Fauna ♣ I found you one day with a mouth full of attitude And you stole me away, you stole me away.

Invité

Fauna Grey
i like the way it's hurts

Nom : Grey

Prénom : Fauna.

Âge : vingt sept ans.

date et lieu de naissance : 19 avril 1987 à Patras, en Grèce

vos origines : Galloise de part mon père et Greque du côté de ma mère.

Métier : Jeune infirmière le jour, escort girl with benefits la nuit, pour rembourser mes études.

Orientation sexuelle : Hétéro

Statut matrimonial : Célibataire.

côté financier : récemment, c'est le top.Caractère : Astucieuse, soigneuse, sociale, bornée, un peu solitaire, maladroite, manuelle, intélligente,fumeuse, active, sensible, bizarre, rêveuse et impulsive

Groupe : les imparfaits

un peu plus sur vous.

Je ne peux pas dormir plus que cinq heures par nuit, je ne sais pas pourquoi, mais c'est comme ça

Il m'arrive de fumer un paquet par jour voir plus, quand je passe une mauvaise journée

Je lis beaucoup, de tout et du n'importe quoi

Quand je suis seule en ville, j'ai toujours mon lecteur mp3 en marche

Je change de coiffure ou de couleur assez souvent, parce que j'en ai marre de voir la même tête chaque matin.

J'ai la mauvaise manie de me ronger les ongles, quand je suis nerveuse

Je suis nulle en cuisine alors je me nourris essentiellement de nourriture à emporter.

Je suis une grande fan de musique, mes goûts sont très éclectiques, ça va du rock au jazz en passant par le classique et l'opéra.

Petite, je faisais de la danse classique, ça m'arrive encore de faire quelques petits pas, juste comme ça.

Je fais de la boxe deux fois par semaine.

Je joue du piano depuis que j'ai douze ans.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? Je ne suis peut-être pas né à Caerphilly, mais j'y ai grandi. Mon père est revenu s'installer dans sa ville natale avec sa famille, quand j'avais environ deux ans. Je ne me souviens pas vraiment de la Grèce, à vrai dire, c'est comme j'avais été mise au monde ici et que je n'avais jamais quitté la ville. Ce n'est pas mon endroit favori, encore moins là où je me vois vivre jusqu'à la fin de mes jours, mais je n'ai pas à me plaindre de Caerphilly. Y a pire, comme il peut y avoir mieux. Pour l'instant, je n'ai pas l'intention d'y partir.comment considérez vous votre vie actuellement? Disons-le franchement, casse-bonbon pour ne pas dire quelque chose de plus grossier. J'ai ce foutu emprunt à rembourser, celui que j'avais dû faire pour payer mes études. Bien entendu, ce n'est pas avec le salaire que je me fais que je peux vivre et reverser ma dette. Franchement, je ris devant mon état, c'est tellement pathétique et ironique à la fois. Je joue les petites infirmières le jour et vends mon corps et ma petite personne à une clientèle de riches le soir. Je ne me sens pas fière, mais je fais ce que j'ai à faire pour vivre. Et puis merde, je fais ce que je veux, c'est mon histoire, mon destin.est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Hmmmm...tout ? Je me dis que si nous serions resté en Grèce, mes parents ne se seraient pas séparés, j'aurais eu une vie surement plus facile. Ma mère n'aurait pas redéménagé en Grèce parce qu'elle y vivrait. Mon père ne se serait pas remarié avec une donzelle de mon âge, je n'aurais pas coupé les ponts à cause de ça, oui, je me dis que si mon père n'avait pas été aussi idiot, j'aurais eu une vie bien meilleure et une peau bronzée chaque jour de l'année.

derrière l'écran.
votre pseudo : WILD BIRD

votre âge : vingtsiblblmpf....

votre pays : France

scénario ou inventé : inventé

votre fréquence de connexion : tous les jours.

comment êtes-vous arrivé ici? : Je suis la toute puissante Hela.

vos commentaires/impressions : Fauna ♣ I found you one day with a mouth full of attitude And you stole me away, you stole me away. 1333416016

CSCH rocks! . j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : Soyons fou, oui!

