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| Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Sam 3 Mai - 20:15 | |
| Adrian Landson i like the way it's hurtsNom : Landson Prénom : Adrian Âge : 28 ans date et lieu de naissance : 25 janvier 1986 à Newtown vos origines : Galloises, et anglaises Métier : Interne en pédiatrie à l'hôpital Orientation sexuelle : Hétéro Statut matrimonial : Célibataire côté financier : Il se débrouille Caractère : Protecteur ; Possessif ; Amical ; Colérique ; Amusant ; Impulsif ; Altruiste ; Renfermé ; Sensible ; Réservé Groupe : les conditionnels un peu plus sur vous. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. des questions sur vous.depuis combien de temps êtes-vous en ville? votre réponse ici en cinq lignes. comment considérez vous votre vie actuellement? votre réponse ici en cinq lignes. est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? votre réponse ici en cinq lignes. derrière l'écran.votre pseudo : Emi Burton votre âge : 18 ans votre pays : France scénario ou inventé : Inventé votre fréquence de connexion : 6/7 comment êtes-vous arrivé ici? : Par bazzart vos commentaires/impressions : j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : huuum... Oui ? |
| | | | Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Sam 3 Mai - 20:15 | |
| story of my life i like the way it's hurtsAnd when the night is cloudy there is still a light that shines on me, shine until tomorrow, let it be
« Mamaaaaaaan !! Adrian a cassé ton vase en lançant sa balle dessus ! » La petite criait dans la maison pour attirer l’attention sur le mensonge qu’elle venait de raconter. Adrian releva la tête, interloqué. « Adrian ?!! Ce vase appartenait à ma grand-mère ! Arrête de jouer avec cette stupide balle et file dans ta chambre ! Tu seras privé de dessert ! » Le garçon bégaya quelques mots, tentant de faire comprendre à sa mère que ce n’était pas lui le fautif, mais bien ses deux pestes de sœurs qui s’amusaient sans prendre en compte l’environnement autour. Il finit par abandonner, sachant pertinemment que sa mère refuserait toujours de le croire. Il baissa la tête et lança un regard mauvais à Cristelle, la plus jeune des jumelles, la plus malingre sans doute, et monta s’enfermer dans sa chambre. Ca se passait souvent comme ça dans la famille. Les deux plus jeunes faisaient des bêtises, certaines plus graves que d’autres, et c’était lui qui se faisait punir. Le garçon de huit ans qu’il était trouvait ça bien injuste de devoir payer à la place de ses sœurs, mais n’arrivait jamais à leur en vouloir bien longtemps. Il adorait déjà ses sœurs, et même s’ils s’embêtaient mutuellement, se chamaillant, se taquinant, il serait toujours là pour prendre soin d’elle, comme un grand frère modèle qui laissait tout passer. Il avait donc passé l’après-midi à lire et à jouer de sa guitare miniature tranquillement. Il était assez calme à l’époque. Plus tard dans la soirée, il avait refusé d’aller manger avec le reste de la famille, encore un peu vexé de la réaction de sa mère. Bizarrement, le courant n’avait jamais passé avec elle. Ses réactions étaient accentuées par cent lorsque c’était elle qui parlait. Il en arrivait à la haïr un instant pour une histoire de yaourt périmé. C’était excessif, mais sa mère, il ne l’appréciait pas vraiment. Dans sa chambre, Adrian révisait les accords qu’il avait appris la veille à la guitare, lorsque quelqu’un frappa à la porte. Il grogna pour inviter la personne à entrer, et découvrit ses deux petites sœurs, la mine peu fière, une assiette de flan à la main. A cette vue, il posa sa guitare et ne put s’empêcher de sourire. Ces sœurs, malgré tout, restaient adorables. Ce fut bien entendu Cristelle qui prit la parole la première. « On a dit à maman que c’était nous pour le vase… » Elle baissa la tête et rougit légèrement, certainement peu fière de son premier mensonge. Puis Jena continua. « Désolées d’avoir menti… Maman t’a disputé à cause de nous… » Adorables. Adrian ne pouvait décidément pas leur en vouloir plus longtemps. Cristelle prit la suite. C’était drôle de voir comme elles finissaient les phrases l’une de l’autre. « Papa a dit que c’était pas bien de mentir et que tu devais être triste maintenant, alors on t’a amené un morceau du flan que papa a fait. » Elle posa l’assiette sur la table de chevet à côté du garçon, un peu hésitante. « Maman a dit qu’elle est désolée de t’avoir grondé… » Elles restèrent toutes les deux là, sans oser faire un geste, la tête basse. Adrian sourit plus encore et lâcha même un petit rire. Il s’approcha d’elles pour les prendre toutes les deux dans ses bras. « Merci. » Il se rassit ensuite sur son lit et les regarda toutes les deux avant de prendre l’assiette de flan. « Vous en voulez un peu ? » Les deux petites filles relevèrent la tête d’un seul mouvement et se mirent à sourire. Ils partagèrent donc le flan tous les trois dans sa chambre, tranquillement. Ses petites sœurs étaient adorables.
