[vos messages]

Maïza Torres
i like the way it's hurts

Nom : Torres. Prénom : Maïza. Âge : 29 ans. date et lieu de naissance : Le 27 février à Maceió au Brésil. vos origines : Brésiliennes. Métier : A la tête d'un réseau de drogues. Orientation sexuelle : Accro à la testostérone. Statut matrimonial : Célibataire. côté financier : Plutôt pas mal du tout. Caractère : Solitaire indépendante, n'espérez pas me dicter ma conduite. Je n'écoute que moi et mes envies, sur tous les plans. Je n'ai confiance qu'en moi et je préfère me dépatouiller seule de mes emmerdes, plutôt que de demander de l'aide. Nous pouvons également appeler ça, la fierté. Très fière, très sûre de moi, je ne pense pas que l'on puisse m'arriver à la cheville. Ou c'est un masque que j'ai enfilé pour me protéger des types comme mon ex, qui a tenté de me réduire à rien. Grâce à lui, j'ai bien du mal à m'attacher de nouveau à un homme. C'est sans doute un bon point. Je suis une femme forte qui aime tout contrôler et pouvoir manipuler les gens à sa guise. Surtout les hommes. Devant une belle femme, certains sont prêts à tout. Je m'en amuse. Passionnée, j'ai de sacrés tendances à l'impulsivité. Et quand je suis énervée, je suis parfois intenable. Violente, je peux facilement en arriver aux mains. Même face à un type qui fait deux têtes de plus que moi. Je n'ai pas peur de grand chose si ce n'est d'avoir le coeur détruit.   Groupe : Les présents.

un peu plus sur vous.
Elle est toujours en train de remettre ses cheveux en place.   Elle se mordille la lèvre inférieure en toutes occasions. Elle n'aime pas la douceur des uns, la gentillesse des autres. Elle n'a confiance en personne. Elle ne fume pas de tabac, elle a horreur de son goût. Elle ne supporte pas l'alcool. Elle est très bonne en maths. Excellente en informatique. Elle fait une collection de chaussures. Elle est manique. Très maniaque. Elle aime beaucoup la vision du sang. Même le sien. Elle aime l'odeur de l'argent. A chaque fois qu'elle empoche un billet, elle le sent -oui vraiment-. Elle ne supporte pas qu'on lui fasse répéter quelque chose. Elle lève beaucoup les yeux au ciel. Elle sourit souvent. Rarement un sourire sincère et enjoué. Elle ne prend plus la peine de dissimuler les quelques cicatrices qui marquent sa peau.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? Depuis seulement quelques semaines. Avant ça, je passais mon temps à courir d'un état américain à un autre état américain. A tous les coups, pour vendre ma came, bien sûr. Mais ça commençait à craindre sacrément par rapport aux flics et tout ça. Ce qui explique mon besoin de disparaître pendant quelques temps au moins. Grâce à quelques connaissances, c'est dans cette petite ville là que mon choix s'est porté. Je ne compte pas m'éterniser c'est certain. Un peu de repos loin de mes petites magouilles peut-être ? Quelle blague.
comment considérez vous votre vie actuellement? Ma vie est telle que je veux qu'elle soit. Tout simplement. Pas besoin de tergiverser pendant une éternité. C'est ainsi qu'est ma vie et elle me convient très bien. Pour rien au monde je ne souhaiterais qu'elle soit différente. J'aime le côté dominatrice que j'ai, grâce à ma place dans ce cartel de drogue que j'ai moi même mis en place voilà plusieurs années. Enfin, c'est mon petit ami qui l'a fait. Je n'ai fais que suivre. Mais aujourd'hui j'en suis à la tête et j'adore ça. Tout simplement.
est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Changer quoi que ce soit à ma vie ? Foutrement non ! Elle est ainsi et elle me convient. Parce que j'ai fais en sorte qu'elle prenne cette tournure. Oh bien sûr, quand j'étais jeune, je m'imaginais me marier et avoir des enfants à la fin de la petite vingtaine. Or, j'approche des trente ans et je suis célibataire et je deal de la drogues. Mais c'est à cause d'une suite successive de choses, que c'est ainsi dans ma vie. Et ça me convient. Alors non, je ne veux rien changer.

derrière l'écran.
votre pseudo : Morphine. votre âge : 23 ans. votre pays : France. scénario ou inventé : Scénario. votre fréquence de connexion : 7/7 jours. comment êtes-vous arrivé ici? : Via love the way you lie ! vos commentaires/impressions : Joli j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : ouais.

