir à la base de son aine pour y effectuer un léger mouvement de poignet qui vint la rendre plus vigoureuse. Il avait encore envie de lui, il ne pouvait le nier mais ce désir était partagé sans nul doute. Cette excitation qui l’habitait de nouveau, vint l’intimer à accélérer la cadence des ses caresses sur son aine, son autre menotte caressant de nouveau ses fesses, y glissant ses phalanges au creux de cette dernière pour s’assurer de l’état de sa victime. Sensible à ses caresses, ce dernier tentait en vain de nier l’évidence, s’efforçant de le rallier à sa cause sans y parvenir. Quand bien même ses regards, ses baisers et morsures éveillaient sa chair, il n’était nullement disposé à se laisser dominer. Pourquoi ? Tout simplement parce que c’était bien plus agréable de se faire désirer de la sorte et dans une certaine mesure, il laisserait planer assez de mystère pour pouvoir être l’objet de ses désirs encore longtemps. En effet, son corps semblait apprécier son traitement mais le sien l’était tout autant tandis qu’il souriait à sa remarque, murmurant dans une voix mesquine.

« T’es juste hyper mignon à vouloir me faire céder, Morales ! Mais, désolé ça ne marchera pas. »

Venant renforcer sa poigne autour de son aine, il vint à son tour la caresser plus fermement, ses lèvres venant mordiller l’oreille de son amant d’un soir pour laisser son souffle brulant effleurer cette dernière pour rendre son être encore plus cupide, sentant son intimité réagir à ce simple fait. Poursuivant son expérience, il vint abandonner son exercice un instant pour mouvoir ses phalanges sur ses reins, ses fesses pour l’intimer à retrouver son bassin, forçant la main de ce dernier à sentir sa propre aine contre sa chair. Un geste résolument pervers qui ne pu que s’accentuait alors que ses doigts caressaient l’intérieur de ses fesses avec appétit, murmurant sensuellement contre son oreille.

« Seulement, je préfère ce beau fessier qui semble résolument enchanté par mes caresses. » Mordillant alors son oreille tandis qu’il laissait son souffle se fendre au creux de cette dernière, c’est dans le même temps qu’il poursuivit. « Et si, nous coupions la poire en deux, Morales ? Tu me laisses te faire l’amour de nouveau mais en échange, tu auras la satisfaction de me dominer. Je te laisserai même me frustrer autant que tu le souhaites. ça me semble être un bon compromis, n’est-ce pas ? »

Souriant sournoisement à cette idée qui ne pourrait que satisfaire l’homme cupide qu’il était, il laissa délicatement sa langue caresser le lobe de cette oreille avant de la quitter, mordillant la peau qui se situait un peu plus bas, ajoutant simplement dans une voix ô coquine.

« Le lit sera sans doute un endroit idéal pour poursuivre cette expérience mais, nous pouvons tout aussi bien arrêter tout cela, être de nouveau sage, mais, tu risques d’avoir besoin de prendre une douche pour calmer tes ardeurs, tu sembles avoir cruellement chaud, je me trompe, mm ? »

Laissant sa voix en suspens, ses doigts vinrent d’autant plus caresser les magnifiques formes de ses reins avec appétence, sentant ses phalanges frôler cette partie qui n’avait plus de mystère pour lui mais, qui continuait tant à l’envouter. Mordillant alors plus fortement la chair qui se trouvait contre ses lèvres, il vint d’autant plus le coller à lui, le laissant réfléchir à ce qu’il désirait vraiment : connaitre le plaisir charnel où devoir finir seul. C’était à lui de choisir. C’est donc tout naturellement qu’il vint stopper la moindre de ses caresses, de ses baisers pour se retirer de lui de façon sournoise, se levant du canapé pour prendre entre ses doigts l’emballage d’un préservatif non usé, lançant simplement dans une voix si présomptueuse qu’elle aurait du le faire rougir.

« Alors, que décides-tu Morales ? »


   
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Dominer cet homme, le jeune hispanique n’avait que ce souhait à présent qu’il avait goûté au plaisir de la chair aux côtés de cet amant si désireux de son corps. Ces instants n’avaient pu qu’être bénéfiques pour le jeune homme, souhaitant goûter à nouveau à ce bonheur terrestre en échangeant leurs rôles respectifs. Ainsi, la question de son amant n’avait pu que lui paraitre ridicule, les deux connaissant bien la réponse vu qu’il avait été le premier à rendre les armes. Sa réponse n’avait pu qu’amuser son amant bien qu’il était venu embrasser et répondre à son baiser avec une envie non dissimulée, laissant ces mains caresser ces reins et son aine. Néanmoins, comme il avait pu le deviner, le jeune homme ne songeait nullement lui laisser cette place de dominé, appréciant bien trop celle-ci pour lui laisser la possibilité de le dominer ne serait-ce qu’une fois. Une idée qui ne pouvait que lui déplaire lui qui souhaitait tant voir son souhait réaliser en ce jour, songeant que cette nuit risquerait d’être la seule à ces côtés. Ainsi, même si cela paraissait peut-être un peu désespéré, le jeune homme était venu murmurer des mots dans l’unique but de le convaincre de céder à la tentation.

