[vos messages]

And in your eyes I see ribbons of color. I see us inside of each other. I feel my unconscious merge with yours and I hear a voice say, "What's his is hers". I'm falling into you. This dream could come true and it feels so good falling into you. Billie & Bryn

let me be, set me free

Depuis qu'elle avait changé de coéquipier, la demoiselle n'avait clairement plus envie de travailler dans ce foutu poste de police. Noah avait changé de position à cause d'une connerie et elle se retrouvait avec un nouveau, complètement à cheval sur les règles et les lois. La jeune femme avait clairement envie de lui foutre son poing en plein visage, parce qu'il sortait la demoiselle de ses gonds. Ça faisait des années qu'elle était sur le terrain. Elle avait un don pour ce métier, personne ne pouvait le nier et ça en faisait jalouser plus d'un. Parce qu'elle était une femme. Parce qu'elle ne pouvait pas être meilleure que cette bande d'imbéciles qui se pensaient mieux grâce à ce qu'il avait entre les jambes. Ça ne changeait rien. Ça ne faisait pas d'eux des hommes plus aptes à travailler ou à être efficaces. Ils pensaient justement trop avec ce qu'ils avaient entre les jambes. Elle avait clairement pu le remarquer alors qu'elle se perdait dans multiple famille d'accueil. Heureusement qu'elle avait été là pour elle parce que tout aurait pu être pire. Un soupir passa entre ses lèvres alors qu'il était encore en train de la rabâcher avec se convictions et ses foutues règles. La demoiselle était certaine que son patron avait tout fait pour mettre ce boulet dans son équipe. Il était clair qu'ils n'étaient pas faits pour travailler ensemble. Qu'il ne faisait pas une équipe homogène. Les mains dans le fond de ses poches, elle tentait de mettre sa voix en sourdine, parce qu'il lui tapait clairement sur le système nerveux. Elle s'arrêta net afin de se tourner pour poser son regard sur lui. « Tu me fou la paix ou je te jure que je t'écrase mon poing dans la figure, tu pourras plus me parler pendant quelques jours et ce sera le bonheur parfait.» La brune lui tourna le dos une fois de plus pour pousser la porte du poste de police et entrer. Depuis son arrivée, elle avait tendance à faire bouger pas mal les choses. Autant de façon positive que de façon négative. La demoiselle faisait un peu trop à sa tête et ça ne plaisait pas à tout le monde. Encore moins à ce petit nouveau fraîchement sorti de l'école de police. Il était encore là, à tenter de lui faire la morale. Elle n'en pouvait plus.

Elle n'en pouvait plus. Elle voulait changer d'équipe ou se faire transférer autre part. La demoiselle ne pouvait pas être efficace avec un homme aussi insignifiant pour compagnon. Billie jeta un regard noir à son compagnon pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas du tout envie qu'il vienne avec elle. Elle voulait parler à Bryn. Surement la mauvaise chose à faire, mais elle s'en fichait au final. Il était le patron et il faisait selon ses envies. Elle ne supportait pas cet incompétent. La demoiselle cogna quelques coups contre la porte avant de rentrer sans demander si elle dérangeait, sans attendre une approbation de sa part. En même temps, elle était près de la crise de nerfs alors elle ne contrôlait rien. Billie entra, referma la porte derrière elle pour ensuite laisser son regard se poser sur lui. Lui. Il avait ce quelque chose à même de la fasciner, de l'attirer et ça la rongeait, ça la troublait. Elle ne laissait pourtant rien paraître, parce qu'elle ne pouvait pas. Parce qu'il était son chef, celui à même de lui donner des ordres, de lui faire comprendre ou pas, qu'elle devait cesser de faire des conneries. « J'ai vraiment besoin de discuter de quelque chose avec vous.» Bryn était le seul à avoir un peu de respect de la part de la brune, parce qu'il avait ce statut, parce qu'elle n'avait pas le choix. Il avait ce quelque chose de mystérieux, de froid, de sombre, de terriblement tentant. La demoiselle fit quelques pas pour s'approcher de son bureau, tirer la chaise et se poser tout juste devant lui. Elle ne laissait rien paraître. Elle ne pouvait rien laisser paraître quand il était question de lui. Billie se mordit la lèvre un instant avant de reprendre. « J'aimerais être changée d'équipe. Nous ne sommes vraiment pas complémentaires et je pense que nous sommes inefficaces sur le terrain.» Bryn n'allait surement pas siller, sourciller. C'était ce qui la dérangeait le plus, cette façon qu'il avait de la regarder, de lui parler, de rester neutre. Elle n'aimait pas. Elle ne savait jamais comment se sentir quand elle était devant lui. Encore moins depuis qu'elle sentait une attirance malsaine se placer au creux de ses reins. Il ne fallait pas qu'elle y pense. « Il ne connait rien. Il vient de sortir de l'école de police. Vraiment. Pourquoi l'avoir placé avec moi?» C'était presque une supplication tellement elle avait du mal à supporter son coéquipier. À voir ce qu'il allait lui répondre, si seulement il daignait le faire.

(c) Bloody Storm

[Date d'inscription]

And in your eyes I see ribbons of color. I see us inside of each other. I feel my unconscious merge with yours and I hear a voice say, "What's his is hers". I'm falling into you. This dream could come true and it feels so good falling into you. Billie & Bryn

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Depuis qu'elle avait changé de coéquipier, la demoiselle n'avait clairement plus envie de travailler dans ce foutu poste de police. Noah avait changé de position à cause d'une connerie et elle se retrouvait avec un nouveau, complètement à cheval sur les règles et les lois. La jeune femme avait clairement envie de lui foutre son poing en plein visage, parce qu'il sortait la demoiselle de ses gonds. Ça faisait des années qu'elle était sur le terrain. Elle avait un don pour ce métier, personne ne pouvait le nier et ça en faisait jalouser plus d'un. Parce qu'elle était une femme. Parce qu'elle ne pouvait pas être meilleure que cette bande d'imbéciles qui se pensaient mieux grâce à ce qu'il avait entre les jambes. Ça ne changeait rien. Ça ne faisait pas d'eux des hommes plus aptes à travailler ou à être efficaces. Ils pensaient justement trop avec ce qu'ils avaient entre les jambes. Elle avait clairement pu le remarquer alors qu'elle se perdait dans multiple famille d'accueil. Heureusement qu'elle avait été là pour elle parce que tout aurait pu être pire. Un soupir passa entre ses lèvres alors qu'il était encore en train de la rabâcher avec se convictions et ses foutues règles. La demoiselle était certaine que son patron avait tout fait pour mettre ce boulet dans son équipe. Il était clair qu'ils n'étaient pas faits pour travailler ensemble. Qu'il ne faisait pas une équipe homogène. Les mains dans le fond de ses poches, elle tentait de mettre sa voix en sourdine, parce qu'il lui tapait clairement sur le système nerveux. Elle s'arrêta net afin de se tourner pour poser son regard sur lui. « Tu me fou la paix ou je te jure que je t'écrase mon poing dans la figure, tu pourras plus me parler pendant quelques jours et ce sera le bonheur parfait.» La brune lui tourna le dos une fois de plus pour pousser la porte du poste de police et entrer. Depuis son arrivée, elle avait tendance à faire bouger pas mal les choses. Autant de façon positive que de façon négative. La demoiselle faisait un peu trop à sa tête et ça ne plaisait pas à tout le monde. Encore moins à ce petit nouveau fraîchement sorti de l'école de police. Il était encore là, à tenter de lui faire la morale. Elle n'en pouvait plus.