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Nom : Torres. Prénom : Maïza. Âge : 29 ans. date et lieu de naissance : Le 27 février à Maceió au Brésil. vos origines : Brésiliennes. Métier : A la tête d'un réseau de drogues. Orientation sexuelle : Accro à la testostérone. Statut matrimonial : Célibataire. côté financier : Plutôt pas mal du tout. Caractère : Solitaire indépendante, n'espérez pas me dicter ma conduite. Je n'écoute que moi et mes envies, sur tous les plans. Je n'ai confiance qu'en moi et je préfère me dépatouiller seule de mes emmerdes, plutôt que de demander de l'aide. Nous pouvons également appeler ça, la fierté. Très fière, très sûre de moi, je ne pense pas que l'on puisse m'arriver à la cheville. Ou c'est un masque que j'ai enfilé pour me protéger des types comme mon ex, qui a tenté de me réduire à rien. Grâce à lui, j'ai bien du mal à m'attacher de nouveau à un homme. C'est sans doute un bon point. Je suis une femme forte qui aime tout contrôler et pouvoir manipuler les gens à sa guise. Surtout les hommes. Devant une belle femme, certains sont prêts à tout. Je m'en amuse. Passionnée, j'ai de sacrés tendances à l'impulsivité. Et quand je suis énervée, je suis parfois intenable. Violente, je peux facilement en arriver aux mains. Même face à un type qui fait deux têtes de plus que moi. Je n'ai pas peur de grand chose si ce n'est d'avoir le coeur détruit.   Groupe : Les présents.

un peu plus sur vous.
Elle est toujours en train de remettre ses cheveux en place.   Elle se mordille la lèvre inférieure en toutes occasions. Elle n'aime pas la douceur des uns, la gentillesse des autres. Elle n'a confiance en personne. Elle ne fume pas de tabac, elle a horreur de son goût. Elle ne supporte pas l'alcool. Elle est très bonne en maths. Excellente en informatique. Elle fait une collection de chaussures. Elle est manique. Très maniaque. Elle aime beaucoup la vision du sang. Même le sien. Elle aime l'odeur de l'argent. A chaque fois qu'elle empoche un billet, elle le sent -oui vraiment-. Elle ne supporte pas qu'on lui fasse répéter quelque chose. Elle lève beaucoup les yeux au ciel. Elle sourit souvent. Rarement un sourire sincère et enjoué. Elle ne prend plus la peine de dissimuler les quelques cicatrices qui marquent sa peau.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? Depuis seulement quelques semaines. Avant ça, je passais mon temps à courir d'un état américain à un autre état américain. A tous les coups, pour vendre ma came, bien sûr. Mais ça commençait à craindre sacrément par rapport aux flics et tout ça. Ce qui explique mon besoin de disparaître pendant quelques temps au moins. Grâce à quelques connaissances, c'est dans cette petite ville là que mon choix s'est porté. Je ne compte pas m'éterniser c'est certain. Un peu de repos loin de mes petites magouilles peut-être ? Quelle blague.
comment considérez vous votre vie actuellement? Ma vie est telle que je veux qu'elle soit. Tout simplement. Pas besoin de tergiverser pendant une éternité. C'est ainsi qu'est ma vie et elle me convient très bien. Pour rien au monde je ne souhaiterais qu'elle soit différente. J'aime le côté dominatrice que j'ai, grâce à ma place dans ce cartel de drogue que j'ai moi même mis en place voilà plusieurs années. Enfin, c'est mon petit ami qui l'a fait. Je n'ai fais que suivre. Mais aujourd'hui j'en suis à la tête et j'adore ça. Tout simplement.
est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Changer quoi que ce soit à ma vie ? Foutrement non ! Elle est ainsi et elle me convient. Parce que j'ai fais en sorte qu'elle prenne cette tournure. Oh bien sûr, quand j'étais jeune, je m'imaginais me marier et avoir des enfants à la fin de la petite vingtaine. Or, j'approche des trente ans et je suis célibataire et je deal de la drogues. Mais c'est à cause d'une suite successive de choses, que c'est ainsi dans ma vie. Et ça me convient. Alors non, je ne veux rien changer.

derrière l'écran.
votre pseudo : Morphine. votre âge : 23 ans. votre pays : France. scénario ou inventé : Scénario. votre fréquence de connexion : 7/7 jours. comment êtes-vous arrivé ici? : Via love the way you lie ! vos commentaires/impressions : Joli j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : ouais.