Comme pour venir faire abandonner ces pensées, son amant était venu raffermir sa poigne sur son aine, laissant sa main libre caresser de nouveau ces fesses qui avaient été si bien traité quelques minutes auparavant. Ces baisers et ces morsures sur sa chair ne semblèrent nullement convaincre son amant à son plus grand désarroi. La réaction de son amant ne put que continuer à le contrarier, lui avouant qu’il était mignon à vouloir le faire céder mais que cela ne fonctionnerait nullement avec lui. A ces mots, Baltazar ne put que venir lui lancer un regard contrarié, souhaitant tant réaliser son doux fantasme en cette nuit. Néanmoins, comme pour enlever sa frustration le jeune homme renforçait sa poigne autour de son aine, le caressant plus fermement. Ces lèvres n’étaient nullement inactives, mordillant son oreille. Face à ces gestes, le jeune homme ne put que frissonner simplement, sentant son corps se réchauffait à nouveau et son aine reprendre forme et devenir plus ferme. Baltazar ne put que se sentir plus fébrile alors que le jeune homme avait lâché son aine à présent, collant leurs corps à nouveau, leurs bassins lui permettant de ressentir son aine devenu plus ferme en peu de temps. Les doigts d’Adam étaient résolument coquins en cet instant, venant caresser l’intérieur de ces fesses avec appétit, frôlant cette partie sensible de son être.

La voix sensuelle d’Adam ne put nullement l’aider à calmer son envie de ce corps, surtout pas alors qu’il lui murmurait qu’il préférait ce beau fessier qui semblait résolument enchanté de ces caresses. Le souffle de son amant sur son oreille ne lui permit nullement d’être véritablement serein, ni d’une quelconque manière plus calme. La proposition du jeune homme se trouvait résolument plaisante. Après tout, il lui proposait de lui laisser faire l’amour mais de manière dominante, supposant bien entendu une position plus qu’alléchante, l’ayant vécu plusieurs fois aux côtés d’autres amants. Enfin, il supposait en vue de ces minutes écoulées au coté de son amant, que ces instants de luxures seraient bien plus qu’agréables. Néanmoins l’idée de voir son fantasme encore s’éloigner de lui ne lui plaisait nullement mais, atteindre l’orgasme à nouveau dans les minutes qui allaient suivre lui plaisait tout autant. Comme pour le faire céder, son rival vint approfondir ces caresses, sa langue caressait son lobe l’oreille, comme pour le taquiner. Ces mordillements ne lui permirent nullement de calmer ces envies malsaines. Alors qu’il n’avait même pas donner son point de vue, le jeune asiatique vint murmurer que le lit serait sans doute un endroit idéal pour poursuivre leurs expériences.

Mais, s’il voulait, ils pouvaient arrêtez cela, être sage à nouveau. Néanmoins, il risquait de prendre une douche pour calmer ces ardeurs, celui-ci paraissant avoir cruellement chaud. Le jeune homme ne se trompait nullement, surtout pas alors que son corps ne souhaitait que ressentir à nouveau ce bien-être. Voyant son amant s’éloigner de lui, le jeune homme ne put que le dévorer du regard tant il le trouvait magnifique et particulièrement ces fesses ô agréables et désirables. Il reprit alors quelque peu sérieux, ne souhaitant nullement qu’Adam profite plus de la situation en le voyant si fébrile, bien que son regard ne pouvait nullement faire comprendre le contraire. Comment devait –il agir en cet instant pour ne pas paraitre totalement manipulé par cet homme ? Devait-il céder ou ne pas céder à la tentation de ce corps ô incroyablement sexy sous ces yeux ? Se mordant les lèvres malgré lui, il vint regarder son visage avec cet air ô manipulateur qui le rendait bien fébrile en ce jour. Que pouvait-il dire à cet instant ? Il ne savait pas, son esprit lui empêchait de penser sereinement. C’est à cet instant qu’il décida alors d’agir plutôt que de parler, sachant que de toute manière il avait perdu face à la domination de cet être machiavélique. Se levant alors, offrant une vue plus qu’agréable à son amant sur son corps musclé. Ne laissant nullement le choix à son amant, il vint à sa hauteur, plaquant alors le corps nu, venant embrasser ces lèvres fougueusement et avec une envie certaine. Sa main vint s’égarer sur le corps de son amant, caressant ces reins et son dos, effleurant ces fesses avec envie. Peu importe sa raison, peu importe l’image qu’il donnait de lui, le jeune homme souhaitait dévorer cet homme et reconnaitre le plaisir de la luxure, son corps souhaitant à nouveau atteindre cette extase. Ainsi, devenant presque dominant, le jeune homme vint entrainer en direction de son lit son amant, l’embrassant et caressant ce corps de manière presque fougueuse. Lui lançant alors un regard particulièrement fébrile, il le renversa sur le lit, venant alors le surplomber. Embrassant le jeune homme à nouveau, venant mordre ces lèvres il vint murmurer d’une voix suave : « Ma réponse te convient ? »

Souriant à ces mots, il vint embrasser à nouveau cette nuque avec fougue, caressant ce torse ô désirable. Il souhaitait goûter à nouveau la luxure à ces côtés même s’il allait être dominé à nouveau. Peu importe, les sensations qu’il avait ressenti étaient bien trop agréable pour ne pas les ressentir juste par orgueil. Peu à peu ces baisers vinrent se perdre sur ces bouts de chairs, n’ayant qu’un souhait celui de voir son amant le réclamer malgré lui, demandant toujours plus de contact entre leurs chairs. Sa main se posa alors sur la cuisse de son amant, la caressant avec une envie certaine, frôlant son aine volontairement. Il ne résista nullement longtemps avant de s’en saisir, étant bien trop cupide pour être sage. Il susurra alors d’une voix suave à nouveau, lançant un regard ô captivé à son amant : « Alors Scott ? » Murmurant ces mots, il vint se saisir à nouveau de son aine avec plus de fermeté. Ces lèvres vinrent reprendre contact entre leurs chairs, embrassant ce torse, mordillant ces bouts de chairs, cupide qu’il était.

