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pretty little liars + 05
once upon a time + 19
vampire diaries + 37
game of thrones + 40

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∆ The Vampire Diaries - 20 pts.
∆ Games of Thrones - 28 pts.
∆ Doctor Who - 21 pts.
∆ Desperate Housewives - 18 pts.
∆ One Tree Hill - 21 pts.
∆ American Horror Story - 21 pts.
∆ Supernatural - 15 pts.
∆ How I Met Your Mother - 18 pts.
∆ Gossip Girl - 21 pts.
∆ Walking Dead - 18 pts.
∆ Prety Little Liars - 19 pts.

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game of thrones + 41

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Right from the start. You were a thief you stole my heart and I your willing victim. I let you see the parts of me. That weren't all that pretty and with every touch you fixed them. Now you've been talking in your sleep. Ian & Alma

it's time to go to war

La porte de son appartement se poussa sans douceur. Comme s'il allait user de douceur parce qu'elle était là, douce colombe égarée qu'elle était. Peu importe qu'elle erre sans réel but entre les murs de sa demeure, il ne pouvait pas changer, pas pour elle. Pas pour qui que ce soit. Ce combat n'avait rien eu de facile et le sang perlait encore contre sa peau abimée. Sa lèvre était fendue. Sa joue était ouverte. Les coups avaient massacré son visage, mais il n'en avait rien à faire. Il avait fini par prendre le dessus et briser son adversaire, sentir se os se fendre sous les coups qu'il lui assénait sans retenu. Ce n'était pas comme de la boxe, ça avait tout de pire. Le free-fight n'avait pas réellement de règle alors la violence était à son apogée. C'est ce dont il avait besoin. Son exutoire depuis la mort de sa soeur, la seule chose apte à le tenir en vie. Une drogue. Sa drogue. C'était loin d'une poudre qu'il s'injectait par le nez, mais la souffrance et le mal qu'il causait de ses poings. Une rage qui ne le quittait plus, malgré le fait qu'il avait tué cet homme qu'il recherchait depuis des années. Il fit quelques pas dans son appartement, laissant tomber sa veste dans un coin. Elle était là. Comme toujours. Elle n'avait surement nulle part où allez. La demoiselle commençait à être apte à communiquer avec lui, échanger quelques mots. Il laissa son regard se poser sur elle, quelques secondes, le temps de se diriger vers la cuisine pour se sortir une bière qui traînait dans le réfrigérateur. Ses muscles étaient encore tendus, son visage n'était pas dans le meilleur de ses états.

Dans un râle de douleur, il se laissa tomber dans le fond du canapé qui ornait la pièce vide qu'était son salon. « Alma. J'ai besoin de toi une seconde.» Elle pouvait bien lui venir en aide, il la laissait traîner dans son appartement et ne demandait rien en retour. Elle lui servait, la plupart du temps, d'infirmière par défaut, même si elle n'avait aucune formation pour ça. Qu'importe. Elle avait dû apprendre à se débrouiller avec le temps, avec lui. Ce n'est pas rare qu'il rentrait de la sorte, à cause de son métier. Il leva le regard pour observer autour de lui, elle devait être enfermée dans sa chambre. Oui. Elle avait sa propre chambre. Il ne la faisait pas dormir sur le sol comme un animal effrayé. Il poussa un soupir avant de se lever, laissant sa bière contre la table basse du salon. La demoiselle devait être prise au piège dans quelques rêveries qui lui étaient singulières. Il ne comprenait pas vraiment cette jeune femme, elle lui était étrangère. Elle et son langage. Il y avait pourtant ce quelque chose à même de l'animer, de l'attirer, de le fasciner. Quelques coups contre la porte. Simple signe qu'il voulait lui parler. Il ne se gênait pas, il agissait à sa propre guise. Elle était là, dans la pièce, comme un oiseau en cage. Elle ne l'était pourtant pas. La Mexicaine était largement libre de ses choix, de ses actes, mais elle était surement perdue dans cette ville qu'elle ne semblait pas connaître. « J'ai besoin que tu m'aides.» Sa voix était froide, comme la plupart du temps, mais elle pansait souvent ses plaies, son mal et cette violence. Elle et sa douceur. Elle et son accent. Il n'usait que très rarement de sa force sur elle, il ne la faisait pas ployer sous ses coups de bassin. Elle était son oeuvre d'art. Sa petite chose trop fragile pour qu'il y déverse sa colère.

Ses yeux la quittèrent et il disparut de son champ de vision. Hors de question de répéter, il n'allait pas lui demander une autre fois. La demoiselle n'était pas assez dupe pour rester attendre, pour ne pas venir vers lui. Elle savait parfaitement qu'il était mieux de venir panser ses blessures. Il fallait bien qu'elle soit utile. Une nouvelle fois, il se laissa tomber dans le fond du canapé et attrapa cette bière pour l'ouvrir. Multiples bleus ornaient sa peau, le mal se faisait ressentir contre sa peau, ses muscles étaient encore tendus et engourdis. Le pire était que la demoiselle commençait à le travailler, à faire naître des envies malsaines dans le fond de ses entrailles. Il savait parfaitement qu'il allait la briser, qu'il allait la réduire à néant s'il se perdait dans les vices qui le travaillaient. Il attendait qu'elle arrive. Il attendait qu'elle vienne à lui.