Invité

story of my life
i like the way it's hurts

I know I'm not legendary
I'm nothing extraordinary

La meilleure partie de mon existence et qui sait, peut-être même de toute ma vie. J'aurais donné beaucoup pour ne serait-ce vivre une de ces journées. J'étais jeune, insouciante, je vivais sans me poser trente-six mille questions dans la tête et en même temps. Sans parler de mes seules pensées qui avaient comme sujet, la nourriture, les jouets, la danse, le piano et les contes de fées. J'étais tellement heureuse. La petite famille voyageaient souvent, de Caerphilly à Patras en Grèce, le pays originaire de ma chère maman. C'était d'ailleurs, elle qui avait choisi mon prénom, mon père n'avait même pas eu son mot à dire, heureusement, il avait tout de suite aimer Fauna. La signification de mon prénom, me faisait toujours rire, car je n'avais rien avoir avec cette déesse de la pureté et de la chasteté, vraiment rien. Mon meilleur souvenir, celui qui me ferait voler sans aucun problème, si j'étais dans Peter Pan, ça serait un jour d'été en Grèce. C'était la fête à Patras, bien que je ne me souvenais plus vraiment ce que l'on célébrait, ce jour-là. Toute la petite famille était au port, installée sur le ponton, les pieds dans l'eau. Il y avait mes parents, moi et puis ma petite sœur, Athena. Elle et moi étions emmitouflées dans une couverture, serrées entre maman et papa. Il faisait frais, mais, nous étions bien au chaud. J'étais collée tout contre ma mère, ma tête posée contre son épaule alors que ma sœur me tenait la main. Nous étions comme cela en silence, regardant avant surprise le festival de feu d'artifice qui faisait briller le ciel de mille et une couleurs. Les lumières se reflétaient sur l'eau bleue, rendant ce moment encore plus magnifique. À ce moment précis, je me suis sentie...heureuse, apaisée. C'était comme si pendant un simple instant, le monde s'était arrêté de tourner, figeant sur place tous les problèmes.

Maybe you're just ordinary too.

♦ ♦ ♦

The original rebel without a cause, I was raising hell, I was breaking laws.
Hey little boy don't you know my name?