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 21:47

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En agissant de la sorte, en frustrant son amant de la soirée, Adam ne cherchait qu’à parvenir à ses fins. Cela faisait bien trop d’années qu’il avait rêvées de ce corps, l’étreignant de mile et une façon tant le désir qu’il éprouvait à son égard se trouvait profond. Sans doute, était-il le plus faible entre les deux même si le jeune homme hispanique ne pouvait nullement le supposer. Il n’avait jusqu’à ce jour, jamais ressenti de désir pour aucun homme et pourtant il se trouvait si ferme par de simples baisers, caresses de sa part. Il mourrait d’envie de lui faire l’amour, de découvrir de nouveau son corps, fusionner avec sa chair si bien musclées qui l’envoutaient. Il ne pouvait cependant pas s’empêcher de jouer la comédie, d’abandonner son rôle de « connard » pour être un amant quelconque. Il voyait dans le regard de cet homme que sa désinvolture, son arrogance n’avait de cesse de le pousser à bord, le rendre tout autant cupide. Ce soir n’était qu’une partie de jambes en l’air entre deux hommes assoiffés d’ébats fougueux et pourtant ils n’étaient nullement indifférents l’un à l’autre. Sans doute était-il bien pervers de lui proposer une telle chose, une position si intime et décadente mais elle le faisait fantasmer. Il ne doutait nullement que le jeune latino serait magnifique au dessus de lui, cherchant à le taquiner assez pour vivre de nouveau l’extase à ses côtés. N’étaient-ce pas après tout ce qu’ils désiraient tous les deux ? Il avait donc souhaité le persuader au sujet de sa requête pour la suite de la soirée. Si ce dernier ne désirait point lui offrir l’opportunité de le trouver plus érotique que jamais, il accepterait et ils en arrêteraient là.

Son arrogance apportait cependant un tout autre message dans un ton plus narquois et présomptueux. Il en avait cruellement conscience et en jouer à cet instant. Cela était beaucoup plus simple de lui attribuer toute la perversité que prenait cette soirée. C’était lui, qui était venu l’embrasser, lui qui avait initié les premières caresses, lui qui avait proposé qu’ils fassent l’amour ensemble. Il était responsable de cette décadence de sa chair et ne pouvait s’en plaindre, du moins si on observait la scène de l’extérieur. D’un point de vue interne, il était celui qui avait tout imaginé : sa tenue légère à la sortie de la douche, ce touché délicat de son genou contre le sien, l’effleurement de ses doigts sur la peau nue de son amant. Il avait même initié les sous-entendus tentateurs depuis le début. Tout cela n’avait eu que pour unique but que de le séduire, accéder à ce fantasme qu’il pouvait réaliser en ce jour. Loin des yeux du monde, ils pouvaient enfin le faire sans craindre le qui dira-t-on tant ils étaient deux inconnus aux yeux de bons nombres de personnes dans ce pays. Il désirait donc poursuivre et son amant semblait tout autant déterminé à vivre cette soirée de déchéance jusqu’au bout. Le préservatif non déballé à la main, il le détaillait avec attention, attendant la moindre de ses réactions, curieux de voir ce qu’il allait décider. Ce dernier semblait mécontent du traitement qu’il lui faisait subir et pourtant son regard n’avait de cesse de dévorer sa chair, sans doute lui offrait-il une vue magnifique, celle d’un amant cupide et impatient de découvrir le plaisir en sa compagnie.

C’est donc dans un sourire triomphant qu’il le vit se lever à son tour, lui offrant une vue ô envoutante qui lui plaisait énormément. La fougue du jeune homme ne pu que l’enflammer à son tour, son corps appréciant ô résolument le contact de son amant contre le sien, il se laissa embrasser fougueusement avec empressement. Ce léger intermède dans leur ébat semblait avoir enflammé cet homme qui n’hésitaient pas à le caresser furieusement, ses doigts se mouvant sur la moindre partie de sa chair, plus cupide que jamais. Enchanté et résolument ravi de voir que son amant accepté de répondre à son fantasme ô pervers, il se laissa faire entre ses doigts, les siens s’échouant sur ses belles fesses qu’il malaxait avec impatience d’une seule main, l’autre tenant toujours entre ses doigts l’objet de raison. Il avait hâte de pouvoir le revêtir de nouveau pour découvrir de nouveau ses reins, y atteindre le paradis de nouveau.

C’est donc tout naturellement qu’il vint se laisser choir sur les draps du lit de la suite, regardant son amant venir à sa hauteur pour l’embrasser de nouveau avec fougue, lui murmurant si sa réponse lui convenait. Des mots qui ne purent que renforcer son sourire narquois alors qu’il se laissait mordiller les lèvres sans dire mot. Que répondre à cela, si ce n’est qu’il le trouvait particulièrement impatient et cupide, déterminé à le rendre fou ? Ceci se voyait rien que dans son regard et dans ses gestes, lui se contentant simplement d’être ainsi dévoré par les lèvres et phalanges de son amant ô fougueux. Il sentait sa chair s’enflammer, son aine devenant plus ferme entre les doigts de ce dernier, sa poitrine se comprimant face aux frisons dont sa chair était victime. Cependant outre ses faits externes qui prouvaient sa fébrilité, aucun son ne s’échappa de sa cage thoracique tant il les régulait, se mordant délicatement les lèvres, terriblement désireux d’en ressentir d’autant plus. A sa question, il ne pu que lui lancer un sourire entendu, susurrant d’un air narquois.