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16 juillet 2002 - Maceió

« N'oublie pas bébé. Tu dois te montrer convaincante. Mais n'en fais pas trop. Les effrayer n'est pas ce que je te demande de faire. Mais je m'inquiète pas trop à ce sujet là. Ta gueule d'ange devrait les rassurer. » Regard brillant, sourire aux lèvres, je le regardais avec attention, buvant chacune de ses paroles sans l'ombre d'une hésitation. Je hochai la tête et répondis à son baiser ardent, avant de tourner les talons. Je n'avais que dix sept ans et j'aimais cet homme depuis six mois. Et il m'aimait aussi. Bien sûr qu'il m'aimait. il était l'homme de ma vie. Mon âme soeur. Mon sauveur. Celui qui m'avait sorti de la merde. Oh, rien d'effroyable non plus. J'étais née dans une famille sans le sou. Fille numéro 5 sur huit enfants. La misère était notre quotidien, mais on mangeait presque à notre faim et on allait à l'école. Rien d'horrible, rien d'insupportable. Du moins, ça l'aurait été si je n'étais pas devenue une jeune femme à l'incroyable beauté et, à l'adolescence, au corps voluptueux. Difficile de ne pas se faire remarquer par les types du quartier quand je faisais le trajet école-maison à pieds. Et c'est justement un soir où je rentrais du lycée, que je m'étais un peu trop faite remarquer. Deux types, une ruelle. Ils m'y avait entraîné de force. Mais ils avaient à peine eut le temps de m'arracher mon haut, qu'il était intervenu, me venant en aide. Il m'avait sauvé. Vraiment. Et m'avait gentiment ramené chez moi. Deux semaines plus tard, il revenait pour me voir et soit disant s'assurer que j'allais bien. Pareil un mois plus tard. Et puis j'étais partie avec lui, sans me poser plus de question. Après six mois de relation, je me sentais prête à l'aider dans ses affaires. Il ne m'avait jamais caché ce qu'il faisait. A savoir qu'il était à la tête d'un sacré trafique de drogues. Je n'avais pas eus peur du tout. Je le voyais juste comme un type fort et dangereux. Et ça me plaisant. Sans doute un peu trop. Au point d'en tomber follement amoureuse et d'en être dépendante. Et j'allais maintenant l'aider. Faire face à ces dealeurs me mettait assez mal à l'aise. Mais il comptait sur moi. Il avait besoin que je lui rende ce service. Ce n'était pas grand chose en comparaison de tout ce qu'il avait fait pour moi. « Je viens de la part de Tamyres. » Énonçai-je d'une voix claire et posée, quand je fis face à deux types à l'air pas très commode. Ils échangèrent un regard puis hochèrent positivement la tête, avant de m'ouvrir la porte que je franchis d'un pas décidé. J'ignorais à cette époque là, que je venais de plonger de manière définitive, dans les trafiques de drogues à grande échelle.

