Жизнь не улыбается к
кто бы ниJe n'ai pas toujours eu de chance. Je suis née sous une mauvaise étoile. Mon père nous a abandonné. Il ne voulait pas de nous. Il ne pensait qu'à lui, qu'à son avenir. Je suis née, il a accompagné ma mère lors de l'accouchement et il est parti. Sa carrière était plus importante que nous. Mais il est parti dignement - selon lui. Tous les mois, ma mère recevait un chèque. Quelques milliers d'euros pour subvenir à nos besoins selon lui. Aujourd'hui, je reçois toujours ses chèques. Et si je le voudrai, je ne serai même pas obligé de travailler. Mon père m'a assez donné d'argent pour une dizaine de vie. Cependant, je ne l'ai jamais vu. Je ne sais pas à quoi il ressemble. Apparemment, je lui ressemble beaucoup. Blonde aux yeux bleus. Tout ce que je sais de lui, c'est qu'il est russe. Il était à Norwich pour affaire quand il y a rencontré ma mère. Ils ont vécu une belle histoire - selon elle. Mais deux ans après son arrivée, il devait retourner à Moscou - nous abandonnant. Mais jamais je n'ai eu de contact avec. Jamais une lettre, jamais un "joyeux anniversaire". Je connais son nom, où il habite mais je n'ai jamais voulu le rencontrer. Ne me demandes pas pourquoi, c'est comme ça. Ma mère m'a assez comblé. Je n'ai jamais eu besoin de lui. Le seul lien que j'ai avec, c'est que j'ai tenu à apprendre le russe. D'un côté, c'est un pays qui m'a toujours fait fantasmé. Un pays qui me plait, même si je n'y ai jamais mis les pieds.
J'ai toujours vécu seule avec ma mère. Elle n'a jamais refait sa vie. Elle paraissait comblée. Mais je pense que ce n'était qu'une façade. Elle voulait être forte pour moi, certainement. J'aime ma mère, je l'admire. Elle a toujours affiché un magnifique sourire - malgré les épreuves. Elle est forte, admirable, douce. Elle est ma vie. Malheureusement, je ne la vois plus souvent - une à deux fois par an, pour Noël et l'anniversaire de Philip.
Мальчишеское увлечение не забывает себяOui, je le veux. C'était fait, ils étaient mariés. Tout ce temps à s'aimer, à se désirer. Graham, depuis toujours, avait été bien plus qu'un ami. Une rencontre peu banale. Deux enfants condamnés à vivre dans un hôpital. Deux vies en dangers. Graham avait été son pilier pendant toutes ces années. Au début bons amis, puis devenus confidents, meilleurs amis. Leur relation avait changé à l'adolescence. Ils ont compris ce qu'était l'amour ensemble. Une première fois pour tout ensemble. Au plus profond d'elle, Coleen savait que Graham serait l'homme de sa vie. Elle savait qu'elle allait grandir avec lui, apprendre avec lui. Autant l'un que l'autre, ils n'avaient pas eu la vie facile. Mais ils s'étaient relevés ensemble. Coleen avait pu bénéficier d'une greffe cardiaque, Graham s'était relevé de sa malformation pulmonaire.
Vous pouvez embrasser la mariée. Graham se pencha sur Coleen pour déposer un doux et passionné baiser. Cette dernière enlaça son mari. Elle frissonnait. Depuis le temps qu'elle attendait ça. Deux ans qu'ils étaient fiancés. Et plus de cinq ans qu'ils s'aimaient d'un amour inconditionnel.
Je t'aime. murmura-t-elle à son oreille. Il se dégagea de son étreinte, un sourire aux lèvres. Elle se doutait que ça n'allait pas être facile. Coleen détestait le métier de Graham. Sans arrêt absent, toujours à devoir être muté à droite et à gauche. Mais elle l'aimait tellement. Elle ne voyait pas faire sa vie sans lui. Loin de là. Coleen sans Graham, ça ne pouvait exister. C'était impossible, inimaginable.
Je te présente Philip Graham Livingston. Les yeux remplis de larmes, Coleen présentait son fils à Graham. Il n'avait pas pu être présent pendant l'accouchement. Ce jour là, il était sur le terrain. Et même si l'accouchement était prévu, il n'avait pas pu se libérer - au grand damne de Coleen. Un accouchement sans son mari, c'était difficile à accepter. Mais elle n'avait pas le choix, elle ne pouvait décider.