« Alors ? Je dois dire que c’est vraiment agréable de te voir si impatient ! Tu as l’air de tellement désirer me voir geindre, me rendre fou avec ton corps. Tu peux continuer, la vue est très satisfaisante, quand bien même mon plaisir sera plus intense lorsque tu voudras bien me revêtir de cet objet. »

Des paroles ô cupides qui ne purent que le faire sourire d’autant alors qu’il murmurait dans une voix ô perverses dans l’unique but de le soumettre à ses exigences. Il voulait qu’il poursuive cette expérience jusqu’au bout, de la façon la plus décadente possible tandis qu’il venait glisser sa langue contre ses lèvres, expirant dans un souffle brulant et ô désireux.

« Tu veux m’entendre geindre, alors continue de me caresser autant que tu le désires mais la seule chose qui pourra me faire vraiment atteindre l’orgasme : c’est ces belles petites fesses qui ne demandent qu’à être malmenés par mes reins, mes doigts, je me trompe ? »


   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 21:48

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Le jeune homme se rendait bien compte que l’attirance qu’il portait pour le jeune homme ne pouvait nullement être satisfaite aisément à partir du moment où son corps avait ressenti tant de sensations agréables en sa compagnie. Adam se trouvait être le premier amant avec lequel il s’était offert à lui pour découvrir ce doux pécher de luxure en tant que dominé. La seule chose qu’il pouvait dire était bien qu’il ne regretterait nullement cette nuit à ces côtés, les sensations qu’il ressentait se trouvaient bien trop bénéfique pour qu’il ne songe au contraire. Réitérer ces douces sensations ne pouvait que lui plaire et l’attirer. Ces gestes en étaient la parfaite traduction, tout comme son comportement qui pouvaient le surprendre lui-même. Ne souhaitant nullement faire plaisir à son amant, sachant ô combien il se trouvait déjà piégé dans ces filets, le jeune homme n’avait prononcé aucun mot et était seulement venir chercher le contact entre leurs chairs. Il n’avait fallu que peu de temps après l’avoir embrassé, après l’avoir cajolé pour qu’il ne vienne l’emmener sur les draps de son lit. Ces lèvres avaient su trouver leurs compères très rapidement, les embrasser à nouveau de manière fougueuse lui murmurant des mots résolument coquins pour attiser la flamme de désirs qui avait déjà pris part de leur corps quelques minutes auparavant. Chacun de ces mots, chacun de ces gestes se voulaient résolument tentateurs envers sa personne pour lui transmettre chacune de ces pensées perverses.  

Ces lèvres étaient venues alors s’échouer sur son torse, s’amusant à taquiner les boutons de chairs de son amant, embrassant ce torse si bien musclé. Adam se retrouvait résolument charmant et tentateur pour sa personne, sans doute l’un des plus bels hommes qu’il avait eu la chance d’avoir dans son lit pour une nuit.  Baltazar n’avait résolument nullement l’envie de laisser cet homme en paix cette nuit, souhaitant seulement le dévorer de ces lèvres en cet instant pour lire dans ces yeux un plaisir certain.  Ainsi, sa main était venue se loger contre son aine, le caressant avec envie et vigueur ayant l’infime l’espoir de voir son prénom s’échapper des lèvres de son amant, bien que cela était bien impossible encore. Néanmoins, le jeune homme ne perdait nullement espoir, il lui suffisait d’observer les réactions du corps de son amant pour s’en rendre compte. Son aine prenait progressivement plus de rigueur et devinait certainement qu’Adam ne chercherait qu’à masquer ces émotions et ne pas se trahir, ni gémir ouvertement son nom. Les mots de son amant ne pouvaient que le faire sourire, il lui avouait qu’il était agréable de le voir si impatient. Il avait l’air tellement désireux de le voir geindre, de le rendre fou son corps. Il pouvait continuer ainsi sur cette voie, la vue lui plaisant bien que lorsqu’il lui mettrait ce préservatif son plaisir serait plus intense. Des mots  Souriant simplement à ces mots, le trouvant résolument tentateur il crut défaillir quelques instants alors qu’il le voyait glisser sa langue sur ces lèvres, dans un souffle chaud. Les mots que prononça son rival ne put nullement apaiser son désir, l’accentuant même. Si Baltazar voulait l’entendre geindre il lui suffisait de continuer son traitement. Cependant, s’il voulait vraiment lui permettre d’atteindre l’orgasme véritable, c’était seulement ces fesses qui le lui permettraient, des fesses qui ne demandaient qu’à être malmené par ces reins et ces doigts. Un fait tout à fait vrai pour le jeune homme qui ne demandait qu’à connaitre à nouveau le goût de la luxure et notamment une partie de son corps qui avait apprécie son traitement pendant de nombreuses minutes. Cette partie qui lui avait permis de connaitre un ensemble de sensations ô bienfaitrices pour son corps.

Le jeune homme ne prit nullement alors le temps de répondre verbalement à son amant, continuant ces baisers sur son torse et particulièrement ces boutons de chair, sa main ne cessant de caresser son aine avec un peu plus de vigueur. Ravi de voir celle-ci prendre forme progressivement en réaction de ces caresses. Souhaitant tout autant s’amuser en cet instant, Baltazar vint de sa main libre caresses ces cuisses ô musclées et attirantes, s’amusant à les griffer malencontreusement. Abandonnant ces boutons de chairs, Baltazar vint sourire doucement avant de baisser son regard sur son corps ô combien excitant à ces yeux. Adam était résolument un homme ô combien attirant pour l’homme qu’il était. Ces lèvres vinrent descendre progressivement jusqu’à atteindre ces abdominaux dans de multiples baisers, y restant de longues secondes avant d’attendre la limite de ces cuisses. Tel un affamé, il embrassa le haut de ces cuisses avec envie, s’amusant certainement à le rendre encore plus fébrile et quémandeur d’attention bien qu’il savait qu’il ne serait nullement capable de le faire ouvertement. Ces baisers vinrent se perdre alors sur ces cuisses, frôlant presque la base de son aine. Sa main ne restait nullement inactive, caressant ses fesses ave une envie certaine.