Elle n'en pouvait plus. Elle voulait changer d'équipe ou se faire transférer autre part. La demoiselle ne pouvait pas être efficace avec un homme aussi insignifiant pour compagnon. Billie jeta un regard noir à son compagnon pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas du tout envie qu'il vienne avec elle. Elle voulait parler à Bryn. Surement la mauvaise chose à faire, mais elle s'en fichait au final. Il était le patron et il faisait selon ses envies. Elle ne supportait pas cet incompétent. La demoiselle cogna quelques coups contre la porte avant de rentrer sans demander si elle dérangeait, sans attendre une approbation de sa part. En même temps, elle était près de la crise de nerfs alors elle ne contrôlait rien. Billie entra, referma la porte derrière elle pour ensuite laisser son regard se poser sur lui. Lui. Il avait ce quelque chose à même de la fasciner, de l'attirer et ça la rongeait, ça la troublait. Elle ne laissait pourtant rien paraître, parce qu'elle ne pouvait pas. Parce qu'il était son chef, celui à même de lui donner des ordres, de lui faire comprendre ou pas, qu'elle devait cesser de faire des conneries. « J'ai vraiment besoin de discuter de quelque chose avec vous.» Bryn était le seul à avoir un peu de respect de la part de la brune, parce qu'il avait ce statut, parce qu'elle n'avait pas le choix. Il avait ce quelque chose de mystérieux, de froid, de sombre, de terriblement tentant. La demoiselle fit quelques pas pour s'approcher de son bureau, tirer la chaise et se poser tout juste devant lui. Elle ne laissait rien paraître. Elle ne pouvait rien laisser paraître quand il était question de lui. Billie se mordit la lèvre un instant avant de reprendre. « J'aimerais être changée d'équipe. Nous ne sommes vraiment pas complémentaires et je pense que nous sommes inefficaces sur le terrain.» Bryn n'allait surement pas siller, sourciller. C'était ce qui la dérangeait le plus, cette façon qu'il avait de la regarder, de lui parler, de rester neutre. Elle n'aimait pas. Elle ne savait jamais comment se sentir quand elle était devant lui. Encore moins depuis qu'elle sentait une attirance malsaine se placer au creux de ses reins. Il ne fallait pas qu'elle y pense. « Il ne connait rien. Il vient de sortir de l'école de police. Vraiment. Pourquoi l'avoir placé avec moi?» C'était presque une supplication tellement elle avait du mal à supporter son coéquipier. À voir ce qu'il allait lui répondre, si seulement il daignait le faire.

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Elle détestait cette situation. Cette colère qui la prenait de part en part. Elle savait. Elle pensait que ce n'était qu'une provocation, qu'une façon qu'il avait de la remettre à sa place et ça avait surement l'effet escompté. La demoiselle ne crevait que d'envie de foutre son poing à la figure de son nouveau coéquipier. Lui faire comprendre que les règles n'avaient pas d'importance, pas autant qu'il voulait le penser. Ça la rendait folle. Ça la tuait de devoir passer son temps à le regarder, à l'écouter alors qu'il lui lançait les règles en plein visage. Elle n'en avait rien à faire. Ça ne faisait que quelques jours et elle peinait à le supporter. Lui. Ce foutu mec. Elle rêvait de lui coller son poing en plein visage. C'est pour cette raison qu'elle était là. C'est pour cette raison qu'elle venait lui demander des réponses ou lui faire comprendre qu'elle n'allait pas rester avec lui sous les bras. Ça la rendait complètement hors d'elle. Son regard. Cette façon qu'il avait de lui répondre. Billie était compétente. Elle savait qu'elle était douée dans ce qu'elle faisait. Elle savait qu'elle était une des plus douées de son équipe, mais ce n'est pas en lui mettant un boulet dans son équipe qu'elle allait rester performante. Elle tentait de se contenir. Elle tentait de clamer cette foutue rage qui la prenait de part en part. Parce qu'elle avait envie de s'emporter. Elle avait de lui lancer le fond de ses pensées en plein visage. Contre la chaise, elle laissait ses doigts se défouler contre les avant-bras. Il fallait qu'elle se calme. Cette foutue tension qui se faisait de plus en plus présente quand elle entrait dans cet endroit, dans ce bureau qu'elle connaissait sur le bout de ses doigts. Son regard se posa sur le visage de Bryn. Cette façon qu'il avait de la regarder. De poser son regard sur elle. Tellement indifférent. La demoiselle était loin de se douter que cette attirance était réciproque, qu'il ressentait cette foutue attirance et cette tension qui la rendait folle. Sa langue passa rapidement sur ses lèvres. Parce qu'elle était en colère. Parce qu'elle sentait une tension intense prendre possession de son esprit. C'est parce qu'il se penchait vers elle. Parce qu'il se penchait par-dessus le bureau, qu'elle voyait parfaitement ses traits et les lignes de ses lèvres. "A votre avis Fawkes, pourquoi est-ce que je vous l'ai envoyé ? Il me semble pourtant que les choses sont claires non ? Je vous ai demandé de vous calmer mais rien n'y fait, voyez cela comme votre châtiment. " La demoiselle se crispa. Une main nerveuse passa sur son visage et elle vint détacher sa longue chevelure brune parce qu'elle avait un sérieux mal de tête. C'était étouffant. Elle restait silencieuse. Elle ne savait pas réellement ce qu'elle avait envie de lui dire, de lui répondre. Elle ne savait plus comment se comporter.

La demoiselle se mordit la lèvre pendant un instant, elle s'avança sur le bout de sa chaise pour se rapprocher de lui. C'était mauvais. C'était une mauvaise idée. Plus elle se trouvait longtemps dans la même pièce que lui, plus elle avait envie de sentir sa poigne contre ses hanches, ses lèvres dans son cou. Là. Là elle volait seulement lui faire comprendre qu'il devait la changer d'équipe, qu'il devait faire quelque chose pour elle. « Je suis calme.» Elle ne l'était clairement pas. Elle faisait à sa tête la plupart du temps. Elle faisait selon ses règles. « Il m'empêche de travailler correctement.» La demoiselle se leva sous le coup de l'impulsion pour se lever et poser ses deux mains contre le bureau de Bryn question de se pencher vers lui. Un peu. Elle avait envie qu'il comprenne ce qu'elle avait à lui dire. Elle avait envie qu'il respecte ses pensées, sa façon de faire. Ce n'est pas parce qu'elle dérogeait des règles qu'elle devait être acculé ai pied du mur. Le regard de la policière se planta directement dans celui de son supérieur. Il était tellement tentant. Trop tentant. Elle ne pouvait pas. Elle ne pouvait pas ressentir ce foutu désir prendre place dans le creux de ses reins. Billie le méprisait. Lui. Les hommes. « Vous savez que je suis compétente. Que je règle toujours les foutus problèmes et que j'arrive toujours à mes fins. Les dossiers sont toujours clos avec moi. Avec lui, j'arrive à rien.» Ce travail était sa vie. Elle était incapable de se passer de son travail. Elle y passait la majeure partie de son temps. Comme lui. Elle le savait. Elle le voyait jour après jour errant comme une âme en peine dans les couloirs du poste. Avec lui, elle ne savait pas comment se comporter, comment se sentir. Comme à ce foutu moment. Comme maintenant. Prise entre cette envie de s'emporter, de se perdre et de partir, de ne plus l'avoir dans son champ de vision. Ça la tuait. Ça la rongeait. Ça. Cette histoire. Lui.

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Elle détestait cette situation. Cette colère qui la prenait de part en part. Elle savait. Elle pensait que ce n'était qu'une provocation, qu'une façon qu'il avait de la remettre à sa place et ça avait surement l'effet escompté. La demoiselle ne crevait que d'envie de foutre son poing à la figure de son nouveau coéquipier. Lui faire comprendre que les règles n'avaient pas d'importance, pas autant qu'il voulait le penser. Ça la rendait folle. Ça la tuait de devoir passer son temps à le regarder, à l'écouter alors qu'il lui lançait les règles en plein visage. Elle n'en avait rien à faire. Ça ne faisait que quelques jours et elle peinait à le supporter. Lui. Ce foutu mec. Elle rêvait de lui coller son poing en plein visage. C'est pour cette raison qu'elle était là. C'est pour cette raison qu'elle venait lui demander des réponses ou lui faire comprendre qu'elle n'allait pas rester avec lui sous les bras. Ça la rendait complètement hors d'elle. Son regard. Cette façon qu'il avait de lui répondre. Billie était compétente. Elle savait qu'elle était douée dans ce qu'elle faisait. Elle savait qu'elle était une des plus douées de son équipe, mais ce n'est pas en lui mettant un boulet dans son équipe qu'elle allait rester performante. Elle tentait de se contenir. Elle tentait de clamer cette foutue rage qui la prenait de part en part. Parce qu'elle avait envie de s'emporter. Elle avait de lui lancer le fond de ses pensées en plein visage. Contre la chaise, elle laissait ses doigts se défouler contre les avant-bras. Il fallait qu'elle se calme. Cette foutue tension qui se faisait de plus en plus présente quand elle entrait dans cet endroit, dans ce bureau qu'elle connaissait sur le bout de ses doigts. Son regard se posa sur le visage de Bryn. Cette façon qu'il avait de la regarder. De poser son regard sur elle. Tellement indifférent. La demoiselle était loin de se douter que cette attirance était réciproque, qu'il ressentait cette foutue attirance et cette tension qui la rendait folle. Sa langue passa rapidement sur ses lèvres. Parce qu'elle était en colère. Parce qu'elle sentait une tension intense prendre possession de son esprit. C'est parce qu'il se penchait vers elle. Parce qu'il se penchait par-dessus le bureau, qu'elle voyait parfaitement ses traits et les lignes de ses lèvres. "A votre avis Fawkes, pourquoi est-ce que je vous l'ai envoyé ? Il me semble pourtant que les choses sont claires non ? Je vous ai demandé de vous calmer mais rien n'y fait, voyez cela comme votre châtiment. " La demoiselle se crispa. Une main nerveuse passa sur son visage et elle vint détacher sa longue chevelure brune parce qu'elle avait un sérieux mal de tête. C'était étouffant. Elle restait silencieuse. Elle ne savait pas réellement ce qu'elle avait envie de lui dire, de lui répondre. Elle ne savait plus comment se comporter.