Il a les magnifiques yeux de sa mère. Il déposa un baiser sur les lèvres de Coleen avant de prendre Philip dans ses bras. Graham les regardait à tour de rôle, les yeux remplient d'amour. Un an qu'ils étaient mariés et ils s'aimaient toujours autant. Pourtant, un part de Coleen commençait à se lasser. Elle en avait marre d'être toujours seule, sans son mari. Et elle se doutait que ça allait continuer encore longtemps. ça lui faisait peur. Elle redoutait le moment où Philip allait dire ses premiers mots, quand il ferait ses premiers pas, ses premières dents. Elle espérait que Graham puisse être là pendant ces instants de bonheur. Elle était contrainte de devoir accepté ce travail si prenant. ça ne lui plaisait pas. Mais elle avait tout autant peur pour Graham qui allait sûrement s'en vouloir de rater ces moments. Et Philip, qu'allait-il penser de son père si absent ?
Assise sur le canapé, elle attendait que Graham rentre du travail. Philip était chez la mère de Coleen. C'était les vacances scolaires et elle avait préféré l'y envoyer. Leur couple allait mal et ça faisait un moment. Leur mariage était en péril. Et malgré l'amour qu'ils s'étaient portés, tout avait changé. Bien sûr, Coleen aimait toujours Graham. Ses sentiments pour lui seraient éternels, elle en était certaine. Elle n'avait pas préparé le dîner. Ce qui était étonnant venant d'elle. Non, ils devaient parler. C'est pour cela que Philip était parti à Norwich, pour que Graham et elle puissent parler. Elle voulait arranger les choses, elle voulait sauver les meubles.
Je suis rentré ma puce. Il était là, c'était le moment. Aucune lumière était allumée alors que la pénombre faisait place. Pas de télévision. Juste sa guitare sur le canapé, à côté d'elle. Il arrive près d'elle et l'embrasse sur le front. C'était devenu une habitude. C'était tout.
Je dois te parler Graham. Sa voix était froide - même glaciale.
Depuis un moment, ses sentiments avaient changé. Elle n'était plus la même. Elle en avait marre, marre d'être seule et ça lui pesait. Depuis quelques mois, elle avait rencontré quelqu'un. Un homme présent pour elle, quelqu'un avec un métier fixe qui ne le contraignait pas de partir. Quelqu'un comme elle. Scàarh était entré dans sa vie sans même qu'elle ne s'en rende compte. Il était critique d'art et ils s'étaient rencontrés dans une galerie où Coleen exposait ses œuvres. Ils avaient longuement parlé. Ils s'étaient revus. ça avait été comme un coup de foudre. Avec Scàarh, elle vivait à nouveau. Et c'était malgré elle. Elle avait bien essayé de résister. Mais Graham et elle s'éloignaient chaque jour un peu plus tandis que Scàarh se rapprochait d'elle.
Alors, dans sa tête, elle avait décidé de faire réagir Graham. Peut-être qu'il allait se rendre compte qu'il la perdait et qu'il allait changer de comportement. Graham poussa la guitare de son épouse et s'installa à côté d'elle. Coleen prit sa main. Les larmes commençaient à remplir ses yeux. ça allait être difficile.
J'ai rencontré quelqu'un d'autre.. Voilà, c'était dit. Enfin, pas tout à fait. Coleen voulait pousser le vice. Elle voulait mentir à Graham. Malgré les sentiments qu'elle ressentait pour Scàarh, malgré son attirance pour lui, jamais elle n'avait fait un peu de travers. Autant dire qu'elle avait toujours été fidèle. C'était une ligne de conduite.
Comment ça ? C'était dur. Mais elle imaginait bien comment Graham allait réagir.
Je t'ai trompé. Et voilà, c'était fini. Elle lisait sur son visage à quel point elle le décevais. Et elle le comprenait. Elle ne savait même pas comment elle, elle aurait réagi. Certainement qu'elle se serait transformée en une furie. Elle espérait qu'il fasse quelque chose, qu'il se réveille. A la place, Graham se leva et parti. Leur histoire était définitivement finie.
Мы любили друг друга Scàarh avait préparé un dîner aux chandelles. Une surprise pour Coleen. Il était loin d'être comme ça. Même si Scàarh était l'homme parfait aux yeux de Coleen, elle ne pensait pas qu'il pourrait avoir un élan de romantisme. Ils en étaient au dessert lorsqu'il est arrivé avec un bouquet de roses et une bague. Un genou à terre, il venait de lui demander de l'épouser. ça ne faisait que quelques mois qu'ils étaient en ménage, huit ans qu'ils se connaissaient, huit ans d'attirance. Mais Coleen avait été trop peinée par son divorce. Et malgré tout ce qu'elle éprouvait pour Scàarh, elle voulait se remettre pleinement de sa rupture avant de commencer une nouvelle relation. Elle était loin d'imaginer que Scàarh comptait la demander en mariage. C'est pour cela qu'elle ne répondit pas directement. Elle était plutôt choquée. Qu'allait penser Philip ? Les deux garçons s'entendaient plutôt bien, mais elle avait tout de même peur de la réaction de son fils.
