maiza ✮ why do we fall ?

vos messages · **vos messages** : 101 **Date d'inscription** : 01/09/2014

maiza torrès
i like the way it's hurts

Nom : torrès, qui est le nom de sa mère. ✏ Prénom : surnommée maiza, son prénom entier est mariza. ✏ Âge : vingt-six ans.. ✏ date et lieu de naissance : née le 14 août 1988, à rio de janeiro au brésil. ✏ vos origines : totalement brésiliennes, dans son esprit du moins puisqu'elle ne sait rien de son géniteur. ✏ Métier : elle est à la tête de son propre réseau de drogue, voleuse à temps partiel, capricieuse imprévisible. ✏ Orientation sexuelle : hétérosexuelle, irrémédiablement happée par les hommes qui la font frissonner. ✏ Statut matrimonial : célibataire. ✏ côté financier : elle est officiellement pauvre, vit au jour le jour, trop pour pouvoir garder son argent. Caractère : indépendante, caractérielle, mordante, rusée, futée, provocante, solitaire, secrète, excellente menteuse, dangereuse, impulsive, violente, ingénieuse, dépensière, capricieuse, joueuse, charmeuse, séductrice, charismatique, revancharde, colérique, envieuse, débrouillarde, directive, rancunière, déshonnête, fière, orgueilleuse, dominante. ✏ Groupe : les présents.

un peu plus sur vous.
✏ bien que née dans les quartiers pauvres de Rio, et n'ayant découvert les nouvelles technologies qu'à partir de ses vingt ans, Maiza en a une parfaite maitrise. Téléphones portables, ordinateurs, elle ne peut pas vivre sans tous les gadgets qu'elle s'est déjà payées, et serait parfaitement apte à devenir une hackeuse de haut niveau si seulement c'était ce qu'elle pouvait vouloir, mais les risques du terrain lui plaisent déjà beaucoup plus ✏ Maiza a réussi à faire des inconvénients de sa vie, des avantages qui aujourd'hui, peuvent lui rapporter beaucoup ; gonflée d'orgueil à mesure qu'elle prend de plus en plus d'indépendance vis-à-vis de tout ce qui la rattachait à des mauvaises fréquentations. Ainsi la jeune femme aime jouir - parfois avec excès - de toutes les libertés que la vie peut lui offrir, elle aime vivre sans conséquence ✏ de par l'absence totale de père ou d'une mère totalement dégénérée, Maiza n'a jamais reçu la moindre autorité dans son existence, si ce n'est, celle violente et impulsive, de l'homme qui l'a plongée dans la drogue au Brésil. Maiza a donc une très forte tendance à provoquer les autorités qui viennent se confronter à elle : alors condamnée pour trafic et agression menant à la mort, Maiza a réussi à raccourcir sa peine de prison rien qu'en faisant quelques séances de charme au directeur de la prison. Et elle aime ça, se sentir avoir du pouvoir même sur les autorités d'un monde qui, finalement, se révèle être aussi impitoyable qu'elle : les flics, elle aimerait tous en faire son quatre heures ✏ pendant des années, sous le "service" de son petit-ami, Maiza n'a jamais vraiment su lire, écrire ou compter : elle annonçait les prix que donnait son homme, et n'en dérogeait pas - le reste, lui disait-il ne lui servirait à rien pour le restant de ses jours. C'est en prison, dans le cadre d'un programme d'aide qu'elle a perfectionné son apprentissage des lettres et des mathématiques, apprendre ce genre de choses, fortement utiles, était le seul moyen de l'empêcher de déborder, s'énerver, ou s'attaquer à une détenue qui l'aurait regardée de travers ✏ masque imprenable, elle semble pouvoir rire de tout, sourire moqueur au bord des lèvres ; Maiza sait garder contenance en toute circonstance, elle a toujours la petite pique acerbe pour répondre à une provocation, et ne manque jamais de répondant. Il n'y a que lorsqu'on l'interroge sur son passé qu'elle peut demeurer aussi bornée dans le silence qu'une tombe abandonnée : Maiza ne perd jamais la face, et crache au reste du monde son désir de laisser son passé derrière elle ✏ des années qu'elle a passées au Brésil, la brune garde un fort accent qui tranche à chaque phrase qu'elle prononce : il est évident rien qu'à la regarder, de constater qu'elle n'a pas une goutte de sang gallois dans les veines ; la jeune femme est bien plus exotique que cela, se plaisant à jouer de ses charmes de sud américaine qui, curieusement, plaisent beaucoup dans le coin. Encore aujourd'hui, il y a des mots qu'elle ne connait pas en anglais, les injures, elle les lâche en brésilien, et ce n'est pas grave si personne ne la comprend ✏ battue pendant des mois sous l'influence d'un homme jaloux et tortionnaire, Maiza ne cherche plus aujourd'hui la stabilité d'un couple : incapable de faire confiance à quelqu'un qui se dirait "l'aimer", elle est une handicapée des sentiments qui fuit tout élan de romantisme mielleux. Elle n'aime pas, est incapable d'aimer, et ne voudrait connaître dans sa vie que des gens qui ne désireraient jamais l'enchaîner à eux : après tant de temps à avoir cherché sa liberté, Maiza n'est pas prête à s'attacher à qui que ce soit d'autre désormais ✏ pour avoir passé la plus grande partie de son quotidien dans une cellule de deux mètres sur deux, avoir parfois été exilée en les cellules de confinement en prison, Maiza demeure être une jeune femme claustrophobe, elle ne prend pas les ascenseurs de peur de rester coincée, et déteste par-dessus tout se retrouver immobilisée, les mains liées ou dans son dos : des failles, fractures qui la hantent aujourd'hui, mais qu'elle tente de cacher avec tout l'orgueil dont elle est dotée ✏ petite fille, elle avait récupéré un chiot qui avait été abandonné dans la rue, elle l'avait caché dans sa chambre et le nourrissait avec ses repas qu'elle ne mangeait pas : l'animal était son meilleur ami, le petit être autour duquel tout son monde tournait, dans le minuscule appartement miteux où elle vivait avec sa mère. Le chien la consolait, pansait ses plaies, et effaçait sa solitude : et puis un jour, après plusieurs mois ainsi, il est sorti de l'immeuble en trombes, et est mort écrasé par une voiture qui passait à toute vitesse. Maiza adore les animaux aujourd'hui, plus particulièrement les chiens, brillent dans ses yeux, avec eux, les élans de ce qu'elle avait été petite fille, quelque chose de fragile, un brin influençable. Mais elle n'a jamais senti pire douleur que celle qui la suit encore aujourd'hui avec la mort de son petit chien, ainsi, elle n'est pas prête d'en adopter un de nouveau, quand bien même c'est moins emmerdant qu'une relation "sérieuse".

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