[vos messages]

riley « harley » fedosseïev
i like the way it's hurts

Nom : Fedosseïev (Doherty par alliance). ✏ Prénom : Riley, inconnu de tous, parce que ce nom me rattache trop à mon passé pas très net, je préfère Harley. ✏ Âge : 36 ans. ✏ date et lieu de naissance : 16 octobre, à Moscou. ✏ vos origines : Russes et Anglaises. ✏ Métier : rédactrice en chef du journal électronique Media Wales. ✏ Orientation sexuelle : hétérosexuelhommissime. ✏ Statut matrimonial : mariée depuis un bon nombre d'années. ✏ côté financier : aisée. Caractère : ambitieuse, arrogante, audacieuse, bornée, fidèle, fière, franche, impulsive, intransigeante, jalouse, manipulatrice, méfiante, perspicace, posée, possessive, rancunière, séductrice.  ✏ Groupe : les futuristes.

un peu plus sur vous.
✏ Je me élevée seule, ma mère a fait de son mieux, mais ses nombreuses absences n’ont servies qu’à créer un gouffre entre nous, grandissant à chaque année de vieillesse qui s’ankylose sur sa pauvre personne. N’ayant pas de père, je n’ai jamais connu ce que c’était « l’amour paternel » et j’ai toujours tenté de compenser en me surpassant dans tout ce que j’accomplissais. Je n’ai jamais accepté la défaite, extrêmement mauvaise perdante, j’ai redoublé d’efforts pour ne pas sombrer dans l’oubli total. ✏ Je me considère indépendante dans tout point. J’ai un caractère de merde et je n’hésite jamais à dire aux gens ce que je pense, ce qui me vaut parfois – souvent – des regards désagréables et des remarques indiscrètes et non-avenues faites à mon égard. Je m’en contre fiche, le seul avis qui compte à ce jour et qui ait jamais compté dans toute ma vie, c’est celui de Jax. Cet énergumène que j’aime de manière indécente et sans qui ma vie ne serait qu’un puits sans fond. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix.

des questions sur vous.
depuis combien de temps êtes-vous en ville? Du plus longtemps que je me souvienne, j’ai immigré ici peu de temps après avoir eu 10 ans. Les dures et nombreuses années de labeur de ma mère ont finalement pu nous permettre de se dégager de ce foutu merdier qu’était – et qu’est toujours – la Russie. Je me souviens de quelques bases de la langue, profondément ancrées, mais je me suis convertie à l’Américanisme, reniant ma langue natale et laissant les coutumes qui s’y rattachent de côté. comment considérez vous votre vie actuellement? La perfection n’existe pas, mais ma vie la frôle de manière frêle et cynique à la fois. Si ce n’est des disputes constantes et les absences fréquentes de mon tendre époux, je n’ai rien à redire. Je n’aime pas la bulle dans laquelle je suis lentement entrain de m’enfermer, parce que ça me fait plus peur qu’autre chose et que je préfèrerai devenir plus aventureuse que me reclouer derrière mon travail et tenter d’effacer nos problèmes d’un revers de main, mais bon, seul le temps nous dira où ça nous mènera… est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Tout le monde veut changer quelque chose dans sa vie à un moment ou à un autre. Pour moi, ce serait ma vie avant l’Amérique, mais encore, il y a beaucoup de choses que je garde pour moi. Je ne changerai pas Jaxhuem, jamais. Je l’aime, je l’ai choisi, il me complète, mais je changerai ces sales manies de jalousie qui me consument de manière malsaine quand je pense à chaque femme qui pose son regard sur ma douce moitié.

derrière l'écran.
votre pseudo : M. ✏ votre âge : 293812903 ans. ✏ votre pays : celui où l'hiver dure 6 mois et l'été deux semaines. ✏ scénario ou inventé : scénariiiiiii. ✏ votre fréquence de connexion : normale, peut-être régulière. ✏ comment êtes-vous arrivé ici? : par la faute de mon (futur mort) mari. ✏ vos commentaires/impressions : réponse ici. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : si c'est pour pimenter le tout, pourquoi pas ?. ✏ je désire avoir un parrain ou une marraine : nan.

