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Jamie & nom

i like the way it's hurts

Nom : Au choix. ✏ Prénom : Jamie, pour le scénario, mais le prénom et le nom sont aux choix. ✏ Âge : Entre 22 et 24 ans. ✏ date et lieu de naissance : Au choix. ✏ vos origines : Au choix. ✏ Métier : Assistante à la mairie. ✏ Orientation sexuelle : Au choix. ✏ Statut matrimonial : Au choix. ✏ côté financier : Aux choix. Caractère : Spontanée, amusante, boute-en-train, candide, souriante, sincère, franche …  ✏ Groupe : Aux choix. ✏ Avatar : J'ai mit Zoey Deutch parce qu'elle fait candide, mais Isabelle Cornish ferait tout aussi bien l'affaire. L'avatar est négociable.

son histoire, sa vie.
L’histoire du personnage est au choix, veuillez simplement respecter ces points.
- Je la vois bien venant d'une famille aisée, mais qui tente de s'émanciper et de vivre sa propre vie.
-Jamie et Tate se connaissent depuis trois ans, depuis leur embauche respective.
-Elles se sont rapidement liées d’amitié.
- Possibilité d’avoir un lien avec Zachary Connely, à voir ensemble.  

les liens du personnage.
Tate Hadley we all nedd someone to trust ✏ Tate et X sont collègues de bureau depuis maintenant trois ans. Au début, elles ne se voyaient pas en dehors des heures de bureau. De fil en aiguille, elles allèrent boire un café ensemble, déjeuner ensemble en dehors du bureau, elles finirent même par se raconter leur vie. Depuis quelques mois, Tate et Zach, l'adjoint du maire, vont à des soirées caritatives ensemble et X le voit bien que Tate n'en est pas indifférente.

extrait de ma fiche :
Jamie et moi avions l'habitude d’aller déjeuner ensemble ou bien simplement prendre un café pour se raconter des trucs, pour la plupart, anodins de notre vie. Ou bien simplement pour parler du boulot. C’était ça aussi être collègues de travail. Depuis maintenant trois ans, j’étais employé à la mairie comme réceptionniste. Jamie et moi, nous nous connaissions depuis le même nombre d’années. Notre amitié s’est formée devant la machine distributrice de la mairie, d’une passion commune pour les Starbusts, pâtes à mâcher a saveur de fruits, emballés individuellement dans des papiers de couleurs.

Depuis quelques mois maintenant, les gens chuchotaient derrière mon passage, les langues sales disaient que j’avais fait de l’œil à l’adjoint du maire, Zachary, pour m’attirer ses foudres. D’autres disaient qu’après les heures de bureau, on s’amusait à s’envoyer en l’air sur la photocopieuse.  

Toute cette histoire parce qu’il y a huit mois, Zachary m’avait proposé de l’accompagner à une soirée caritative en échange d’une prime sur mon salaire. L’idée d’accompagner mon supérieur ne me plaisait pas du tout, je le trouvais froid et hautain et j’avais toujours eu l’impression qu’il ne m’avait pas dans ses bonnes grâces. Je ne pouvais pas refuser l’offre, j’avais vraiment besoin de ces fonds supplémentaires.

À mon plus grand étonnement, la soirée fut agréable. Délicieuse, même. Zach n’étais pas l’homme que je croyais qu’il était. Il était très poli, courtois et galant. Tout ce à quoi je ne m’attendais pas, venant d’un homme du 21e siècle. Les semaines passèrent et je l’accompagnais toujours à ses soirées.

D'entrée de jeu, Jamie me lançait l'une de ses tirades, directes, Bam! J’avais à peine eut le temps de prendre une gorgée de mon cappuccino qu’elle me balança ses sornettes à la figure. C’était son truc.