Ainsi après l’avoir taquiné quelques minutes entre ces baisers et ces caresses, le jeune homme  vint se relever un instant, prenant des doigts de son amant ce préservatif qu’il avait prévu d’utiliser en cet instant. Lui offrant un sourire taquin, le jeune homme vint ouvrir l’emballage de celui-ci et enfila progressivement le préservatif sur l’aine de son amant. Il mit un temps volontairement prolongé dans la mesure où celui-ci voulait le taquiner, faire naitre en lui un désir ô puissant pour sa personne. S’amusant certainement de la situation, il avait effleuré avec sensualité son aine, gardant sa main plus que de raison sur celle-ci. Souriant, il vint alors baisser son visage et embrasser à nouveau le haut de ces cuisses, frôlant son aine de ces lèvres.  Le jeune homme bien trop gourmand vint cependant enfin embrasser sa colonne de chair, sa base, laissant ces mains caresser ces cuisses, les griffant pour attiser son désir.  Le jeune homme souhaitait attiser son désir de la meilleure manière possible avec ces lèvres et ces doigts, souhaitant le voir geindre son nom ou du moins entendre son souffle épris par le plaisir. Il fut ravi alors de voir le jeune homme devenir de plus en plus ferme entre ces lèvres, déposant des baisers papillons sans cesse sur cette chair.  Ainsi, aussi fou pouvait-il paraître en cet instant, le jeune homme vint relâcher son entrecuisse un instant murmurant : « Scott… te rapproches-tu alors de l’orgasme ? Tu as peut-être une suggestion à me faire ? »

 
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 21:50

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Il se trouvait particulièrement agréable d’être ainsi caressé et dévoré de la sorte. A vrai dire, Adam prenait toujours un grand plaisir à laisser ses amants et amantes dominer les préliminaires, appréciant bien trop le fait d’être ainsi désiré. Il n’y avait rien de plus glorieux que de lire l’appétence du désir de la chair dans les prunelles de ses partenaires et Morales ne faisait nullement exception à cette règle. Il était particulièrement exalté de le voir si désireux, cupide de le rendre fou, de voir au fond de ces yeux cette extase de le voir si réceptif à ces actions. Le contraire ne pouvait nullement être possible tant son homologue se trouvait particulièrement coquin au travers de ses actions. Des gestes qui ne pouvaient que le glorifier d’autant plus, ses malsaines lèvres venant dévorer ses pectoraux tant elles semblaient désirer le rendre fou. Ses phalanges n’étaient pas sans reste, résolument plus taquines que jamais sur son aine, qui semblait réclamer que leur présence, prenant toujours plus de vigueur à leur contact. Le bien être qui s’invitait dans les membres de son corps se trouvait résolument envoutant et euphorique, l’intimant à profiter de cette enivrante chaleur qui ne semblait plus l’abandonner. Il ne pouvait pas pour autant se laisser aller à gémir sous ces charmantes attentions car cela ferait trop plaisir au bel hispanique. Il s’efforçait donc à se mordre la lèvre avec satisfaction, où sa langue venait se mouvoir dans un sourire ô malsain sur son visage. Il était en train de se consumer de désir pour cet homme qui avait toujours représenté tant d’interdit à ses yeux. Il n’avait donc pu que le taquiner de nouveau sur son impatience certaine à vouloir poursuivre dans leurs ébats, l’informant que la vue qu’il lui offrait se trouvait très satisfaisante. Bien entendu ce plaisir ne pourrait devenir que plus intense lorsque ce dernier voudrait bien le revêtir de cet objet.

En effet, il ne comptait nullement lever le petit doigt lors de ces préliminaires, laissant à son amant l’aisance de faire ce qu’il désirait de son corps dans le cadre de leur contact charnel. Après n’était-ce pas lui qui avait désiré guider leurs ébats même si la finalité voulait qu’il ne soumette à nouveau à lui ? Il avait donc accepté de faire ce qu’il voulait de son corps, le temps d’un instant et laissait pleinement la possibilité à son hôte libre de ses mouvements et actions. Ce que ce dernier ne semblait nullement bouder, opérant sur sa chair des actions ô taquines dans l’unique but de le voir d’autant plus fondre sous ses formes, qui se trouvaient bien excitante. Sa position lui permettait une vue imprenable sur les actions de son rival qui n’avait de cesse de poursuivre ces coquineries en le caressant avec vigueur. Son aine savourait pleinement ce bien être comme la moindre pore de sa chair qui se trouvait sujette à des caresses ô enjôleuses. Sa peau frissonnait sous ses phalanges, ses lèvres qui descendit sur son ventre, ses abdominaux pour accentuer son plaisir. Une attention qui ne pu que raviver son exaltation, l’accentuant d’autant plus alors que son aine s’affermissait sous les caresses de son rival, se délectant de ce petit jeu coquin auquel ce dernier se livrait.