23 janvier 2003

Allongée sur le dos, je regardais les milliers de couleurs qui s'étalaient sur le plafond qui avait pourtant toujours été blanc. Elle tournoyaient, se mélangeaient les unes aux autres, formaient d'autres couleurs, d'autres formes. Un rire léger m'échappa quand les couleurs se répartirent en petits ronds sur tout le plafond. C'était très pop. Très beau. « Arrête de rire ! » Tonna vivement mon petit ami, installé devant l'écran d'ordinateur posé sur un bureau. « Mais Tam regarde, les couleurs font des formes. » Répondis-je d'une voix rêveuse. Nouveau rire de ma part, nouveau grognement plus agacé que les précédents, de sa part à lui. Je finis par me lever et vins me coller à son dos, laissant courir mes mains à plat sur son torse dénudé. « Tu ne voudrais pas venir jouer un peu avec moi ? »  Lui demandai-je d'une voix caressante. La drogue qui courait dans mes veines, était sans doute la raison pour laquelle j'étais aussi franche et féline. Avant de tomber dans toutes ces merdes, par amour pour lui, j'étais plutôt du genre timide et plutôt en retrait. Mais il m'avait changé. Et je ne m'en plaignais pas. Je me sentais entière et aimée. Et c'était tout ce qui comptait pour moi. « Lâche moi ! Tu vois pas que je suis occupé ? » Tonna-t-il froidement. Un ton qui me fit hésiter. Doucement, je me redressai, mais conservai mes mains sur ses épaules.  « Tam, ça va ? » Lui demandai-je d'une voix douce, dans l'espoir de l'apaiser un tant soit peu. Mais plutôt que de l'apaiser, ça sembla le faire sortir de ses gonds pour de bon. Il se leva pour me faire face et m'attrapa vivement par le bras pour me secouer.  « Si ça va ? SI CA VA ? Espèce de pute ! Tous mes acheteurs ne veulent avoir à faire qu'à toi. Tu m'expliques un peu pourquoi ? TU M'EXPLIQUES ? T'as écarté tes putains de cuisses c'est ça ? C'EST CA ? » Effrayée par l'éclat meurtrier qui brillait dans son regard et par ses propos des plus durs, je tentai un pas en arrière en jurant que non. Non, je n'aurais jamais fais ça. Je n'étais pas ce genre de fille. Et puis j'étais folle de lui. Il était le seul homme que j'aimais et que je voulais. Les quelques mots que je tentai difficilement de souffler pour le calmer, eurent l'effet inverse. Il me gifla si fort, que j'en tombai à la renverse. Il m'empoigna par le bras pour me relever vivement et me plaqua contre le mur. Semblant réaliser ce qu'il venait de faire, il flanqua ses lèvres contre les miennes et me prit contre le mur. Je lui pardonnai. Sans savoir que j'allais lui pardonner cent autres fois. Mille autre fois même. Au cours des années qui suivirent ...

17 mai 2006

« Je suis désolé mademoiselle Torres. Mais vous avez perdu votre enfant. » Les mots du médecin tombèrent, simples, froids, mais tellement définitifs. Je n'avais que vingt et un ans. Et pourtant, je me sentais prête à avoir cet enfant, qui grandissait au creux de mon ventre depuis quatre mois. J'avais appris ma grossesse deux mois plus tôt et l'avais annoncé à mon petit ami, sur le champ. A ce moment là, il était trop stone pour réagir tout à fait. Il avait juste rit et m'avait répété qu'il m'aimait et qu'on allait avoir plein, tout plein, de gosses. Il m'avait ensuite prit dans ses bras et s'était endormi. Les jours suivants, il n'avait pas mentionné cet enfant. Ce ne fut que lorsqu'il me prépara un rail de coke, que je lui rappelai que je ne pouvais plus toucher à ces merdes. Que ça allait mettre en péril la santé de notre enfant. Il m'avait giflé en m'ordonnant de sniffer cette dose. J'avais pleuré et refusé. Il m'avait giflé une nouvelle fois. En larmes, j'avais fini par obéir. Et puis c'était arrivé. La veille au soir, il m'avait cogné à m'en briser une côte. Pour la énième fois, il m'avait roué de coup, sous un prétexte complètement stupide et pas valable le moins du monde. Il était parano et pensait que je couchais avec ses clients et mêmes ses partenaires. Il était certain que cet enfant n'était pas le sien et voulait le tuer.  Pas me tuer moi. Juste ce bébé que je portais. Je m'étais enfuis, titubant et geignant de douleur, avant d'atterrir dans cet hôpital à la con. Où un médecin venait de m'annoncer que j'avais perdu mon bébé. « Je suis désolé mais j'ai une autre mauvaise nouvelle ... Il n'est pas certain que vous puissiez avoir d'autres enfants à l'avenir. En tout cas, pas sans grandes aides médicales. » Ajouta-t-il en m'étudiant du regard. La tête me tournait, mes oreilles sifflaient, le monde autour de moi était en train de perdre toutes ses couleurs. Oh je n'étais pas une jeune femme naïve et romantique qui rêvait d'un époux parfait, d'une ribambelle d'enfants, d'un chien et d'une grande maison avec magnifique jardin. Mais en m'ôtant la possibilité d'avoir un enfant, c'était comme de m'ôter ma féminité, ce qui me faisait femme.