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Nom : Fedosseïev (Doherty par alliance). ✏ Prénom : Riley, inconnu de tous, parce que ce nom me rattache trop à mon passé pas très net, je préfère Harley. ✏ Âge : 36 ans. ✏ date et lieu de naissance : 16 octobre, à Moscou. ✏ vos origines : Russes et Anglaises. ✏ Métier : rédactrice en chef du journal électronique Media Wales. ✏ Orientation sexuelle : hétérosexuelhommissime. ✏ Statut matrimonial : mariée depuis un bon nombre d'années. ✏ côté financier : aisée. Caractère : ambitieuse, arrogante, audacieuse, bornée, fidèle, fière, franche, impulsive, intransigeante, jalouse, manipulatrice, méfiante, perspicace, posée, possessive, rancunière, séductrice.  ✏ Groupe : les futuristes.

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✏ Je me élevée seule, ma mère a fait de son mieux, mais ses nombreuses absences n’ont servies qu’à créer un gouffre entre nous, grandissant à chaque année de vieillesse qui s’ankylose sur sa pauvre personne. N’ayant pas de père, je n’ai jamais connu ce que c’était « l’amour paternel » et j’ai toujours tenté de compenser en me surpassant dans tout ce que j’accomplissais. Je n’ai jamais accepté la défaite, extrêmement mauvaise perdante, j’ai redoublé d’efforts pour ne pas sombrer dans l’oubli total. ✏ Je me considère indépendante dans tout point. J’ai un caractère de merde et je n’hésite jamais à dire aux gens ce que je pense, ce qui me vaut parfois – souvent – des regards désagréables et des remarques indiscrètes et non-avenues faites à mon égard. Je m’en contre fiche, le seul avis qui compte à ce jour et qui ait jamais compté dans toute ma vie, c’est celui de Jax. Cet énergumène que j’aime de manière indécente et sans qui ma vie ne serait qu’un puits sans fond. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix. ✏ une dizaine de tics, manie, préférences, à votre choix.

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depuis combien de temps êtes-vous en ville? Du plus longtemps que je me souvienne, j’ai immigré ici peu de temps après avoir eu 10 ans. Les dures et nombreuses années de labeur de ma mère ont finalement pu nous permettre de se dégager de ce foutu merdier qu’était – et qu’est toujours – la Russie. Je me souviens de quelques bases de la langue, profondément ancrées, mais je me suis convertie à l’Américanisme, reniant ma langue natale et laissant les coutumes qui s’y rattachent de côté. comment considérez vous votre vie actuellement? La perfection n’existe pas, mais ma vie la frôle de manière frêle et cynique à la fois. Si ce n’est des disputes constantes et les absences fréquentes de mon tendre époux, je n’ai rien à redire. Je n’aime pas la bulle dans laquelle je suis lentement entrain de m’enfermer, parce que ça me fait plus peur qu’autre chose et que je préfèrerai devenir plus aventureuse que me reclouer derrière mon travail et tenter d’effacer nos problèmes d’un revers de main, mais bon, seul le temps nous dira où ça nous mènera… est-ce qu'il y a une chose que vous voudriez changer? Tout le monde veut changer quelque chose dans sa vie à un moment ou à un autre. Pour moi, ce serait ma vie avant l’Amérique, mais encore, il y a beaucoup de choses que je garde pour moi. Je ne changerai pas Jaxhuem, jamais. Je l’aime, je l’ai choisi, il me complète, mais je changerai ces sales manies de jalousie qui me consument de manière malsaine quand je pense à chaque femme qui pose son regard sur ma douce moitié.

derrière l'écran.
votre pseudo : M. ✏ votre âge : 293812903 ans. ✏ votre pays : celui où l'hiver dure 6 mois et l'été deux semaines. ✏ scénario ou inventé : scénariiiiiii. ✏ votre fréquence de connexion : normale, peut-être régulière. ✏ comment êtes-vous arrivé ici? : par la faute de mon (futur mort) mari. ✏ vos commentaires/impressions : réponse ici. j'accepte que le pnj intervienne dans mes rps sans me poser de question : si c'est pour pimenter le tout, pourquoi pas ?. ✏ je désire avoir un parrain ou une marraine : nan.