Durant mes années d'adolescence, j'ai fait ce que les ados sont destinés à faire, ils pètent un câble et font leur crise existentielle, tenant tout ce qui peut être fait pour enrager les parents et violer la loi. À la maison, c'était l'enfer, enfin surtout pour moi. Ma sœur à coté, c'était un petit ange, le joli signe alors que je faisais mon vilain petit canard. Je ne sais pas vraiment pourquoi ou encore comment cela à commencé, c'était juste un tout, un tout qui m'a fait péter un câble. Je détestais le monde autour de moi et je le faisais bien savoir. Au lycée, j'étais une rebelle sans cause, détestée par beaucoup de personnes dont les populaires. J'ouvrais ma bouche, je me la jouais franche et à plus les gens détestaient ça, à plus j'aimais. Je faisais la fugueuse, séchant les cours pour jouer les vagabondes. J'avais trouvé des gens comme moi, ils étaient parfois (même plus) dangereux, jouant les bad boys. J'étais jeune, j'étais conne, j'aimais l'aventure, les sensations fortes, faire des choses interdites et bien entendu, sortir avec un homme un peu plus agé et pas très recommandable, était classé numéro un sur la liste. Je revois encore mon père me crier dessus en ouvrant la porte d'entrée violemment. Il m'avait vu arrivé sur la moto de Jack et bien entendu, il n'avait pas aimé ça. Je crois qu'il m'attendait depuis un moment, faisant sûrement les cent pas dans le salon, regardant par la fenêtre à chaque bruit de moteur. Je me rappellerais de ce jour toute ma vie. Mon père, c'était un homme tendre et protecteur, le genre de père que toutes les filles rêves d'avoir. Alors, quand il m'avait giflé au visage d'un cou sec après lui avoir fait une horrible remarque, j'étais vraiment...choquée, sur le cul. Je ne m'attendais pas à ce qu'il en vienne aux mains, mais d'un côté, je savais que je l'avais bien cherché. Mon père n'avait pas bougé d'un pouce, regardant sa main rouge avant de poser à nouveau son attention sur moi. Son visage avait changé d'expression en un instant, passant de la colère au regret. J'avais essayé de résister à l'envie de pleurer, restant sans rien dire, droit comme un bâton. Je pouvais sentir la chaleur de la marque, cela me brulait et je n'osais pas y déposer ma main pour apaiser la douleur, car cela me ferait encore plus mal. Mon paternel avait répété qu'il était désolé encore et encore, essayant de me prendre dans ses bras, mais j'avais reculé de plusieurs pas, pour lui faire comprendre que c'était hors de question. Et puis, j'ai laissé tomber, j'ai brisé les murs de mon silence, dévoilant le mystère de mon changement d'attitude. Je me rappelle de chaque mot, de l'intonation, de ma voix coupée par les sanglots. Je me demandais bien si mon père avait tout compris. J'étais une enfant perdue, qui ne savait pas quoi faire de sa vie, qui essayait de trouver sa place dans le monde, mais qui n'y arrivait pas. J'en avais marre qu'on me prenne pour une gamine, qu'on me dicte ma vie alors que c'était la mienne. Par la suite, mon père réussi à me prendre dans ses bras et à ce moment, ce fut comme un retour en arrière. J'avais l'impression de revenir une enfant, pleurant toutes les larmes de son corps dans les bras protecteur de son papa. C'était ma mère qui nous a trouvé quelques minutes plus tard, elle nous avait regardé, surprise tout en posant le sac de course sur le comptoir de la cuisine. Comme elle nous l'avait dis, elle venait de rater un épisode. Bon bien entendu, je n'étais pas redevenue une gentille fifille par la suite, mais je m'étais calmée, même si la rebelle en moi me faisait toujours faire des conneries. Je goutais aux joies des fêtes rentrant au petit matin par la fenêtre, mais j'avais fait en sorte de ne pas me faire choper cette fois. Je revoyais Jack, même si à force, sortir avec un bad boy n'avait plus rien de très passionnant.

I told a little lie or four with you at my door. Wonderin' where the hell I've been.

♦ ♦ ♦

Then there's good ol' Jack, who would always have my back. We stayed up until the rooster crows

Zack, il était mon meilleur ami, mon confident, mon jumeau, un tout. Il était la personne la plus importante à mes yeux, à vrai dire, à ce moment-là de ma vie, il m'était plus précieux que ma propre sœur. On s'était rencontré à l'école, il était le clown de la classe, celui qui avait toujours le mot pour rire. On était partenaire en labo, de vraies catastrophes, vraiment, il n'y avait pas plus pire que nous. On trainait toujours ensemble, laissant les autres du lycée croire que nous étions en couple, alors que ce n'était pas le cas. Pour cause, Zakie était gay, j'étais la seule à le savoir, à ce moment-là. Je me faisais passer pour sa petite amie afin de lui éviter les ennuies, je le protégeais et pas parce que je le lui devais, mais parce que cela me venait naturellement. On avait l'habitude de se retrouver sur le pont abandonné après l'école. C'était notre petit repère, notre squat, je connaissais tellement bien le chemin que je pouvais le faire les yeux fermés. On s'installait, parlant des cours qui nous prenaient la tête, des parents et de leur barrière, tout en fumant cigarette sur cigarette, on y passait même nos week-ends, tellement nous nous y sentions bien. Nous l'appelions notre refuge et cela nous faisait toujours sourire comme des imbéciles, quand nous prononcions ce mot. Je l'aimais vraiment de tout mon cœur, il était une partie de moi et ce sentiment était parfaitement partagé. Je n'avais rien vu venir, je croyais que tout allait bien dans le meilleur des mondes, mais Zack me voilait la face pour que je ne sache pas qu'au fond, il souffrait. Il n'avait d'yeux que pour les hommes et cela, j'étais la seule à le comprendre et à respecter son choix. Il m'avait appelé ce jour-là, juste avant qu'il foute sa vie en l'air, à cause de deux idiots incapable d'aimer leur fils. Sa voix était tellement triste que de suite, j'avais compris que quelque chose clochait et que c'était très sérieux. Il répétait encore et encore qu'il était désolé et qu'il avait que cela à faire. La conversation avait été courte, Zakie avait raccrocher avant de me dire au revoir. Je n'avais pas eu à chercher bien loin, ce que cela voulait dire pour tout comprendre. J'avais fait tout mon possible pour arriver avant qu'il ne soit trop tard, courant comme une folle dingue, traversant les routes alors que le feu était vert pour les voitures, j'avais même renversé des passants sur mon passage, mais Zakie avait été plus rapide que moi. De toute ma vie, je n'avais pas autant hurlé et sur le coup, cela m'avait surpris d'avoir la capacité de crier aussi fort. Son corps était allongé sur les pierres, à moitié flottant dans les eaux de la petite rivière. Ce jour-là, j'ai perdu mon frère de sang, et même si des années ont passé, je n'ai jamais réussi à faire mon deuil.