La demoiselle se mordit la lèvre pendant un instant, elle s'avança sur le bout de sa chaise pour se rapprocher de lui. C'était mauvais. C'était une mauvaise idée. Plus elle se trouvait longtemps dans la même pièce que lui, plus elle avait envie de sentir sa poigne contre ses hanches, ses lèvres dans son cou. Là. Là elle volait seulement lui faire comprendre qu'il devait la changer d'équipe, qu'il devait faire quelque chose pour elle. « Je suis calme.» Elle ne l'était clairement pas. Elle faisait à sa tête la plupart du temps. Elle faisait selon ses règles. « Il m'empêche de travailler correctement.» La demoiselle se leva sous le coup de l'impulsion pour se lever et poser ses deux mains contre le bureau de Bryn question de se pencher vers lui. Un peu. Elle avait envie qu'il comprenne ce qu'elle avait à lui dire. Elle avait envie qu'il respecte ses pensées, sa façon de faire. Ce n'est pas parce qu'elle dérogeait des règles qu'elle devait être acculé ai pied du mur. Le regard de la policière se planta directement dans celui de son supérieur. Il était tellement tentant. Trop tentant. Elle ne pouvait pas. Elle ne pouvait pas ressentir ce foutu désir prendre place dans le creux de ses reins. Billie le méprisait. Lui. Les hommes. « Vous savez que je suis compétente. Que je règle toujours les foutus problèmes et que j'arrive toujours à mes fins. Les dossiers sont toujours clos avec moi. Avec lui, j'arrive à rien.» Ce travail était sa vie. Elle était incapable de se passer de son travail. Elle y passait la majeure partie de son temps. Comme lui. Elle le savait. Elle le voyait jour après jour errant comme une âme en peine dans les couloirs du poste. Avec lui, elle ne savait pas comment se comporter, comment se sentir. Comme à ce foutu moment. Comme maintenant. Prise entre cette envie de s'emporter, de se perdre et de partir, de ne plus l'avoir dans son champ de vision. Ça la tuait. Ça la rongeait. Ça. Cette histoire. Lui.

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let me be, set me free

Être seule dans ce bureau, ça la rendait folle. Comme lui. Comme la situation. Comme ce foutu regard supérieur qu'il posait sur elle. Son corps se prenait d'une fièvre étrange dont elle ne pouvait se défaire et ça la tuait doucement. Ça la tuait d'être attirée par le seul homme qui avait un pouvoir sur elle, le seul homme dont elle ne pouvait pas s'enticher. Elle n'aimait pas. Elle ne tombait pas amoureuse et elle ressentait un mépris certain pour la plupart des hommes. Elle ne les supportait pas et les mettait tous dans le même bateau. Son passé la rendait un peu dingue sur ce sujet et la demoiselle ne pouvait en faire autrement. Ça la rendait complètement folle. Cette façon qu'il avait de la regarder, de la lorgner et de rester impassible. Ça ne faisait que rendre cette envie de s'énerver encore plus grande, parce qu'elle avait envie de le faire réagir, de le faire comprendre. Puis elle détestait ce coéquipier qui avait tout d'ennuyeux, à même de la rendre fou. La rage la brisait de part en part ou était-ce cette envie qui la rongeait de plus en plus. Le temps passait et la demoiselle se sentait terriblement attirée par Bryn. Ça la tuait. Ça le déstabilisait et elle avait du mal à le contrôler, à le gérer complètement. Il ne fallait pas qu'il s'en doute, qu'il voit cette faille en elle et puisse s'en délecter. Elle n'avait pas la moindre envie d'être une faiblesse et il était un homme marié. Trop de choses les séparaient. Son supérieur. Cet homme surement capable de la remettre à sa place avoir une poigne de fer. Cet homme à même de faire naître une envie malsaine dans le creux de ses reins. Cet homme qui le troublait et cet homme qui était marié. Pourquoi diable s'intéresserait-il à elle. Simple employée qu'elle était.

Il se pencha. Elle sentit son souffle se couper. Son coeur arrêta de battre dans le fond de sa poitrine. C'était prenant, entêtant et complètement déroutant. Le regard de la brune glissa sur ses traits, dévisageant le bleu de ses yeux entêtants pour finir contre ses lèvres quand il y passa sa langue. Elle sentit une envie la traverser de part en part, mais elle se contentait de garder son air froid. C'était pourtant autre chose qui passait en elle, qui la rongeait doucement et qui allait la rendre folle. C'était mal. La brune le savait. Elle le savait plus que bien. Les mains contre le bois du bureau, elle replongea son regard dans le sien, ne manquant pas un mot qui filtrait de ses lèvres tentantes. D'une certaine façon, elle approuvait ses dires. Elle savait qu'il y avait un fond de vérité. La demoiselle ne doutait pas des capacités de son supérieur. Dans le fond de ses prunelles brillait cette intelligence malsaine dont il pouvait user à la perfection. Ça la faisait frissonner. Ça la faisait rêver. Ses mains quittèrent le bois et elle se releva doucement, lâchant un soupir qu'elle ne pouvait contrôler. Ça la contrariait et ça la rendait folle. Il était trop droit. Elle défiait trop les règles et c'est pour cette raison qu'elle attrapait la majeure partie des criminels qu'il lui confiait. C'est sa rage qui prenait trop souvent le dessus. La demoiselle passa une main contre son visage pour qu'elle finisse dans ses cheveux et termine sa course dans le long de son corps. « Je ne suis pas formatrice. Je ne suis pas douée pour ça et ne tentez pas de m'amadouer en me lançant vos belles paroles. Ça ne fonctionne pas avec moi Bryn. » C'était vicieux. Tenter de l'amadouer. Ça ne fonctionnait pas. Quand il s'approcha, elle se tourna pour lui faire face, laissant le bureau derrière elle. Qu'est-ce qu'il était en train de faire? Ça la rendait folle. Cette proximité.

La demoiselle avala difficilement. Il était près. Trop près pour qu'elle se sente bien. Si elle était en colère quelques instants plus tôt, maintenant elle n'avait pas la moindre idée de l'attitude à adopter. Elle déglutit. Son coeur s'emballait. Son souffle était instable. La chaleur monta radicalement dans son corps. Elle crevait d'envie de se rapprocher, de sentir les mains fermes et brusques de Bryn contre son corps. Elle était incapable de penser correctement, de parler correctement. « Je...» Elle soupira et détourna le regard pour ne pas affronter celui de Bryn. Un pas en arrière, elle sentit le bureau contre ses cuisses. « Le criminel à filer parce qu'il n’arrêtait pas de me dire que je ne pouvais pas entrer sans un mandat.» Elle cessa de parler. Son regard se plongea dans celui de son supérieur. Ça serait plus saint qu'il se recule, qu'il se détache d'elle. Les regards étaient déjà bien pesants la majeure partie du temps et c'était suffisant. Sa voix était plus instable, plus basse. « Je pense que je devrais y allez.» C'était une façon de s'éclipser.  « J'ai des rapports à remplir.» Ça. Elle ne le faisait jamais. Elle ne se sentait pas bien. Ça l'étouffait et elle pensait que partir était la meilleure option. Billie ne bougeait pourtant pas, incapable de poser le premier pas.