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story of my life
i like the way it's hurts

Lorsque j’observe ma réflexion dans le miroir et que j’aperçois un commencement de rides, peu importe l’emplacement sur mon visage, je me dis que ça passera, que ce n’est qu’un petit point qui s’estompera éventuellement, parce que je finirai par redevenir la Harley que j’étais avant; celle qui était pleine de vie et qui ne se souciait pas de ce que les autres pouvaient penser. C’est faux, tout ça est faux… Lorsque j’observe ma réflexion dans le miroir, j’aperçois cette Harley presque vide, transparente, translucide et sans rien pour la retenir de sa chute interminable vers ce gouffre profond qu’on appelle la solitude, l’isolement, la perte de soi en quelques sortes. Je me sens incomplète, dépourvue de toute émotion qui me permettrait de me remettre sur la voie que j’ai volontairement accepté d’emprunter pour le restant de mes jours en unissant ma destinée à Jax. Cet homme que j’aime depuis si longtemps, tellement d’années que je ne les compte plus, cet homme qui me fait vibrer à la seconde où il entre dans la même pièce que moi, rien que par sa présence et son caractère, qui initie une rafale de frissons parcourant mon échine au moment-même où l’essence de son regard capture le mien et m’enivre, tellement que j’en perds toute pensée saine. Ses longs doigts qui déferlent le long de mes bras, puis mon dos, le galbe de mes fesses, mes jambes. J’en tremble, j’en frissonne, j’en sanglote d’envie. Cet homme, qui rien que par son absence me vole carrément la meilleure partie de moi. Cet homme que j’aime à en mourir, pour qui je vendrais mon âme au diable s’il me le demandait… Jaxhuem Doherty; mon poison, le centre de mon minuscule univers, le puits où je me ressource au besoin. Je me fends en deux à chaque putain de fois où je réalise à quel point je ne serai rien sans lui, et pourtant, après toutes ces années, ces longs voyages, cette distance qui nous accapare et nous éloigne au fur et à mesure, ces disputes de merde, je ne l’échangerai pour absolument pour rien au monde. Les yeux fermés, j’extirpe une énième bouffée de la clope enserrée entre mes doigts, puis me laisse mener par la mélodie qui s’estompe peu à peu à mes oreilles, mon verre de bourbon dans une main, puis je me mets lentement à danser, parce que j’en ressens le besoin, parce que je m’emmerde sérieusement et surtout parce que je commence gravement à être pompette. Je réussis à me rendre à la cuisine, passant par l’entrée où je remarque d’ailleurs des chaussures d’homme. Je me délecte de cette remarque mentalement pendant quelques secondes, parce que je sais exactement ce qui va se passer dans les minutes à suivre. Mon cœur se met à battre la chamade alors que je me rue maintenant frénétiquement vers la cuisine. La lumière est tamisée, il y a une nappe sur la table, une bouteille de vin rosé fraîchement sortie de la cave et… « Votre mari ne vous a-t-il jamais dit de ne pas laisser la porte déverrouillée ? Un étranger pourrait s’y immiscer et tenter d’abuser de votre bonté, madame Doherty. » Son ton de voix suave fait accélérer mes palpitations, il a le don de se rendre désirable en ne faisant rien de grandiose, ou peut-être est-ce seulement moi qui suis faible. Je grimace légèrement à l'appel de mon nom de mariée, nom qu'il se complait à utiliser pour me narguer. Un de ses bras entoure ma taille, puis il use de son index pour tracer ma mâchoire, le faisant glisser le long de mon cou, puis tout juste au-dessus de ma poitrine, salopard. Je tente de formuler une phrase sensée, mais je ne parviens qu’à diriger sa main sous ma robe, la plaçant d’une lenteur rigoureuse sur ma cuisse, puis je reste silencieuse, fiévreuse d’envie, tandis que Jaxhuem s’amuse à laisser des traces de dents dans mon cou. S’il n’était pas déjà mien, je tuerai pour l’avoir. « Comment s’est passée ta journée, amour de ma vie ? » Que je réussis à souffler entre deux soupirs. Sans dire mot, il me fait virevolter contre son torse et me serre contre lui, à m’en étouffer, puis loge son visage dans mon cou, inhalant ce parfum riche qu’il m’a offerte à un de mes anniversaires et qu’il me rachète sans arrêt parce que l’odeur lui est familière. « Tu n’étais pas là, mais j’ai survécu. J’imagine que ça en dit beaucoup sur ma force de caractère. » Un sourire dévastateur se dessine sur mes lèvres, alors que je relève son visage et que je l’embrasse à la commissure des lèvres. Une de mes mains s’affaire à décoincer sa chemise de son pantalon, c’est la seule action qu’il me laisse faire, me faisant minutieusement reculer jusqu’au seuil de la table à manger, avant de m’y accoter, tandis qu’il se place entre mes jambes et déchire le haut de ma robe en dentelle.  ucucucuc