« Ça crève les yeux que tu en pinces pour lui! ». Confiante, sourire triomphant décorant son visage, elle était on ne peut plus sure de ce qu’elle avançait et je détestais quand elle avait ce regard. « Non, mais tu délires, ma pauvre! ».  Ce à quoi, je m’esclaffais, de plus belle. « Allez avoue-le, crache le morceau! ». Rétorquait-elle, l’air sérieuse. « Eh puis quoi encore ». Je croquais ma brioche à pleine dent en la désignant du menton. « À d’autres, oui, moi je te connais trop! ». Répondit Jamie, du tac au tac. « C’est mon supérieur et je l’accompagne à ses soirées, c’est tout » , me défendis-je du mieux que je pus.

Elle osa surenchérir - et elle y prenait un malin plaisir à voir sa tête - sur différents faits et gestes qui, selon elle, était un gage de mon affection pour Zachary, sur le fait que les rumeurs étaient peut-être vraies. Enfin, peut-être que quelques-unes étaient véridiques. Sauf celle du photocopieur. Bien sûr.

« Je continue ou tu en as assez ? », me défia-t-elle, en arquant un sourcil. « Vas s'y, fais toi plaisir! » , dis-je sur un ton las, question de l’agacer un peu pour qu’elle lâche le morceau. Comme prévu, elle déblatéra une suite de preuves tirées de son raisonnement, qui selon elle, était suffisant pour me prouver que j’avais tort et elle raison. Je regardais par la fenêtre, ennuyée, tandis qu’elle stoppa net puisqu’elle vit qu’elle monologuait. « Arrête un peu Tate, c’est plus qu’évident, en tant que meilleure copine du boulot qui te rapporte des sandwichs pour le déjeuner, tu peux quand même m'obéir! » Elle adorait la ramener celle-là. Rien que parce qu’une fois elle avait voulu échanger son sandwich avec moi, les seuls sandwichs restants de la cafétéria étaient au thon et que j’avais une sainte horreur du thon, je l’avais désignée comme étant le meilleur être vivant que je connaisse.  Je n’osais pas ajouter quoique ce soit, sachant pertinemment que ce serait inutile puisque dès que j’ouvrirais la bouche, elle se précipiterait pour me clore le bec avec ses arguments à la con.

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Nom : Au choix. ✏ Prénom : Jamie, pour le scénario, mais le prénom et le nom sont aux choix. ✏ Âge : Entre 22 et 24 ans. ✏ date et lieu de naissance : Au choix. ✏ vos origines : Au choix. ✏ Métier : Assistante à la mairie. ✏ Orientation sexuelle : Au choix. ✏ Statut matrimonial : Au choix. ✏ côté financier : Aux choix. Caractère : Spontanée, amusante, boute-en-train, candide, souriante, sincère, franche …  ✏ Groupe : Aux choix. ✏ Avatar : J'ai mit Zoey Deutch parce qu'elle fait candide, mais Isabelle Cornish ferait tout aussi bien l'affaire. L'avatar est négociable.

son histoire, sa vie.
L’histoire du personnage est au choix, veuillez simplement respecter ces points.
- Je la vois bien venant d'une famille aisée, mais qui tente de s'émanciper et de vivre sa propre vie.
-Jamie et Tate se connaissent depuis trois ans, depuis leur embauche respective.
-Elles se sont rapidement liées d’amitié.
- Possibilité d’avoir un lien avec Zachary Connely, à voir ensemble.  

les liens du personnage.
Tate Hadley we all nedd someone to trust ✏ Tate et X sont collègues de bureau depuis maintenant trois ans. Au début, elles ne se voyaient pas en dehors des heures de bureau. De fil en aiguille, elles allèrent boire un café ensemble, déjeuner ensemble en dehors du bureau, elles finirent même par se raconter leur vie. Depuis quelques mois, Tate et Zach, l'adjoint du maire, vont à des soirées caritatives ensemble et X le voit bien que Tate n'en est pas indifférente.

extrait de ma fiche :
Jamie et moi avions l'habitude d’aller déjeuner ensemble ou bien simplement prendre un café pour se raconter des trucs, pour la plupart, anodins de notre vie. Ou bien simplement pour parler du boulot. C’était ça aussi être collègues de travail. Depuis maintenant trois ans, j’étais employé à la mairie comme réceptionniste. Jamie et moi, nous nous connaissions depuis le même nombre d’années. Notre amitié s’est formée devant la machine distributrice de la mairie, d’une passion commune pour les Starbusts, pâtes à mâcher a saveur de fruits, emballés individuellement dans des papiers de couleurs.