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Être seule dans ce bureau, ça la rendait folle. Comme lui. Comme la situation. Comme ce foutu regard supérieur qu'il posait sur elle. Son corps se prenait d'une fièvre étrange dont elle ne pouvait se défaire et ça la tuait doucement. Ça la tuait d'être attirée par le seul homme qui avait un pouvoir sur elle, le seul homme dont elle ne pouvait pas s'enticher. Elle n'aimait pas. Elle ne tombait pas amoureuse et elle ressentait un mépris certain pour la plupart des hommes. Elle ne les supportait pas et les mettait tous dans le même bateau. Son passé la rendait un peu dingue sur ce sujet et la demoiselle ne pouvait en faire autrement. Ça la rendait complètement folle. Cette façon qu'il avait de la regarder, de la lorgner et de rester impassible. Ça ne faisait que rendre cette envie de s'énerver encore plus grande, parce qu'elle avait envie de le faire réagir, de le faire comprendre. Puis elle détestait ce coéquipier qui avait tout d'ennuyeux, à même de la rendre fou. La rage la brisait de part en part ou était-ce cette envie qui la rongeait de plus en plus. Le temps passait et la demoiselle se sentait terriblement attirée par Bryn. Ça la tuait. Ça le déstabilisait et elle avait du mal à le contrôler, à le gérer complètement. Il ne fallait pas qu'il s'en doute, qu'il voit cette faille en elle et puisse s'en délecter. Elle n'avait pas la moindre envie d'être une faiblesse et il était un homme marié. Trop de choses les séparaient. Son supérieur. Cet homme surement capable de la remettre à sa place avoir une poigne de fer. Cet homme à même de faire naître une envie malsaine dans le creux de ses reins. Cet homme qui le troublait et cet homme qui était marié. Pourquoi diable s'intéresserait-il à elle. Simple employée qu'elle était.

Il se pencha. Elle sentit son souffle se couper. Son coeur arrêta de battre dans le fond de sa poitrine. C'était prenant, entêtant et complètement déroutant. Le regard de la brune glissa sur ses traits, dévisageant le bleu de ses yeux entêtants pour finir contre ses lèvres quand il y passa sa langue. Elle sentit une envie la traverser de part en part, mais elle se contentait de garder son air froid. C'était pourtant autre chose qui passait en elle, qui la rongeait doucement et qui allait la rendre folle. C'était mal. La brune le savait. Elle le savait plus que bien. Les mains contre le bois du bureau, elle replongea son regard dans le sien, ne manquant pas un mot qui filtrait de ses lèvres tentantes. D'une certaine façon, elle approuvait ses dires. Elle savait qu'il y avait un fond de vérité. La demoiselle ne doutait pas des capacités de son supérieur. Dans le fond de ses prunelles brillait cette intelligence malsaine dont il pouvait user à la perfection. Ça la faisait frissonner. Ça la faisait rêver. Ses mains quittèrent le bois et elle se releva doucement, lâchant un soupir qu'elle ne pouvait contrôler. Ça la contrariait et ça la rendait folle. Il était trop droit. Elle défiait trop les règles et c'est pour cette raison qu'elle attrapait la majeure partie des criminels qu'il lui confiait. C'est sa rage qui prenait trop souvent le dessus. La demoiselle passa une main contre son visage pour qu'elle finisse dans ses cheveux et termine sa course dans le long de son corps. « Je ne suis pas formatrice. Je ne suis pas douée pour ça et ne tentez pas de m'amadouer en me lançant vos belles paroles. Ça ne fonctionne pas avec moi Bryn. » C'était vicieux. Tenter de l'amadouer. Ça ne fonctionnait pas. Quand il s'approcha, elle se tourna pour lui faire face, laissant le bureau derrière elle. Qu'est-ce qu'il était en train de faire? Ça la rendait folle. Cette proximité.

La demoiselle avala difficilement. Il était près. Trop près pour qu'elle se sente bien. Si elle était en colère quelques instants plus tôt, maintenant elle n'avait pas la moindre idée de l'attitude à adopter. Elle déglutit. Son coeur s'emballait. Son souffle était instable. La chaleur monta radicalement dans son corps. Elle crevait d'envie de se rapprocher, de sentir les mains fermes et brusques de Bryn contre son corps. Elle était incapable de penser correctement, de parler correctement. « Je...» Elle soupira et détourna le regard pour ne pas affronter celui de Bryn. Un pas en arrière, elle sentit le bureau contre ses cuisses. « Le criminel à filer parce qu'il n’arrêtait pas de me dire que je ne pouvais pas entrer sans un mandat.» Elle cessa de parler. Son regard se plongea dans celui de son supérieur. Ça serait plus saint qu'il se recule, qu'il se détache d'elle. Les regards étaient déjà bien pesants la majeure partie du temps et c'était suffisant. Sa voix était plus instable, plus basse. « Je pense que je devrais y allez.» C'était une façon de s'éclipser.  « J'ai des rapports à remplir.» Ça. Elle ne le faisait jamais. Elle ne se sentait pas bien. Ça l'étouffait et elle pensait que partir était la meilleure option. Billie ne bougeait pourtant pas, incapable de poser le premier pas.

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And in your eyes I see ribbons of color. I see us inside of each other. I feel my unconscious merge with yours and I hear a voice say, "What's his is hers". I'm falling into you. This dream could come true and it feels so good falling into you. Billie & Bryn

let me be, set me free

Si en entrant dans son bureau, elle avait envie d'éclater son bureau et lui crier qu'il ne pouvait pas comprendre que ce nouveau était en train de la rendre folle, maintenant, la demoiselle n'avait plus la moindre idée de l'attitude à adopter. La frustration avait laissé place à une indécision palpable qui prenait place en elle et la rendait fébrile. Des mois. Des mois qu'elle tentait de retenir les pensées qui le concernaient. Pour plusieurs raisons. Elle méprisait les hommes, parce qu'elle les plaçait dans le même paquet. Billie avait vu tellement d'hommes tromper leur femme, ressentir du désir alors qu'elle passait de famille d'accueil en famille d'accueil. Elle avait reçu plus d'un coup, avait été maltraitée plus d'une fois. Des marques ornaient encore son corps et heureusement que femme s'occupait d'elle. La brune la considérait comme sa mère, sinon elle aurait surement mal fini. Trop de mauvaises expériences. Trop de mauvais souvenirs qui hantaient son esprit. Ça ne l'aidait pas de passer la majeure partie de son cas à s'occuper d'enfants violés, de femmes battues et ce genre de connerie. Ça ne faisait qu'amplifier sa rage. Ça. Bryn ne pouvait pas le comprendre. Elle n'agissait pas de la sorte par plaisir, mais parce qu'elle était marquée par le passé. C'était la première raison. Ensuite, il était un homme marié. La brune pouvait parfaitement voir la bague qui ornait son doigt. Il était son supérieur et elle ne pensait pas réellement que l'attirance était partagée. La demoiselle se faisait surement des idées. C'est ce qu'elle tentait de se dire pour se raisonner, pour ne rien tenter parce que ça aurait tout de mauvais. Il s'approcha. Elle sentit son coeur arrêter de battre dans le fond de sa poitrine. Ça la rongeait. Ça la tuait. Cette façon qu'il avait d'être. Si elle avait connu la violence des hommes, elle était tout de même attirée par les hommes imposants, les hommes capables de la dominer, de la posséder.

Là. Elle voulait fuir. Elle voulait partir et la demoiselle dit la première chose qui lui passa en tête. Certes, elle avait pas mal de dossier à rendre, de rapport à remplir parce qu'il faut dire qu'elle n'était pas la meilleure pour s'occuper de la paperasse. Elle pensait à donner cela au nouveau, question qu'il cesse de parler quand il allait être en train d'écrire. Ses deux mains se posèrent sur le rebord sur bureau qui se trouvait dans son dos, comme si elle voulait se donner une poussée afin de partir, comme si elle avait besoin de se rattacher à quelque chose parce qu'elle sentait qu'elle était en train de se perdre. "Je n'espérais même plus vous entendre prononcer ces mots un jour Billie. " Billie ne savait pas si elle avait envie de rire. Si elle avait envie de lui répondre, mais elle laissait son regard figé dans le sien. Incapable de se détourner et la brune tentait de ne rien laisser paraître de cette instabilité, de cette foutue attirance qu'elle ne pouvait plus contrôler. « Je vais y allez, ça va me prendre pas mal de temps justement comme je suis en retard.» Sa voix se voulait indifférente, mais c'était une feinte. Elle voulait autant partir que se coller à lui. Bryn s'approcha. La demoiselle sentit son souffle se couper, se corps se contracter quand il se pencha contre elle pour attraper une pile de papier derrière elle. Un courant électrique passa le long de sa colonne pour faire monter une fièvre étouffante. Son souffle sans son cou. La chaleur de sa voix. C'était mal. Trop mal. Il y avait cette femme qui l'attendait à la maison, qui était sa promise depuis des années. La demoiselle ne savait même pas s'il avait des enfants. Elle ne voulait pas briser son mariage. Sa vie. Elle ne voulait pas lui céder. À lui. "Commencez déjà par ce dossier, il traine sur mon bureau depuis des semaines ..."  La demoiselle ferma les yeux. Comme si elle tentait de lutter, de refouler cette attirance qui se faisait de plus en plus forte alors qu'elle sentit les mots venir s'échouer contre sa peau. Il se recula un peu, mais pas assez pour que ce soit décent. Les doigts de la jeune femme se posèrent sur les papiers pour les attirer contre elle, sans succès. La poigne de son patron se faisait prenante et elle sentit ses doigts contre sa peau, contre sa main.