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Lorsque j’observe ma réflexion dans le miroir et que j’aperçois un commencement de rides, peu importe l’emplacement sur mon visage, je me dis que ça passera, que ce n’est qu’un petit point qui s’estompera éventuellement, parce que je finirai par redevenir la Harley que j’étais avant; celle qui était pleine de vie et qui ne se souciait pas de ce que les autres pouvaient penser. C’est faux, tout ça est faux… Lorsque j’observe ma réflexion dans le miroir, j’aperçois cette Harley presque vide, transparente, translucide et sans rien pour la retenir de sa chute interminable vers ce gouffre profond qu’on appelle la solitude, l’isolement, la perte de soi en quelques sortes. Je me sens incomplète, dépourvue de toute émotion qui me permettrait de me remettre sur la voie que j’ai volontairement accepté d’emprunter pour le restant de mes jours en unissant ma destinée à Jax. Cet homme que j’aime depuis si longtemps, tellement d’années que je ne les compte plus, cet homme qui me fait vibrer à la seconde où il entre dans la même pièce que moi, rien que par sa présence et son caractère, qui initie une rafale de frissons parcourant mon échine au moment-même où l’essence de son regard capture le mien et m’enivre, tellement que j’en perds toute pensée saine. Ses longs doigts qui déferlent le long de mes bras, puis mon dos, le galbe de mes fesses, mes jambes. J’en tremble, j’en frissonne, j’en sanglote d’envie. Cet homme, qui rien que par son absence me vole carrément la meilleure partie de moi. Cet homme que j’aime à en mourir, pour qui je vendrais mon âme au diable s’il me le demandait… Jaxhuem Doherty; mon poison, le centre de mon minuscule univers, le puits où je me ressource au besoin. Je me fends en deux à chaque putain de fois où je réalise à quel point je ne serai rien sans lui, et pourtant, après toutes ces années, ces longs voyages, cette distance qui nous accapare et nous éloigne au fur et à mesure, ces disputes de merde, je ne l’échangerai pour absolument pour rien au monde. Les yeux fermés, j’extirpe une énième bouffée de la clope enserrée entre mes doigts, puis me laisse mener par la mélodie qui s’estompe peu à peu à mes oreilles, mon verre de bourbon dans une main, puis je me mets lentement à danser, parce que j’en ressens le besoin, parce que je m’emmerde sérieusement et surtout parce que je commence gravement à être pompette. Je réussis à me rendre à la cuisine, passant par l’entrée où je remarque d’ailleurs des chaussures d’homme. Je me délecte de cette remarque mentalement pendant quelques secondes, parce que je sais exactement ce qui va se passer dans les minutes à suivre. Mon cœur se met à battre la chamade alors que je me rue maintenant frénétiquement vers la cuisine. La lumière est tamisée, il y a une nappe sur la table, une bouteille de vin rosé fraîchement sortie de la cave et… « Votre mari ne vous a-t-il jamais dit de ne pas laisser la porte déverrouillée ? Un étranger pourrait s’y immiscer et tenter d’abuser de votre bonté, madame Doherty. » Son ton de voix suave fait accélérer mes palpitations, il a le don de se rendre désirable en ne faisant rien de grandiose, ou peut-être est-ce seulement moi qui suis faible. Je grimace légèrement à l'appel de mon nom de mariée, nom qu'il se complait à utiliser pour me narguer. Un de ses bras entoure ma taille, puis il use de son index pour tracer ma mâchoire, le faisant glisser le long de mon cou, puis tout juste au-dessus de ma poitrine, salopard. Je tente de formuler une phrase sensée, mais je ne parviens qu’à diriger sa main sous ma robe, la plaçant d’une lenteur rigoureuse sur ma cuisse, puis je reste silencieuse, fiévreuse d’envie, tandis que Jaxhuem s’amuse à laisser des traces de dents dans mon cou. S’il n’était pas déjà mien, je tuerai pour l’avoir. « Comment s’est passée ta journée, amour de ma vie ? » Que je réussis à souffler entre deux soupirs. Sans dire mot, il me fait virevolter contre son torse et me serre contre lui, à m’en étouffer, puis loge son visage dans mon cou, inhalant ce parfum riche qu’il m’a offerte à un de mes anniversaires et qu’il me rachète sans arrêt parce que l’odeur lui est familière. « Tu n’étais pas là, mais j’ai survécu. J’imagine que ça en dit beaucoup sur ma force de caractère. » Un sourire dévastateur se dessine sur mes lèvres, alors que je relève son visage et que je l’embrasse à la commissure des lèvres. Une de mes mains s’affaire à décoincer sa chemise de son pantalon, c’est la seule action qu’il me laisse faire, me faisant minutieusement reculer jusqu’au seuil de la table à manger, avant de m’y accoter, tandis qu’il se place entre mes jambes et déchire le haut de ma robe en dentelle.  ucucucuc

