peter ~ come as you are

Invité

peter ainsworth
the prettiest people do the ugliest things

Nom : Ainsworth, comme l'un des hommes les plus riche de Belfast, et ce dernier se trouve être son père.

Prénom : Peter, un prénom assez commun choisi par sa mère.

Âge : Trente-et-un ans.

date et lieu de naissance : 16 Juin 1983, à Belfast, Irlande. Mais il a vécu la plus grande partie de sa vie à Londres

vos origines : Irlandaises.

Métier : Expert en arts, propriétaire d'une galerie, c'est sa passion de jeunesse qui s'est concrétisé en son métier aujourd'hui, et pourtant on lui avait tracé un tout autre avenir.

Orientation sexuelle : Hétérosexuel.

Statut matrimonial : Célibataire, depuis bientôt deux ans. Peter a fréquenté peu voire aucune femme depuis la naissance de sa fille

côté financier : Moyennement aisé. Caractère : réponse ici.

Groupe : réponse ici.

un peu plus sur vous.

une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix.

une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? votre réponse ici en cinq lignes. comment considérez vous votre vie actuellement? votre réponse ici en cinq lignes. est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? votre réponse ici en cinq lignes.

derrière l'écran.
votre pseudo : paperdolls.

votre âge : vingt-et-un ans.

votre pays : tunisie.

scénario ou inventé : inventé.

votre fréquence de connexion : quotidienne, sauf exceptions Twisted Evil

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comment êtes-vous arrivé ici? : bazzart, what else?

vos commentaires/impressions : réponse ici. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : réponse ici.

je désire avoir un parrain ou une marraine : réponse ici.

Invité

story of my life
i like the way it's hurts

Vous n’avez que trentaine d’années et vous êtes déjà englué dans une vie qui ne vous correspond pas. Depuis longtemps, vous vous sentez différent du monde qui vous entoure. Ce n’est pas que vous méprisez votre famille ou leur entourage. Il faut dire qu’a votre naissance, les fées s’étaient peut être bousculées autour de votre berceau. Vos parents avaient trimé toute leur vie, maintenu un empire financier mais cela n’a pas suffi à vous rendre heureux. Une scolarité presque parfaite, des amis une cote de popularité ascendante. Ceci était éphémère, vous aviez l’impression que c’était ce qui vous fallait a l’époque. Que tous les autres problèmes du monde pouvaient s’effacer lorsqu’on se bourrait la gueule ou se passait des joints entre amis. On vous a éduqué de manière a montrer aux gens ce qu’ils voulaient voir : bien se tenir, omettre de discuter des problèmes de famille que vous viviez aux autres, sourire comme si de rien n’était, parler de vos futures brillantes études et de votre avenir dans l’empire familial. Alors pendant un moment vous vous prenez au jeu. Vous entreprenez ces études en commerce pour faire honneur a votre famille, alors qu’en cachette c’était la littérature et les art qui vous passionnaient. Vous prétendez des cours de sport pour assister aux cours d’arts plastiques dans les ateliers Londoniens. Vous poussez cette formation plus loin et vous vous inscrivez a des cours du soir pour un vrai diplôme. Vous n’êtes pas fait pour le commerce, c’était une science de prédateurs, dont l’humanité était quasi absente. Mais aucune issue ne se présentait devant vous, vous vous sentiez obligé de suivre ce parcours qu’on avait surement tracé bien avant votre venue au monde. Et lorsque vous cherchez à en parler a vos proches, de ce qui vous passionnait réellement, on vous répond que c’était absurde, que ce n’était pas une priorité dans votre vie. Vous refermez alors cette rébellion au fond de vous, et remettez votre masque. On vous prédit l’ascension sociale et une notoriété, bien que vous n’en êtes pas si sur par vous-même. Puis les années passent, vous rencontrez cette jolie fille, qui pendant un moment vous a rendu heureux. Vous pensez qu’elle vous correspondait. Marisa Paladino, vous la connaissez depuis plus d’un an. Un amour transatlantique vécu au rythme du vol New York-Londres, qu’elle accompagne toutes les deux semaines. Marisa, c’est l’histoire d’amour que vous n’attendiez pas. Un coup de foudre improbable qui se prolonge en état de grâce et vous plonge dans un monde jusqu’a alors inconnu. Logiquement, vous devriez être le plus heureux des hommes. Mais vous n’êtes pas un homme ordinaire, et vous savez déjà qu’un jour tout cela peut bien terminer. Et ce jour vint, et ces engagements qui vous liaient n’avaient plus aucune valeur. Car vous vous rendez que l’amour ne tient a rien. Les liens se font et se défont, c'est la vie. Un matin, l'un reste et l'autre part, sans que l'on sache toujours pourquoi. Vous ne pouvez pas tout donner à l'autre avec cette épée au dessus de la tête. Vous ne voulez pas bâtir votre vie sur les sentiments, parce que les sentiments changent. Ils sont fragiles et incertains. On les croit profonds et ils sont soumis à une jupe qui passe, à un sourire enjôleur. Des gens qui s'aiment pour la vie, vous n’en connaissez pas. Alors cette petite voix dans votre tête, vous dit de tout laisser derrière vous. Mais vous en êtes incapable, car a présent vous êtes père d'une petite fille nommée Prue. Marisa vous avait laissé la charge de votre enfant, prétendant qu'elle n'était pas prête pour être mère et qu'il ferait un meilleur parent qu'elle. Elle s'envole alors en Amérique du Sud sans coordonnées, elle ne voulait pas que vous la recontactez. Mais à son départ, vous étiez plus préoccupé par le bébé de quelques mois dans vos bras que de la mère en dénis. Vous êtes a présent père célibataire a trente ans, vos parents vous lancent ce regard de déception, ils avaient tracé votre avenir dans leur empire et a présent voient leur seul et unique fils noyé dans le talc pour bébé et les biberons. Vous quittez Londres sans grands regrets, et vous vous installez dans cet immense loft à Caerphilly, ou la tolérance a un sens. Prue est a présent âgée de dix mois, et vous jonglez entre son éducation et votre nouveau projet de galerie et étrangement vous goûtez pour la première fois a la liberté de faire vos propres choix.