We are wild, we are like young volcanoes, we are wild, Americana, exotica
Le garçon de huit ans laissa petit à petit place à l’adolescent de seize ans, fier et, il fallait bien l’avouer, assez idiot pour croire que boire et fumer faisait de lui quelqu’un de cool. L’adolescence, pour lui, a certainement été la pire période de sa vie. Il n’écoutait plus ses parents, il hurlait après sa mère, refusant d’obéir, il faisait le mur, séchait parfois des cours qui ne l’intéressait pas, bref, l’idiotie adolescente classique. Ses sœurs étaient les seules qui réussissaient à le faire redevenir le garçon calme et posé d’autrefois. S’il devait aujourd’hui expliquer pourquoi il était aussi rebelle dans sa jeunesse, il ne saurait pas vraiment répondre. Peut-être que le fait d’avoir une mère qui ne le comprenait pas et passait son temps à lui reprocher toutes sortes de choses n’aidait pas. Ou peut-être qu’il étouffait, dans cette famille classique et bourgeoise, parce que oui, sa famille avait largement de quoi se payer ce qu’elle voulait. Il avait sans doute le besoin de se démarquer, de dire qu’il était là, lui, Adrian, et qu’il n’était pas comme tout le monde. Là où les autres recherchaient la banalité, il voulait l’originalité. Il n’hésitait pas à dire que quelque chose ne lui plaisait pas, haut et fort, avec une franchise qui lui attirait parfois des ennemis, mais que certains appréciaient tout particulièrement. Il était vrai et ne cherchait pas vraiment à cacher ce qu’il était. Il se battait pour ses idéaux, participant même à quelques manifestations contre l’avis de sa mère, qui le trouvait complètement stupide de penser que ça pouvait changer les choses. C’était certainement ce qu’il détestait le plus chez sa mère. Son fatalisme. Ce fut d’ailleurs à ce sujet qu’ils se disputaient régulièrement, faisant presque trembler les murs de la maison tant leurs cris étaient puissants. Un soir, une nouvelle guerre éclata, Adrian quitta la table en balançant son assiette bêtement contre le mur. Ses sœurs poussèrent un cri à l’unisson, surprises, sa mère parut totalement choquée, prête à l’attaquer, et son père, lui, semblait complètement déboussolé. Adrian n’était pas vraiment violent, mais lorsqu’on le contre disait sur un sujet qu’il prenait réellement à cœur, il s’énervait énormément vite. Il quitta donc la pièce et entra dans sa chambre en claquant la porte. Il s’assit à la fenêtre et alluma une cigarette pour se calmer, comme il faisait bien –trop- souvent. Il enfonça des écouteurs dans ses oreilles et écouta de la musique aussi fort qu’il le put, si bien qu’il n’entendit pas son père entrer. Celui-ci s’approcha discrètement de son fils et s’assit à côté de lui à la fenêtre. Adrian paniqua, cachant tant bien que mal sa cigarette, mais son père lui lança un doux sourire. « J’ai vu tu sais. Et franchement, vu l’odeur de cigarette que tu dégages, ça fait un moment que je suis au courant. » Son père, jamais il ne criait. D’habitude, c’était les pères qui se mettaient à hurler les premiers, mais lui, il était le calme même. Adrian avait toujours été plus proche de son père, il avait la sensation qu’il le comprenait. Il écrasa sa cigarette, par respect pour son paternel. Il savait qu’il n’aimait pas ça. Celui-ci passa une main amicale sur l’épaule de son fils. « Tu as fait peur à tes sœurs ce soir. Et à ta mère aussi. Je sais que tu as du mal avec elle, mais ne lui en veut pas, d’accord ? Elle s’inquiète pour toi, tu sais ? C’est normal, tu es son fils. Si elle est comme ça, c’est parce qu’elle tient à toi. Tu devrais essayer d’être un peu plus tolérant, je suis sûr que ça irait mieux si tu faisais quelques efforts. » Des mots classiques, presque