La demoiselle déglutit. Elle avait du mal à mettre au calme ce qui se passait en elle en ce moment. Le silence était prenant. Elle n'avait pas envie de répondre et était complètement indécise face à la situation. Il y avait un risque que quelqu'un entre. Hors de question que quelqu'un pense qu'elle s'attirait les faveurs de son patron. Il risquait gros aussi en agissant de la sorte. Un tas de scénarios filaient dans le fond de son esprit, elle était incapable de faire le tri correctement. « Je..» Je quoi. Je. Je. Billie ne savait pas du tout ce qu'elle avait envie de dire et c'est la première fois depuis longtemps qu'elle se trouvait aussi fragile entre les mains de qui que ce soit. Surtout un homme. Elle n'en pouvait plus. De ça. D'eux. Billie fit un pas. Un pas de trop. Un pas tout de même. Ses lèvres se posèrent contre les siennes alors qu'elle finit par tirer le dossier de ses mains pour le remettre sur le bureau derrière. Elle en crevait d'envie depuis trop longtemps. Depuis des mois. Elle méprisait les hommes qui trompaient leur femme et elle se maudissait intérieurement. C'était plus fort qu'elle. Sa main libre se posa directement contre la nuque de Bryn alors qu'elle se colla à lui pour prendre ses lèvres d'assaut. De ce baiser violent et refoulé depuis des semaines. Le goût de ses lèvres était encore plus enivrant qu'elle ne l'avait pensé. La chaleur de son corps était plus entêtante qu'elle ne l'avait imaginé. Un baiser. Violent. Passionné. Prenant. Étouffant. Un baiser qui dura quelque seconde avant qu'elle ne se recule fortement pour se heurter contre le bureau et tomber de façon assise contre celui-ci. La brune n'avait pas bien calculé. Ses mains se posèrent contre le torse de Bryn. Un éclat de remords passa dans ses yeux. Qu'est-ce qu'elle venait de foutre? Peut-être se faisait-elle des histoires et il n'avait pas envie de ce rapprochement. Il avait une femme. Il était son patron. C'était simplement insensé. « Je suis désolée. Je n'aurais pas dû. C'est..» Elle tenta de reprendre le fil de ses pensées. « Je pense vraiment que je dois y allez.» Cette fois, elle se leva pour le contourner rapidement et se mettre en marche vers la porte. Il fallait qu'elle parte. Qu'elle quitte ce foutu bureau. Qu'elle quitte cette ambiance et qu'elle refoule cette attirance encore longtemps. C'était simplement impossible.

(c) Bloody Storm

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And in your eyes I see ribbons of color. I see us inside of each other. I feel my unconscious merge with yours and I hear a voice say, "What's his is hers". I'm falling into you. This dream could come true and it feels so good falling into you. Billie & Bryn

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Si en entrant dans son bureau, elle avait envie d'éclater son bureau et lui crier qu'il ne pouvait pas comprendre que ce nouveau était en train de la rendre folle, maintenant, la demoiselle n'avait plus la moindre idée de l'attitude à adopter. La frustration avait laissé place à une indécision palpable qui prenait place en elle et la rendait fébrile. Des mois. Des mois qu'elle tentait de retenir les pensées qui le concernaient. Pour plusieurs raisons. Elle méprisait les hommes, parce qu'elle les plaçait dans le même paquet. Billie avait vu tellement d'hommes tromper leur femme, ressentir du désir alors qu'elle passait de famille d'accueil en famille d'accueil. Elle avait reçu plus d'un coup, avait été maltraitée plus d'une fois. Des marques ornaient encore son corps et heureusement que femme s'occupait d'elle. La brune la considérait comme sa mère, sinon elle aurait surement mal fini. Trop de mauvaises expériences. Trop de mauvais souvenirs qui hantaient son esprit. Ça ne l'aidait pas de passer la majeure partie de son cas à s'occuper d'enfants violés, de femmes battues et ce genre de connerie. Ça ne faisait qu'amplifier sa rage. Ça. Bryn ne pouvait pas le comprendre. Elle n'agissait pas de la sorte par plaisir, mais parce qu'elle était marquée par le passé. C'était la première raison. Ensuite, il était un homme marié. La brune pouvait parfaitement voir la bague qui ornait son doigt. Il était son supérieur et elle ne pensait pas réellement que l'attirance était partagée. La demoiselle se faisait surement des idées. C'est ce qu'elle tentait de se dire pour se raisonner, pour ne rien tenter parce que ça aurait tout de mauvais. Il s'approcha. Elle sentit son coeur arrêter de battre dans le fond de sa poitrine. Ça la rongeait. Ça la tuait. Cette façon qu'il avait d'être. Si elle avait connu la violence des hommes, elle était tout de même attirée par les hommes imposants, les hommes capables de la dominer, de la posséder.

Là. Elle voulait fuir. Elle voulait partir et la demoiselle dit la première chose qui lui passa en tête. Certes, elle avait pas mal de dossier à rendre, de rapport à remplir parce qu'il faut dire qu'elle n'était pas la meilleure pour s'occuper de la paperasse. Elle pensait à donner cela au nouveau, question qu'il cesse de parler quand il allait être en train d'écrire. Ses deux mains se posèrent sur le rebord sur bureau qui se trouvait dans son dos, comme si elle voulait se donner une poussée afin de partir, comme si elle avait besoin de se rattacher à quelque chose parce qu'elle sentait qu'elle était en train de se perdre. "Je n'espérais même plus vous entendre prononcer ces mots un jour Billie. " Billie ne savait pas si elle avait envie de rire. Si elle avait envie de lui répondre, mais elle laissait son regard figé dans le sien. Incapable de se détourner et la brune tentait de ne rien laisser paraître de cette instabilité, de cette foutue attirance qu'elle ne pouvait plus contrôler. « Je vais y allez, ça va me prendre pas mal de temps justement comme je suis en retard.» Sa voix se voulait indifférente, mais c'était une feinte. Elle voulait autant partir que se coller à lui. Bryn s'approcha. La demoiselle sentit son souffle se couper, se corps se contracter quand il se pencha contre elle pour attraper une pile de papier derrière elle. Un courant électrique passa le long de sa colonne pour faire monter une fièvre étouffante. Son souffle sans son cou. La chaleur de sa voix. C'était mal. Trop mal. Il y avait cette femme qui l'attendait à la maison, qui était sa promise depuis des années. La demoiselle ne savait même pas s'il avait des enfants. Elle ne voulait pas briser son mariage. Sa vie. Elle ne voulait pas lui céder. À lui. "Commencez déjà par ce dossier, il traine sur mon bureau depuis des semaines ..."  La demoiselle ferma les yeux. Comme si elle tentait de lutter, de refouler cette attirance qui se faisait de plus en plus forte alors qu'elle sentit les mots venir s'échouer contre sa peau. Il se recula un peu, mais pas assez pour que ce soit décent. Les doigts de la jeune femme se posèrent sur les papiers pour les attirer contre elle, sans succès. La poigne de son patron se faisait prenante et elle sentit ses doigts contre sa peau, contre sa main.