20 juin 2006

Talons hauts claquant sur les dalles, j'entrais dans l'immeuble où je partageais un appartement avec Tamyres. Appartement duquel je poussai bientôt la porte. Les lieux étaient encombrés en bordel. Et ça puait le renfermé. Je pris le soin de fermer la porte derrière moi. Il était là. Installé sur le fauteuil et complètement stone. Une seringue gisait par terre, il avait encore l'élastique serré au dessus du coude. Il posa son regard vitreux sur moi et se leva. « Oh bébé ... Bébé tu es là ... Oh j'ai tellement eus peur. Je croyais que tu étais partie. Partie ... Mais tu es là. Oh bébé ... » Répétait-il inlassablement en titubant dans ma direction, jusqu'à refermer ses mains autour de mon visage et coller ses lèvres aux miennes. Je lui répondis sans rien laisser transparaître de mon dégoût grandissant pour lui. J'enroulai mes jambes dévoilées par ma robe, autour de ses hanches, quand il me colla contre la porte en laissant errer ses mains sous mon vêtement. Il n'eut guère le temps de faire quoi que ce soit de plus, que je plantai un couteau dans son dos. Couteau planqué sous ma robe que j'étais parvenu à retirer sans qu'il ne s'en aperçoive. Il aurait bien incapable de s'apercevoir de quoi que ce soit au vu de son état, de toute façon. Il relâcha aussitôt sa prise et fit un pas en arrière. Mes pieds retrouvèrent le sol et je croisai son regard choqué, bientôt emplis de larmes de douleur. « Oui, je suis là ... » Susurrai-je d'une voix de velours, avant de le pousser pour qu'il tombe à la renverse. Il hurla de douleur quand le couteau se planta plus encore et roula sur le ventre. Il tentait de ramper. Mais je fus bientôt au dessus de lui. Je récupérai le couteau et le faisais rouler sur le dos, pour m'installer à califourchon sur lui, à hauteur de bassin. « Je t'aimais tu sais ? Je t'aimais tellement ... » Et pourtant, je plantai le couteau dans son coeur. Une fois. Deux fois. Trois fois. Il était mort que je continuais de maltraiter son corps. Et tout s'arrêta dans une crise de larmes incontrôlables. La peine de prison que je pris pour ce meurtre, fut presque minime. Dix ans pour meurtre, parce que soit disant légitime défense.  Mais je ne fis que cinq ans. Le directeur de la prison m'aimait bien. Allez savoir pourquoi ...

Fin 2013

Après des années à sillonner les routes pour trouver de nouveaux clients, de nouveaux partenaires de jeu, je décidai de m'arrêter au pays de Galles. Plus précisément, à Caerphilly, cette petite ville bien tranquille. Sans doute pas pour bien longtemps. Je n'étais pas du genre à m'attarder des lustres. Ni dans une ville, ni dans un lit.  C'est moi qui décidais. Toujours. Sur tout. J'étais libre et maîtresse de mon destin. Enfin, c'était le cas quand je ne finissais pas derrière les barreaux, avant d'être relâchée faute de preuves ou parce que je savais me montrer convaincante.

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16 juillet 2002 - Maceió

« N'oublie pas bébé. Tu dois te montrer convaincante. Mais n'en fais pas trop. Les effrayer n'est pas ce que je te demande de faire. Mais je m'inquiète pas trop à ce sujet là. Ta gueule d'ange devrait les rassurer. » Regard brillant, sourire aux lèvres, je le regardais avec attention, buvant chacune de ses paroles sans l'ombre d'une hésitation. Je hochai la tête et répondis à son baiser ardent, avant de tourner les talons. Je n'avais que dix sept ans et j'aimais cet homme depuis six mois. Et il m'aimait aussi. Bien sûr qu'il m'aimait. il était l'homme de ma vie. Mon âme soeur. Mon sauveur. Celui qui m'avait sorti de la merde. Oh, rien d'effroyable non plus. J'étais née dans une famille sans le sou. Fille numéro 5 sur huit enfants. La misère était notre quotidien, mais on mangeait presque à notre faim et on allait à l'école. Rien d'horrible, rien d'insupportable. Du moins, ça l'aurait été si je n'étais pas devenue une jeune femme à l'incroyable beauté et, à l'adolescence, au corps voluptueux. Difficile de ne pas se faire remarquer par les types du quartier quand je faisais le trajet école-maison à pieds. Et c'est justement un soir où je rentrais du lycée, que je m'étais un peu trop faite remarquer. Deux types, une ruelle. Ils m'y avait entraîné de force. Mais ils avaient à peine eut le temps de m'arracher mon haut, qu'il était intervenu, me venant en aide. Il m'avait sauvé. Vraiment. Et m'avait gentiment ramené chez moi. Deux semaines plus tard, il revenait pour me voir et soit disant s'assurer que j'allais bien. Pareil un mois plus tard. Et puis j'étais partie avec lui, sans me poser plus de question. Après six mois de relation, je me sentais prête à l'aider dans ses affaires. Il ne m'avait jamais caché ce qu'il faisait. A savoir qu'il était à la tête d'un sacré trafique de drogues. Je n'avais pas eus peur du tout. Je le voyais juste comme un type fort et dangereux. Et ça me plaisant. Sans doute un peu trop. Au point d'en tomber follement amoureuse et d'en être dépendante. Et j'allais maintenant l'aider. Faire face à ces dealeurs me mettait assez mal à l'aise. Mais il comptait sur moi. Il avait besoin que je lui rende ce service. Ce n'était pas grand chose en comparaison de tout ce qu'il avait fait pour moi. « Je viens de la part de Tamyres. » Énonçai-je d'une voix claire et posée, quand je fis face à deux types à l'air pas très commode. Ils échangèrent un regard puis hochèrent positivement la tête, avant de m'ouvrir la porte que je franchis d'un pas décidé. J'ignorais à cette époque là, que je venais de plonger de manière définitive, dans les trafiques de drogues à grande échelle.