clichés, mais qui résonnaient déjà dans la tête d’Adrian. « Tu es quelqu’un de bien, je sais que tu t’inquiètes toujours pour les autres, pour tes sœurs en particulier. Tu défends tes idées, et c’est très bien, surtout que ce en quoi tu crois, c’est en quelque chose de meilleur. Personne ne peut te reprocher ça. Tu vas devenir un homme bien, j’en suis persuadé. Mais tu n’y arriveras pas tout seul, pas vrai ? Alors la haine envers le monde entier, ça ne t’aidera pas à avancer, au contraire. Si tu veux aider le monde, il faut d’abord essayer de le comprendre. » Son père, c’était quelqu’un. Adrian l’admirait plus que quiconque. C’était un médecin. Ce qu’il disait de son métier, c’était qu’il avait la chance de pouvoir se rendre utile pour les autres. Se donner pour les autres. Et bien vite, ce même métier devint la vocation d’Adrian, comme un hommage à son père, et à ces mots qu’il garderait toujours en mémoire.
I'm the hero of the story, don't need to be saved, it's alright, it's alright
Le temps avait passé, emportant avec lui la folle rébellion d’Adrian. Il avait fini par se calmer, avait terminé le lycée avec des résultats plus que suffisants, puis avait commencé des études dans la médecine, comme son père. Il faisait d’ailleurs sa fierté. Il pouvait compter sur lui pour l’aider lorsqu’il ne comprenait pas quelque chose. Il avait rencontré une jolie jeune femme voulant devenir infirmière. Il était vite devenu très proche d’elle et petit à petit, l’amour s’y était mêlé. Ils restèrent un long moment ensemble. Pendant quatre ans, elle a partagé sa vie. Ils avaient même pris un appartement ensemble. Il l’aimait. Elle, elle était folle de lui. A l’excès même. Il n’avait pas le droit d’approcher quelconque autre femme, il était presque emprisonné, mais il s’en fichait au début. Il poursuivait sa voie en tant que médecin en formation et commença son internat dans l’hôpital de sa ville natale, Newtown. Son père était fier de lui, ses sœurs également, toujours si proches de lui, en particulier Cristelle. Tout allait à peu près bien dans sa vie, rien d’exceptionnel. Puis un évènement changea tout. Son père, avec qui il était si proche, se fit percuter en voiture par un camion. Il fut transporté d’urgence à l’hôpital, mais personne n’avait rien pu faire. La violence de l’accident avait réduit tout espoir de survie à néant. Il n’était pas mort sur le coup, et avait souffert avant de finalement quitter ce monde. Le choc fut difficile à encaisser pour la famille, et pour Adrian en particulier. Il ne réalisait pas encore ce qu’il venait de perdre. Ce fut seulement à l’enterrement qu’il comprit que son père ne reviendrait jamais plus. Ce jour-là, il faisait un temps radieux. Plein soleil, une chaleur confortable qui contrastait avec la tristesse de l’événement. L’inverse même des mauvais films américains. Le cercueil s’abaissait progressivement sous les yeux des invités, certains en larmes, d’autres la mine triste, certains encore le visage dénué de toute expression. C’était le cas d’Adrian. Voir ce cercueil gagner sa dernière demeure, ça lui aspirait toute parcelle de vie. Il avait le regard vide, le visage livide. Son père était mort à cinquante-quatre ans seulement. Il aurait pu vivre encore bien des choses. Sa petite-amie le tenait par le bras, comme si ça pouvait le soutenir, posant sa tête contre son torse pour signaler sa présence. Adrian, il s’en fichait. Le monde extérieur n’avait plus d’importance. Perdre son père, c’était pire que tout. En rentrant de l’enterrement, les conversations reprenaient leur cours normal pour tous les étrangers à la famille Landson, comme s’ils avaient assisté à une banale série à la télévision. Et la petite-amie