La demoiselle déglutit. Elle avait du mal à mettre au calme ce qui se passait en elle en ce moment. Le silence était prenant. Elle n'avait pas envie de répondre et était complètement indécise face à la situation. Il y avait un risque que quelqu'un entre. Hors de question que quelqu'un pense qu'elle s'attirait les faveurs de son patron. Il risquait gros aussi en agissant de la sorte. Un tas de scénarios filaient dans le fond de son esprit, elle était incapable de faire le tri correctement. « Je..» Je quoi. Je. Je. Billie ne savait pas du tout ce qu'elle avait envie de dire et c'est la première fois depuis longtemps qu'elle se trouvait aussi fragile entre les mains de qui que ce soit. Surtout un homme. Elle n'en pouvait plus. De ça. D'eux. Billie fit un pas. Un pas de trop. Un pas tout de même. Ses lèvres se posèrent contre les siennes alors qu'elle finit par tirer le dossier de ses mains pour le remettre sur le bureau derrière. Elle en crevait d'envie depuis trop longtemps. Depuis des mois. Elle méprisait les hommes qui trompaient leur femme et elle se maudissait intérieurement. C'était plus fort qu'elle. Sa main libre se posa directement contre la nuque de Bryn alors qu'elle se colla à lui pour prendre ses lèvres d'assaut. De ce baiser violent et refoulé depuis des semaines. Le goût de ses lèvres était encore plus enivrant qu'elle ne l'avait pensé. La chaleur de son corps était plus entêtante qu'elle ne l'avait imaginé. Un baiser. Violent. Passionné. Prenant. Étouffant. Un baiser qui dura quelque seconde avant qu'elle ne se recule fortement pour se heurter contre le bureau et tomber de façon assise contre celui-ci. La brune n'avait pas bien calculé. Ses mains se posèrent contre le torse de Bryn. Un éclat de remords passa dans ses yeux. Qu'est-ce qu'elle venait de foutre? Peut-être se faisait-elle des histoires et il n'avait pas envie de ce rapprochement. Il avait une femme. Il était son patron. C'était simplement insensé. « Je suis désolée. Je n'aurais pas dû. C'est..» Elle tenta de reprendre le fil de ses pensées. « Je pense vraiment que je dois y allez.» Cette fois, elle se leva pour le contourner rapidement et se mettre en marche vers la porte. Il fallait qu'elle parte. Qu'elle quitte ce foutu bureau. Qu'elle quitte cette ambiance et qu'elle refoule cette attirance encore longtemps. C'était simplement impossible.

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Il fallait qu'elle parte. Qu'elle quitte ce bureau. Cet air. Cette ambiance. Cette attirance plus que malsaine. C'était mauvais. C'était en train de la ronger, de là déstabiliser et ça la rendait particulièrement perplexe. La brune de s'attendait pas à ce que son supérieur réponde à son baiser. Elle avait plutôt pensé qu'il allait la repousser en lui demande ce qu'elle était en train de faire. C'est ce qui la troublait le plus. La brûlure de ses mains contre ses hanches, contre sa nuque. La chaleur était en train de l'étouffer. Billie crevait d'envie de se retourner pour continuer ce qu'elle était en train de faire un instant plus tôt. Se coller à lui. Découvrir son corps. Elle en crevait d'envie depuis des mois. C'était malsain. C'était mal. Il avait une femme. Il était son chef. Il y avait trop de choses qui les séparaient et elle ne pouvait simplement pas continuer

Quand elle sentit la poigne ferme contre ses bras, elle manqua simplement de souffle. Elle qui avait pensé s'enfuir, elle se retrouvait face à lui une fois de plus. La brune n'aura pas la force de le repousser une fois de plus. De se raisonner une fois de plus. Son dos contre le mur. Ses mains entre les siennes. La demoiselle manquait de mot. Elle manquait de jugement. À ce moment précis, elle ne crevait que de le sentir contre elle. Son coeur était instable. Ainsi que son souffle. " On ne quitte pas mon bureau sans mon accord Fawkes." Qu'est-ce qu'il était en train de faire. Il aurait été bien plus saint qu'il laisse la demoiselle s'éclipser. Au lieu de ça, il s'approcha un peu plus pour se coller à elle. La demoiselle ferma les yeux un moment, tentant de reprendre contenance, mais ça n'avait pas l'effet escompté, surtout pas quand il se retrouva complètement coller à elle. « Bryn..» Un souffle. Une supplication de la laisser partir. Qu'il s'arrête. Parce qu'elle savait parfaitement que ce n'était pas la bonne chose à faire. La brune n'avait pas envie de gâcher sa carrière et son mariage. C'était trop de risque. Il lâcha une de ses mains qu'elle laissa tomber le long de son corps. Incapable de savoir ce qu'elle devait/voulait faire. Il posa ses lèvres sur les siennes une fois de plus. Ce goût. Cette façon qu'il avait de la posséder. Ça la rendait folle. Ça lui plaisait à outrance. La brune sentait l'envie lui tirailler le bas ventre. Sa main finit par se poser contre la nuque de Bryn, venant répondre à ce foutu baiser. Leur corps collé à outrance. Leur langue qui venait se chercher pour jouer d'une danse sensuelle. Un baiser. Un autre. Son souffle lui manquait et c'est pour cette raison qu'elle recula son visage pour venir poser ses lèvres dans le cou de son supérieur. Son parfum. Sa peau rêche. Elle ne pouvait pas lutter et c'était surement ça le pire. « C'est mal..» Un souffle. Un souffle contre la peau de son cou alors qu'elle y enchaînait les baisers,  y glissant de temps à autre le bout de sa langue. Ses dents vinrent s'acharner doucement contre son lobe d'oreille. « On ne peux pas faire ca Bryn.» Pourtant. Pourtant, elle ne pouvait pas non plus cesser de l'embrasser. De se coller à lui.

La demoiselle recula son visage pour poser son regard dans celui du brun. Comme si elle avait envie d'y voir une réponse, comme si elle avait envie qu'il lui donne raison et qu'il la repousser. Il était là le problème. Il n'en avait pas envie, comme elle n'en avait pas envie. La demoiselle laissa ses mains se poser sur ses épaules, glissant sous le veston qui reposait contre ses épaules et elle le fit tomber contre le sol. Il était toujours parfaitement habillé. Complet. Chemise. Pas de cravate. Élégant. Attirant. Séduisant. Son regard était fiévreux. S'il l'avait retenu, c'est elle qui était particulièrement entreprenante à ce moment précis. Son regard ne quittait pas le sien, mais ses mains bougeaient lentement. Terriblement lentement. Elles vinrent glisser de ses bras pour remonter vers son torse. Elle sentait les muscles sous ses doigts. Ça l'allumait. Lui. Ça. Ici. Tout. Ça la rendait complètement folle. Elle ne savait pas ce qu'elle ressentait exactement, mais elle savait qu'il y avait cette foutue chimie entre eux. Ça faisait des étincelles. Ça les consumait. Ses doigts vinrent ouvrir la chemise de Bryn pour dévoiler son torse. Le regard de la belle le quitta un moment pour observer les muscles parfaitement dessinés de son chef. La demoiselle serra les dents une peau avant de remonter ses iris sombres dans les siens. Le bout de tissu vint s'écrouler contre le sol. Un baiser sur ses lèvres. Un baiser sur la ligne de sa mâchoire. Un baiser dans son cou. Sa peau était brûlante. Il était trop tard. Trop tard pour qu'elle revienne en arrière. Sa voix. Sa voix suave. Perdue. Sa voix vint se perdre dans le cou de Bryn. Elle ne le vouvoyait plus. Surement trop intime pour ça genre de coutume maintenant. « J'ai terriblement envie de toi Bryn. Depuis des mois.» C'était mal. Très mal. Elle le savait parfaitement et c'était trop tard maintenant. Ses deux mains vinrent se poser dans le dos de son amant, glissant le long de celui-ci pour caresser sa peau, pour sentir cette texture qu'elle avait imaginée depuis plusieurs mois. Une de ses mains quitta le corps de Bryn pour verrouiller la porte. Il ne fallait que personne ne tombe sur eux. Que personne n'entende quoi que ce soit. C'était une mauvaise idée. C'était simplement une mauvaise chose qui était en train de se produire, mais c'était trop tard.