23 janvier 2003

Allongée sur le dos, je regardais les milliers de couleurs qui s'étalaient sur le plafond qui avait pourtant toujours été blanc. Elle tournoyaient, se mélangeaient les unes aux autres, formaient d'autres couleurs, d'autres formes. Un rire léger m'échappa quand les couleurs se répartirent en petits ronds sur tout le plafond. C'était très pop. Très beau. « Arrête de rire ! » Tonna vivement mon petit ami, installé devant l'écran d'ordinateur posé sur un bureau. « Mais Tam regarde, les couleurs font des formes. » Répondis-je d'une voix rêveuse. Nouveau rire de ma part, nouveau grognement plus agacé que les précédents, de sa part à lui. Je finis par me lever et vins me coller à son dos, laissant courir mes mains à plat sur son torse dénudé. « Tu ne voudrais pas venir jouer un peu avec moi ? »  Lui demandai-je d'une voix caressante. La drogue qui courait dans mes veines, était sans doute la raison pour laquelle j'étais aussi franche et féline. Avant de tomber dans toutes ces merdes, par amour pour lui, j'étais plutôt du genre timide et plutôt en retrait. Mais il m'avait changé. Et je ne m'en plaignais pas. Je me sentais entière et aimée. Et c'était tout ce qui comptait pour moi. « Lâche moi ! Tu vois pas que je suis occupé ? » Tonna-t-il froidement. Un ton qui me fit hésiter. Doucement, je me redressai, mais conservai mes mains sur ses épaules.  « Tam, ça va ? » Lui demandai-je d'une voix douce, dans l'espoir de l'apaiser un tant soit peu. Mais plutôt que de l'apaiser, ça sembla le faire sortir de ses gonds pour de bon. Il se leva pour me faire face et m'attrapa vivement par le bras pour me secouer.  « Si ça va ? SI CA VA ? Espèce de pute ! Tous mes acheteurs ne veulent avoir à faire qu'à toi. Tu m'expliques un peu pourquoi ? TU M'EXPLIQUES ? T'as écarté tes putains de cuisses c'est ça ? C'EST CA ? » Effrayée par l'éclat meurtrier qui brillait dans son regard et par ses propos des plus durs, je tentai un pas en arrière en jurant que non. Non, je n'aurais jamais fais ça. Je n'étais pas ce genre de fille. Et puis j'étais folle de lui. Il était le seul homme que j'aimais et que je voulais. Les quelques mots que je tentai difficilement de souffler pour le calmer, eurent l'effet inverse. Il me gifla si fort, que j'en tombai à la renverse. Il m'empoigna par le bras pour me relever vivement et me plaqua contre le mur. Semblant réaliser ce qu'il venait de faire, il flanqua ses lèvres contre les miennes et me prit contre le mur. Je lui pardonnai. Sans savoir que j'allais lui pardonner cent autres fois. Mille autre fois même. Au cours des années qui suivirent ...