Je t'aime. Bien plus que quiconque ait pu t'aimer. Je t'aime depuis plus de huit ans. Je veux que tu porte mon nom, je veux qu'on ait des enfants ensemble. Ma vie elle est avec toi et personne d'autre. Avec toi et Philip. Scàarh prenait Philip en considération. Les larmes aux yeux, Coleen embrassa Scàarh.
Oui, je veux t'épouser mon amour. A la base, quand elle avait divorcé, elle s'était promis de ne jamais se remarier. Les séparations, les disputes faisaient trop mal. Alors qu'elle embrassait son futur époux, Coleen pensait à Graham. Qu'allait-il penser de tout ça ? Est-ce qu'il allait supporté qu'elle se remarie ? Après tout, ce n'était plus son problème. Graham n'avait pas rattrapé Coleen. Il y a cinq ans, il était parti. Il avait pris ses affaires, avait accepté le divorce et c'était tout. Alors, à présent, elle se fichait bien de ce qu'il pouvait ressentir. Elle allait profiter de ce mariage, elle allait être heureuse et cette fois, elle ne divorcera pas.
Любовь продолжался только
один момент Scàarh était sur le canapé, un verre de whisky à la main. Coleen venait rentrer, exténuée de cette journée.
J'ai emmené Philip à Graham pour le week-end, tu n'as pas eu mon message ? Les yeux de Scàarh reflétait sa colère. Il avait bu, encore une fois. Depuis qu'ils étaient arrivés à Caerphilly, son époux buvait de plus en plus d'alcool. Elle détestait ça.
Si je l'ai eu ! Mais tu as vu le temps que tu as mis ! Le ton de Scàarh devenait de plus en plus agressif. Coleen se réfugia dans la cuisine pour se servir un verre de vin. Il était saoul, ça se voyait. Un an qu'ils étaient mariés, un an de malheur pour Coleen. Scàarh n'était plus le même. Comme si le prince charmant s'était transformé en crapaud maléfique. Une fois de plus, son mariage s'écroulait.
Tu aurais pu faire la vaisselle Scàarh. Dit-elle sur un ton calme et posé. Elle ne voulait pas s’énerver, pas ce soir. Avoir vu Graham lui avait fait remonter un tas de souvenirs à la surface. Comme d'habitude à chaque fois qu'ils se rencontraient, elle était mal. Mal de l'avoir quitté, mal de ne plus être avec lui. Elle pensait avoir trouvé mieux, mais il n'y a pas mieux que Graham. Non, elle a hérité du pire. Scàarh était tellement magique avant leur mariage. Et il a changé du tout au tout dès qu'elle eut la bague au doigt.
Tu te fous pas de moi ? Toi, tu pourrais faire la vaisselle plutôt que de te faire sauter par ton ex mari ! Et c'était reparti, une nouvelle crise de jalousie. Coleen était lasse de tout ça.
Tu racontes n'importe quoi ! Depuis qu'ils étaient arrivés, Scàarh n'arrêtait pas. Graham par ci, Graham par là. C'était déjà difficile pour Coleen d'avoir trouvé un contrat là où son ex vivait, de le revoir régulièrement, d'avoir un énorme mur entre eux alors Scàarh qui en rajoutait, c'était trop.
Il balança son verre sur le mur. Elle savait comment ça allait se finir. Elle le connaissait par coeur. Elle ne se débattrait pas, elle ne ferait rien. Une fois de plus, ce jour là, Scàarh leva la main sur elle. L'homme parfait devenait un monstre. Il lui mit une gifle qui l'a fit tomber par terre. Heureusement, il n'avait jamais levé le petit doigt sur Philip.
Elle partit sur réfugier dans un coin, assise sur le sol.
Tu es fou... Des larmes coulaient le long de son visage. Il était fou, mais elle l'aimait. Ce n'était plus comme avant, certes. Mais elle l'aimait. Pas autant qu'elle avait pu aimer Graham, évidemment. Un jour, elle partira. Un jour, elle ne se fera plus battre. Elle prendra son courage à deux mains et elle quittera Scàarh - s'il ne l'a tue pas avant.
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Prénom : Coleen. 
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. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : yes, i want 
.
Si tu as des questions nous sommes là.
enfin non, j'aime bien tenter d'en faire, pas les bébés.