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And in your eyes I see ribbons of color. I see us inside of each other. I feel my unconscious merge with yours and I hear a voice say, "What's his is hers". I'm falling into you. This dream could come true and it feels so good falling into you. Billie & Bryn

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Il fallait qu'elle parte. Qu'elle quitte ce bureau. Cet air. Cette ambiance. Cette attirance plus que malsaine. C'était mauvais. C'était en train de la ronger, de là déstabiliser et ça la rendait particulièrement perplexe. La brune de s'attendait pas à ce que son supérieur réponde à son baiser. Elle avait plutôt pensé qu'il allait la repousser en lui demande ce qu'elle était en train de faire. C'est ce qui la troublait le plus. La brûlure de ses mains contre ses hanches, contre sa nuque. La chaleur était en train de l'étouffer. Billie crevait d'envie de se retourner pour continuer ce qu'elle était en train de faire un instant plus tôt. Se coller à lui. Découvrir son corps. Elle en crevait d'envie depuis des mois. C'était malsain. C'était mal. Il avait une femme. Il était son chef. Il y avait trop de choses qui les séparaient et elle ne pouvait simplement pas continuer

Quand elle sentit la poigne ferme contre ses bras, elle manqua simplement de souffle. Elle qui avait pensé s'enfuir, elle se retrouvait face à lui une fois de plus. La brune n'aura pas la force de le repousser une fois de plus. De se raisonner une fois de plus. Son dos contre le mur. Ses mains entre les siennes. La demoiselle manquait de mot. Elle manquait de jugement. À ce moment précis, elle ne crevait que de le sentir contre elle. Son coeur était instable. Ainsi que son souffle. " On ne quitte pas mon bureau sans mon accord Fawkes." Qu'est-ce qu'il était en train de faire. Il aurait été bien plus saint qu'il laisse la demoiselle s'éclipser. Au lieu de ça, il s'approcha un peu plus pour se coller à elle. La demoiselle ferma les yeux un moment, tentant de reprendre contenance, mais ça n'avait pas l'effet escompté, surtout pas quand il se retrouva complètement coller à elle. « Bryn..» Un souffle. Une supplication de la laisser partir. Qu'il s'arrête. Parce qu'elle savait parfaitement que ce n'était pas la bonne chose à faire. La brune n'avait pas envie de gâcher sa carrière et son mariage. C'était trop de risque. Il lâcha une de ses mains qu'elle laissa tomber le long de son corps. Incapable de savoir ce qu'elle devait/voulait faire. Il posa ses lèvres sur les siennes une fois de plus. Ce goût. Cette façon qu'il avait de la posséder. Ça la rendait folle. Ça lui plaisait à outrance. La brune sentait l'envie lui tirailler le bas ventre. Sa main finit par se poser contre la nuque de Bryn, venant répondre à ce foutu baiser. Leur corps collé à outrance. Leur langue qui venait se chercher pour jouer d'une danse sensuelle. Un baiser. Un autre. Son souffle lui manquait et c'est pour cette raison qu'elle recula son visage pour venir poser ses lèvres dans le cou de son supérieur. Son parfum. Sa peau rêche. Elle ne pouvait pas lutter et c'était surement ça le pire. « C'est mal..» Un souffle. Un souffle contre la peau de son cou alors qu'elle y enchaînait les baisers,  y glissant de temps à autre le bout de sa langue. Ses dents vinrent s'acharner doucement contre son lobe d'oreille. « On ne peux pas faire ca Bryn.» Pourtant. Pourtant, elle ne pouvait pas non plus cesser de l'embrasser. De se coller à lui.

La demoiselle recula son visage pour poser son regard dans celui du brun. Comme si elle avait envie d'y voir une réponse, comme si elle avait envie qu'il lui donne raison et qu'il la repousser. Il était là le problème. Il n'en avait pas envie, comme elle n'en avait pas envie. La demoiselle laissa ses mains se poser sur ses épaules, glissant sous le veston qui reposait contre ses épaules et elle le fit tomber contre le sol. Il était toujours parfaitement habillé. Complet. Chemise. Pas de cravate. Élégant. Attirant. Séduisant. Son regard était fiévreux. S'il l'avait retenu, c'est elle qui était particulièrement entreprenante à ce moment précis. Son regard ne quittait pas le sien, mais ses mains bougeaient lentement. Terriblement lentement. Elles vinrent glisser de ses bras pour remonter vers son torse. Elle sentait les muscles sous ses doigts. Ça l'allumait. Lui. Ça. Ici. Tout. Ça la rendait complètement folle. Elle ne savait pas ce qu'elle ressentait exactement, mais elle savait qu'il y avait cette foutue chimie entre eux. Ça faisait des étincelles. Ça les consumait. Ses doigts vinrent ouvrir la chemise de Bryn pour dévoiler son torse. Le regard de la belle le quitta un moment pour observer les muscles parfaitement dessinés de son chef. La demoiselle serra les dents une peau avant de remonter ses iris sombres dans les siens. Le bout de tissu vint s'écrouler contre le sol. Un baiser sur ses lèvres. Un baiser sur la ligne de sa mâchoire. Un baiser dans son cou. Sa peau était brûlante. Il était trop tard. Trop tard pour qu'elle revienne en arrière. Sa voix. Sa voix suave. Perdue. Sa voix vint se perdre dans le cou de Bryn. Elle ne le vouvoyait plus. Surement trop intime pour ça genre de coutume maintenant. « J'ai terriblement envie de toi Bryn. Depuis des mois.» C'était mal. Très mal. Elle le savait parfaitement et c'était trop tard maintenant. Ses deux mains vinrent se poser dans le dos de son amant, glissant le long de celui-ci pour caresser sa peau, pour sentir cette texture qu'elle avait imaginée depuis plusieurs mois. Une de ses mains quitta le corps de Bryn pour verrouiller la porte. Il ne fallait que personne ne tombe sur eux. Que personne n'entende quoi que ce soit. C'était une mauvaise idée. C'était simplement une mauvaise chose qui était en train de se produire, mais c'était trop tard.

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And in your eyes I see ribbons of color. I see us inside of each other. I feel my unconscious merge with yours and I hear a voice say, "What's his is hers". I'm falling into you. This dream could come true and it feels so good falling into you. Billie & Bryn

let me be, set me free

C 'était trop. Ça n'aurait pas dû se produire de la sorte. Elle aurait dû être forte. Le repousser. Lui lancer une réplique cinglante afin de sortie de ce bureau et ne pas se perdre contre son corps. C'est autre chose qu'elle faisait. C'était des contradictions dans le fond de son esprit qui ne cessait de fuser. Des mois. Trop de temps à le désirer. Trop de temps à le mépriser. Là. Elle cédait. Ça aurait été plus de saints de se retenir, de ne pas céder aux passions qui la prenaient alors qu'il s'approchait d'elle. Ca aurait plus saint qu'il lui dise ô combien elle se devait d'obéir aux ordres sans rien dire. C'est ce qu'elle avait pensé. Billie ne pensait pas que cette attirance était réciproque. Certes, elle laissait son regard couler sur son visage de temps à autre, mais sans plus. C'était une mauvaise idée, parce que ça allait changer trop de choses entre eux. Parce que ça allait tout changer. Son corps réagissait trop rapidement pour qu'elle le repousse, pour qu'elle trouve la force de lui dire que c'était une erreur. Les mains de Bryne faisaient rapidement monter la température de son corps alors qu'il y déposait de multiples caresses. C'était le chaos dans le fond de son esprit. C'était des remords et une envie qu'elle ne pouvait réellement repousser. C'était plus fort qu'elle. Bryn était cet homme imposant, qui lui tenait tête depuis des mois et qu'elle désirait secrètement depuis des mois. Il avait ce quelque chose à même de la séduire, de la rendre folle. Autant de désir que de mépris. Elle détestait cette emprise qu'il avait sur elle. Elle détestait la façon qu'il avait de lui faire comprendre qu'il était le chef. Il avait pourtant diablement raison. Billie ne pouvait que lui obéir la majeure partie du temps, mais elle ne manquait pas d'y mettre son grain de sel. La brune ne pouvait pas réellement changer.