d’Adrian en faisait partie, de ceux-là. « La robe de Cristelle est somptueuse. Et son discours était magnifique. Elle lui a fait un bel hommage. Tu aurais dû parler toi aussi, tu crois pas ? C’était ton père après tout. Ta mère a l’air abattue elle aussi, tu crois que ça ira ? Cris et Jena partent bientôt en France c’est ça ? Ta mère va se retrouver toute seule… Tu ne crois pas qu’il vaudrait mieux qu’on vive avec elle quelques temps ? » Elle ne s’arrêtait pas de parler, et insistait devant le mutisme du brun. Lui, il n’avait plus de mot pour parler. Il n’en avait plus l’envie. Il préférait rester muet. Elle l’agaçait à jacasser comme ça. En route pour la maison de son enfance, il finit par s’écarter d’elle, dégageant son bras qu’elle tenait depuis le début. « Laisse-moi tranquille. Tu m'énerves. Je crois que je veux être seul, tu comprends, ça ?! » Il ne voulait plus la voir. Tout d’un coup, elle était devenue celle qu’il détestait le plus au monde. Peut-être un moyen de reporter la rage de la mort de son père sur quelqu’un, comme pour trouver un fautif. Suite à ça, leur couple prit fin. Elle quitta l’appartement, et il évita un maximum de la recroiser. Et pourtant, elle s’accrochait à lui telle une sangsue. Pour faire le deuil de son père, il avait besoin d’être seul.
You make me smile like the sun, fall outta bed, sing like a bird, dizzy in my head
En mourant, son père avait laissé derrière lui une somme d’argent conséquente en héritage. Prévoyant, il avait déjà rempli un testament, dans lequel il disait vouloir léguer équitablement sa fortune à ses trois enfants ainsi qu’à sa femme. Tout le monde accepta l’héritage, sauf Adrian. Pour lui, l’idée de recevoir de l’argent comme une compensation à la mort de quelqu’un était ridicule. De plus, il n’avait pas envie de se dire que tout ce qu’il avait, c’était grâce à sa famille. Il voulait se débrouiller seul. Aussi, il donna sa part de l’héritage à ses sœurs principalement. Celles-ci d’ailleurs, étaient tout de même parties à l’étranger, à Paris. Elles disaient que c’était la capitale de la mode, et que leur rêve se trouvait là-bas. Les deux jumelles étaient unies d’une même passion, autant dire qu’elles étaient inséparables. Elles manquaient énormément à Adrian, qui se retrouvait désormais seul avec sa mère. Il ne supportait pas ça. Un jour, au travail, on lui proposa une mutation, loin de sa ville natale, à Caerphilly. Il hésita un long moment, puis finit par accepter. Il avait besoin de changer d’air, de quitter cette ville qui l’avait vu grandir, de quitter le souvenir de son père, présent partout où il passait. Il déménagea donc dans cette petite ville à l’apparence tranquille, prêt pour un nouveau départ, toujours déprimé par la mort de son paternel. Sa mère le suppliait de rester, pour des raisons presque trop égoïstes, mais il l’ignora, préférant faire son deuil loin d’ici. Le premier jour en tant qu’interne dans ce nouvel hôpital changea une bonne partie de sa vie. Il était occupé à scruter différents dossiers de divers patients, tâchant également de se repérer dans ce bâtiment complètement inconnu, avançant sans prendre garde à ce qui aurait bien pu passer devant lui, puis il croisa par inadvertance les jolis yeux verts bleutés d’une charmante blonde. Rien que ce regard, et il était déjà attiré par elle, et on aurait largement pu citer ici le papillon attiré vers la lumière. Il s’arrêta net dans ce grand couloir, et son guide, et désormais collègue, se stoppa également, surpris par cet arrêt soudain. Adrian détourna enfin le regard de la blonde pour interroger son collègue. « Tu connais cette blonde là-bas ? » Il lança un coup d’œil pour signifier de qui il parlait, se