Un vil amusement qui ne pouvait que le faire sourire de façon narquoise, se pinçant les lèvres pour contenir ses soupirs de bien être qui menaçaient tant de s’extirper au moindre de ses actions. Ce dernier se trouvait particulièrement mesquin au travers de ces dernières, se plaisant à le caresser tout en le frustrant, l’excitant d’autant plus. Son aine se trouvait si tendue que sa cage thoracique ne pu que se soulever tant le plaisir se trouvait intense. Il jouait avec lui avec la même lubricité qu’il n’avait pu le faire quelques minutes plus tôt, rendant cette soirée, résolument attrayante et additive. Des taquineries qui ne risquèrent nullement de s’atténuer tandis qu’il se relevait subitement pour venir prendre entre ses doigts le préservatif qu’il préservait dans ses doigts, le retirer de son emballage. Un acte qui ne le rendait que d’autant plus incroyablement sexy avec ce sourire pervers pour le revêtir enfin de cet objet. Un geste incroyablement lent et coquin, que ce dernier se plaisait à faire perdurer dans le seul but d’accroitre son plaisir, ce qu’il parvenait aisément à faire. Son regard n’avait de cesse de percer son échine, les prunelles brillantes de ce désir qu’il provoquait en lui. Son corps s’impatientait, désirait reconnaitre la chaleur et l’émoi de ses reins si merveilleux et porteur d’un plaisir sans nom. Cependant, ce n’était nullement le désir de son assaillant, ce dernier venant embrasser le haut de ses cuisses plutôt avant d’effleurer son aine de ses lèvres. Un comportement coquin et taquin qui vint l’intimer à se mordre doucement la lèvre avec exaltation, sa langue cupide s’échouant sur ses dernières. Il mourrait d’envie de l’explorer, de reconnaitre ce bonheur euphorisant de le posséder. Gourmand ? Assurément, tout autant que sa prochaine victime qui vint enfin embrasser sa colonne de chair avec envie. Un geste qui le fit inspirer profondément tant le désir se trouvait intense dans sa chair, les baisers de ce dernier ne faisant qu’accroitre ce dernier. Il s’obligeait à ne pas gémir, sa gorge nouée par ce désir intense qu’il l’intimait à vivre ; Ses caresses et baisers se trouvaient plus coquins et cupides que les précédents sur sa chair, qui montrait son plaisir sans son consentement. Une appétence partagée tant son amant se trouvait passionné et impatient autant que lui. Ses paroles ne purent que renforcer cette impression. Ce dernier mourrait d’envie de lui faire dire ses mots incroyablement pervers qui pourraient le satisfaire et il n’était nullement disposé à lui donner, si ce n’est à lui faire comprendre qu’il vivrait le plaisir plus intensément en se laissant totalement aller à ses reins. C’est pour cette raison, qu’il ne pu que sourire de façon amusée, se mordant délicatement la lèvre, murmurant faiblement.

« Mmm… assurément, tout comme toi, il me semble. Tu sembles avoir cruellement chaud, ton souffle n’a de cesse de devenir plus brulant contre ma chair. »

Sa voix s’était faite rauque et sensuelle tel un susurre qu’il aurait pu lui souffler au creux de son oreille afin d’accroitre son désir. Se léchant délicatement les lèvres, laissant sa langue se mouvoir sur cette dernière en le fixant de son regard perçant.

« Une suggestion ? Ce que tu veux…Je pense que tu sais ce que je veux, non ? C’est exactement ce que tu désires, ce que tes reins souhaitent également… mais c’est à toi de voir, Morales… c’est toi qui a les clés en main en ce moment… »

Il avait laissé ses mots s’exprimer dans un dernier soupir, sa voix sensuelle venant s’extirper de ses lèvres, le fixant tout en l’invitant à réaliser l’aboutissement de leurs cupides aspirations.

   
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MessageSujet: Re: [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini   [NC-18] Oops, I'm in trouble, can you help me? | Baltazar Z. Morales | Fini EmptyJeu 19 Juin - 21:52

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Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

Résolument pervers et coquin, le jeune homme l’était sans aucun doute alors qu’il se trouvait dans une position ô combien tentatrice dans laquelle il pouvait résolument réaliser ces fantasmes. Allongé ainsi, Baltazar avait une image ô combien séduisante qui ne pourrait résolument que l’attirer pour lui qui avait tant désiré et souhaiter un jour se retrouver ainsi, dans un lit et dévorant cet homme. Laissant la passion prendre possession de son corps, ces lèvres étaient venues s’échouer sur sa colonne de chair, a présent recouvert de ce préservatif qui les mènerait à nouveau à goûter au véritable plaisir de la chair. Ces instants écoulés auprès de cet homme ne pouvaient résolument que lui plaire, souhaitant réitérer ces instants et redécouvrir le bien-être qui avait pris possession de son corps. Pour lui qui n’avait jamais découvert cette position de dominé auprès d’un homme, il n’avait nullement s’en plaindre tant ces reins avaient apprécié leur traitement. Sans doute se trouvait-il cupide mais, en compagnie d’Adam son esprit pervers ne pouvait que se plaire. Ces lèvres étaient venues se poser sur son aine, déroulant progressivement ce préservatif à son plus grand amusement. Enfin, Baltazar vint répondre à ces fantasmes les plus pervers, embrassant de manière plus forte cette aine qui prenait de plus en plus forme attisé par la passion lui transmettait. Un fait qui ne pouvait résolument que lui plaire, l’emmenant à prononcer des mots ô combien coquin dans l’unique but de l’entendre dire qu’il désirait son corps, qu’il souhaitait découvrir à nouveau ce plaisir à ces côtés.