Make me sane, make it easy. Silence all these voices in my head

♦ ♦ ♦

You said, girl you got a dream, give it everything. You got to make 'em see it was meant to be. Don't you think you ought to give it one more shot?

Il n'était pas mort directement, c'était comme s'il avait attendu que ces parents et ses amis lui disent au revoir avant de s'en aller. Et j'avouais que c'était bien son genre. Bien évidemment, chaque histoire à un ou plusieurs fautifs et dans cette tragédie, les parents de Zakie étaient les coupables. Ils avaient refusé ce qu'il était et cela avait été la grosse goutte d'eau qui avait fais déborder le vase. Je devais tout à Zak, vraiment tout. J'avais laissé tomber les cours, mis ma vie sur pause pour lui, restant à son chevet jours et nuits. J'avais que peu d'espoir pour son rétablissement, c'était juste une petite lueur au fond de moi, mais ce n'était pas pour cela que je voulais rester avec lui. Si je passais mes jours à l'hôpital, c'était pour passer le plus de temps possible avant qu'il parte pour de bon. Je voulais prendre le temps de l'observé minicieusement afin de graver mon meilleur ami dans ma mémoire à tout jamais. Je voulais sentir sa chaleur une dernière fois. J'avais à force, pris l'habitude de lire le journal à voix haute, pensant que peut-être qu'il m'entendrait peu importe où il se trouvait. Je lui faisais écouter ses morceaux de musique préférés, repassais encore et encore son film favorit sur le petit écran de sa chambre, je m'occupais même de lui faire une petite toilette le matin. À force, j'étais connu dans le service, de par les infirmières qui me disaient sans cesse que je devais faire un break et de par les docteurs qui me faisaient bien comprendre que ce n'était plus une question de temps. Les plus sympas étant les infirmières qui avaient pris le temps de m'apprendre comment m'occuper de mon meilleur ami. J'ai appris beaucoup de choses sur moi-même en restant dans cet hôpital, d'abord que j'étais capable de patience ainsi que de douceur et que j'avais bien plus de respect pour ses femmes que pour les médecins. C'est comme ça que mon envie de devenir l'une d'entre elles naquit. Quelques jours plus tard, Zakie cessa pour de bon de respirer, nous quittant enfin. J'ai pu lui dire adieu, lui avouer à quel point je l'aimais et que jamais, je ne pourrais l'oublier. Aujourd'hui, j'aimais l'imaginer heureux, volant entre les nuages, tout en riant aux éclats, oui, ça, c'était bien lui, le vrai Zack, celui que je connaissais bien. Par la suite, j'ai fini le lycée et fis la seule chose qui m'était censée, faire un emprunt pour payer mes études. Sauf qu'entre temps, alors que je croyais que plus rien de mal ne pouvait m'arriver, mes parents nous annoncèrent à ma sœur et moi, leur divorce. À ce moment-là, j'ai coupé les ponts avec eux, j'étais dans une mauvaise période et j'avais besoin de penser à moi. Après tout, je venais de m'embarquer dans un prêt qui allait me coller à la peau pendant quelques années et je n'avais plus mon meilleur ami pour m'aider à traverser ce genre de mauvais moments. Ils savaient que j'étais vivante, que j'allais bien et c'est tout ce qu'ils devaient savoir.