(c) Bloody Storm

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it's time to go to war

La porte de son appartement se poussa sans douceur. Comme s'il allait user de douceur parce qu'elle était là, douce colombe égarée qu'elle était. Peu importe qu'elle erre sans réel but entre les murs de sa demeure, il ne pouvait pas changer, pas pour elle. Pas pour qui que ce soit. Ce combat n'avait rien eu de facile et le sang perlait encore contre sa peau abimée. Sa lèvre était fendue. Sa joue était ouverte. Les coups avaient massacré son visage, mais il n'en avait rien à faire. Il avait fini par prendre le dessus et briser son adversaire, sentir se os se fendre sous les coups qu'il lui assénait sans retenu. Ce n'était pas comme de la boxe, ça avait tout de pire. Le free-fight n'avait pas réellement de règle alors la violence était à son apogée. C'est ce dont il avait besoin. Son exutoire depuis la mort de sa soeur, la seule chose apte à le tenir en vie. Une drogue. Sa drogue. C'était loin d'une poudre qu'il s'injectait par le nez, mais la souffrance et le mal qu'il causait de ses poings. Une rage qui ne le quittait plus, malgré le fait qu'il avait tué cet homme qu'il recherchait depuis des années. Il fit quelques pas dans son appartement, laissant tomber sa veste dans un coin. Elle était là. Comme toujours. Elle n'avait surement nulle part où allez. La demoiselle commençait à être apte à communiquer avec lui, échanger quelques mots. Il laissa son regard se poser sur elle, quelques secondes, le temps de se diriger vers la cuisine pour se sortir une bière qui traînait dans le réfrigérateur. Ses muscles étaient encore tendus, son visage n'était pas dans le meilleur de ses états.

Dans un râle de douleur, il se laissa tomber dans le fond du canapé qui ornait la pièce vide qu'était son salon. « Alma. J'ai besoin de toi une seconde.» Elle pouvait bien lui venir en aide, il la laissait traîner dans son appartement et ne demandait rien en retour. Elle lui servait, la plupart du temps, d'infirmière par défaut, même si elle n'avait aucune formation pour ça. Qu'importe. Elle avait dû apprendre à se débrouiller avec le temps, avec lui. Ce n'est pas rare qu'il rentrait de la sorte, à cause de son métier. Il leva le regard pour observer autour de lui, elle devait être enfermée dans sa chambre. Oui. Elle avait sa propre chambre. Il ne la faisait pas dormir sur le sol comme un animal effrayé. Il poussa un soupir avant de se lever, laissant sa bière contre la table basse du salon. La demoiselle devait être prise au piège dans quelques rêveries qui lui étaient singulières. Il ne comprenait pas vraiment cette jeune femme, elle lui était étrangère. Elle et son langage. Il y avait pourtant ce quelque chose à même de l'animer, de l'attirer, de le fasciner. Quelques coups contre la porte. Simple signe qu'il voulait lui parler. Il ne se gênait pas, il agissait à sa propre guise. Elle était là, dans la pièce, comme un oiseau en cage. Elle ne l'était pourtant pas. La Mexicaine était largement libre de ses choix, de ses actes, mais elle était surement perdue dans cette ville qu'elle ne semblait pas connaître. « J'ai besoin que tu m'aides.» Sa voix était froide, comme la plupart du temps, mais elle pansait souvent ses plaies, son mal et cette violence. Elle et sa douceur. Elle et son accent. Il n'usait que très rarement de sa force sur elle, il ne la faisait pas ployer sous ses coups de bassin. Elle était son oeuvre d'art. Sa petite chose trop fragile pour qu'il y déverse sa colère.

Ses yeux la quittèrent et il disparut de son champ de vision. Hors de question de répéter, il n'allait pas lui demander une autre fois. La demoiselle n'était pas assez dupe pour rester attendre, pour ne pas venir vers lui. Elle savait parfaitement qu'il était mieux de venir panser ses blessures. Il fallait bien qu'elle soit utile. Une nouvelle fois, il se laissa tomber dans le fond du canapé et attrapa cette bière pour l'ouvrir. Multiples bleus ornaient sa peau, le mal se faisait ressentir contre sa peau, ses muscles étaient encore tendus et engourdis. Le pire était que la demoiselle commençait à le travailler, à faire naître des envies malsaines dans le fond de ses entrailles. Il savait parfaitement qu'il allait la briser, qu'il allait la réduire à néant s'il se perdait dans les vices qui le travaillaient. Il attendait qu'elle arrive. Il attendait qu'elle vienne à lui.

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Milo William Langdon

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