17 mai 2006

« Je suis désolé mademoiselle Torres. Mais vous avez perdu votre enfant. » Les mots du médecin tombèrent, simples, froids, mais tellement définitifs. Je n'avais que vingt et un ans. Et pourtant, je me sentais prête à avoir cet enfant, qui grandissait au creux de mon ventre depuis quatre mois. J'avais appris ma grossesse deux mois plus tôt et l'avais annoncé à mon petit ami, sur le champ. A ce moment là, il était trop stone pour réagir tout à fait. Il avait juste rit et m'avait répété qu'il m'aimait et qu'on allait avoir plein, tout plein, de gosses. Il m'avait ensuite prit dans ses bras et s'était endormi. Les jours suivants, il n'avait pas mentionné cet enfant. Ce ne fut que lorsqu'il me prépara un rail de coke, que je lui rappelai que je ne pouvais plus toucher à ces merdes. Que ça allait mettre en péril la santé de notre enfant. Il m'avait giflé en m'ordonnant de sniffer cette dose. J'avais pleuré et refusé. Il m'avait giflé une nouvelle fois. En larmes, j'avais fini par obéir. Et puis c'était arrivé. La veille au soir, il m'avait cogné à m'en briser une côte. Pour la énième fois, il m'avait roué de coup, sous un prétexte complètement stupide et pas valable le moins du monde. Il était parano et pensait que je couchais avec ses clients et mêmes ses partenaires. Il était certain que cet enfant n'était pas le sien et voulait le tuer.  Pas me tuer moi. Juste ce bébé que je portais. Je m'étais enfuis, titubant et geignant de douleur, avant d'atterrir dans cet hôpital à la con. Où un médecin venait de m'annoncer que j'avais perdu mon bébé. « Je suis désolé mais j'ai une autre mauvaise nouvelle ... Il n'est pas certain que vous puissiez avoir d'autres enfants à l'avenir. En tout cas, pas sans grandes aides médicales. » Ajouta-t-il en m'étudiant du regard. La tête me tournait, mes oreilles sifflaient, le monde autour de moi était en train de perdre toutes ses couleurs. Oh je n'étais pas une jeune femme naïve et romantique qui rêvait d'un époux parfait, d'une ribambelle d'enfants, d'un chien et d'une grande maison avec magnifique jardin. Mais en m'ôtant la possibilité d'avoir un enfant, c'était comme de m'ôter ma féminité, ce qui me faisait femme.

20 juin 2006

Talons hauts claquant sur les dalles, j'entrais dans l'immeuble où je partageais un appartement avec Tamyres. Appartement duquel je poussai bientôt la porte. Les lieux étaient encombrés en bordel. Et ça puait le renfermé. Je pris le soin de fermer la porte derrière moi. Il était là. Installé sur le fauteuil et complètement stone. Une seringue gisait par terre, il avait encore l'élastique serré au dessus du coude. Il posa son regard vitreux sur moi et se leva. « Oh bébé ... Bébé tu es là ... Oh j'ai tellement eus peur. Je croyais que tu étais partie. Partie ... Mais tu es là. Oh bébé ... » Répétait-il inlassablement en titubant dans ma direction, jusqu'à refermer ses mains autour de mon visage et coller ses lèvres aux miennes. Je lui répondis sans rien laisser transparaître de mon dégoût grandissant pour lui. J'enroulai mes jambes dévoilées par ma robe, autour de ses hanches, quand il me colla contre la porte en laissant errer ses mains sous mon vêtement. Il n'eut guère le temps de faire quoi que ce soit de plus, que je plantai un couteau dans son dos. Couteau planqué sous ma robe que j'étais parvenu à retirer sans qu'il ne s'en aperçoive. Il aurait bien incapable de s'apercevoir de quoi que ce soit au vu de son état, de toute façon. Il relâcha aussitôt sa prise et fit un pas en arrière. Mes pieds retrouvèrent le sol et je croisai son regard choqué, bientôt emplis de larmes de douleur. « Oui, je suis là ... » Susurrai-je d'une voix de velours, avant de le pousser pour qu'il tombe à la renverse. Il hurla de douleur quand le couteau se planta plus encore et roula sur le ventre. Il tentait de ramper. Mais je fus bientôt au dessus de lui. Je récupérai le couteau et le faisais rouler sur le dos, pour m'installer à califourchon sur lui, à hauteur de bassin. « Je t'aimais tu sais ? Je t'aimais tellement ... » Et pourtant, je plantai le couteau dans son coeur. Une fois. Deux fois. Trois fois. Il était mort que je continuais de maltraiter son corps. Et tout s'arrêta dans une crise de larmes incontrôlables. La peine de prison que je pris pour ce meurtre, fut presque minime. Dix ans pour meurtre, parce que soit disant légitime défense.  Mais je ne fis que cinq ans. Le directeur de la prison m'aimait bien. Allez savoir pourquoi ...