You seen the glory and the shame, beauty and the pain, weakness and the strength. Waiting for the fame. Don't you think you ought to give it all you got?

♦ ♦ ♦

You're gonna know me by my Little Red Boots. You may not know my face but I leave a lipstick trace.

Quatre ans plus tard, j'étais diplômée de l'école d'infirmière de Cardiff. J'avais réussi à vivre l'un de mes rêves en bossant dur chaque jour. Cela n'avait pas été facile, parfois même, j'avais envie de tout abandonné, mais dans ces moments-là, je me disais que Zack m'aurait forcé de continuer, en me disant que cela en valait le coup. Après mes études, je suis revenue à Caerphilly, cette ville dans laquelle, j'avais grandi et où se trouvait une partie de mes racines. Je finis par être embauchée à l'hôpital du coin, appuyer par les infirmières qui ne m'avait pas oubliées. Sauf qu'après un haut, il y a un bas. Facture et encore facture. Ce n'était pas avec l'argent que je me faisais que je pouvais m'en sortir, j'arrivais à peine à payer mon loyer, une fois l'argent de l'emprunt reversé. Je vivais chaque jour de nourriture de l'hôpital que j'emportais avec moi à la fin de chaque journée. Je ne pouvais vivre comme ça, du moins pas pour longtemps. J'avais commencé à faire les petites annonces, cherchant quelques petits jobs de serveuse voir de baby-sitting, sauf qu'avec mon emploi du temps, les heures n'étaient jamais bonnes. À force, j'avais perdue espoir, avant d'entendre une discution dans les toilettes pour femmes d'un club de la ville. J'avais pris la conversation en cours de route, mais j'avais très bien compris de quoi il était question. L'une d'entre elles, travaillait pour une boite qui s'occupe de trouver des jeunes et surtout jolies femmes pour accompagner des hommes. Escort Girl en soit, mais cela allait bien plus au devant de ça. Par la suite, j'avais réussi à dire deux mots à cette femme, qui après plusieurs verres me donna enfin l'adresse de la compagnie qui s'occupait de ça. J'étais prête à tout pour en finir avec mes soucis d'argent, cela me bouffait chaque jour, me gardant éveillée la nuit. Avec de la persévérance, j'avais réussi à me faire embaucher, expliquant que je n'avais rien à perdre. J'avais joué la femme forte, les gros durs alors qu'au fond, j'étais effrayée à l'idée de me retrouver avec un inconnu. Mon premier soir n'avait pas été aussi horrible que je l'avais pensé. Il était un avocat d'une trentaine d'années, qui n'avait pas le temps pour l'amour et les femmes. Il avait été doux avec moi, m'expliquant comment ça fonctionnait, car cela n'était pas la première fois que monsieur faisait appel à la compagnie. Ca n'avait rien de normal et pourtant, en le regardant, j'avais l'impression que pour lui, c'était tout à fait le cas. En une seule nuit, je m'avais fait assez d'argent pour payer mon loyer en retard. Cela faisait maintenant deux mois que je faisait ce métier, infirmière le jour et escort girl with benefits deux à trois fois par semaine, selon mon emploi du temps. Personne ne savait ce petit secret, la seule personne à qui j'aurais confié ce genre de chose n'était plus à mes côtés et j'évitais de me dire qu'est-ce que Zack devait y penser, il serait bien trop déçu.

Strangers just the same, you don't need to know my name.