Billie répondait à ses baisers. Torturée. Tellement indécise. C'était pourtant trop tard. Elle ne se sentait pas la force de le repousser. De lui dire qu'il devait la lâcher. Billie pris appuie contre le mur alors qu'il déversait un flot de baisers contre sa peau. Elle ne pouvait retenir les soupirs de passer entre ses lèvres, ni ses doigts de se presser entre ses cheveux. Rapidement, son haut d'uniforme vint se retrouver contre le sol. Il faut dire que ça n'avait rien de réellement avantageux comme habillement. Ses dessous étaient composés de dentelle noire qui lui collait parfaitement à la peau. C'était brusque. C'était loin d'être tendre et c'est ce qui lui plaisait dans ce contact, dans cette relation. Il avait ce côté dominant qui lui faisait bien trop d'effet. Plus d'effet qu'elle ne voulait réellement se l'avouer. Son corps finit par se percuter contre le bureau et le laissa prendre place contre elle. Billie répondit au baiser. Elle y répondait sans être capable de s'arrêter. Son souffle commençait à être à bout, mais elle n'avait pas envie de lâcher ses lèvres. Ses mains se posèrent contre ses épaules, laissant glisser lentement ses doigts le long de ses bras pour en toucher la texture. Il l'allumait. Trop. Elle devrait partir. Elle le savait. Il le savait. Le souffle rauque de Bryn lui parvint. " Tu peux encore tout arrêter...moi je ne peux plus ... " Comme si elle avait envie de partir. Comme si elle avait plus de volonté que lui. Ce n'était pas le cas et la jeune femme se sentait particulièrement mal. Trop mal. Parce qu'il avait une femme. Elle l'avait aperçu quelquefois, mais sans plus. Elle ne savait rien d'elle et c'était surement mieux ainsi. La demoiselle laissa sa tête tombée vers l'arrière quand elle sentit ses lèvres s'attacher une fois de plus à son cou. Si seulement elle avait la volonté de le repousser. Ce n'était pas le cas. Son coeur battait à tout rompre dans le fond de sa poitrine. Ses sens partaient en vrille. La brune releva la tête pour attraper le visage de Bryn entre ses mains et poser son regard directement dans le sien. « Si je pouvais, je serais déjà partie.» Un souffle. Un simple souffle perdu contre les lèvres de son supérieur avant qu'elle ne le prenne d'assaut dans un baiser brusque et sensuel. Sa main libre s'immisça entre leurs corps pour ouvrir sa ceinture, pour la faire claquer et tomber contre le sol. Ils se devaient d'être silencieux et ça ne s'avérait pas tâche facile tellement son envie était étouffante. Ses doigts ouvrir agilement son pantalon, caressant sans gêne l'objet de ses désirs qui se tendaient sous l'envie. Elle pouvait voir ô combien il crevait d'envie d'elle. Le sentir officiellement contre ses doigts agiles qui lui assénaient caresse multiple par-dessus le tissu de son dernier vêtement restant contre lui. Aurait-elle dû se sentir coupable? Parce qu'elle n'était pas mieux que les autres femmes qui couchaient avec des hommes mariés. Parce qu'elle était en train de se perdre dans des délices qu'elle n'avait plus la force de repousser. Ses lèvres quittèrent les siennes pour venir à nouveau torturer son cou, mordant sa peau de temps à autre sans y laisser de trace, parce qu'elle n'avait pas envie de lui causer des problèmes. Il ne restait à Bryn qu'un bout de tissu pour qu'il soit complètement à nu devant elle. Ses lèvres vinrent remonter contre son cou, passer sur la ligne de sa mâchoire pour posséder ses lèvres une fois de plus. La brune passa ses jambes autour de lui, faisant fusionner leur corps parfaitement. C'était trop tard pour reculer maintenant. Pas d'échappatoire.

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And in your eyes I see ribbons of color. I see us inside of each other. I feel my unconscious merge with yours and I hear a voice say, "What's his is hers". I'm falling into you. This dream could come true and it feels so good falling into you. Billie & Bryn

let me be, set me free

C 'était trop. Ça n'aurait pas dû se produire de la sorte. Elle aurait dû être forte. Le repousser. Lui lancer une réplique cinglante afin de sortie de ce bureau et ne pas se perdre contre son corps. C'est autre chose qu'elle faisait. C'était des contradictions dans le fond de son esprit qui ne cessait de fuser. Des mois. Trop de temps à le désirer. Trop de temps à le mépriser. Là. Elle cédait. Ça aurait été plus de saints de se retenir, de ne pas céder aux passions qui la prenaient alors qu'il s'approchait d'elle. Ca aurait plus saint qu'il lui dise ô combien elle se devait d'obéir aux ordres sans rien dire. C'est ce qu'elle avait pensé. Billie ne pensait pas que cette attirance était réciproque. Certes, elle laissait son regard couler sur son visage de temps à autre, mais sans plus. C'était une mauvaise idée, parce que ça allait changer trop de choses entre eux. Parce que ça allait tout changer. Son corps réagissait trop rapidement pour qu'elle le repousse, pour qu'elle trouve la force de lui dire que c'était une erreur. Les mains de Bryne faisaient rapidement monter la température de son corps alors qu'il y déposait de multiples caresses. C'était le chaos dans le fond de son esprit. C'était des remords et une envie qu'elle ne pouvait réellement repousser. C'était plus fort qu'elle. Bryn était cet homme imposant, qui lui tenait tête depuis des mois et qu'elle désirait secrètement depuis des mois. Il avait ce quelque chose à même de la séduire, de la rendre folle. Autant de désir que de mépris. Elle détestait cette emprise qu'il avait sur elle. Elle détestait la façon qu'il avait de lui faire comprendre qu'il était le chef. Il avait pourtant diablement raison. Billie ne pouvait que lui obéir la majeure partie du temps, mais elle ne manquait pas d'y mettre son grain de sel. La brune ne pouvait pas réellement changer.

Billie répondait à ses baisers. Torturée. Tellement indécise. C'était pourtant trop tard. Elle ne se sentait pas la force de le repousser. De lui dire qu'il devait la lâcher. Billie pris appuie contre le mur alors qu'il déversait un flot de baisers contre sa peau. Elle ne pouvait retenir les soupirs de passer entre ses lèvres, ni ses doigts de se presser entre ses cheveux. Rapidement, son haut d'uniforme vint se retrouver contre le sol. Il faut dire que ça n'avait rien de réellement avantageux comme habillement. Ses dessous étaient composés de dentelle noire qui lui collait parfaitement à la peau. C'était brusque. C'était loin d'être tendre et c'est ce qui lui plaisait dans ce contact, dans cette relation. Il avait ce côté dominant qui lui faisait bien trop d'effet. Plus d'effet qu'elle ne voulait réellement se l'avouer. Son corps finit par se percuter contre le bureau et le laissa prendre place contre elle. Billie répondit au baiser. Elle y répondait sans être capable de s'arrêter. Son souffle commençait à être à bout, mais elle n'avait pas envie de lâcher ses lèvres. Ses mains se posèrent contre ses épaules, laissant glisser lentement ses doigts le long de ses bras pour en toucher la texture. Il l'allumait. Trop. Elle devrait partir. Elle le savait. Il le savait. Le souffle rauque de Bryn lui parvint. " Tu peux encore tout arrêter...moi je ne peux plus ... " Comme si elle avait envie de partir. Comme si elle avait plus de volonté que lui. Ce n'était pas le cas et la jeune femme se sentait particulièrement mal. Trop mal. Parce qu'il avait une femme. Elle l'avait aperçu quelquefois, mais sans plus. Elle ne savait rien d'elle et c'était surement mieux ainsi. La demoiselle laissa sa tête tombée vers l'arrière quand elle sentit ses lèvres s'attacher une fois de plus à son cou. Si seulement elle avait la volonté de le repousser. Ce n'était pas le cas. Son coeur battait à tout rompre dans le fond de sa poitrine. Ses sens partaient en vrille. La brune releva la tête pour attraper le visage de Bryn entre ses mains et poser son regard directement dans le sien. « Si je pouvais, je serais déjà partie.» Un souffle. Un simple souffle perdu contre les lèvres de son supérieur avant qu'elle ne le prenne d'assaut dans un baiser brusque et sensuel. Sa main libre s'immisça entre leurs corps pour ouvrir sa ceinture, pour la faire claquer et tomber contre le sol. Ils se devaient d'être silencieux et ça ne s'avérait pas tâche facile tellement son envie était étouffante. Ses doigts ouvrir agilement son pantalon, caressant sans gêne l'objet de ses désirs qui se tendaient sous l'envie. Elle pouvait voir ô combien il crevait d'envie d'elle. Le sentir officiellement contre ses doigts agiles qui lui assénaient caresse multiple par-dessus le tissu de son dernier vêtement restant contre lui. Aurait-elle dû se sentir coupable? Parce qu'elle n'était pas mieux que les autres femmes qui couchaient avec des hommes mariés. Parce qu'elle était en train de se perdre dans des délices qu'elle n'avait plus la force de repousser. Ses lèvres quittèrent les siennes pour venir à nouveau torturer son cou, mordant sa peau de temps à autre sans y laisser de trace, parce qu'elle n'avait pas envie de lui causer des problèmes. Il ne restait à Bryn qu'un bout de tissu pour qu'il soit complètement à nu devant elle. Ses lèvres vinrent remonter contre son cou, passer sur la ligne de sa mâchoire pour posséder ses lèvres une fois de plus. La brune passa ses jambes autour de lui, faisant fusionner leur corps parfaitement. C'était trop tard pour reculer maintenant. Pas d'échappatoire.

(c) Bloody Storm