Depuis quelques mois maintenant, les gens chuchotaient derrière mon passage, les langues sales disaient que j’avais fait de l’œil à l’adjoint du maire, Zachary, pour m’attirer ses foudres. D’autres disaient qu’après les heures de bureau, on s’amusait à s’envoyer en l’air sur la photocopieuse.  

Toute cette histoire parce qu’il y a huit mois, Zachary m’avait proposé de l’accompagner à une soirée caritative en échange d’une prime sur mon salaire. L’idée d’accompagner mon supérieur ne me plaisait pas du tout, je le trouvais froid et hautain et j’avais toujours eu l’impression qu’il ne m’avait pas dans ses bonnes grâces. Je ne pouvais pas refuser l’offre, j’avais vraiment besoin de ces fonds supplémentaires.

À mon plus grand étonnement, la soirée fut agréable. Délicieuse, même. Zach n’étais pas l’homme que je croyais qu’il était. Il était très poli, courtois et galant. Tout ce à quoi je ne m’attendais pas, venant d’un homme du 21e siècle. Les semaines passèrent et je l’accompagnais toujours à ses soirées.

D'entrée de jeu, Jamie me lançait l'une de ses tirades, directes, Bam! J’avais à peine eut le temps de prendre une gorgée de mon cappuccino qu’elle me balança ses sornettes à la figure. C’était son truc.

« Ça crève les yeux que tu en pinces pour lui! ». Confiante, sourire triomphant décorant son visage, elle était on ne peut plus sure de ce qu’elle avançait et je détestais quand elle avait ce regard. « Non, mais tu délires, ma pauvre! ».  Ce à quoi, je m’esclaffais, de plus belle. « Allez avoue-le, crache le morceau! ». Rétorquait-elle, l’air sérieuse. « Eh puis quoi encore ». Je croquais ma brioche à pleine dent en la désignant du menton. « À d’autres, oui, moi je te connais trop! ». Répondit Jamie, du tac au tac. « C’est mon supérieur et je l’accompagne à ses soirées, c’est tout » , me défendis-je du mieux que je pus.

Elle osa surenchérir - et elle y prenait un malin plaisir à voir sa tête - sur différents faits et gestes qui, selon elle, était un gage de mon affection pour Zachary, sur le fait que les rumeurs étaient peut-être vraies. Enfin, peut-être que quelques-unes étaient véridiques. Sauf celle du photocopieur. Bien sûr.

« Je continue ou tu en as assez ? », me défia-t-elle, en arquant un sourcil. « Vas s'y, fais toi plaisir! » , dis-je sur un ton las, question de l’agacer un peu pour qu’elle lâche le morceau. Comme prévu, elle déblatéra une suite de preuves tirées de son raisonnement, qui selon elle, était suffisant pour me prouver que j’avais tort et elle raison. Je regardais par la fenêtre, ennuyée, tandis qu’elle stoppa net puisqu’elle vit qu’elle monologuait. « Arrête un peu Tate, c’est plus qu’évident, en tant que meilleure copine du boulot qui te rapporte des sandwichs pour le déjeuner, tu peux quand même m'obéir! » Elle adorait la ramener celle-là. Rien que parce qu’une fois elle avait voulu échanger son sandwich avec moi, les seuls sandwichs restants de la cafétéria étaient au thon et que j’avais une sainte horreur du thon, je l’avais désignée comme étant le meilleur être vivant que je connaisse.  Je n’osais pas ajouter quoique ce soit, sachant pertinemment que ce serait inutile puisque dès que j’ouvrirais la bouche, elle se précipiterait pour me clore le bec avec ses arguments à la con.