voulait le plus discret possible. « Oui, évidemment, pourquoi ? » Il esquissa un sourire. « Elle s’appelle comment ? » Son interlocuteur sourit bêtement, comprenant aussitôt ce qui se tramait. « Si je te dis, tu me paies un verre ? » Chantage. Adrian hésita, se demandant si ça valait vraiment la peine, puis hocha finalement la tête en regardant son futur ami d’un œil mauvais, mais rieur. « Alors, elle s’appelle Eva, elle a vingt-trois ans et est interne en pédiatrie. » Il n’attendait pas tant d’informations, mais ça ne le déplut pas. Il esquissa un dernier sourire avant de continuer sa route. Quelques instants plus tard, ils se croisèrent, et restèrent bloqués quelques secondes l’un sur le regard de l’autre. Elle finit par se détacher et continuer son chemin, et Adrian ne put s’empêcher de se retourner pour la voir partir. Juste en un regard, elle avait réussi à lui faire oublier toute la peine qu’il pouvait bien ressentir. Il avait eu une idée de génie en acceptant de venir ici. Tout paraissait déjà changé, et ça ne faisait que commencer. Le soir-même, avec ce fameux collègue, ils allèrent effectivement boire un verre ensemble, et finirent par se raconter leur passé, Adrian restant pourtant assez flou, et la discussion vira bien vite sur le sujet Eva. Elle lui avait coupé le souffle.
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| | | Devon Nightingale
vos messages : 2106 Date d'inscription : 20/04/2014
| Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Sam 3 Mai - 20:28 | |
| Bienvenue jeune homme. Nous manquons d'hommes ici, je pense que ca fera un peu de bien Bonne chance pour la rédaction de ta fiche |
| | | Trinity O'Hara
vos messages : 885 Date d'inscription : 22/04/2014
| Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Sam 3 Mai - 20:47 | |
| Je te souhaite la bienvenue parmi nous jeune homme. Un interne ? Un interne en quoi ? XDD |
| | | | Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Sam 3 Mai - 20:52 | |
| Merci à vous deux ! Trinity : Interné en hôpital psychiatrique Interne en pédiatrie ^^ J'ai rajouté XD |
| | | Ellias Cavanaugh
vos messages : 1878 Date d'inscription : 18/04/2014
| Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Sam 3 Mai - 21:19 | |
| xD bienvenue |
| | | | Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Dim 4 Mai - 1:48 | |
| Welcome |
| | | James Stonebridge
vos messages : 228 Date d'inscription : 25/04/2014
| Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Dim 4 Mai - 6:07 | |
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| | | | Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Dim 4 Mai - 11:06 | |
| Welcome here |
| | | | Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Mer 7 Mai - 12:31 | |
| Bienvenue ! |
| | | Tobias Lowe
vos messages : 276 Date d'inscription : 06/05/2014
| Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Mer 7 Mai - 19:18 | |
| Très bon choix d'avatar ! Bienvenue |
| | | Devon Nightingale
vos messages : 2106 Date d'inscription : 20/04/2014
| Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing Jeu 8 Mai - 13:06 | |
| Bonjour à toi mon petit. Ton délai se termine dans deux jours. Si tu as besoin d'aide ou de temps supplémentaire, il ne faut pas hésiter à avertir un membre du staff. Pour le moment, ta fiche sera déplacée dans la partie des fiches en danger. Il suffit de nous donner signe de vie pour que nous te remettions au bon endroit. En espérant que tu restes parmi nous. |
| | | | Sujet: Re: Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing | |
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| | | | Adrian | Ooh eeh ooh ah aah ting tang walla walla bing | |
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