Néanmoins, bien qu’il sache que cela était impossible, il avait au moins l’espoir de l’entendre dire qu’il le désirait, bien que son corps lui transmette ce message explicitement. De ce fait, les mots du jeune homme, aussi simple fut-il ne put que le faire doucement sourire, alors qu’il avouait qu’il se rapprochait résolument de l’orgasme, tout comme lui il lui semblait. Il semblait avoir cruellement chaud, son souffle ne cessant de devenir de plus en plus brûlant contre sa chair. Des mots ô combien véridique pour lui qui ne cessait pas de se sentir exalté à chacun de ces baisers sur cette chair ô tentatrice. Les yeux relevés vers son amant, il ne put qu’observer cette langue se mouvoir sur ces lèvres de manière ô combien sensuelle, l’emmenant à attiser son désir. Le jeune homme n’avait guère de suggestion si ce n’était qu’il désirait exactement ce qu’il désirait, tout comme ces reins. Néanmoins, c’était à lui de décider, il avait les clés en main. Des mots résolument tentateurs qui n’avait qu’un seul but : le voir céder. Sans doute aurait-il dû être plus résistant mais, en ces instants il ne pensait nullement à résister à cet homme, n’ayant de toute manière aucune raison de le faire. Cette soirée n’avait que pour but de réaliser leurs fantasmes trop longtemps gardé en eux, rien de plus.

Souriant, le jeune homme vint alors délaisser cette partie de son corps, enlevant ces mains pour se redresser offrant une vue ô agréable au jeune homme à ces côtés. Souriant de manière particulièrement suave, le jeune homme vint s’allonger sur le corps de son amant, faisant rencontrer leurs torses à nouveau, laissant ces lèvres venir dévorer celles d’Adam dans un baiser doux qu’il transforma très rapidement en un baiser fougueux, laissant ces mains caresser ces bras et le haut de son torse. Laissant ces sens guider ces gestes, le jeune continua ce baiser ô combien fougueux emmenant l’une de ces mains à descendre sur les pectoraux de son amant, sur ces abdominaux et enfin jusqu’à cette aine qu’il avait délaissé quelques instants. Effectuant alors de légères caresses sur celle-ci, il vint stopper son baiser, lançant un regard ô combien séducteur à son amant avant de changer de position. Ainsi, il vint se reculer et s’asseoir un instant sur ces cuisses particulièrement ferme à son plus grand plaisir, frôlant cette aine volontairement. Souriant à ce simple contact, Baltazar vint alors lever son corps, rapprochant leurs deux intimités et sans plus de préparation vint s’empaler tout simplement sur l’aine de son amant, venant répondre au doux fantasme de son amant. N’y avait-il rien de meilleur que de voir son amant réclamé lui-même le contact entres leurs chairs ? San doute que non et le jeune homme le savait ô combien.

Le jeune hispanique fut bien obligé de fermer ces yeux tant le fait de n’être nullement préparé rendait la première pénétration douloureuse. Son corps pourtant préparé à une telle pénétration ne put que souffrir un instant bien qu’il savait que cette douleur disparaîtrait rapidement au contact de cette aine si bien loti dans ces reins. Soupirant face à cette intrusion, le jeune homme laissa plusieurs secondes s’écoulaient le temps que son corps se réhabitue à un tel contact. Sentant son amant bouger contre lui, il vint ouvrir les yeux et eut le plaisir de le voir redressé, leurs torses étant si proche l’un de l’autre. Il ne put qu’en être ravi alors qu’il posait ces mains sur les fines épaules de son amant pour se redresser, extirpant son corps de son entrejambe avant d’à nouveau rencontrer leurs corps, laissant cette aine le posséder à nouveau. La douleur se faisait toujours présente mais, cette position lui permettait alors de sentir cette aine frôler des zones hétérogènes de son corps plus aisément, l’emmenant alors à soupirer de bien-être de manière plus rapidement. Les yeux fermés, il ne se rendait nullement compte de la vision qu’il offrait à son amant, une vision qui devait ô combien lui plaire tant il semblait déjà abandonné à Adam, lui offrant son corps pour la deuxième fois de la journée. Se mordant les lèvres, Baltazar vint alors effectuer à nouveau ce même mouvement de rein pour essayer de toucher le plus rapidement cette zone ô hétérogène de tout homme qui l’emmènerait à se sentir si bien entre ces bras. Peu importe la douleur, elle disparaîtrait très rapidement…

 
Bloody Storm
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Adam Scott
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OOPS, I'M IN TROUBLE, CAN YOU HELP ME
Ardor que fue bajando hasta el cinturón Que tú desabrochaste sin ningún pudor Empapaste todas las ventanas de mi desordenada habitación
Éxtasis no salgo del asombro De tu énfasis En hacer conmigo todo lo que un día perdí Jamás me ha dado alguien lo que tú me has hecho sentir

Cupide, il ne pouvait nullement nier l’être tant cette appétence transpirait sa chair. Être en mesure d’assouvir les désirs lubriques que cet homme avait pu engendrer en son âme et ce depuis des années, se trouvait être quelque chose d’invraisemblable tant, il n’avait pu croire en cette chose. Seulement leurs divers échanges en tant que parfaits inconnus lui avaient permis de prendre conscience que le jeune homme semblait nullement être réfractaire à son corps si finement musclé sur lequel il fantasmait même. Cela aurait été bien dommage de ne pas le tenter afin de lui permettre de satisfaire sa propre cupidité de connaitre ce plaisir charnel à ses côtés. Une occasion qu’il saisissait pleinement, savourant avec lubricité cette enthousiasme qu’il semblait entrevoir au sein de ses prunelles si désirables. Il avait cruellement envie de lui, de découvrir de nouveau la chaleur si envoutante de ses reins qui lui avaient offert un instant paradisiaque. Il ne masquait donc pas son impatience de retrouver ce bien être, l’évoquant sans pour autant le dire clairement. Ce désir était réciproque et il était évident que son hôte rêvait de la même chose. Des paroles qui ne manquèrent nullement de faire réagir ce dernier qu’il pouvait sentir sourire contre son aine, l’abandonnant pour se redresser pour lui offrir une vue ô agréable. L’exaltation de ses sens se lisait dans son regard brulant d’impatience, il pouvait même entrevoir son aine tout aussi cupide que la sienne, montré l’émoi dans lequel il se trouvait.