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Plein de québécois ici c'est fou je me sens moins seul. Bienvenue parmi nous

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Bienvenue grosse bitch, bon courage pour ta fiche et je sens qu'on va bien s'amuser tous ensemble!

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Parce que t'es bonne, et va absolument falloir que tu te dépêches de finir cette fiche copine. Sinon, eh bien, tu le regretteras, voilà!

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Bienvenue

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Bienvenue et bonne chance pour ta fiche!!!!

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bienvenue ! gemma ♥

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Berk vous me dégoûtez tous avec vos belles gueules, que des beaux gosses ici apparemment Merci à touuuuuuuuuuuuuus !

JaxMyLove ~ you are going to die a horrible death, I promise you my darling

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Berk vous me dégoûtez tous avec vos belles gueules, que des beaux gosses ici apparemment Merci à touuuuuuuuuuuuuus !

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Bienvenue!

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Citation :

S’il n’était pas déjà mien, je tuerai pour l’avoir.

C'est pour des phrases comme ça que je t'aime, IRL et DJ

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S’il n’était pas déjà mien, je tuerai pour l’avoir.

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Bonjour, je viens demander un délai s'il-vous-plait ! Avec le ratio travail/école et mon horaire dégueulasse, c'est pas évident =D Pourrais-je avoir jusqu'au week-end ?

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Bien certainement mademoiselle

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Welcome here et , off course, vive le Québec

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