Fin 2013

Après des années à sillonner les routes pour trouver de nouveaux clients, de nouveaux partenaires de jeu, je décidai de m'arrêter au pays de Galles. Plus précisément, à Caerphilly, cette petite ville bien tranquille. Sans doute pas pour bien longtemps. Je n'étais pas du genre à m'attarder des lustres. Ni dans une ville, ni dans un lit.  C'est moi qui décidais. Toujours. Sur tout. J'étais libre et maîtresse de mon destin. Enfin, c'était le cas quand je ne finissais pas derrière les barreaux, avant d'être relâchée faute de preuves ou parce que je savais me montrer convaincante.

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Inutile de répéter à quel point ce choix est juste orgasmique. Dommage qu'elle n'aime que les hommes, cette petite.   
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mdr Trinity   
Bienvenue ici mademoiselle   

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merci bien (a)

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héhé je trouve aussi *-*

merci bien

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héhé je trouve aussi *-*

merci bien

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merci bien *-*

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Je vais laisser Emrys te valider, à moins qu'aucun changement n'a été apporté à vos personnages.

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Je vais laisser Emrys te valider, à moins qu'aucun changement n'a été apporté à vos personnages.

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Non y'a eut aucun changement mais si tu veux on peut attendre, ça me dérange pas

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Non y'a eut aucun changement mais si tu veux on peut attendre, ça me dérange pas

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D'accord, donc si ça ne te dérange pas, je préfère.

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D'accord, donc si ça ne te dérange pas, je préfère.

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T'inquiète pas     

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T'inquiète pas     

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« tu es validé, bravo    »

j'adore ta fiche mais ça tu le savais déjà.

Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar par ici et ton pseudo. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par l'agence de rp si tu souhait que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. merci. Il faut poster la fiche de lien avec le nom de votre personnage en premier puisque les fiches sont classées en ordre alphabétique. C'est important de faire parvenir par message privé au compte pnj des rumeurs/secrets (et de nous préciser ce qu'elles sont) au sujet de votre personnage, qu'elle soit vraies ou fausses, question que nous puissions les utiliser pour vous mettre des bâtons dans les roues. Vous ne pourrez commencer à rp qu'une fois que cela sera fait. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 450px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . N'oublis pas de passer par la partie communication, un tas de chose t'attends. Et surtout. Have fun.   

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« tu es validé, bravo    »

j'adore ta fiche mais ça tu le savais déjà.

Pour débuter ta vie dans le forum, il ne faut pas oublier de remplir correctement ton profil. C'est très important de venir recenser ton avatar par ici et ton pseudo. Pense à venir demander un logement si tu ne veux pas dormir dans la rue. Il faut en profiter pour jeter un coup d'oeil au reste des demandes. Tu peux passer par l'agence de rp si tu souhait que le pnj te trouve une idée de rp avec un des membres. Maintenant que tu as fait toutes ces étapes ennuyeuses, nous t'invitons à te créer ta fiche de lien et à la compléter le plus vite possible. Il y a une fiche de lien à votre disposition, pour suivre les couleurs du forum et pour vos fiche tentez de ne pas déformer le forum avec vos fiche, c'est un maximum de 430px. merci. Il faut poster la fiche de lien avec le nom de votre personnage en premier puisque les fiches sont classées en ordre alphabétique. C'est important de faire parvenir par message privé au compte pnj des rumeurs/secrets (et de nous préciser ce qu'elles sont) au sujet de votre personnage, qu'elle soit vraies ou fausses, question que nous puissions les utiliser pour vous mettre des bâtons dans les roues. Vous ne pourrez commencer à rp qu'une fois que cela sera fait. Juste un petit rappel pour les posts rp, si vous mettez des cadre et tout, veuillez à ce que cela ne dépasse pas 450px en largeur, pour ne pas déformer le forum. merci. Une fiche a été construit pour vous ici : fiche pour les posts rp . N'oublis pas de passer par la partie communication, un tas de chose t'attends. Et surtout. Have fun.