Il ne fallut que peu de temps pour que ce dernier ne vienne s’allonger sur son corps, faisant rencontrer leur torse brulant dans un sourire résolument séducteur. Il était vraiment magnifique et ce baise ô fougueux qu’il lui tendit, lui donnait cruellement envie de le voir s’exalter sous sa chair afin de connaitre de nouveau cette effusion torride qu’était la luxure. Il ne pu que sourire ravi de sentir les phalanges de son rival se perdre sur ses pectoraux afin de rejoindre ses abdos, sa pauvre aine qui manquait si cruellement d’attention depuis qu’il s’était éloigné d’elle. Une simple caresse de ses doigts suffit pour le faire soupirer contre ses lèvres, cette dernière appréciant cette cajolerie qu’elle semblait désirer plus profondément. Impatiente, cette dernière n’avait de cesse de réclamer sa récompense, l’implorant délicatement de répondre à ses attentes. C’est donc dans un sourire enjôleur qu’il le vit s’éloigner de lui pour déposer ses reins près de son bas ventre. L’instant tant désiré semblait se profiler à l’horizon, l’enthousiasment résolument alors qu’il le dévorait des yeux, le voyant venir dévorer son aine de ses reins. Un contact ô électrisant qui le fit soupirer bruyamment dans un léger gémissement, son corps approuvant cette coquinerie qu’il lui offrait. La vue de ce corps si dominé et à la fois si dominateur, ne put que l’exalter d’autant plus de le voir profiter de cette pénétration de façon si sensuelle. Incapable de résister plus longtemps à ses instincts de domination, il vint délicatement se relever pour adopter une position assise, leur assurant une position plus intime et profonde. C’est donc dans un sourire enjoué qu’il le vit prendre appui sur ses épaules tandis qu’il venait glisser ses phalanges sur ses reins, descendant sur ses fesses qu’il vint caresser avec ambition, savourant pleinement ce mouvement de bassin qu’il vint initier tant il se sentait ferme au creux de ce corps si sensible et envoutant. Le soupire qui s’extirpa des lèvres de ce dernier ne pu que le rendre d’autant plus désireux, observant avec cupidité ce visage si déterminé à exprimer le plaisir qu’il lui offrait malgré cette inévitable douleur. C’est donc à son tour qu’il se sentit gémir à son tour lorsqu’il le sentit opérer un mouvement de va-et-vient pour profiter de ce bien être qui l’envahissait peu à peu. Venant plaquer ses lèvres contre la mâchoire de ce dernier, c’est tout naturellement qu’il vint le plaquer contre son torse pour l’embrasser plus cupidement, intimant ses reins à poursuivre ce mouvement qui les rendait fou. Il ne songeait à rien à cet instant, ses phalanges renforçant leur prise sur ses merveilleux reins que son corps n’avait de cesse de parcourir. De lent et langoureux mouvement de reins, ses derniers vinrent à s’intensifier à l’instant même où il sembla frôler de nouveau une zone ô sensible de son amant. Comme s’il avait allumé un interrupteur naturel dans l’être de sa victime, il sentit cette dernière plus sensible à ses baisers qui s’étaient échoué sur sa nuque pour mordiller sa chair, ses phalanges griffant délicatement la chair de ses fesses si musclées.

La chaleur qui l’habitait n’avait de cesse de s’accroitre, le rendant fou tant les gémissements de cet homme envoutait son être, très rapidement, il vint perdre à son tour sa résistance, n’hésitant pas à gémir contre sa chair dès lors qu’il sentait ses reins revenir sauvagement se glisser sur son aine pour l’achever. Des taquineries qui n’avaient de cesse de les enflammer, les rendant plus passionnés et fougueux que jamais à tel point qu’il sentait cette extase plus proche et intense que jamais alors qu’il venait le basculer sur le lit pour le dominer à son tour, accroitre la profondeur de ses mouvements pour toucher plus furieusement cette sensation extrême du bout de son aine. Un changement de position qui lui permit de venir de nouveau se coller à lui, laissant ses phalanges caresser ses cuisses alors qu’il le parcourait fougueusement, ses lèvres dévorant ses compères d’où s’échapper des râles tout aussi cupides que les siens, si merveilleux à écouter. Il ne fallut que quelques minutes de plus pour qu’il n’atteigne ce bien être vital peu de temps après son amant, laissant son souffle brulant se perdre contre les lèvres si rougies de son amant, qui tout comme lui profiter de ce frison ô paradisiaque qui le traversait. Cette soirée n’était résolument pas une soirée comme les autres et les deux jeunes hommes ne semblaient nullement disposés à s’arrêter là, souriant simplement d’un air provocateur à son vis-à-vis comme pour bien lui faire comprendre qu’il comptait bien profiter de cette dernière.

-FIN-

   
Bloody Storm
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